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ADDIE O'HARA
FT. maia mitchell
carte d'identité
maison ou pas.. pour l'instant.
L'interrogation a longtemps flirtée avec les hésitations. sa figure maternelle aurait été fière de la voir rejoindre certaines maisonnées comme pour suivre le chemin qu'avait suivit son propre père par le passé. nombreuses auraient été les confréries à lui convenir, surtout avec les myriades de facettes qui façonnent sa personnalité. pour autant, la brune opte pour une route où la liberté n'est pas une étiquette collé sur son front mais qu'elle peut dompter et apprivoiser à son rythme. ainsi le statut de simple étudiante lui correspond parfaitement. l'essentiel est juste l'évocation d'un statut et non d'une appartenance à tel ou tel groupe.
admission à harvard
les mots ont coulés tous seuls, de l'encre au papier à l'image d'un peintre et ses couleurs sur toile blanche. son essay était l'esquisse d'un cheminement qui prenait enfin forme dans son esprit. une clarté qui s'aiguillonne vers le nord, son compas ne tournant plus en tous sens. ses parents n'avaient aucun doute face à l'avenir, elle qui a tellement de passions, de centre d'intérêts. l'excellence de ses résultats scolaire, de sa réussite aux examens du lycée, n'ont fait qu'appuyer la sincérité poignante de son essay. une porte ouverte à un entretien, une petite espérance qui est - peut être - à portée de main. Harvard, c'est le nouveau chapitre d'une existence qui s'écrit mais surtout une ambition qu'elle est prête à mettre en avant afin de poursuivre le rêve de celui qui l'a quitté trop tôt. reprendre le flambeau pour passer le message de ce qui forge la puissance de la linguistique, cette aisance qui repousse les frontières. hop, le grand bain, l'université accueille une australienne.
les anecdotes
( un ) – un paysage qui éveille les songes, un paysage où les rayons du soleil sont en accord avec la mélodie langoureuse des vagues. L'Océanie, un continent à l'autre bout du monde. L'Australie, le pays dont elle est native et qui l'a vu grandir. Une sphère où les siens résident depuis quelques années déjà. Où qu'elle soit, la brunette demeure extrêmement attachée à ses racines et l'accent australien est un petit atout craquant de douceur qui témoigne de sa nationalité. Un étendard dont la gamine est plutôt fière. ( deux ) – a l'âge de quatre années, on diagnostique chez une hyperactivité que soupçonnait déjà sa figure maternelle. Déjà en maternelle, elle dépeint un comportement d'une vivacité rare à son âge et son attention envers ses passions sont multiples. Un potentiel intellectuel fort avancé pour son jeune âge, addie se doit alors de composer avec un traitement mais qu'elle apprivoise à sa manière car de sa différence elle en a fait une force. ( trois ) – son prénom de naissance est le résultat d'une anecdote particulière, un clin d'œil d'une part et d'un pari perdu d'autre part. Addie n'est autre que le diminutif d'adelaide, une appellation qu'affectionnait son père mais aussi un hommage à la ville côtière australienne qui a abriter les premiers souvenirs d'enfance de son paternel. Rare sont ceux à user de son prénom dans son intégralité – mise à part pour la réprimander. ( quatre ) – cadette d'une fratrie de trois, elle est surtout la seule présence féminine au milieux de deux garçons. Un univers qui renforce grandement son coté garçon manqué – qui même encore aujourd'hui à bien du mal à la quitter. Levy, de sept ans son ainé, est sans doute celui avec qui elle s'entend le mieux non pas à cause de leur écart mais surtout à l'opposé de leurs caractères qui se rejoignent sur le point de la maturité de l'esprit. Clark, le petit dernier âgé de tout juste âgé de treize, est davantage celui que l'on a envie de protéger. Un petit nounours au cœur énorme comme le nomme les siens. La fratrie O'Hara se soutient quoi qu'il arrive, cela est une certitude. ( cinq ) – le style vestimentaire chez la demoiselle c'est avant tout une touche de personnalité mais surtout de simplicité. Sa devise est d'être à bien dans son corps, à l'aise dans ses baskets. À partir de cela on ne s'étonne aucunement de la voir suivre ses envies du moment sans pour autant être excentrique. Sa marque de fabrique ? Ses éternels bandanas de toutes les couleurs possibles qu'elle porte toujours sur elle et ce peu importe la manière. ( six ) – sa mère est native des terres où la langue de l'amour est une poésie au chœur de l'ensemble des arts. Des racines françaises, mais surtout une linguistique qui a toujours attirée la gamine. Sa mère use de sa linguistique natale pour chantonner, pour jurer, pour aimer également. Ainsi, à l'image de celle qui l'a mise au monde, addie parle couramment le français et partir en voyage durant les vacances scolaires chez les familles est toujours une source de petits bonheurs. ( sept ) – si la belle à la tendance à chanter comme une casserole, en revanche elle se révèle être une excellente guitariste qui a appris en autodidacte en mémorisant des gestes et des techniques sur les bouquins. Dès lors, elle se contente de jouer de la guitare en entendant la voix de son petit frère s'élever, lui qui à une voix si particulière. ( huit ) – nombreuses sont les activités à venir à bout de son énergie, notamment les sports de combats et de défenses tels que la boxe – qu'elle commence à l'âge de huit ans – le karaté, le judo, le tai chi, le kick boxing, le krav maga … tant d'arts martiaux d'attaques que de défenses afin de canaliser sa dynamique qui semble parfois une source inépuisable. Addie aime toucher à tout et réussi avec brio tout ce qu'elle entreprend, ne laissant ainsi jamais décourager. Néanmoins, il y a quelques années la discipline rigoureuse et libre de la danse lui permet d'accroitre une patience qu'elle ne se connaissait pas jusqu'alors. Un talent que cela soit dans l'art contemporain, moderne, jazz ou classique. ( neuf ) – l'adolescence, la môme devra l'apprivoiser avec les deux pieds ancrés dans la terre ferme. Au sens propre du terme car à l'aube de ses douze ans, elle assiste à l'enterrement de son père. Une figure parentale dont elle était très proche et complice à la fois. Une année charnière où l'absence de son paternel se fait sentir par sa bulle solitaire qu'elle se construit, développant davantage son indépendance. Le deuil, elle ne l'a jamais fait et n'est pas encore prête surtout qu'elle refuse de parler de lui. ( dix ) – tout au long de sa scolarité (et encore actuellement), Addie a toujours été une érudite qui ne laisse aucunement ses études être le chemin du hasard. Elle excelle dans l'ensemble de ses matières, un équilibre où les résultats lui permettent aisément de se démarquer de sa classe. Néanmoins, les matières littéraires tels que la philosophie et les langues étrangères dépeignent une aisance à l'équité d'une respiration naturelle. Si pendant quelques temps ses hésitations quand à sa carrière professionnelle évoluaient dans la brume, aux jours d'aujourd'hui, elle semble avoir posé ses valides sur une carrière d'interprète en linguistique. Par ailleurs, elle parle couramment le français, le mandarin et l'espagnol. ( onze ) – décembre 2018, le jour de noël, la brune débarque sur le continent nord américain afin de faire une surprise sur le long terme à son meilleur ami. Zed lui manque et c'est aussi l'occasion d'écrire un nouveau chapitre. Lévy lui propose de venir cohabiter avec lui d'autant plus qu'il est professeur à l'université d'Harvard où il étudiait autrefois. ( douze ) – sa chevelure digne d'un marron noisette a toujours été longues, ondulées. Une crinière que sa mère se ravissait à brosser lorsqu'elle était gamine. Sur un coup de tête mais surtout parce que cela résulte d'un pari, Addie détient désormais un carré court. De quoi surprendre certains membres de son entourage qui ne comprennent pas son choix. Elle, elle adore et c'est l'essentiel. ( treize ) – autour de son cou, la jeune australienne porte une chaine en argent orné d'un pendentif prenant la forme de la croix. Un signe religieux mais surtout un héritage de son paternel. Ce dernier n'était pas spécialement un adepte de la religion – bien au contraire – mais elle lui venait avant tout de son grand-père et ainsi de suite. Un présent qui ne la quitte jamais depuis dix années. ( quatorze ) – elle ne tient aucunement l'alcool, elle s'abstient à moins d'être en compagnie de son meilleur ami ou de son frère car ainsi elle a la certitude de rentrer indemne. Inutile d'insister, elle n'en consommera pas dans d'autres conditions. ( quinze ) – addie a toujours le chic de manger à n'importe qu'elle heure de la journée, elle grignote : des carottes, des pommes, des gobelets de caféine à la cannelle, des cookies, des branches de céleri … tout y passe. C'est une gourmande qui le revendique car elle ne comprend pas ceux qui se privent de manger. Ce verbe c'est la vie comme elle le dit souvent.
le caractère
Addie c'est l'authenticité d'une équation qui trouve son équilibre. Loin d'être insouciante, elle a ce petit grain de folie qui oscille entre le volontoriat et l'optimisme. Une dynamique de générosité qui se veut contagieuse, assez pour communiquer avec le restant du monde. Le bien être de ce dernier est important mais d'autant plus lorsqu'il s'agit des personnes qu'elle affectionne tout particulièrement. Addie est un éventail de personnalité, d'une détermination et une curiosité qui se prononce davantage à cause de son hyperactivité qu'elle est parvenue à apprivoiser au fil des années. La patience est un attrait qu'elle dépeint plus facilement lorsqu'elle est passionnée ou intéressée. Respectueuse d'autrui, la diplomatie et la gentilesse sont de connivence lorsqu'il s'agit de faire véhiculer un message. Dynamique, endurante ou enthousiaste, la O'Hara est une véritable pile alcaline qui a besoin de son temps pour se défouler que cela soit en collectivité ou encore encore inviduellement. Mature et prudente, sa méfiance la pousse à évincer le sentiment de cœur afin de ne pas trop souffrir, laissant ainsi à l'amitié le statut numéro sa philosophie. Naturelle et garçon manqué, ce qui la qualifie au mieux lorsqu'on la voit en chair et en os. Rancunière et obstinée, deux synonymes en symbiose lorsque la situation l'exige. Addie, c'est aussi le sourire aux lèvres et la passion qui étend ses ailes lorsqu'elle entreprend un objectif. Elle ne s'avoue jamais vaincue car chaque problème à sa solution. Dotée d'un quotient intellectuel qui dépasse la moyenne, son statut de geek est loin d'être un reproche mais une remarque de fierté dont elle se pare : la preuve étant ses excellents résultats. Réservée, l'un de ses traits de caractère qui parfois la met en déroute car la confiance et son jardin secret n'appartiennent qu'à elle.
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle blue bird. et j'ai un certain âge. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. le forum à l'air super sympathique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise maia mitchell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par silverose - tumblr. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario de @zed burgess. Je souhaite ▲ je veux être parrainé.
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
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