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DAKOTA DARLINGTON
FT. ASHLEY TISDALE
carte d'identité
maison ou pas.. pour l'instant.
28 ans. On peut dire que les jouissances de la vie en confrérie ont relativement bien hanté mon quotidien depuis le début de mon cursus. Que pourrais-je bien attendre de plus pour mes 2 dernières années ? C'est très simple. Davantage de moments enivrants, davantage de rires et de liberté, davantage d'ivresse. La beauté de ce mélange social que représente l'université est à contempler, à savourer, à partager. Lorsque le moment est apparu de devoir disparaître du paysage new-yorkais et plus particulièrement de mon école, la Fashion Institute of Technology, pour voguer plus au nord jusque dans le prestige de la Nouvelle-Angleterre, la question de la confrérie s'est posée. Je n'étais pas totalement étrangère aux Houses d'Harvard, poumons sociaux de la vie de l'université. Il était évident pour moi, et ce depuis plusieurs années, que la Cabot était d'avance une seconde maison pour moi. The future is female and I embrace it. Seulement voilà, la reconfiguration de ces maisons qui coïncide avec le moment de mon entrée à Harvard ne me permettra pas de goûter à la vie en sororité. Shady. Le choix des confréries maintenant réduit à 4 et une Doyenne visiblement un peu trop portée sur le délire Harry Potter limite intensivement le choix. Des hippies, des dérangés, un délire à la Big Brother et les élitistes. Une seule me correspond, et ce sans prétention. Même si le test d'entrée doit probablement relever de la capacité du candidat à pouvoir épeler le nom de la confrérie correctement, je suis convaincue que la Pforzheimer House est faite pour moi. Mon ambition, ma réussite et ma soif de conquérir le monde sont insatiables. Mes projets sont d'ors et déjà ancrés dans mon esprit, du monde de la mode jusqu'à l'immobilier. Si j'ai refusé de devenir la simple héritière de mes parents, c'est pour pouvoir créer ma propre destinée, ma propre image, mon propre empire. I'm a boss ass b*tch.
admission à harvard
Le cursus de Dakota est une véritable aventure. De la folie new-yorkaise au charme de Paris en passant par l'extravagance londonienne, elle a toujours souhaité apporter sa touche personnelle aux études plutôt que de les réaliser machinalement. Après un bac +4 à la Fashion Institude of Technology (FIT) de New-York, Dakota a décidé de mettre ses études en suspend pendant quelques années. Pour se reposer ? Un peu de sérieux. Son but était de solidifier son dossier déjà très solide en découvrant un nouvel aspect du monde de la mode. Objectif : se frayer un chemin dans l'une des agences les plus réputées au monde pour en connaître les dessous : IMG Models. Objectif atteint. En assistant l'équipe de direction, elle a pu ajouter une nouvelle corde à son arc de future femme d'affaires en découvrant comment était géré une telle agence, et aussi se faire de nouveaux contacts. Avec des sièges à Londres et à Paris, elle a pu vivre 1 an et demi dans chacune de ses deux villes et vivre au rythme du charme à l'européenne, charme l'ayant beaucoup inspiré. Seulement voilà, après 3 ans à vivre de nouvelles émotions dans un nouvel environnement, retourner à New-York paraissait bien monotone. Il le fallait pourtant. Après avoir bien sûr été accepté en maîtrise à la FIT de NY, Dakota a passé 2 ans à vivre au rythme de l'université accompagnée de cet arrière-goût amer de ne pas avancer assez vite à son goût. C'est pourquoi très tôt lors de son parcours de maîtrise, elle s'est mise en tête de partir dans une école de l'Ivy League pour son doctorat. 3 ans de maîtrise pendant lesquelles elle a pu en parallèle préparer un dossier en béton armé pour avoir un maximum de chance d'être acceptée. Princeton était la première école sur laquelle elle avait jeté son dévolu. Mais le vent a très rapidement tourné en faveur d'Harvard. Après tout, elle se l'est toujours dit : elle ne veut que le meilleur. Il faut savoir que Dakota n'a jamais misé sur son statut social pour faciliter son admission que ce soit à Harvard ou à la FIT de NY. Ce qu'elle réussit, elle l'obtient à la sueur de son front. Pour Harvard, elle a pondu un dossier brillant après 3 ans de perfectionnement, des lettres de recommandation comme s'il en pleuvait et des résultats sensationnels. Pour ce qui était de l'entretien et de l'essai, elle les considérait comme des formalités. Elle excelle naturellement dans ce genre de chose. S'il y a bien une chose qui a été la source de pression principale, ce sont bien les SATs. Elle en avait entendu parlé, elle les redoutait. C'est avec finalement une note de 1499 qu'elle les obtient sans trop forcer. En dessous des 1500 ? You gotta be kidding. Elle était révoltée envers elle-même de ne pas avoir franchi la barre des 1500. Mais est finalement apparu le jour de la relativisation, après tout il fallait au moins 1450 pour passer donc le reste, on s'en cogne pas mal. C'est surtout son côté perfectionniste qui a pris un coup. Juin 2019, Dakota est officiellement une future étudiante d'Harvard. New-York, Paris, Londres, tout ça est derrière elle pour le moment. Boston, c'est l'avenir, et la ville s'apprête à vivre l'expérience Dakota Darlington.
le caractère
Pensez à la femme new-yorkaise, vous avez une vague idée de l'image que peut renvoyer Dakota. Dans le rush, style impeccable en toutes circonstances, sûre d'elle. C'est une image qui n'est pas totalement erronée, et qui est relativement vraie finalement. Mais malgré la montagne d'argent autour de laquelle son monde a toujours gravité, Dakota est une terrible bosseuse qui n'a jamais souhaité se reposer sur les acquis de son père. Ce qu'elle garde de son père, c'est tout le savoir qu'il lui a apporté sur le monde des affaires. Elle a toujours voulu en savoir plus, de comment utiliser la psychologie et la stratégie pour réussir à la manière de gérer la pression et son entreprise. Dakota est très intelligente et pleine de ressources. Ses plans ne sont pas simplement des rêves qu'elle souhaite réaliser, ses plans sont d'avance inscrit dans la réalité. Sa rage d'indépendance et son désir de réussite personnelle sont ses deux roues motrices professionnellement. Mais ne confondez pas sa détermination pour de l'hyperactivité. A-t-elle quelque chose à prouver à elle-même ou quelqu'un d'autre ? Non, elle a simplement toujours eu l'ambition et l'envie de créer sa propre chance. Sa passion, c'est vivre. Et même si sa carrière est le point central de sa vie, elle garde les pieds sur terre et n'oublie pas de profiter, de s'amuser, d'échanger. N'allez par contre jamais évoquer l'amour et sa vie sentimentale, choses totalement futiles à ses yeux. S'impliquer dans une relation, c'est perdre son temps. Comme le dit souvent Cher "Un homme, c'est comme un dessert. On l'aime mais personne n'en a besoin pour vivre". Toujours en contrôle, elle n'est que très rarement désemparée malgré le rythme de vie qu'elle s'impose. Si Dakota parait si sûre d'elle c'est avant tout parce que c'est le cas. Sans basculer vers de l'arrogance ou du narcissisme, elle sait simplement ce qu'elle vaut et connaît parfaitement ses capacités. Il n'y a d'ailleurs à ses yeux rien de plus vulgaire que le narcissisme, la suffisance ou le snobisme. Prendre les gens de haut, très peu pour elle. Elle est tout à fait consciente que la noblesse d'une personne réside dans son esprit plutôt que dans son compte en banque ou par son statut. Les seules personnes que Dakota ait pu prendre de haut, ce sont bien les riches qui se prenaient pour des demi-dieux ou des demi-déesses. Car oui restons réalistes, la majorité de son cercle social font partis de l'"élite" sociale. Simplement parce que son environnement s'y prêtait plutôt que par réel désir d'avoir exclusivement ce genre de relations. C'est aussi pour ça que la vie à l'Université lui plaît tant, ce mélange social qui lui donne la chance de découvrir de nouveaux mondes et qui lui permet de prendre une pause sur cet univers exclusivement élitiste. Mais attention, ce n'est pas pour autant qu'elle dénigre la richesse ou les riches en général étant donné qu'elle baigne elle-même dans l'argent et pour son plus grand plaisir. Elle ne pourrait pas se passer d'une telle situation.
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mango (ou surtout Rémi, en fait) et j'ai 23 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à une amie, ça remonte en 2013 maintenant. J'ai toujours porté ILH dans mon coeur malgré les changements alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise queen Ashley Tisdale comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Saaya (avatar actuel). Je fais environ idk, 450 (?) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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