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A Long, long time ago... I can still remember [Andréa I. Jones]

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A Long, long time ago... I can still remember


Je ne me souvenais même plus de la dernière fois où j’avais vu Andréa. Ca devait être il y a quoi … dix ans peut-être ? Pas loin en tout cas. J’avais cessé de me rendre à New York avec mes parents pour visiter sa famille quand j’avais quitté le lycée, et elle en avait fait autant à ce moment là. On avait alors perdu contact, tout simplement.
On s’entendait vraiment bien quand on était plus jeunes, je me souvenais qu’on était même plutôt proches et que c’était une des rares personnes à qui je me confiais –une vraie amie, quoi ; c’est pourquoi j’avais tout mis en œuvre pour la revoir dès que j’avais appris qu’elle avait intégré Harvard. J’avais su ça un peu par hasard, il y a vraiment peu de temps. Andréa n’était ici depuis qu’un mois seulement mais j’avais vraiment hâte de la revoir, et de voir ce qu’elle était devenue. Je me doutais qu’elle avait beaucoup changé, et beaucoup mûri aussi j’imagine. On n’était plus des adolescents, c’est vrai, mais ce qui m’interpellait le plus était qu’Andréa avait deux filles, deux jumelles de deux ans. J’avais été un peu choqué quand j’avais appris ça –je veux dire, Andréa devait avoir vingt ans quand elle les avait eu… ça me paraissait un peu jeune. Enfin, je n’avais pas du tout pitié d’elle, j’avais juste hâte de voir comment elle était aujourd’hui et qu’elle me raconte tout ça.
On s’était recontactés par téléphone, et même si j’avais eu le plaisir d’entendre sa voix par téléphone, je stressais quand même à l’idée de la revoir en vrai. J’avais peur de ne rien avoir à lui dire, ou qu’on ait tous les deux tellement changé qu’on n’ait aujourd’hui plus rien à se dire. Elle m’avait communiqué son adresse à Harvard Square, pas loin de l’université, et m’avait donné rendez-vous à 17h le lendemain, une fois qu’on aurait tous les deux finis nos cours. J’avais donc enfilé un jean, un t-shirt et des baskets, j’étais habillé assez décontracté en somme, je n’étais pas vraiment en mode rendez-vous galant : pour moi c’était toujours la petite Andy que j’avais connu quand j’étais au lycée. J’avais eu le temps de passer chez le fleuriste prendre un bouquet de fleurs ni trop grand ni trop petit, qui disait juste « je suis heureux de te revoir ».
17h10. Avec 10 traditionnelles minutes de retard, je sonnais chez elle. Je n’étais pas stressé du tout, n’étant pas nerveux de nature. « Andy ! Heureux de te revoir » lui dis-je alors qu’elle m’ouvrait la porte et qu’elle m’invitait à entrer. J’essuyais mes pieds sur son paillasson et avançais de quelques pas afin de pouvoir fermer la porte. Je regardais rapidement autour de moi « C’est sympa chez toi » puis je lui tendais le bouquet que je lui avais pris un peu plus tôt : « J’espère qu’elles te plaisent ! »

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Joshua & Andréa


Cambridge m'apportera bien plus de chose que je ne me l'imaginais, déjà cette ville m'apportait un peu de repos, un peu de changement et de bonheur! je crois que je ne pourrais jamais assez remercier ma soeur de nous avoir poussé ici loin de New york, je ne supportais juste plus cette ville, j'y avais certes des souvenirs, mais j'en avais des bien trop douloureux là-bas, et ce changement bien que difficile à prendre était nécessaire pour toute ma petite famille, car je n'aurais pas été d'une grande patience avec mes filles là bas alors qu'ici je leur porte tout mon amour dès que je le peux.

Ce matin le petit réveil était vraiment très agréable, Hope n'était plus malade et moi j'allais le revoir... Joshua, depuis tout ce temps qui nous sépare, je m'entendais si bien à l'époque avec lui, j'étais vraiment très heureuse de pouvoir à nouveau lui reparler le revoir, je ne sais même plus combien de temps nous sépare, je ne sais déjà plus comment on a repris contact a par le téléphone, comment l'idée nous est venue. Il n'y a qu'une chose dont je suis sûre, il m'a manqué, il a dû changer et j'allais le revoir aujourd'hui ce qui me rendait extrêmement heureuse. C'est vrai que nous n'étions pas très grands à l'époque où l'on a perdu le contact, je dirais même qu'on était des enfants, ou plutôt des ados, il était mignon à l'époque cela ne devait pas avoir changé, tout du moins je l'espérais pour lui. Je me demandais ce qu'il était devenue jusqu’à aujourd'hui, quel genre de garçon il est et qu'est-ce qu'il a fait avant d'arriver à Harvard... tellement de questions auxquelles j'aurais bientôt les réponses, enfin bientôt...

Je lui avais donné rendez-vous à 17h à l'appart, mais il n'était alors que 16 h, j'avais fini de travailler tout ce que je voulais pour l'université, j'avais donc une heure devant moi pour profiter pleinement de mes filles. J'allais donc voir mes deux blondinettes de deux ans dans le salon et me mis à jouer un peu avec elles. Rien que de passer du temps avec elle me faisait du bien, me faisait sourire, remplissait mon coeur d'amour... car l'amour de ma vie c'est elle, j'avais tellement du mal en ce qui concernait l'amour avec les hommes, peur de souffrir encore que je préférais donner tout mon amour à mes filles, c'était plus facile et bien moins douloureux.

Mais voilà 17h arrivait, je n'avais même pas vu passer, et j'avais eu un petit incident de parcours avec une de mes filles qui m’entraîna à changer de tenue, j'enfilais vite ce qui me tombait sous la main...une robe en l'occurrence, je la recouvris d'une veste marron et enfilais une autre paire de chaussures, pile au bon moment j'entendis la sonnette je me dirigeais alors rapidement vers la porte de l'appartement. Mon visage s'illumina d'un magnifique sourire tandis qu'il m'annonçait qu'il était heureux de me voir, je me jetais dans ses bras et lui répondais alors:
-ça me fait tellement plaisir de te voir josh!!
Je me desserrais de lui et l'invitais à entrer dans l'appartement, je le vis observer l'appartement, il me fit alors un compliment sur ce dernier et je ne tardais pas à l'en remercier:
-Merci beaucoup, on a bien avancé, il reste encore quelques peintures à faire, mais ça nous correspond de plus en plus!
Et là sans que je m'y attende il me tendis un magnifique bouquet de fleur, j'en étais ravis, je lui fis un sourire et répondis sans tarder à ses paroles:
-Merci beaucoup, elles me plaisent effectivement! je vais les mettre dans l'eau, fais comme chez toi!
J'allais à la cuisine et mettais les fleurs dans l'eau avant de revenir dans le salon pour les déposer sur la table bien en hauteur pour éviter que mes deux pitchounes faces des bêtises. En parlant de mes deux chéries je me dirigeais vers mes deux chéries que je pris dans les bras avant de porter mon attention sur Joshua et faire les présentations:
-Joshua voici mes filles: Scarlett et Hope, je ne sais pas si tu as été mis au courant de la nouvelle?Mais tu vois deux petites têtes blondes comme moi!
Je présentais toujours mes filles bien que ces dernières étaient très très difficilement reconnaissables l'une de l'autre raison pour laquelle la plupart des personnes que je connaissais les appelaient les jumelles. Moi je les avais mise au monde, vu grandir pendant deux ans, alors je savais facilement reconnaître mes filles!

(c)lili
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A Long, long time ago... I can still remember


Elle me sautait autour du coup quand j’arrivais. J’étais pour le moins surpris, et un peu gêné je l’avoue. J’ai l’habitude d’être plutôt réservé quand je ne suis pas intime avec des gens, même si je me lâche complètement une fois que la confiance est là. Mais ici, ça faisait tellement de temps qu’on ne s’était pas vus ! C’est vrai que j’étais moi aussi très heureux de la revoir, plus que ce que j’imaginais sûrement, mais j’avais peur d’être trop expressif, qu’elle ait changé, qu’on n’ai plus rien à se dire et qu’on reste là à se regarder dans le blanc des yeux sans savoir pourquoi on s’était dit qu’on se reverrait.
Elle m’invita ensuite à « faire comme chez moi ». C’était très gentil, mais encore une fois j’étais terriblement gêné. Je ne savais pas où me mettre, comment elle le prendrait si je m’affalais sur le canapé, si je me servais dans la corbeille de fruits, comme j’ai l’habitude de faire avec des amis. Enfin, je suis quand même civilisé et j’allais pas être aussi à l’aise alors que c’était la première fois qu’on se revoyait depuis des années. Je me suis finalement décidé à enlever mon blouson en cuir et à le poser sur le dos d’une chaise, avant de m’y asseoir. Elle revint rapidement de la cuisine avec ses deux filles. Scarlett et Hope, me dit-elle en me les présentant. « Oui, j’ai appris que tu avais eu deux filles. Elles ont deux ans, c’est ça ? » lui dis-je quand elle me demanda si j’avais été mis au courant de la nouvelle. Je ne savais rien à propos du père, si elle était toujours avec lui, s’il les avait quittés… je ne savais rien. Evidemment j’étais assez subtil pour ne pas ramener le sujet sur le tapis ; je ne voulais pas faire de gaffe qui pourrait instaurer une mauvaise ambiance ou une gêne entre nous. J’allais timidement vers chacune des filles, je leur pinçais les joues et jouait rapidement avec elles afin d’essayer de les faire sourire. A vrai dire, elles étaient plus timides qu’autre chose. « Ah oui, j’ai l’impression de te revoir quand tu avais leur âge, enfin pour les souvenirs que j’en ai ! Je t’avoue par contre que je serais incapable de les différencier, je crois » lui avouais-je en souriant.
J’adorais les enfants et j’aurais aimé rester avec elles quelques temps, jouer un peu, les faire sauter dans mes bras, mais j’étais venu ici pour Andréa surtout, et j’étais impatient de savoir tout ce qu’il s’était passé dans sa vie depuis la dernière fois que l’on s’était vus. On s’était quittés il y a longtemps, et pourtant je me retrouvais devant elle comme avant, c'est-à-dire comme un gosse. J’étais limite un boute-en-train, j’avais envie de parler, de rigoler, de tout savoir d’elle. « Raconte moi tout Andy, je veux tout savoir ! Ca fait presque dix ans qu’on s’est pas vus je pense ! Tu fais des études de quoi ? », lui dis-je finalement. J’étais soudain hyper à l’aise avec elle, aucune gêne, aucune timidité ne m’imposait de barrières. C’était comme si j’étais face à quelqu’un qui m’avait connu tellement jeune que je n’avais plus rien à prouver, que je pouvais être moi-même, à vent pour cent. J’étais même carrément obligé d’être moi-même, je ne pouvais pas jouer là le rôle du séducteur ou de la tête brulée, puisqu’elle me connaissait comme j’étais vraiment. Ca me donnait vraiment une sensation étrange, je ne pouvais pas jouer un autre rôle que le mien et j’avoue que je me retrouvais un peu perdu, comme dénué de carapace ou de protection. J’étais simple, ca me faisait peur mais ça me rendait pourtant heureux. « Je veux tout savoir, mais alors TOUT, et n’hésite pas à y aller dans le détail, j’ai tout mon temps ! »

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Joshua & Andréa


J'avais peut-être eu une réaction un peu excessive en le voyant, mais je n'avais que de bon souvenir de lui, que de bons moments partagés ensemble à l'époque, il était comme un de mes bons souvenirs de New York, un des rares souvenirs que je ne voulais pas quitter, c'était une des personnes de mon beau New york et non du New york sombre que j'ai quitté. Et c'est certainement pour ça que je suis aussi heureuse de le revoir aujourd'hui.
Lorsque j'étais revenue dans le salon je lui avais présenté mes filles, mes adorables petits coeurs, comme si en fait on ne s'était jamais séparé, comme si la distance n'avait jamais été là, comme s'il avait été là lors de leur naissance, mais ce n'était pas le cas, je me rattrapais alors et lui demandais s'il avait eu vent du fait que j'étais tombé enceinte et que j'avais mis aux mondes deux adorable petite fille... enfin adorable, elle reste des petites filles, elle me ressemble et personne n'est toujours un ange, on fait des bêtises comme tout le monde!
On en avait fait des bêtises à l'époque avec josh, à cette époque ou ma mère était encore en vie, oui c'était aussi un souvenir qu'il me rappelait, c'était vraiment un temps magnifique et qui me manquera toujours... Josh avait été là lorsque ma mère nous avait quitté.

Il me demanda finalement si mes filles avaient deux ans, je lui fis un sourire avant de lui répondre;
-Oui elles ont effectivement deux ans! on t'a juste dit que j'avais des filles où tu en sais plus?
Il venait alors vers mes filles et leur pinça légèrement les joues pour jouer avec elle, je trouvais ça très attentionné de ça par et j'appréciais cela. Je ne savais pas du tout comment il était vis-à-vis des enfants et la réaction qu'il venait d'avoir là c'était juste à la hauteur de mes attentes, il aurait pu grimacer en les voyant, où ne leur porter aucune attention, mais non! il m'annonça même qu'elle lui faisait penser à moi quand j'étais petite, mais que les souvenirs qu'il en restait étaient faible depuis le temps, il avoua par le même temps qu'il aurait du mal à les reconnaître et je lui rendis son sourire suite à ma réponse:
-Oui c'est vrai que le temps ou j'étais petite remonte, et tu n'es pas le premier qui me dis ça, elle se ressemble tellement, je suis certaine que tu ne seras pas le dernier non plus d'ailleurs!!

Je déposais délicatement les filles sur le sol à côté du canapé là où était disposé leur joué, je n'étais pas très riche, ma soeur bossait pour nous ici et mon père restait à New York, mais n'avait pas le meilleur des travails, il gardait donc de l'argent pour payer son petit appart et de quoi manger ainsi que quelques cadeaux de temps en temps. Surtout que la vie à New york est bien plus chère qu'ici, c'était donc bien nécessaire. Mais pour ma part dès que j'avais un peu d'argent j'essayais de gâter mes filles, de toute façon vue ce que l'argent m'a apporté, je préfère ne pas en avoir!
Je venais m’asseoir à côté de Josh, le sourire aux lèvres et je l'écoutais me demander donc des nouvelles, mes études l'intéressaient premièrement apparemment, je ne tardais donc pas à lui répondre:
-Eh oui presque dix ans c'est énorme, on a beaucoup de temps à rattraper Josh! pour mes études je ne vais pas trop te surprendre il y a une Andy que tu as bien connu qui n'a pas changé! J'ai pris option chant et danse! j'ai toujours aimé chanter, je pense que tu t'en souviens! et toi alors?

C'est vrai que les années nous séparent, mais j'ai l'impression que rien n'a changée entre nous, c'est comme si le temps s'était arrêté entre nous pendant toutes ces années et là qu'on en reprenait au même endroit, la même confiance, pas de mensonge, pas de carapace et pourtant beaucoup de monde s'y confronte à ma carapace, mais il échappait à toutes les règles, c'est Josh quoi, l'expression française n'est-elle pas: "chasser le naturel il revient au galop?" ou un truc dans le genre!
Il m'annonça qu'il voulait tout savoir de moi, qu'il avait tout son temps... dix ans à résumer, a cette idée je me mis à rire légèrement et lui répondis:
-J'espère que tu as prévu de passer la semaine ici alors, et que tu as prévu de ne pas dormir, ça risque d'être long, mais avant de se lancer dans les grands discours, je peux t'offrir quelques choses? tu as de la chance Becca à faire le plein du frigo hier... une petite bière peut-être? de l'eau? un soda? jus de fruit?
Je pouvais appeler ma soeur Becca, Josh connaissait Rebecca, bien qu'elle était également plus jeune à l'époque. J'attendais alors sa réponse, je me levais du canapé et me dirigeais vers la cuisine pour aller chercher nos boissons, avant de revenir à ses côtés.

(c)lili
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