Tu venais de rentrer d'une journée de ski et étais installée sur le canapé, devant un feu de cheminée. Tu avais le regard perdu, un peu dans les nuages. Plusieurs étudiants étaient sortis, alors que d'autres s'étaient enfermés dans leurs chambres. Tu avais décidé de rester, n'ayant pas le courage d'enchaîner avec une soirée. Tu tournais la tête et voyais Calvin monter dans votre chambre. Tu affichais alors un sourire en coin, attendais quelques minutes et montais à ton tour. Une fois en haut, tu entrais dans la chambre, sans faire attention à toquer. Tu fermais la porte et t'appuyais dessus. Il était allongé sur son lit, tranquillement. Tu reprenais ce sourire en coin et commençais à parler. « Alors monsieur le soit disant pro du ski on est fatigué ? » Tu lui souriais et restais dos appuyé contre la porte, les jambes croisées.
J’avais passé la journée sur les pistes de ski et avait put voir Natalya se battre avec les éléments. Une fois la session finit, je décidais de rentrer alors que d’autre sortait dans des bars ou enfermer dans leur chambre. Je montais dans la chambre que je partageais avec Natalya. J’enlevais mes affaires de ski et les troquaient contre de simple vêtement. Fermant les yeux je n’entendis pas le bruit de la porte qui me signalait l’entrée de quelqu’un. En ouvrant les yeux elle se tenait en face de moi contre la porte. Un sourire étirait ses lèvres, ce genre de sourire qui cachait autre chose. « Toi tu as une idée derrière la tête. Je me trompe ? » Les bras derrières la tête, je la fixais avec convoitise sans trop lui montrer.
Tu avais rejoint Calvin dans la chambre, il avait enlevé ses affaires de ski. Autant dire que tu le trouvais beaucoup plus sexy comme ça. Cet après-midi, il avait profité de la séance de ski pour te taquiner, et encore plus que d'habitude. En fait, tu savais quand même bien skier, ok tu n'étais pas une professionnelle, mais tu te débrouillais plus que bien. Tu avais déjà été au ski de nombreuses fois alors ce n'était pas nouveau pour toi. Tu étais contre la porte, un sourire aux lèvres, alors que ton professeur te demandait si tu avais une idée derrière la tête. Tu t'approchais de son lit, jusqu'à carrément t'asseoir dessus, face à lui et les fesses posées sur ses jambes. Tu affichais un large sourire, avant de te rappeler que la porte n'était pas fermée à clé et que n'importe qui pouvait vous surprendre. De toute façon, tout le monde se doutait déjà qu'il se passait quelque chose entre vous. « Pourquoi tu dis ça ? » Toujours ce sourire en coin, et toujours aussi irrésistible (a).
Madame avait décidé de se mettre sur mes genoux. Si quelqu’un entrait ? Je ne pensais pas qu’ils le feraient. Après tout, j’étais professeur et on ne rentrait pas dans ma chambre comme ça même si je chahutais avec eux. Puis, de toute façon, ils avaient tous deviné le jeu qui se déroulait entre Natalya et moi. « Je dis ça, parce que je connais se sourire sur ton visage. » Je la connaissais depuis quelque mois et c’est derniers jours on c’était considérablement rapprocher. Brisant certaine barrière. On c’était même embrasser, quelque chose que je désirais refaire. Je me relevais un peu et l’attrapais par la taille, elle était légère comme une plume. Je l’attirais à moi et commençait à lui faire des chatouilles. « Maintenant, tu veux bien me dire ce que signifie ton sourire ? » Elle était toujours dans mes bras.
Tu avais décidé de te mettre sur Calvin et avais ton sourire malicieux. Ton professeur n'avait pas l'air d'être dérangé par ce que tu faisais. En même temps, ce jeu de séduction s'était concrétisé ces derniers temps. Dans le jacuzzi, vous vous étiez embrassés et cela ne t'avait pas gênée, même pas du tout. Il te disait qu'il connaissait ce sourire. Il savait donc bien qu'il n'était pas innocent. Il t'attrapait par la taille et t'attirait vers lui. Tu te laissais faire, toujours aussi souriante. Il commençait à te chatouiller, tu te tordais sur le côté et te mettais à rire, étant chatouilleuse. Il te demandait ce que tu avais derrière la tête. Tu passais une main sous son t-shirt et déposais de courts baisers sur son cou, remontant petit à petit. « Peut être ça.. » Tu t'écartais quelques instants pour le regarder les yeux dans les yeux, avant de t'approcher à nouveau pour déposer tes lèvres contre les siennes.
Elle passait ses mains sous mon t-shirt tout en déposant des baisers dans mon coup. Je souriais à ça remarque et lui rendait son baiser. Du désir. Voilà, ce que je ressentais en ce moment même. Avec un grondement rauque, je la faisais basculer au dessus de moi tout en lui tenant la nuque. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais, mes pulsions prenaient le dessus sur ma raison. Natalya était belle et je la convoitais depuis un certains temps déjà. Jamais je n’aurais pensé que ce voyage nous aurait rapprochés à ce point. J’embrassais le dessus de sa main et remontait jusque dans son coup. La chaleur que dégageait son corps me coupait le souffle. Appuyant ma tête dans le creux tout en ayant une vu sur ce qui se cachait en dessous son haut, je m’arrêtais et la regardais dans les yeux. « Tu es sûr de ce que tu fais ? Parce que je ne sais pas si je pourrais m’arrêter une seconde fois.»
Tes pulsions étaient très fortes, en fait, elles seules importaient. Tu faisais abstraction du reste et te laissais aller. En ce moment, tu te fichais des conséquences que pouvaient prendre tes actes, même si tu les connaissais. Tu avais donc passé l'une de tes mains sous son haut, caressant son torse de tes doigts. Tu avais chuchoté quelques mots, c'était ça que tu avais derrière la tête. Tu l'embrassais, passant de ses lèvres à son cou. Ces baisers étaient partagés et étaient loin d'être chastes. Il passait l'une de ses mains sur ta nuque, te mettant sur le dos. Il t'arrêtait ensuite pour te demander si tu étais sûre de vouloir aller plus loin, tu te rappelais de la porte qui n'était pas verrouillée. Tu hochais cependant la tête et souriait, de façon à ce qu'il comprenne que tu étais sûre de ce que tu faisais. Tu attrapais ensuite le bas de son t-shirt, pour le soulever peu à peu, caressant de tes doigts son dos. Tu passais l'une de tes mains sur sa nuque, alors que l'autre se baladait sur son torse. Tu portais tes lèvres aux siennes, l'embrassant plusieurs fois, assez rapidement.
Je venais de rentré du ski, autant dire qu'une journée entière vous crevait et que rentrer et prendre un bain était votre rêve du jour. Il n'y avait pas grand monde au Chalet, certains étaient en ville, d'autres au ski, ou encore à d'autres occupations, j'allais dans la cuisine boire de l'eau, j'avais besoin de boire, même quand il fait froid faut boire, leçon du jour. Enfin bref, après m'être déshydraté je montais à l'étage, avant de passer dans ma chambre, je voulais voir mon cher cousin pour lui demander quelque chose. Je toquais j'ouvrais la porte et je le voyais avec Natalya C'EST QUOI CE BORDEL ? je refermais la porte, avançant vers eux Dégage du lit cousin ! VITE ! mon regard était froid, agressif, il n'aurait pas du, c'était ma Natalya, même si on étaient plus ensemble, elle l'était toujours.
Une mauvaise idée. Je devrais arrêter tout ça, prendre conscience que j’étais professeur maintenant et que je ne pouvais pas simplement entretenir de telle relation avec mes élèves, mais c’était plus fort que moi. Je trouvais Natalya séduisante depuis le début. Ma faiblesse c’était les femmes. Pourtant, je devrais être plus ferme, plus adulte sur ce sujet. Elle ne voulait pas arrêter et commençait à me caresser le torse, puis, elle m’embrassait encore. Je répondais à son baiser avec plus d’ardeur, me disant qu’il fallait que je stop tout ça, mais c’était trop dur. C’est ce moment que choisis mon cousin pour faire irruption dans la chambre. Bordel ils ne savaient pas frapper à la porte ici ?! Il était en colère et me demandait de dégager du lit. Je n’étais pas du genre à me laisser marcher dessus même par la famille. Par politesse je me relevais. J’avais toujours apprécié Aleks, mais là je pouvais discerner autre chose. Il n’appréciait pas que je la touche, pourquoi ? Avec froideur, je relevais mon regard vers lui. « Tu pourrais apprendre à frapper au porte. » J’étais las de ces guerres, le séjour croulait sous les tensions. « Bon sang qu’est-ce qui t’arrive ! En quoi ça te regarde, ta un droit de véto sur elle ?! »
Calvin était vraiment séduisant il fallait bien l'avouer. Tu n'étais pas du genre à résister à tes pulsions alors pourquoi le faire maintenant ? Peut être parce que c'était ton prof tiens ! Oh et puis tant pis, vous étiez seuls dans la chambre, il n'y avait personne pour vous reprocher ce que vous faisiez. Enfin maintenant si. Alekseï venait d'ouvrir la porte, alors que tu caressais le torse de Calvin tout en l'embrassant. Tu ne pouvais plus te retenir, pourtant il fallait bien maintenant. Tu tournais la tête vers le nouvel arrivant, déposant un court baiser sur la bouche de Calvin, juste un dernier.. Aleks avait vraiment l'air énervé. Il criait, se demandait ce qu'il se passait ici, bonne question.. Calvin était toujours assis au dessus de toi. Tu te relevais à ton tour. Ça criait de tous les côtés et tu assistais à la scène, ne sachant pas trop quoi faire. Calvin demandait si ton ex avait un droit de veto sur toi. Tu passais une main dans tes cheveux, soulée et exaspérée. « Putain Aleks j'suis plus une gosse j'couche avec qui je veux ! » Tu te levais du lit, tendant à Calvin son t-shirt. Tu soupirais longuement, s'en était trop. D'accord tu n'avais pas à faire ça mais là.. Stop quoi. « A ce que je sache j'viens pas te crier dessus à chaque fois que tu te tape une pauvre fille du campus ! » Tu criais à ton tour et le volume montait dans la pièce.
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Tu venais de rentrer d'une journée de ski et étais installée sur le canapé, devant un feu de cheminée. Tu avais le regard perdu, un peu dans les nuages. Plusieurs étudiants étaient sortis, alors que d'autres s'étaient enfermés dans leurs chambres. Tu avais décidé de rester, n'ayant pas le courage d'enchaîner avec une soirée. Tu tournais la tête et voyais Calvin monter dans votre chambre. Tu affichais alors un sourire en coin, attendais quelques minutes et montais à ton tour. Une fois en haut, tu entrais dans la chambre, sans faire attention à toquer. Tu fermais la porte et t'appuyais dessus. Il était allongé sur son lit, tranquillement. Tu reprenais ce sourire en coin et commençais à parler. « Alors monsieur le soit disant pro du ski on est fatigué ? » Tu lui souriais et restais dos appuyé contre la porte, les jambes croisées.
