irina kristina ivanovitch ► megan fox

C'est le vingt-huit octobre 1993 à Moscou, que les membres de la famille ivanovitch m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée irini kristina. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House.ou les Cabot House

Le patinage artistique est l'une de ses grandes passions▲ Elle déteste dormir seule et être dans le noir ▲ Elle est surnomée la croqueuse d'Harvard ▲ Elle croit et attend encore le grand amour de sa vie▲ Adore les tatouages et en possède quelques uns ▲ Elle est studieuse et adore être la meilleure dans ce qu'elle fait▲ Elle adore sortir et fêter toute la nuit▲ Fut très proche de son cousin Alekseï et repense souvent à lui ▲ Elle est aussi colérique, possessive et très jalouse ▲ A une grand part d'égocentrisme en elle, quelque chose d’innée ▲ Adore les jeux de cartes surtout quand c'est en soirée ▲ Drague comme elle respire ▲ Fait de la boxe dans un gymnase de temps en temps pour se défouler ▲ Mange des brownies quand elle est stressée voir anxieuse ▲ Adore regarder la télévision et les séries tv ▲ Préfère qu'on l'appelle Kristina que Irina ▲ La provocation est une qualité chez elle ▲ Elle est assez maladroite et fait souvent des gaffes mais rien de grave, son corps est là ▲ Adore les sacs, et les vernis à ongles, elle doit avoir une centaine de sacs et de vernis au moins ▲Harvard est pour elle une nouvelle vie, bien mieux que celle d'avant ▲Malgré les apparences, elle reste assez mystérieuse et garde beaucoup de chose pour elle ▲

▲ Après une nuit bien alcoolisée, j'ai suivi ma conquête du soir chez lui, nuit torride, mec parfait. Le lendemain matin, doux réveil, je l'observe, il est pas mal, j'essaye de me souvenir de son prénom, impossible. Il se réveille, m'embrasse et m'appelle par mon prénom, alors je lui réponds automatiquement par un prénom commun genre Chris. Chris c'était son chien, mort il y a 2 semaines. vdm

Moscou. Petite capitale, froide, bruyante, là où dormir est un défi, là où la nuit est un champ de combat, personne ne sait ce que c’est de vivre à Moscou. Petite, je ne savais pas non plus, paisiblement je vivais, sans me soucier de ce qu’il pouvait se passer dehors, peu importe, j’étais chez moi, en sécurité. Mes parents ne m’ont jamais parlé de la ville en elle-même, j’ai rarement été dans la ville pendant mon enfance, seulement une ou deux fois par an, avec mon père, pour sortir. Malgré cela, pendant la nuit, j’entendais quand même les cris, les pétards, les coups de fusils, mais je m’y suis habituée, on s’y habitue vite à force. Ma mère me racontait chaque soir des histoires pour me distraire, pour ne pas me faire penser à ce qu’il se passait dehors, pour m’aider. J’adorais les histoires, sa voix était douce, pure et magique. Mes parents se disputaient eux aussi souvent, pas de coups de fusils, mais des assiettes par terre, des cris venant de ma mère, mon père saoul et ma mère en pleure, ça aussi, c’était une habitude. Chaque soir, même merde, chaque soir, une dispute, le repas tourne court et mes parents se hurlent dessus, je pleure, et je monte dans ma chambre sans dire un mot, comme d’habitude.

Un soir. Eux, ils me demandent de m’assoir, je crois que je devais avoir douze ans, oui douze ans. Divorce. Ma mère allait me garder, mon père cri, il me veut aussi, comme un bout de viande, je suis le conflit, l’énoncer de la dispute, et ce fut la pire nuit de ma vie. Tous les deux se battaient au tribunal pour savoir qui aurait ma garde, c’était celui qui pourrait y mettre le plus d’argent, les billets volent et moi je suis au milieu. Je m’en souviens encore très bien, mon père renchérissait, ma mère aussi, et bam, le juge, un coup, ma mère. Mon père avait lâché prise, car il savait bien que ma mère n’allait pas me laisser partir comme ça, alors faible, il abandonna. Ma mère avait ma garde, mon père aurait le droit de venir me voir une fois par mois. Au début, je fus triste, mon père me manquait, malgré son penchant pour l’alcool et les disputes, sa présence me manquait et son autorité aussi. Sans lui, tout était plus simple, trop simple même. Tout ce que je désirais, je l’avais, ma mère pour me combler, me donner tout ce que je voulais, du truc le plus stupide comme un cochon d’inde à une Maserati pour mon anniversaire. Les années passèrent, je grandis tant bien que mal, je devins une belle jeune femme, plus belle que mes parents ne l’eurent cru. Studieuse et passionnée, mes journées étaient remplies, l’après-midi école, quand je rentrais je faisais mes devoirs, et après quand je pouvais, j’allais à la patinoire, histoire de me détendre.

Dix-sept ans, l’âge de raison dit-on, je ne crois pas non. Lui, moi, nous, un baiser alcoolisé. Quel honte, quel horreur, j’y repense souvent, comment a-t-on pu en arriver là ? Au fond, j’ai apprécié ce baiser car lui … Ah lui, il est beau, gentil, drôle, c’est l’un des seuls à vraiment me comprendre. Il a toujours été là pour moi, on était proches, et … L’inévitable arriva, erreur, grand erreur mais heureusement, cela n’a pas été plus loin, on a vite réalisé que tout ceci était impossible et incorrect. A peine fini mes premières études, que je pars. Laissant ma mère seule, cela me fait mal au cœur mais après tout il faut bien partir un jour, et elle le comprend. Mon père aussi me manque et partir encore plus loin reste quelque chose d’éprouvant pour lui. Harvard, quelle université, la plus renommée, et moi j’y suis acceptée, quel honneur. Au début, j’ai même pleuré de joie, ma mère aussi d’ailleurs, tenant l’enveloppe ouverte, on rigolait comme deux folles dans la cuisine, ne savant pas par où commencer.

Vingt ans, je suis maintenant une Harvardienne pure et dure, je fais les lois à présent. Deux ans que j’y suis, deux ans que j’y fais ce que j’ai envie. Croqueuse d’étudiants en tout genre, j’y ai aussi ma réputation, je m’en amuse d’ailleurs, je suis ce que tous les hommes veulent, un désir, un rêve, un objectif, intouchable. J’en suis à ma quatrième année de droit, bien sûr, je suis la meilleure dans ce que je fais et à Harvard les règles n’ont en aucun cas changé.