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MAX HARTLEY ► Ryan Taylor

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max ismaël hartley
vingt trois ans ▲ américain ▲ célibataire





Mon profil
C'est le six avril 1989 à new york, que les membres de la famille hartley m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé max ismaël. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis pansexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis trois ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les dunster ou les winthrop.

10 choses à propos de moi
j'ai fait des choses par le passé dont je ne suis pas particulièrement fier, mais j'ai appris de mes erreurs. j'étais limite quelqu'un d'autre à vrai dire. ▲ lorsque je me suis repris en main, j'ai radicalement changé de vie. je suis des cours de yoga, je suis devenu végétarien et je me suis finalement converti au bouddhisme. ▲ fille ou garçon, je ne me pose pas la question. ça ne me traverse même pas l'esprit. j'suis pas matérialiste, je ne m'arrête pas à ce détail. j'aime une personne pour ses qualités, ses défauts. ▲ fils unique, j'ai tendance à surprotéger mes quelques amis proches. j'songe à consulter pour contrôler ce détail. ▲ cette histoire d'abstinence m'a limite fait prendre un coup de vieux, mais ce n'est qu'une façade. ▲ je maîtrise quatre langues dont l'anglais. il parait que c'est bien vu quand on vient d'une famille comme la mienne. ▲ j'tombe pas amoureux tous les quatre matins et les trucs du genre sex friend, ce n'est pas ma tasse de thé. de toute façon, j'ai autre chose en tête pour le moment, qu'on soit clair. ▲ je suis mal à l'aise quand il s'agit d'être le centre d'attention. bref, j'suis pas du genre à me mettre en valeur. ▲ j'ai quelques rituels, surtout le matin, ça frôlerait presque la névrose : jogging, latte macchiato avec un sucre juste avant de me rendre en cours, telle playlist au réveil, et j'en passe. ▲ sinon, je déteste parler de moi.

Vie de merde
▲ en première année, j'ai eu le malheur d'avoir un colocataire qui aimait bien trop la gente féminine. ils sont allés copuler, tout en discrétion, surtout pour monsieur. vous voyez le genre ? et puis voilà que j'entends : « bon j'me fais chier, tu me files le journal d'aujourd'hui. » non, elle est sérieuse la fille ? en fait, je ne sais pas s'il s'agit d'une vdm pour moi ou pour lui, mais j'étais franchement mal à l'aise à l'idée d'être dans la même pièce qu'eux.



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    alcool ? drogue ? lieu de débauche ? je n'hésite pas une seconde : je ne m'y rends pas. ancien alcoolique notoire, ça vous parle ? peut être pas... ce n'est pas le genre d'anecdotes que l'on crie sur les toits. je ne suis pas masochiste et bien que je sois fier de ma réussite de ce côté là, je ne tiens pas à faire face à mes vieux démons dans l'immédiat, jamais d'ailleurs. bref, j'passe mon chemin. limite j'vais me rendre dans un coin plus calme ou geeker sur une playstation.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    pourquoi pas. tout dépend des raisons, du pays et du contexte géo-politique de ce dernier. d'une part, je ne tiens pas à être en contradiction avec mes convictions. d'autre part, je tiens un tant soit peu à ma vie pour ne pas me rendre dans une zone trop risquée.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    un talent show ? une audition ? que voulez-vous que je fasse ? je n'ose même pas chanter sous la douche. dénué de talent particulier, je suis convaincu que je ne sais pas faire grand chose de mes dix doigts. je joue un peu de piano, certes, mais pas de quoi me proclamer virtuose des temps moderne.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Comment tu la trouves ?
    et bien si elle est parfaite, elle est parfaite hein. que voulez-vous que je dise ? non, ce n'est pas une raison pour que je l'aborde si là est le fond de votre pensée. je crois que je serai aveugle, cela reviendrait au même. quoique non, peut-être pas. les filles trop 'je suis trop parfaite et je suis le centre du monde' me tiennent à l'écart sans même que je leur adresse la parole. c'est bien le seul préjugé que l'on peut me reprocher.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Aimerais-tu un jour y participer ?
    histoire de rire, ouais. ça me changerait les idées. j'suis pas laid, j'en suis conscient bien que je joue la carte de la discrétion les trois quarts du temps. bon, après faut pas que la demoiselle m'en demande trop. la j'veux bien être gentil, mais pas trop soumis non plus.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    ouais, c'est bien. c'est comme ça que tu comptes réussir ta vie ? nos familles ont des situations financières similaires, c'est un fait, mais ce n'est pas pour autant que nous sommes dans le même panier. j'ai aussi des fringues et des lunettes de soleil de marque, pourtant j'suis moins 'm'as tu vu'. et puis je n'aime pas les italiennes.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    pourquoi pas. une nouvelle fois. tout dépend des livres présentés. entre nous, qui aime tout dans la littérature anglaise à l'époque Victorienne ? on peut être curieux, il y a des limites. de toute façon quand je m'ennuie, je ne me gêne pas pour vous le faire comprendre.



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle vous verrez tôt ou tard et je suis majeure et vaccinée. Je suis française et j'ai connu le forum il y a un moment déjà. Certaines personnes me manquaient, coup de foudre pour le scenario alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Ryan Taylor comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par certainement, moi-même. Je fais environ 400 et 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ appelez moi l'escargot.

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Mon parcours
Tu n’as pas tant de souvenirs que cela de ton enfance. Disons que jusqu’à tes dix ou onze ans, il n’y a surement rien eu de remarquable. En dehors du fait que pour chaque anniversaire, chaque Noël, tu priais dans ton coin pour que l’on te donne un petit frère ou une petite sœur. Bref, pour que l’on ne te laisse pas seul avec ce père qui ne faisait que te combler avec des cadeaux matériels ou de l’argent et ta mère qui vivait dans les extrêmes, avec ses hauts et ses bas. Beaucoup de bas à vrai dire. Du coup, tu as vite fait d’oublier le reste. Bref, tu n’as jamais eu de retour à ce sujet. Passé l’âge où tu commenças à être quelqu’un peu indépendant, tu t’es senti obligé d’être présent pour ta mère. Dans cette maison, il n’y avait qu’elle pour te donner un peu de réconfort. Et encore, ces jours là se comptaient sur les doigts de la main dès lors qu’elle ne prenait pas ses cachetons. Si bien qu’au bout d’un moment, tu as commencé à vérifier chacune de ses prises de lithium. Vous avez toujours été proches, elle t’a toujours soutenu dans tes décisions face à ton père parce que dans le fond tu étais tout ce qu’elle avait de plus précieux. Au début, tu prenais chacune de ces petites confrontations pour des scènes comiques, limite un jeu où tu peux enfin défier ton paternel. « Non, mais t’es pas bien. Pas question que mon fils aille gigoter comme une fille sur de la glace. » Finalement, vous aurez gagné cette bataille. Tu patineras pendant plusieurs années. Et puis, c’en est devenu lassant à la longue. Moins drôle. Enfin ce n’est pas pour autant que les choses se sont arrêtées. Elle voulait juste te rendre heureux dans le fond et que tu ne connaisses pas les mêmes bas que les siens. Un peu désespérée sur les bords, elle était convaincue que sa maladie soit héréditaire. Qui plus est, tu avais toi aussi t’es petites périodes sans. Les amis ne sont pas présents dans ta prison dorée. Tu demandais juste un frère, ou une sœur et que ta mère aille mieux.

T’as toujours été bon élève. Brillant même. Toujours dans les meilleurs établissements de la grosse pomme, compte en banque de tes parents le permettant. Et la jeunesse dorée change radicalement lors de l’entrée au lycée. Vous faites connaissance avec les fêtes des plus âgés. Vous n’avez pas vingt et un ans et vous fêtes déjà connaissance avec l’alcool, puis la drogue et d’autres vices. Ce soir, la musique est forte, tu n’entends pas ce que la fille te murmure. Elle est assise sur tes genoux pourtant. Peut-être bien que tu t’en fous. S’il y a bien qu’une femme que tu écoutes, c’est ta mère. Ton voisin te fait passer un joint. Tu planes déjà un peu, mais ça ne t’arrête pas pour autant. T’avais besoin d’un peu de liberté, de déconnecter de tes histoires, et ils ont su te l’offrir. Cela dure encore. Puis vous vous décidez à bouger. Il paraît que certains tiennent à aller danser dans le lot. Quand tu rentreras au petit matin et bien que tu essayes de te montrer le plus discret possible, ton père t’attend dans le petit salon. « Plus tard… » T’as l’esprit trop embrouillé pour te prendre la tête avec lui. « Tu inquiètes ta mère à partir je ne sais où, faire je ne sais quoi. Mais bordel t’as vu dans quel état tu es encore une fois ? » Parce que ce n’était pas la première fois et certainement pas la dernière. Au moins, aujourd’hui, tu n’es pas en retard à un quelconque brunch important où l’on te présente déjà à des personnes haut placées dans la société. T’as les cheveux dans tous les sens, les yeux injectés de sang et les pupilles encore dilatées. T’es fatiguée aussi. Tu voudrais bien qu’il te lâche un peu histoire que tu passes en coup de vent voir comment ta mère se porte avant d’aller t’échouer dans ton lit. Elle dort toujours. Tu soupires de soulagement. Tu n’aurais pas voulu qu’elle assiste à ce triste spectacle. Pour le moment, tu sais que les paroles de ton père ne sont pas très sérieuses. Il est absent bien souvent, ta mère est toujours présente. Bref, ce n’est pas lui qui va te mettre à la porte ou te couper les vivres. À la rigueur, il pourrait toujours t’envoyer dans un pensionnat suisse, mais ce n’est pas dit que sa femme se remette de ton absence.

Tu as su parfaitement jongler entre tes déboires et les cours. T’es enfin diplômé. Tu t’apprêtes à suivre les pas de ton père. Génétiquement programmé à rejoindre Harvard. T’as certainement du avoir ta réservation à la naissance. Quelque chose dans ce style. T’es fier. Pas fier. Cela ne te fait ni chaud, ni froid. Tu aurais bien voulu faire le tour du monde, une petite année. Tout ce que tu crains, c’est que cette femme si vulnérable qu’est ta mère ne vive pas bien ton départ pour Cambridge. Tu finis ton sac. Elle t’attend appuyée contre le cadre de ta porte. C’est une bonne journée pour elle. Elle est habillée. Elle est sortie déjeuner avec toi en ville. Elle a bonne mine. Qui va s’assurer qu’elle prenne correctement ses cachets ? Tu déglutis. « Maman, fais attention à toi. D’accord ? » Cette voix, ces paroles chaleureuses, il n’y a qu’à elle que tu les réserves. Tu n’es pas un bâtard pour autant, mais disons que les sentiments et toi, ça fait dix. Tu lui embrasses le front. « Je repasserai promis. » À peine arrivé sur place, tu n’as pas pris de bonnes résolutions. Tu laisses ton sac tomber sur le sol et tu t’allumes un spliff discrètement sous la fenêtre. Ce n’est pas très confortable, mais il ne manquerait plus que tu te fasses attraper. Tu participes à chacune des soirées harvardiennes. Tu profites. Tu bosses parfois, pour que l’administration n’est pas de raison pour te renvoyer bredouille chez toi. Mine de rien, la vie n’est pas trop mal ici. Au bout de quelques mois, tu finis par avoir l’appel de ta vie. « Fils, elle est décédée. » Tu lâches le téléphone. L’écran se brise sur le sol. C’est toute une partie de ta vie qui se brise avec. Tu vois ta vie défiler devant tes yeux comme si tu étais sur le point de mourir à ton tour. Le soir même tu prendras ta voiture pour rentrer à New York. T’as pas encore bu, mais une fois sur place tu iras te noyer dans une bouteille de vodka pour canaliser ta colère et oublier ton chagrin. Cela paraît puéril dit de la sorte, mais cette femme c’était carrément toute ta vie. Tu es dans le petit salon. Là où ton père et toi passiez votre temps à vous disputer. T’es habillé tout de noir. Vous venez d’enterrer votre mère. Il y avait du monde pour saluer son départ subit et volontaire. Elle s’est suicidée. Sans explication. Sans un mot. Tu es convaincu que ton père en est la raison. Il n’a pas du faire attention à son traitement. Une phase de bas est si vite venue… Ce ne peut donc être que de sa faute. « Comment oses-tu être là ? » T’as les yeux bouffis, parce que t’as pas mal pleuré dans ton coin en plus de fumer et de ne pas dormir, mais pas ce n’est pas bien difficile de déceler la colère qui réside en toi. Il se tient à la porte. Vous en venez en main, alors que t’es pas dans le genre brute en temps normal. C’est le début de ta longue descente aux enfers où tu vas passer pas mal d’argent dans l’alcool, seul ou accompagné, l’herbe. Il faut que tu oublies même si tu dois dire adieu au sport de haut niveau. Un patineur junkie et alcoolique, c’est franchement pas bien vu. Comme pour beaucoup, ça commence doucement. Un verre de temps en temps. Et cela finit aux urgences, après une soirée qui aura mal tourné.

Pour une raison que tu ignores, ton accident n’a pas été trop ébruité. Enfin, disons que lors de ton retour sur le campus, personne ne t’a pointé du doigt et murmuré de messes basses. Tu crois que cela t’a servi de leçon et que tu es capable de repartir de zéro, tout seul comme un grand. Et soudainement, la sensation de manque refait surface. Dans un premier temps, c’est elle qui te manque. Et encore une fois, tu dois oublier ce sentiment. Cette culpabilité qui te ronge. Tu quittes le bar avant la fin de la nuit, juste le temps de retourner dans ta chambre avant de croiser les sportifs, toujours aussi matinaux. Il faut que tu te reposes un peu avant d’aller t’entraîner à ton tour, à défaut d’avoir cours toute à l’heure. « Mec, t’as besoin d’aide. » T’es devant la porte de ta chambre et tu sens immédiatement une main sur ton épaule. Qui… ? Tu te retournes près à t’énerver contre ce type. Ton meilleur pote. Tu lui en voudras pas mal de temps. Le temps nécessaire pour pouvoir décrocher de cette merde. Et dans le fond, c’est finalement grâce à lui que t’es toujours vivant aujourd’hui. Il ne pouvait pas comprendre, n’avait jamais prétendu que c’était le cas, pourtant il t’a soutenu dans ta démarche. Du début à la fin. Comme un second parrain, en plus de celui des alcooliques anonymes. À ta plus grande surprise, tu n’étais pas le seul jeune là bas. Ce détail aussi t’a aidé. Et avec tout ces histoires, tu as limite pris un coup de vieux l’année dernière. Plus mature. Plus raisonné. Tu ne touches plus à rien. T’es plutôt fier de tout ça. Et par dessus tout, tu espères que ta mère est fière de toi là haut. T’es un peu devenu croyant entre temps. Il paraît que pour ne pas retourner sur le mauvais chemin, tu ne dois pas quitter les alcooliques anonymes. Tu continues donc de te rendre aux réunions. Nous sommes au début de l’hiver 2012. « Allez, lances toi. T’es plus que prêt maintenant. » T’as comme la mauvaise sensation qu’il se fout de toi ? Tu arques un sourcil. Il te donne un coup de coude dans les côtes pour te faire réagir. « Bien, bien. » Tu t’éloignes de la cafetière – ta nouvelle drogue – et tu t’apprêtes à sauter dans le vide. « Bonsoir. J’ai entendu dire que tu n’avais pas encore de parrain… Et.. » Fuck. C’est quoi ton problème ? Elle ne va pas te tuer, hein ? Elle doit savoir un peu se maîtriser, n’est-ce pas ? Tu doutes plus que jamais d’être prêt à te lancer dans une telle mission. Qui dit que tu ne cèderas pas quand elle t’appellera à l’aide en plein milieu de la nuit. Il faudra que tu saches lui tenir compagnie dans les moments délicats. « Et donc, il paraît que c’est bénéfique aussi de se proposer comme parrain. » C'est ton parrain qui débarque comme une fleur là. À croire qu'il vous espionnait de loin, presque sur que tu n'aurais pas le courage de te lancer. C’est une tâche compliquée, mais tu ne baisses pas les bras pour autant. Tu réponds à chacun de ses appels. Elle commence à se confier. À son rythme. Et toi, tu finis par la connaître, l’apprécier et ouvrir les yeux. Bordel, qu’est-ce que tu aurais voulu ne pas lui ouvrir les yeux. Parce que tu réalises qu’elle est charmante, fragile, que tu aimerais la protéger de tout et que ce genre de sentiment n’est pas accepté chez les alcooliques anonymes.
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Bienvenuuuuuuuuuuuue MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188
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    t'es parfaite, t'es la meilleure mon amour. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188 j'sais qu'avec toi, le max sera entre de bonnes mains. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 152426858 merci, jor vraiment, merci de l'avoir pris. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2109348208 j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce petit et pis, si t'as la moindre question, tu sais où me trouver. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 152426858 pis, ryan est juste parfait, j'ferai mon deuil de tim. haha. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2157042859

    bref, encore merci. joteeeeeeem. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2109348208

    pour la route.

    MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 152426858 :loukas: MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188 MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2109348208 :love: MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 1629572796 MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2931463659 :coeurboum: MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 73120010
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Bienvenue sur ILH MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188

Bonne chance pour ta fiche hanwii

Have Fun ♥️
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Bienvenue ^^

Bon courage pour ta fiche !
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merci à vous tous. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2109348208

mon amour, imagines tu aurais fait cet éloge pour rien. n'empêche, j'aurai presque réussi à te faire croire que ce n'était pas moi, ahah. je ris. et pis, j'essaierai de faire de mon mieux. et promis, je t'expédie des mouchoirs pour tim. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188
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    vilaine, tu m'as bien fais douter quand même. :rio: j'attends les mouchoirs. MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 3850463188
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j'ferai tout pour que tu me pardonnes ? MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2442039969
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Bienvenue !
Ton avatar est MAX HARTLEY ► Ryan Taylor 2511619667 et :sex3: aussi !
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