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The long night (belnoz)

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« Oui bien sûr, méchante Agathe. » notre conversation n'avait aucun sens, une fois de plus. on revenait encore et toujours au point de départ, à se jeter la faute sur l'autre pour désigner un coupable. discussion de sourd, voilà ce que c'était. « On était que des POTES À CE MOMENT-LÀ. » ferme ta putain de gueule, j'commençais à vriller. il me poussait à bout et j'en avais marre de toujours devoir justifier les actions posées par Demyan à l'époque. malgré cette haine, j'étais littéralement en train d'lui faire une déclaration et le mec '' j'ai besoin de personne mais merci pour l'attention. '' ?? are you kidding me?! je le regardais, ahurie. téléphone à la main, il jetait un regard au numéro inscrit dans la paume de sa main et là, je partais au quart de tour. je pétais un putain de câble, je l'envoyais chier et j'décidais de me barrer, le laissant seul dans son délire. je bousculais quelques personnes alors que je me dirigeais vers la sortie. je regardais même pas derrière moi pour voir s'il me suivait, j'en avais rien à cirer. une fois à l'extérieur du Lord Hobo, je tombais nez à nez devant un groupe d'individus qui étaient en train de se battre sauvagement. les choses se passaient rapidement, j'voulais les contourner et.. un mec devant moi me plantait un couteau. « Hé, c'est quoi ton problème..? » c'était comme une décharge électrique sur le moment, la lame du couteau venait de transpercer le côté droit du bas-ventre. aussitôt, il ressortait le truc et j'réalisais petit à petit que j'venais de me faire poignarder. j'faisais quelques pas sur le trottoir, sans vraiment savoir où aller et une main sur ma blessure, j'tombais au sol.
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On est incapable de discuter, dès que ça nous convient pas ça part dans tous les sens et les reproches fusent un peu comme là car on se sent agresser et qu’on se défend. Du coup au lieu d’arranger les choses nous les empirons et moi le premier puisque lorsqu’elle me dit qu’elle a besoin de moi, je ne trouve rien d’autre à lui dire que ce n’est pas mon cas car j’ai besoin de personne. C’est méchant et j’avoue que le but était au final de la toucher mais justement car avant c’est elle qui m’avait blessé. Quand je regarde mon portable et ma main, je la vois partir en bombe, m’insultant à moitié et je comprends que pour elle je suis en train d’ajouter le numéro d’Ariana alors que pas du tout en fait je regardais simplement l’heure alors je la suis mais elle est tellement en furie que je n’arrive pas à la voir, je vois juste quelques personnes s’écarter ou être écartés de force. Une fois dehors, je regarde partout mais je la trouve pas et je vois ce groupe en train de se bagarrer, je m’y occupe guère dans un premier temps, jusqu’à ce que je vois une femme marcher un peu plus loin, titubant avant de tomber et un autre courant à toute vitesse faisant tomber je ne sais quoi. Mon cœur se resserre et je cours à toute vitesse vers la jeune femme qui je l’espère ne s’avère pas être Agathe et l’agresseur ne daigne faire demi tour en me voyant courir. Quand j’arrive face à la belge je suis pas bien, je sens la colère me prendre ainsi que cette crainte de la peur. Je m’agenouille, la regardant, ma respiration se voulant plus saccadée « Je suis là Agathe, regarde moi, tout va bien se passer t’inquiète pas » Je fais de mon mieux pour la regarder, je pose mon front contre le sien et je l’embrasse avant d’examiner sa blessure qui ne cesse de saigner abondement « Serre ma main de toute tes forces et reste avec moi. Je t’interdis de fermer les yeux Agathe tu m’as compris ? » Je regarde partout autour de moi « A L’AIDE !!! » Il ne se passe rien, putain mais c’est une blague, on est clairement livré à nous même là et je n’ai pas le temps d’appeler les pompiers, j’ai trop peur qu’ils arrivent en retard. Je sais que j’ai bu mais je dois prendre une décision, la vie d’Agathe est en jeu. Je préfère perdre mon permis et qu’elle soit en vie plutôt que la perdre définitivement.
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main couverte de sang, de mon propre sang, ça prenait quelques instants pour assimiler ce qui venait de se produire. je venais de me faire agresser par arme blanche devant le lord hobo. j'avançais avec difficulté sans trop savoir quelle direction prendre et mes jambes lâchaient, je tombais au sol. j'étais incapable de me relever, dos posé contre le trottoir je regardais le ciel et j'attendais la mort. j'allais mourir au bout de mon sang, j'savais pas si des organes avaient été touché ou si ma blessure était profonde. j'entendais des pas qui venaient dans ma direction en toute vitesse, je voyais Anto qui se penchait à ma hauteur, m'agrippait légèrement pour essayer de me redresser. j'étais molle, tout mon corps était lourd. je posais mes prunelles sur lui, pendant qu'il me disait que tout irait bien et que j'devais pas m'inquiéter.  « J'vais.. mourir.. » mes mots sonnaient comme une affirmation plutôt qu'une question, j'allais y rester. son front se posait contre le mien, alors qu'il venait m'embrasser. j'voyais de l'inquiétude dans son regard, il était paniqué. Anto m'ordonnait de serrer sa main tout en gardant mes yeux ouverts, il m'interdisait de les fermer. tu m'as compris? « je saigne.. » j'essayais de serrer sa main de toute mes forces mais j'y arrivais pas. mes oreilles bourdonnaient, j'étais en état de choc.  
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Tout est allé beaucoup trop vite une fois encore et bordel que je peux m’en vouloir de l’avoir laisser partir comme ça fin énervée car sans moi rien de tout ça ne serait arrivé, elle ne se serait pas fait poignarder et les choses seraient bien moins dramatique. Quand j’arrive à sa hauteur j’ai l’envie de pourchasser ce fils de pute et de le démonter jusqu’à ce que j’explose son crâne comme une pastèque, mais je ne peux pas laisser Agathe seule, je ne veux pas la laisser là sans défense et avec une blessure importante. Bien sûr que je suis inquiet pour elle, je n’aime pas la voir dans cet état alors je m’agenouille et j’essaye de faire de mon mieux pour l’aider, pour lui donner la force de vaincre, d’où ce baiser que je dépose sur ses lèvres. « Non tu vas pas mourir, t’as pas le droit de me laisser comme ça, tu peux pas partir comme ça Agathe » Il ne faut pas qu’elle ait ce discours négatif, ça n’apporte rien de bon ça et c’est quelque chose qui m’inquiète d’autant plus quand lorsque je lui demande de me serrer la main de toutes forces, je ne ressens pas la moindre pression de sa part sur la paume de ma main. « Oui tu saignes mais ça va se soigner, reste juste avec moi Agathe, c’est la seule chose que je te demande là » J’ai la gorge noué de la voir dans cet état et ni une ni deux, je finis par la porter et l’amener jusque ma voiture en vitesse pour pouvoir partir aux urgences. Demain je reviendrais ici pour récupérer le couteau et trouver l’enculé qui a fait ça mais pour le moment ce n’est pas le plus important, non le plus important c’est elle et son diagnostic vital. Une fois installée dans la voiture, je pars en trombe, ayant toujours un œil sur elle pour la garder éveillée. « Regarde moi Agathe » Ses paupières se referment petit à petit alors qu’elle perd de plus en plus de sang et je prends d’autant plus de risques, roulant n’importe comment pour perdre le moins de temps possible. Je sais que je peux perdre beaucoup à faire cela mais ça sera toujours moins important que de la perdre elle. Quand j’arrive aux urgences, je rentre avec Agathe dans mes bras presque inanimé, à bout de souffle, le cœur battant beaucoup trop vite « VENEZ ICI, elle a besoin de soin vite !! »  Heureusement le personnel s’empresse de venir vers nous mais ce n’est pas assez pour moi encore et alors qu’elle est installée sur le brancard, je m’approche d’elle pour déposer un baiser sur son front « Reviens moi vite … » Avant que je ne retire mon collier pour le lui mettre dans la main, qu’elle ait une partie de moi avec elle pour l’opération à venir. Quand elle part avec le personnel médical, je suis totalement impuissant, m’asseyant sur une chaise la tête entre les mains, me refaisant le film de la soirée.

FIN DU RP
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