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Alexis & Sateen
Ce soir j'avais décidé de m'amuser, de complètement m'éclater de me vider les pensées... non seulement car j'aime la fête mais aussi car il y en a ras-le-bol ! quoi vous comprenez pas pourquoi? je vais vous faire un topo rapide:
je quitte l'homme que j'aime à cause de ma maladie, histoire qu'il continue à avancer ne sachant pas combien de temps ça peut durer, mais là-bas j'apprends que je suis enceinte, bref le bonheur absolu, et bien non le médecin m'interdit de garder cet enfant et il m'a laissé poireauter un jour à me construire des jolies histoires de famille... Voilà il m'arrive la pire chose de ma vie, je dois avorter de cet enfant, mais comme si ça suffisait pas, quand je rentre à Miami pouf plus de Valentin, la dépression total, arrivé à Harvard Oh comme par magie valentin est là! Mais bien sûr il veut savoir cette putain de vérité sur ma maladie, il veut que je lui parle de l'avortement qui soit d'y en passant est juste la tâche la plus difficile à prononcer à voix haute en ce moment... et bien sûr il ne veut pas ressortir avec moi temps que je ne lui aurais pas dit! Voilà je pense que je suis arrivé au bout, et c'est comme ça que j'en arrive là à vous parler de moi de ça, au bout du 2,3, 5 euh 10... enfin je sais plus combientième verre ...
Un jeune homme vient m'accoster m'annonçant que je suis bourré, non mais il se prend pour qui c'est lui qui est bourré oui, je me mets à lui gueuler dessus:
-Non mais je ne suis pas bourré oh! je suis complètement consciente de ce que je fais et dis ok! alors va voir mama!!
*Conclusion je suis belle et bien bourré, car j'aurais jamais prononcé de telle paroles sans ça*
Je commençais sérieusement à avoir chaud, je n'avais pas arrêté de boire et de danser, si on ajoute le monde qu'il y avait ici, il fallait que je respire, je me dirigeais donc vers dehors et exprimai un grand :
"Ahhhhhhhhhhhh" lorsque l'air frôla enfin mon visage. Je sentais l'air également sur chaque parcelle de ma peau dénudé,Ma petite robe bleu séparé par un large bandeau de dentelle au niveau du ventre et un dos nu me permettait de complètement profiter de l'air frais. Je marchais un peu, perché sur mes magnifiques talons Gucci, jusqu’à ce que mon attention se porte sur le parking.
Je m'avançais alors jusqu'au parking pour admirer de plus près cette magnifique voiture qui devait sans aucun doute en avoir sous le capot. Vraisemblablement il n'y avait personne dans cette voiture, j'en déduis que le propriétaire était à l'intérieur de la boîte, je décidais donc de m'allonger sur le capot et de prendre un ou deux photo, action très périlleuse avec un tactile quand on est bourré.
(c)lili
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