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Les originesécossaises, équatoriennes
feat. Kit Harington
11 novembre à Ambato
américaine, équatorienne
fiancé et hétérosexuel
mécanicien et diplômé en sciences de l'éducation et mathématiques appliquées
moyen
Le caractère
Quito, ce mec qui est long à la détente, rêveur, souvent dans la lune, vite distrait. C'est comme s'il y avait un autre monde dans sa tête, faut toujours le rappeler sur terre. Ce spécimen est un véritable casse-tête chinois, totalement imprévisible. Personne ne le connait vraiment par coeur, sauf peut-être sa petite soeur Ushuaïa. Protecteur, loyal, sensible, familial, autonome, ce sont des qualités qui l'ont aidé pendant qu'il fuyait son pays natal avec sa soeur. Bout-en-train, casse-coup, Quito ne manquera pas de faire le pitre pour apporter des ondes positives aux personnes qui l'entourent.
Les anecdotes
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<div class="card-user-bottin-adams / dudley / kirkland / pfo / students / iwantit / love / fire / idwbya / darkrises (laisser votre groupe et supprimer les autres)"><adams / dudley / kirkland / pfo / students / iwantit / love / fire / idwbya / darkrises (laisser votre groupe et supprimer les autres) class="text-s-bebas text-upper">AVATAR</adams / dudley / kirkland / pfo / students / iwantit / love / fire / idwbya / darkrises (LAISSER VOTRE GROUPE ET SUPPRIMER LES AUTRES)><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Pseudo"</span></div>
Dans la chambre de ma petite soeur, ce bébé qui tient à peine sur ses pattes, je suis couché avec elle sur le sol et je la serre très fort contre moi. Je n'ai que quatre ans, mais j'entends, je vois des choses et je ne les comprends pas forcément mais je sais que je dois serrer fort ma soeur dans mes bras pour qu'elle arrête de pleurer. De l'autre côté de la porte, des cris, des hurlements, une voix forte, des objets qui se cassent. Et petite soeur tremble. Et puis plus un bruit. « Chut, cache tes oreilles, comme moi regarde. » je pose mes petites mains sur mes oreilles et ma soeur m'imite, elle ne comprend pas alors je pose moi-même mes mains sur ses oreilles. Pour qu'elle n'ait plus à écouter les cris de détresse de ma mère qui est en train de ramasser les coups de notre père. On avait trop peur, on est resté comme ça sur le plancher toute la nuit. Le lendemain matin, notre père est venu nous chercher, en larmes. Même si mon papa est méchant, ça reste mon papa, et le voir triste, je n'aimais pas ça. Pourquoi pleure-t-il ? Je comprends que maman est à l'hôpital et que maman ne reviendra plus. Quand on est gosse, on ne comprend pas, évidemment. Papa l'a tuée ? Papa l'a envoyée à l'hôpital et elle n'a pas survécu à ses blessures ? Quoi ? On ne nous dit rien, car on est trop petits. Nous voilà, alors, plus que trois dans la famille. Et c'est à partir de ce moment là que tout est devenu différent.
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Vous vous demandez comment ces deux gosses vont survire avec un parent alcoolique ? En fuyant. Nous avons dû fuir. Je n'ai pas laissé le choix à ma soeur. Je ne supportais plus ramasser tous les coups pour la protéger. Je ne pouvais pas aller à l'école sans montrer mes bleus, sans que les gens se posent des questions. Et ma soeur, plus jeune que moi, que va-t-il se passer lorsqu'elle deviendra une femme ? il va la battre comme maman. Hors de question. Alors j'ai pris mon sac à dos, un petit sac aussi pour ma soeur. J'ai mis de la nourriture, une couverture, une lampe de poche et l'argent que j'ai piqué dans le portefeuille de papa une fois endormi devant le base-ball. On a quitté la maison. On s'est enfuis. J'avais 13 ans, elle 10, deux mineurs qui fuient leur pays, leur vie. Evidemment, on ne passe pas inaperçu. On a eu la police sur notre chemin, les hébergements sociaux, même les institutions MENA (mineurs étrangers non accompagnés). Mais on a réussi, on a quitté le pays. Après plusieurs péripéties, les USA étaient à nous. Personne ne nous ont pris en charge, ou quand cela arrivait, on arrivait encore à s'enfuir. Pour survivre ? Rien de plus simple. On volait, en binôme. Disons que ma soeur faisait diversion et moi, je foutais tout dans mes poches.
Je me suis toujours occupé de ma soeur, son bonheur ou plutôt sa survie avant la mienne. C'était comme ça. Elle était tout ce qu'il me restait... pendant longtemps, des mois, on a pratiquement rencontré personne. Pas d'amis, juste des connaissances qui nous dépannaient de temps en temps, mais dans ce monde de fugue, on ne peut compter que sur soi-même. Un an plus tard, Los Angeles. La vie fut un peu plus paisible à partir du moment où je recevais de l'argent sur mon compte. De qui ? On ne l'a jamais su. « Sérieusement, tu ne trouves pas ça bizarre de recevoir de l'argent comme par magie ? » « On s'en fiche, qui que soit, cette personne veut qu'on reste en vie. Qui ferait ça sinon ? » cela ne plaisait pas beaucoup à ma soeur et c'était souvent source de conflit mais en attendant, on était pas obligé de voler tous les jours. Et puis, on avait besoin de cet argent pour se déplacer. Pour prendre le métro, le bus, le train. On ne dormait pratiquement pas trois nuits au même endroit, on changeait de ville, dans tout le pays. Qu'est-ce qu'on faisait de nos journées ? J'enseignais l'école à ma soeur, ce que je savais, surtout les maths, ma matière préférée. J'essayais de lui donner une certaine éducation, comme je pouvais.
Un soir, on s'en est pris à des gamins, enfin, ils avaient notre âge, mais on ne le savait pas encore. On ne savait pas non plus qu'on était en train de voler nos futurs frère et soeur adoptif. Plus tard, mais pas si tard que ça, la famille Halgrove nous a contacté grâce à la rencontre avec Sydney et Alexandrie, puis la police, puis les services sociaux. Toute une paperasse, toutes des questions, les journées entières au poste de police. Ce fut plus tard qu'on comprit que la famille Halgrove était en train de faire une démarche pour nous adopter. C'était notre chance, la seule chance de s'en sortir, de vivre une nouvelle vie, surtout pour ma soeur. Je me suis tellement battu pour elle, il le fallait... Je rentre dans la chambre de ma soeur sans frapper, je m'assieds dans son lit à côté d'elle et je la regarde qui lit un magazine sur Harvard. « Tu stresses pas trop pour ton entretient ? T'as pas à avoir peur. T'es intelligente, t'as eu un bon professeur, ils vont t'adorer. Et puis, rien ne nous arrête, tu le sais, on a ça dans le sang. » Ushuaia se rapproche de moi et me serre dans ses bras. « Te quiero Quito, mi hermano. »
Nous se savons toujours pas qui nous a envoyé de l'argent, nous ne savons toujours pas pourquoi les Halgrove nous ont accueillis comme leurs propres enfants, nous sommes logis, blanchis, ayons reçu l'éducation scolaire qu'on a loupé pendant ces années, ils nous ont donné la chance d'entrer à Harvard pour se créer en avenir et surtout, croire qu'on peut encore être une famille, entourés de tous ses frères et soeurs dans cette harmonie paisible.
Nous se savons toujours pas qui nous a envoyé de l'argent, nous ne savons toujours pas pourquoi les Halgrove nous ont accueillis comme leurs propres enfants, nous sommes logis, blanchis, ayons reçu l'éducation scolaire qu'on a loupé pendant ces années, ils nous ont donné la chance d'entrer à Harvard pour se créer en avenir et surtout, croire qu'on peut encore être une famille, entourés de tous ses frères et soeurs dans cette harmonie paisible.
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une petite quote par ici
CHAPITRE UN
Dans la chambre de ma petite soeur, ce bébé qui tient à peine sur ses pattes, je suis couché avec elle sur le sol et je la serre très fort contre moi. Je n'ai que quatre ans, mais j'entends, je vois des choses et je ne les comprends pas forcément mais je sais que je dois serrer fort ma soeur dans mes bras pour qu'elle arrête de pleurer. De l'autre côté de la porte, des cris, des hurlements, une voix forte, des objets qui se cassent. Et petite soeur tremble. Et puis plus un bruit. « Chut, cache tes oreilles, comme moi regarde. » je pose mes petites mains sur mes oreilles et ma soeur m'imite, elle ne comprend pas alors je pose moi-même mes mains sur ses oreilles. Pour qu'elle n'ait plus à écouter les cris de détresse de ma mère qui est en train de ramasser les coups de notre père. On avait trop peur, on est resté comme ça sur le plancher toute la nuit. Le lendemain matin, notre père est venu nous chercher, en larmes. Même si mon papa est méchant, ça reste mon papa, et le voir triste, je n'aimais pas ça. Pourquoi pleure-t-il ? Je comprends que maman est à l'hôpital et que maman ne reviendra plus. Quand on est gosse, on ne comprend pas, évidemment. Papa l'a tuée ? Papa l'a envoyée à l'hôpital et elle n'a pas survécu à ses blessures ? Quoi ? On ne nous dit rien, car on est trop petits. Nous voilà, alors, plus que trois dans la famille. Et c'est à partir de ce moment là que tout est devenu différent.
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Vous vous demandez comment ces deux gosses vont survire avec un parent alcoolique ? En fuyant. Nous avons dû fuir. Je n'ai pas laissé le choix à ma soeur. Je ne supportais plus ramasser tous les coups pour la protéger. Je ne pouvais pas aller à l'école sans montrer mes bleus, sans que les gens se posent des questions. Et ma soeur, plus jeune que moi, que va-t-il se passer lorsqu'elle deviendra une femme ? il va la battre comme maman. Hors de question. Alors j'ai pris mon sac à dos, un petit sac aussi pour ma soeur. J'ai mis de la nourriture, une couverture, une lampe de poche et l'argent que j'ai piqué dans le portefeuille de papa une fois endormi devant le base-ball. On a quitté la maison. On s'est enfuis. J'avais 13 ans, elle 10, deux mineurs qui fuient leur pays, leur vie. Evidemment, on ne passe pas inaperçu. On a eu la police sur notre chemin, les hébergements sociaux, même les institutions MENA (mineurs étrangers non accompagnés). Mais on a réussi, on a quitté le pays. Après plusieurs péripéties, les USA étaient à nous. Personne ne nous ont pris en charge, ou quand cela arrivait, on arrivait encore à s'enfuir. Pour survivre ? Rien de plus simple. On volait, en binôme. Disons que ma soeur faisait diversion et moi, je foutais tout dans mes poches.
Je me suis toujours occupé de ma soeur, son bonheur ou plutôt sa survie avant la mienne. C'était comme ça. Elle était tout ce qu'il me restait... pendant longtemps, des mois, on a pratiquement rencontré personne. Pas d'amis, juste des connaissances qui nous dépannaient de temps en temps, mais dans ce monde de fugue, on ne peut compter que sur soi-même. Un an plus tard, Los Angeles. La vie fut un peu plus paisible à partir du moment où je recevais de l'argent sur mon compte. De qui ? On ne l'a jamais su. « Sérieusement, tu ne trouves pas ça bizarre de recevoir de l'argent comme par magie ? » « On s'en fiche, qui que soit, cette personne veut qu'on reste en vie. Qui ferait ça sinon ? » cela ne plaisait pas beaucoup à ma soeur et c'était souvent source de conflit mais en attendant, on était pas obligé de voler tous les jours. Et puis, on avait besoin de cet argent pour se déplacer. Pour prendre le métro, le bus, le train. On ne dormait pratiquement pas trois nuits au même endroit, on changeait de ville, dans tout le pays. Qu'est-ce qu'on faisait de nos journées ? J'enseignais l'école à ma soeur, ce que je savais, surtout les maths, ma matière préférée. J'essayais de lui donner une certaine éducation, comme je pouvais.
Un soir, on s'en est pris à des gamins, enfin, ils avaient notre âge, mais on ne le savait pas encore. On ne savait pas non plus qu'on était en train de voler nos futurs frère et soeur adoptif. Plus tard, mais pas si tard que ça, la famille Halgrove nous a contacté grâce à la rencontre avec Sydney et Alexandrie, puis la police, puis les services sociaux. Toute une paperasse, toutes des questions, les journées entières au poste de police. Ce fut plus tard qu'on comprit que la famille Halgrove était en train de faire une démarche pour nous adopter. C'était notre chance, la seule chance de s'en sortir, de vivre une nouvelle vie, surtout pour ma soeur. Je me suis tellement battu pour elle, il le fallait... Je rentre dans la chambre de ma soeur sans frapper, je m'assieds dans son lit à côté d'elle et je la regarde qui lit un magazine sur Harvard. « Tu stresses pas trop pour ton entretient ? T'as pas à avoir peur. T'es intelligente, t'as eu un bon professeur, ils vont t'adorer. Et puis, rien ne nous arrête, tu le sais, on a ça dans le sang. » Ushuaia se rapproche de moi et me serre dans ses bras. « Te quiero Quito, mi hermano. »
Nous se savons toujours pas qui nous a envoyé de l'argent, nous ne savons toujours pas pourquoi les Halgrove nous ont accueillis comme leurs propres enfants, nous sommes logis, blanchis, ayons reçu l'éducation scolaire qu'on a loupé pendant ces années, ils nous ont donné la chance d'entrer à Harvard pour se créer en avenir et surtout, croire qu'on peut encore être une famille, entourés de tous ses frères et soeurs dans cette harmonie paisible.
Nous se savons toujours pas qui nous a envoyé de l'argent, nous ne savons toujours pas pourquoi les Halgrove nous ont accueillis comme leurs propres enfants, nous sommes logis, blanchis, ayons reçu l'éducation scolaire qu'on a loupé pendant ces années, ils nous ont donné la chance d'entrer à Harvard pour se créer en avenir et surtout, croire qu'on peut encore être une famille, entourés de tous ses frères et soeurs dans cette harmonie paisible.
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MON FRÈRE D’AMOUR!! 
je suis tellement heureuse de te revoir avec quito!
re-bienvenue
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Bon retour avec ton Quito poulette
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Re Bienvenue zozo 
Good luck pour ta fiche and have fun
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rebienvenue à la maison fréro
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rebienvenue sur ilh petit chat
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Bienvenue et Bonne chance pour ta fiche
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(re)bienvenue avec le plus beau 
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Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : 
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual ·former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department
widower · heterosexual ·
RPS en cours :
— 00 RPs › 20/10 → 27/10
— 00 RPs › 27/10 → 03/11
— 01 RPs › 03/11 → 10/11
— 00 RPs › 27/10 → 03/11
— 01 RPs › 03/11 → 10/11
OCTOBRE : 19
NOVEMBRE : 01
NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
RPS : 136
Messages : 38508
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Kaze Faulkner
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modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : 
Répertoire rps : 
Profil meetsachussets : 
Répertoire rps : Profil meetsachussets : RE-BIENVENUUUUUUUUE 
(Kaze Faulkner)
“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”
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