Malcolm O. Shields ► Zach Roerig

C'est le 7 décembre 1989 à New York, que les membres de la famille Shields m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Malcolm Oliver. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme (majeur) et sport (mineur) depuis cinq ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincys ou les Dunsters.

Lorsqu'elle n'avait que dix-sept ans, ma mère s'est fait violer. Neuf mois plus tard elle m'a mis au monde. Malgré sa plainte la police n'a jamais retrouvé l'homme qui lui avait fait ça. ▲ Je porte donc le nom de ma mère. ▲ Malgré cela elle n'a jamais voulu m'abandonner, elle m'aime comme aucune autre mère aime son fils. Nous avons une relation très fusionnelle et c'est pour elle que je souhaite devenir un homme bien. ▲ Elle m'a donc élevée seule avec mon oncle, ce dernier ayant divorcé, nous habitions avec lui et sa fille. Nous avons presque le même âge, elle est comme une petite sœur pour moi. ▲ J'ai vécu jusqu'à mes 7 ans à New York, ma mère et moi avons déménagé avec mon oncle et ma cousine à Barcelone en Espagne. Ensuite nous sommes partis lorsque j'avais 14 ans à Temuco au Chili tout ça pour le boulot de mon oncle et de ma mère qui travaillent tous les deux pour médecins sans frontières. ▲ Je suis revenu à New York 3 ans plus tard, lors de mes 17 ans pour finir mes études et pour par la suite intégrer Harvard. ▲ Je suis végétarien, je n'aime pas l'idée de tuer des animaux pour nous nourrir, je ne trouve pas ça bien. ▲ Je suis un bon élève, j'ai toujours voulu réussir dans mes études, que ce soit en Amérique, au Chili ou en Espagne. D'ailleurs je parle couramment l'espagnol, langue nationale du Chili et de l'Espagne. ▲ À côté de ça, je reste un homme, j'aime faire la fête comme beaucoup de monde, mais je ne bois pas comme un trou et surtout je ne touche à aucune drogue. Cependant j'avoue abuser un peu trop du tabac. Bref j'aime beaucoup faire la fête avec mes amis. ▲ Sans me vanter je joue plutôt bien au Basket, c'est d'ailleurs pour cette raison que je fais des études de sport en étude secondaire. En étude principale je fais des études de journalisme dans le but de devenir journaliste et faire des reportages un peu partout dans le monde, j'adore voyager. ▲ Je n'aime pas me prendre la tête avec les gens pour un oui ou pour un non. Par contre je suis une bonne oreille et une épaule sur qui compter.

▲ Mon père est un violeur qui a violé ma mère alors qu'elle n'avait que 17 ans, c'est suffisant comme vie de merde ?

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Bien sûr, je n'ai rien spécialement contre les Mathers, donc faire la fête chez eux avec mes potes pour décompresser un peu des cours n'est pas de refus.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Bien sûr, j'irai les yeux fermés. Peu importe dans quel pays ou pour quelle raison humanitaire, je suis toujours partant pour donner un peu de bonheur aux personnes dans le besoin. Et en plus de ça j'aime beaucoup voyager.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Malheureusement à part le basket je n'ai pas de talent particulier, donc non je ne pense pas y participer.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je ne suis pas du genre à coucher avec tout ce qui bouge, mais je suis un homme, j'aime la présence de femmes à côté de moi. Donc je pense parler un peu avec elle et si ça accroche pourquoi pas continuer de se voir et advienne que pourra.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Pourquoi pas, ça peut être marrant, je suis toujours partant pour mettre les cours légèrement de côté pour l'amusement. Après j'espère ne pas tomber sur une fille imbue de sa personne.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

C'est un tocard, je le laisse dans son délire, j'ai d'autres choses plus importantes à faire que de m'occuper d'un tocard imbu de sa personne.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Au risque que mes potes se foutent de moi, je pourrai y aller. Peut-être pas tous les soirs, mais au moins une ou deux fois pour m'instruire un peu et peut-être aussi par curiosité.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle barbamama ou Sarah et j'ai dix-huit. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. C'est un magnifique forum avec des membres sympas alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Zach Roerig comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ un certain nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Un peu en retard mais je vous souhaite une bonne année à tous.

Je ne suis pas un enfant désiré, je viens d'une rencontre entre une jeune fille vulnérable et un homme sans cœur. Je suis en effet né d'un viol, ma mère aurait pu avorter ou bien m'abandonner, mais non elle a préféré m'élever avec mon oncle et sa fille. Cet homme a détruit ma mère, cet homme a fait d'elle une femme détruite. La police n'a jamais retrouvé cet homme, mais elle a tout de même tout fait pour moi. Elle m'a donné ce qu'aucune mère ne pourrait jamais donner à ses enfants. J'ai grandi avec une mère qui m'aimait plus que tout au monde, j'ai grandi avec mon oncle à qui je dois beaucoup et j'ai grandi avec ma cousine qui est pour moi comme une sœur.

J'ai passé les sept premières années de ma vie à New York. Ma mère essayait de se reconstruire, mon oncle lui travaillait comme médecin dans un petit cabinet. Quant à moi, je faisais comme tout enfant de mon âge, j'allais à l'école avec ma cousine. Mais je n'étais pas comme tous les autres, alors que certains avaient leurs deux parents avec eux, que d'autres avaient des parents séparés, moi je n'avais que ma mère. Lorsqu'on devait écrire la profession de nos parents sur de petites fiches, je ne savais jamais quoi écrire dans la case du père. Et lorsque les professeurs me demandaient ce que faisait mon père, je leur répondais qu'il était décédé avant ma naissance, chose totalement fausse. Je n'ai jamais réussi à en parler, la seule personne avec qui j'arrivais à en parler, c'était ma cousine. Même à notre plus jeune âge, j'ai toujours réussi à lui parler, j'ai toujours réussi à m'ouvrir devant elle. Elle est comme une sœur jumelle pour moi, je l'aime réellement. J'ai donc passé mes sept premières années à New York, j'ai grandi quelques années la-bas tout en cachant la réalité sur mon père, réalité que ma mère ne m'a jamais cachée. Je connaissais à me faire des amies, chose importante à sept ans, mais c'est alors que ma mère et mon oncle ont pris une décision importante. Mon oncle étant médecin et ma mère ayant fait quelques années d'études de médecine, ils ont tous deux décidés de partir à Barcelone en Espagne pour travailler comme médecins sans frontières.

C'est alors à sept ans que je pars en Espagne et cela pour un peu moins de huit ans. Je ne connaissais pas un seul mot en espagnol, d'ailleurs durant mes trois premières années j'ai pris des cours à distance avec ma cousine. Petit à petit l'espagnol était une langue acquise pour nous. C'est à dix ans que j'ai réellement commencé l'école en Espagne. Je n'avais pas d'amis, je ne connaissais pas grand monde hormis ma cousine. Mais j'ai tout de suite réussi à me faire des amis, j'ai tout de suite rapidement accroché avec ces jeunes espagnols. Ma cousine et moi étions les deux petits Américains que les autres aimaient. Nous n'étions pas pour autant les stars des cours de récrée, mais nous avions des amis. Je m'étais accroché à ce pays, j'avais même vécu ma première relation amoureuse, sans pour autant que cela devienne sérieux, sans pour que cela aille au-delà des bisous. J'étais heureux à Barcelone, je ne voulais pas partir, mais après sept ans, ma mère et mon oncle ont dû partir, partir assez loin, partir au Chili. Je ne voulais pas, je ne voulais pas abandonner les seuls amis que je n'ai jamais eus, malheureusement j'ai dû partir, partir pour un autre pays.

L'adolescence. Probablement l'un des pires moments de ma vie. Je ne me reconnaissais pas. Contrairement à l'Espagne, je me suis rapidement intégré ici, je me suis rapidement fait des amis puisque la langue nationale n'est autre que l'espagnole. J'ai oublié de le mentionner, mais j'ai toujours été un bon élève, souvent dans les premiers de la classe. Le Chili n'a pas dérogé à la règle, mais les études n'étaient pas ma priorité, ma priorité était l'amusement. Je me suis rapidement perdu dans l'alcool, même si je n'ai jamais pris de drogue par rapport à mes amis de l'époque. Il faut dire que ma cousine était souvent derrière moi pour me remettre les esprits à leur place, mais j'ai enchaîné les conneries. Et l'une d'entre elles a été fatale pour l'une de mes amis, celle avec qui j'ai perdu ma virginité. Nous n'avions donc que quinze ans, une petite fête entre amis, alcool et drogue à gogo. Je ne touchais pas à la drogue, mais elle si. Elle en a consommé, beaucoup trop. Nous avons fini la nuit ensemble, nous avons dormi ensemble et le lendemain matin, elle était morte. Décédée dans la nuit suite à une overdose.

La pire époque de ma vie, après cet événement c'est une nouvelle fois ma cousine qui était présente pour moi. Elle m'a ouvert les yeux et j'ai arrêté les conneries. Je ne buvais plus autant, seulement de temps en temps, un petit verre avec mes potes, mes vrais et non ceux qui m'ont entraînaient du mauvais côté. Je suis redevenu le Malcolm que j'ai toujours été. Le premier de la classe, celui sur qui les autres peuvent compter. Je n'oublierai jamais cette fille, mon premier amour, mais aussi l'une des plus grosses erreurs de ma vie. Me voilà arrivé à mes dix-sept ans. Malgré tout l'amour que j'avais pour ma mère, je voulais me construire tout seul. Je voulais devenir quelqu'un pour elle, quelqu'un meilleur que cet enfoiré qui l'a détruite lors de sa jeunesse. Je suis donc reparti en Amérique pour la fin de mes études, mais aussi pour intégrer Harvard. Seul ? Non celle qui m'a toujours suivi était avec moi : ma cousine. Aujourd'hui je me construis petit à petit à Harvard. De vrais amis, de bons moments, de moins bons, le basket que j'aime tant, les cours, mais aussi mes rêves futurs, voyager dans le monde et devenir l'un des plus grands journaliste, l'une de ces personnes qui font des reportages partout dans le monde. Je veux être moi, je veux être le fils que ma mère veut que je sois, pour elle, pour celle qui a tout fait pour moi.