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OPALE CALLISTER
FT. BEHATI PRINSLOO
carte d'identité
I WANT IT I GOT IT
Houston c’est chouette si on aime le combo cowboy et chemises à carreaux qui vend peu de rêve si ce n’est cette odeur âcre de transpiration…il faut bien s’échauffer quand on veut dompter l’étalon, sentir la rose est souvent en option. Opale a un regard très critique sur le lieu d’où elle vient car, étriquée par une éducation trop stricte, reléguée au rang de petite fille qui ne file pas droit, elle n’a pu profiter des joies de son berceau natal et s’est très vite émancipée pour découvrir d’autres horizons. Boston est une ville qu’elle ne connaissait point, mélange hétéroclite de couleurs pastels et ternes, de lumière et de décadence, c’est l’appel d’un avenir rêvé pour la jeunesse qui, envieuse de bien faire, choisie Harvard mais c’est aussi le rendez-vous des loosers qui ont pu rater leurs études. La demoiselle n’a pas encore pu profiter de toutes les jouissances qu’offre la cité mais elle apprécie se fondre dans cette masse qu’elle ne connait pas, découvrir un lieu et une populace qui la dépasse. Sortir jusqu’à tard le soir pour épancher son chagrin et surtout flâner le long de Charles River pour ne rentrer qu’au petit matin, la nuit bercée par les arabesques étoilées de l’eau neutre, exempte de toute émotion, de toute froideur ou chaleur, seul pilier qui trône et serpente sans se retourner.
les anecdotes
x Opale et Charly ont souvent été confondues, à cause de leur frimousse semblable, jumelles parfaites copies l’une de l’autre mais aussi car elles adoraient se prêter à ce jeu pour faire enrager leur monde
x Leur famille leur a tout donné, possédant un ranch, ils ont offert une éducation parfaite à leurs deux filles mais Opale en a décidé autrement
x Rentrant en conflit avec ses parents quant à ses choix de fréquentation, elle n’était guère désireuse d’oublier ce blond mystérieux au profit de leur pseudo famille, là où ils voyaient le mal, elle voyait l’exaltation d’une vie nouvelle qui s’avançait et les plaisirs des drogues et de l’alcool auxquels elle n’avait pu s’adonner auparavant. Opale dévia et le duo des jumelles ne fut plus. Délaissée par leurs parents qui baissèrent les bras pour la ramener dans le droit chemin, elle ne rentrait presque plus jusqu’au jour où elle ne revint plus, sans se retourner, sans même dire au revoir à Charly.
x Elle écuma plusieurs destinations, prenant la vie comme un voyage, ce rite initiatique qui l’emmena à fréquenter des individus peu fréquentables et faire des choses peu recommandables.
x Elle trainait souvent au poste de police mais s’en sortait toujours grâce à ses connaissances des lois et son sourire niais bien qu’elle savait pertinemment être coupable. Les centres de désintoxication ne réussirent à tempérer ses ardeurs mais seule, face à un monde qui peut vous avaler tout cru et sans famille, on se raccroche à des choses intangibles, qui ne devraient bercer le quotidien d’une enfant ayant grandi trop tôt et côtoyé ce monde adulte sans un mode d’emploi.
x Ses expériences furent diverses : petits larcins, vente de substances illicites, danses un peu trop exotiques contre une liasse de billets fournie, travail en boite de nuit et autres joyeusetés qui s’offraient à sa portée, parfois murmurées par le playboy de passage dans sa vie. Elle savait le mal, le reconnaissait mais ne l’a jamais fui, comme le bien qu’aurait pu lui apporter sa famille.
x Et Charly mourut. Opale en train de festoyer dans la villa d’un vieux riche fréquenté seulement pour l’oseille, les idées broyées par la drogue, cette nouvelle la rappela aussitôt à l’ordre, lui remit les pieds directement dans le chaos de sa vie.
x Charly avait toujours représenté son tout, même loin. Elle se pensait invincibles, main dans la main contre le monde entier, malgré leurs différences. Si l’une tombe, l’autre aussi. Opale s’est trompé et paye encore aujourd’hui le prix de sa trahison, par son chagrin et ce trou béant laissé à la place de son myocarde.
x Les choses empirèrent. Prise dans la tourmente de ses obscurs et néfastes sentiments, elle plongea directement dans les bras d’Hadès ou Lucifer, pour ne devenir que l’ombre d’elle-même. Un an de torture, de débauche et de perdition à la suite de ce jour sombre, celui de son enterrement.
x Sans une once de curiosité, elle apprit que sa jumelle était fiancée à un certain Manfred, ne lui portant guère d’intérêt, elle resta en retrait mais se repentit silencieusement pendant des heures durant. Elle n’avait pas le droit de s’immiscer dans la vie de ces gens puisqu’elle avait rompu avec les Callister et tout ce qui gravite autour. Elle avait rompu avec sa douce Charly…
x Elle retomba sur une lettre de Charly, l’une des nombreuses qu’elle lui avait écrites au cours des dernières années mais qu’elle n’avait jamais lues. Ses mots firent l’effet d’une gifle, elle ne lui en voulait pas et lui souhaitait une belle vie. Comment Opale pouvait-elle sacrifier sa vie alors que Charly n’était plus ? Trahirait-elle encore sa défunte sœur de son nuage ? Quelle opinion offrait-elle au monde ? Alors Opale a tout lâché, les affaires véreuses, les contacts doux et les petits copains sans lendemain. Elle a travaillé, remboursé ses dettes et s’est offert un aller simple pour Boston.
x La haine et la culpabilité la hantent toujours, haine envers cet homme qui aurait dû protéger sa sœur, culpabilité envers elle qui n’a pas été présente et qui aurait dû être la victime. Charly incarnait l’avenir alors qu’Opale aurait dû incarner le passé. Les rôles se sont inversés et elle en souffre toujours autant aujourd’hui, un an après.
x Opale écume les extra en service pour se payer un logement décent et a postulé pour un emploi au sein d’Harvard, comme secrétaire. Ses vieux démons ne sont pas partis mais elle essaye de bâtir cette vie dont sa sœur serait fière.
x Et si retourner le couteau dans la plaie fait mal, cela peut aussi faire avancer. Cet homme reste le dernier bout vivant de Charly et la seule façon pour Opale de la voir, à travers lui. Elle lui en veut énormément mais aimerait comprendre, comprendre sa sœur, comprendre les raisons qui lui ont poussé à offrir son cœur à celui grâce à qui il ne bat plus.
x Leur famille leur a tout donné, possédant un ranch, ils ont offert une éducation parfaite à leurs deux filles mais Opale en a décidé autrement
x Rentrant en conflit avec ses parents quant à ses choix de fréquentation, elle n’était guère désireuse d’oublier ce blond mystérieux au profit de leur pseudo famille, là où ils voyaient le mal, elle voyait l’exaltation d’une vie nouvelle qui s’avançait et les plaisirs des drogues et de l’alcool auxquels elle n’avait pu s’adonner auparavant. Opale dévia et le duo des jumelles ne fut plus. Délaissée par leurs parents qui baissèrent les bras pour la ramener dans le droit chemin, elle ne rentrait presque plus jusqu’au jour où elle ne revint plus, sans se retourner, sans même dire au revoir à Charly.
x Elle écuma plusieurs destinations, prenant la vie comme un voyage, ce rite initiatique qui l’emmena à fréquenter des individus peu fréquentables et faire des choses peu recommandables.
x Elle trainait souvent au poste de police mais s’en sortait toujours grâce à ses connaissances des lois et son sourire niais bien qu’elle savait pertinemment être coupable. Les centres de désintoxication ne réussirent à tempérer ses ardeurs mais seule, face à un monde qui peut vous avaler tout cru et sans famille, on se raccroche à des choses intangibles, qui ne devraient bercer le quotidien d’une enfant ayant grandi trop tôt et côtoyé ce monde adulte sans un mode d’emploi.
x Ses expériences furent diverses : petits larcins, vente de substances illicites, danses un peu trop exotiques contre une liasse de billets fournie, travail en boite de nuit et autres joyeusetés qui s’offraient à sa portée, parfois murmurées par le playboy de passage dans sa vie. Elle savait le mal, le reconnaissait mais ne l’a jamais fui, comme le bien qu’aurait pu lui apporter sa famille.
x Et Charly mourut. Opale en train de festoyer dans la villa d’un vieux riche fréquenté seulement pour l’oseille, les idées broyées par la drogue, cette nouvelle la rappela aussitôt à l’ordre, lui remit les pieds directement dans le chaos de sa vie.
x Charly avait toujours représenté son tout, même loin. Elle se pensait invincibles, main dans la main contre le monde entier, malgré leurs différences. Si l’une tombe, l’autre aussi. Opale s’est trompé et paye encore aujourd’hui le prix de sa trahison, par son chagrin et ce trou béant laissé à la place de son myocarde.
x Les choses empirèrent. Prise dans la tourmente de ses obscurs et néfastes sentiments, elle plongea directement dans les bras d’Hadès ou Lucifer, pour ne devenir que l’ombre d’elle-même. Un an de torture, de débauche et de perdition à la suite de ce jour sombre, celui de son enterrement.
x Sans une once de curiosité, elle apprit que sa jumelle était fiancée à un certain Manfred, ne lui portant guère d’intérêt, elle resta en retrait mais se repentit silencieusement pendant des heures durant. Elle n’avait pas le droit de s’immiscer dans la vie de ces gens puisqu’elle avait rompu avec les Callister et tout ce qui gravite autour. Elle avait rompu avec sa douce Charly…
x Elle retomba sur une lettre de Charly, l’une des nombreuses qu’elle lui avait écrites au cours des dernières années mais qu’elle n’avait jamais lues. Ses mots firent l’effet d’une gifle, elle ne lui en voulait pas et lui souhaitait une belle vie. Comment Opale pouvait-elle sacrifier sa vie alors que Charly n’était plus ? Trahirait-elle encore sa défunte sœur de son nuage ? Quelle opinion offrait-elle au monde ? Alors Opale a tout lâché, les affaires véreuses, les contacts doux et les petits copains sans lendemain. Elle a travaillé, remboursé ses dettes et s’est offert un aller simple pour Boston.
x La haine et la culpabilité la hantent toujours, haine envers cet homme qui aurait dû protéger sa sœur, culpabilité envers elle qui n’a pas été présente et qui aurait dû être la victime. Charly incarnait l’avenir alors qu’Opale aurait dû incarner le passé. Les rôles se sont inversés et elle en souffre toujours autant aujourd’hui, un an après.
x Opale écume les extra en service pour se payer un logement décent et a postulé pour un emploi au sein d’Harvard, comme secrétaire. Ses vieux démons ne sont pas partis mais elle essaye de bâtir cette vie dont sa sœur serait fière.
x Et si retourner le couteau dans la plaie fait mal, cela peut aussi faire avancer. Cet homme reste le dernier bout vivant de Charly et la seule façon pour Opale de la voir, à travers lui. Elle lui en veut énormément mais aimerait comprendre, comprendre sa sœur, comprendre les raisons qui lui ont poussé à offrir son cœur à celui grâce à qui il ne bat plus.
le caractère
Sa vie est semblable à un échiquier géant sur lequel il lui plait d’avancer les pions, laissant la chance à certains, se débarrassant des pièces envahissantes. Opale ne sait faire dans la demi-mesure et gravite tel un électron libre, sans qu’on puisse l’enchainer. Vive d’esprit malgré l’arrêt rapide de sa scolarité, la demoiselle a toujours eu à cœur de s’informer sur l’actualité et être instruite. Les moments durs ne l’échaudent guère et elle est capable de garder la tête froide pour faire face même à la situation la plus dramatique. Aimant minauder, elle passe souvent pour une fille facile mais jamais fragile, la nature l’a dotée de certains atouts, autant s’en servir. Opale ne connait ni l’échec et n’accepte point de perdre, soit elle a raison, soit…vous avez tort, mais jamais elle ne plie pour s’avouer vaincue. Tête brulée et impulsive, elle apprécie les défis et ne recule jamais devant un obstacle. Le mot « pardon » ne fait pas partie de son vocabulaire, elle préfère fuir ou parader que s’excuser, il n’y qu’auprès qu’elle exprime des remords, de ceux qui sont solennels et silencieux, ceux qui la brisent encore aujourd’hui, ceux qu’elle ne parvient à fuir. Ceux-là, ne peuvent être laissés derrière elle en parcourant des milliers des kilomètres, ceux-là la rongent jusqu’à l’os sans la laisser souffler.
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Silveana et j'ai la vingtaine bien entamée . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un top-site. le forum me plaît de par son niveau d'activité et ses multiples possibilités de jeu alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Behati Prinsloo comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par persephone et tumblr. Je fais environ 500 voir +++++ mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Manfred V. Tulum.
Je souhaite ▲
je veux être parrainé
je veux participer au Summer Camp
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
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