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Il est dix heures du matin, et Aurore émerge tout juste du sommeil. Elle entrouvre un œil, le referme, grogne en mode plus-sexy-tu-meurs, essayant de se rappeler qui est le mec nu à côté d’elle. Son coup de la veille, à n’en pas douter. Elle arrive à élucider ce mystère en quelques secondes, se redressant sur un coude alors qu’elle ramène une mèche de ses bruns cheveux derrière son serre-tête, qu’elle n’a même pas pris la peine d’ôter avant de se jeter dans les bras de ce garçon, apparemment. Mais le mystère qu’elle ne parvient pas à éclaircir, et qui restera entier pendant des années avant qu’elle n’apprenne que ce garçon a des problèmes pour faire redescendre sa b*** après l’acte, eh bien c’est le suivant : pourquoi diable a-t-il une poche de glace sur le pénis ?!
Elle soupire, lève les yeux au ciel avant de le secouer violemment pour qu’il se réveille. Elle se lève et enfile un soutien-gorge, un débardeur noir et une culotte bleue, ramasse rapidement les clics et les clacs du pauvre endormi qu’elle a évidemment l’intention de jeter dehors dès qu’il aura remis son caleçon. Elle balance ses vêtements sur le lit, va à la porte et l’entrouvre avant de le regarder d’un air mécontent se rhabiller, bras croisés. Une fois cela fait, elle lui agrippe le bras et le traine sur le palier sans ménagement, alors que le pauvre bougre n’a même pas mis la deuxième manche de son sweat. Elle claque des doigts, impatiente.
Allez, bouge-toi ! C’est pas un hôtel ici, tu pensais quand même pas que j’allai t’offrir le petit-dej’, si ? S’en serai presque mignon si tu n’étais pas si…pathétique.
Elle lui claque la porte au nez avec un petit signe d’au revoir, ou d’adieu plutôt, car elle a la ferme intention de ne plus jamais le recroiser. Non pas qu’il ne l’ait pas satisfaite, mais elle ne revoit jamais ses coups. Elle est comme ça, la Aurore. Indépendante. Et ceux qui s’y attachent en paient le prix, car elle n’hésite pas à les humilier et à se jouer d’eux. Avec un petit soupir satisfait, elle se dirige vers son immense cuisine et attrape un paquet de Kit Kat sur le buffet, bien parallèle au coin de la table. Oui, parce qu’en plus d’être nymphomane, Aurore est maniaque. Elle commence à cumuler…
Quelques instants plus tard, la voilà sur sa chaise de balcon, le nez au vent, à croquer dans une barre de chocolat avec autant de sous-entendu dans la façon dont le premier carreau est humidifié par ses lèvres que dans la pub Ferrero où la fille s’humecte sensuellement les lèvres dans un ralenti mémorable. Passons.
Le ralenti prend brusquement fin lorsque le pot de fleur qui ornait la balustrade, déséquilibré par le coude d’Aurore, s’écrase sur le bitume un étage plus bas, frôlant une jeune femme sans la blesser, mais en l’aspergeant copieusement de terre trempée.
La jeune Russe se penche, un large sourire aux lèvres, absolument pas désolée, car déranger les gens, c’est son domaine, et dit avec un ton des plus mielleux et hypocrites
Ooooh… Je suis … sincérement… sincééééérement… dé-so-lée.
// Désolée Edmée, mais mon ordi bug pour le graphisme, je tenterai d'arranger ça
Elle soupire, lève les yeux au ciel avant de le secouer violemment pour qu’il se réveille. Elle se lève et enfile un soutien-gorge, un débardeur noir et une culotte bleue, ramasse rapidement les clics et les clacs du pauvre endormi qu’elle a évidemment l’intention de jeter dehors dès qu’il aura remis son caleçon. Elle balance ses vêtements sur le lit, va à la porte et l’entrouvre avant de le regarder d’un air mécontent se rhabiller, bras croisés. Une fois cela fait, elle lui agrippe le bras et le traine sur le palier sans ménagement, alors que le pauvre bougre n’a même pas mis la deuxième manche de son sweat. Elle claque des doigts, impatiente.
Allez, bouge-toi ! C’est pas un hôtel ici, tu pensais quand même pas que j’allai t’offrir le petit-dej’, si ? S’en serai presque mignon si tu n’étais pas si…pathétique.
Elle lui claque la porte au nez avec un petit signe d’au revoir, ou d’adieu plutôt, car elle a la ferme intention de ne plus jamais le recroiser. Non pas qu’il ne l’ait pas satisfaite, mais elle ne revoit jamais ses coups. Elle est comme ça, la Aurore. Indépendante. Et ceux qui s’y attachent en paient le prix, car elle n’hésite pas à les humilier et à se jouer d’eux. Avec un petit soupir satisfait, elle se dirige vers son immense cuisine et attrape un paquet de Kit Kat sur le buffet, bien parallèle au coin de la table. Oui, parce qu’en plus d’être nymphomane, Aurore est maniaque. Elle commence à cumuler…
Quelques instants plus tard, la voilà sur sa chaise de balcon, le nez au vent, à croquer dans une barre de chocolat avec autant de sous-entendu dans la façon dont le premier carreau est humidifié par ses lèvres que dans la pub Ferrero où la fille s’humecte sensuellement les lèvres dans un ralenti mémorable. Passons.
Le ralenti prend brusquement fin lorsque le pot de fleur qui ornait la balustrade, déséquilibré par le coude d’Aurore, s’écrase sur le bitume un étage plus bas, frôlant une jeune femme sans la blesser, mais en l’aspergeant copieusement de terre trempée.
La jeune Russe se penche, un large sourire aux lèvres, absolument pas désolée, car déranger les gens, c’est son domaine, et dit avec un ton des plus mielleux et hypocrites
Ooooh… Je suis … sincérement… sincééééérement… dé-so-lée.
// Désolée Edmée, mais mon ordi bug pour le graphisme, je tenterai d'arranger ça
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