ANDREW M. WILSON ✖ J’étais bloqué au stade anal. Dans le terme Freudien, j’étais un névrosée du ménage.

C'est le 13 avril 1987 à Londres, que les membres de la famille Wilson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Andrew Maximilien. Je suis Divorcé et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétéro et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je suis professeur de Droit depuis deux ans. OU je travaille en tant que professeur depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Citiziens

Est divorcé depuis deux ans de sa femme, il ne voit que trés rarement sa petite fille. ▲ Est plutôt du genre solitaire, ne se lie pas facilement d'amitié avec quelqu'un et côté coeur semble être inaccessible. ▲ Est à l'écoute de ses élèves et donne des cours particuliers▲ Est allergique à l'arachide mais raffole particulièrement du chocolat ▲Aime les femmes avec une personnalité hors du commun, blonde brune ou rousse il s'en fiche▲ Il lui arrive d'avoir des coups d'un soir mais il ne donne jamais suite aprés ça, il fait en sorte de garder sa vie privée trés ... privée ▲ Adore les chiens et a une sainte horreur des chats. ▲ A une petite fille de cinq ans qu'il aime énormément mais qu'il ne voit pas beaucoup, son ex femme et sa fille sont en Angleterre. ▲ Passionné de musique classique il joue trés bien du piano. ▲ Flemmard, c'est un prof qui a toujours dix minutes de retard.

▲ Ma femme m'a quitté du jour au lendemain en ne me laissant qu'une lettre, c'est considéré comme une VDM non ?

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Je n'y vais pas, étant professeur, je ne fais pas la fête avec mes élèves, en général j'évite même de les croiser en dehors, ce serait mal venu de ma part.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Pourquoi pas, si ils ont besoin d'un professeur pour organisé le voyage je suis partant, aprés tout ça peut être amusant, de plus je trouve ça trés positif que des élèves s'interessent à l'humanitaire, ça change de tous les fêtards du campus.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Je n'auditionnerai pas, faire le clown ce n'est pas mon truc, par contre j'assisterai volontiers au spectacle.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je ne regarde pas mes élèves, le professionnalisme avant tout, et puis il ne suffit pas d'un beau physique pour être une belle personne.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Non, grand dieu que non, si l'esclavage a été abolit ce n'est pas pour rien ! Et puis personne ne peux m'acheter.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

C'est bien, il y 'en a qui ont de l'argent et qui le montre, ce n'est pas mon problème, mais les lunettes de soleil son t interdits dans mon cours.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Evidemment, je trouve celà trés intéréssant.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Kemail et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Pixie dust. Le forum est joli et intéressant alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Robert Pattinson comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 15lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ .

Vous voulez vraiment savoir comment on en est arrivé là ? Il y aurait plusieurs raisons, peut être le fait que je sois né une nui d'orage, qui plus est un vendredi treize, mais tous celà n'est surement qu'une coïncidence, un pure hasard, on dit que la vie est semée d'embûche, seulement la mienne semblait faîte d'obstacle tous plus insurmontable les uns que les autres, à croire qu'on avait mit sur mon chemin une myriade de problèmes afin de me tester. C'était vivre ou survivre dans mon cas, oh bien sur ça peut sembler un peu abusé comme ça je vous l'accorde, néanmoins prenons mon histoire dans l'ordre.

Je suis né dans une clinique à Londres, j'étais un bébé à la taille et au poids tout à fait respectable, moi, Andrew Maximilien Wilson, unique héritier de l'entreprise de jouets Wilson. Fils de Maximilien Wilson et d'Elisabeth Wilson. Jusque là vous me suivez ? Autant vous dire que l'argent ne nous a jamais manqué, l'entreprise de mon père était affluente et ma mère n'avait pas besoin de travailler passant tout son temps à s'occuper de moi et de mon éducation. Déjà petit, je n'aimais pas beaucoup la foule, d'aprés ma mère je pleurais dés que quelqu'un m'approchait, c'est pour celà que je prenais des cours particuliers à la maison, suivant un cursus normal, entouré de l'amour de ma mère, ne voyant mon père que tard le soir lorsqu'il rentrait du travail, car comprenait qu'il voyageait beaucoup et n'était pas souvent à la maison. C'est peut être pour celà qu'un monsieur tenait souvent compagnie à maman lorsque papa n'était pas là. Au début je le voyais l'aprés midi, il disait qu'il venait tenir compagnie à maman, aprés ça il restait le soir, jusqu'à ce qu'un beau matin il soit toujours là. Je compris alors que maman ne voulait plus de papa et apparemment je ne fut pas le seul à le comprendre, c'est peut être pour ça qu'un jour papa fit sa valise et la mienne et m'emmena loin, trés loin de maman, elle pleurait d'ailleurs, mais moi je n'avais que six ans et je ne comprenais pas bien ce qui se passait. Je partis vivre à Boston avec papa, là où siégeait l'entreprise. Fini les cours particuliers à la maison et les câlins de maman, à présent j'entrais dans la vraie vie.

Cinq ans plus tard, de l'eau avait coulé sous les ponts. J'avais onze ans, je m'étais fais quelques amis, mais j'avais toujours du mal à m'intégré, j'avais l'impression d'être différent d'eux, mais j'adorais étudier et l'école n'était donc pas une corvée, je restais dans mon coin et ça me convenait parfaitement. A la maison je passais le plus clair de mon temps avec Debby, ma gouvernante, car papa était toujours en déplacement, ça , ça n'avait pas changé. Maman m'envoyait régulièrement des lettres, nous correspondions souvent et elle me promettait de venir me voir l'été, elle me promettait celà depuis trois ans, mais elle n'était jamais venue, je n'espérais donc plus. Il semble que ça ne ce soit jamais arrangé entre papa et elle, je ne sais pas si elle était toujours avec le monsieur de l'époque mais au fond je ne voulais pas le savoir. Je n'en voulais à personne, car ça ne concernait que mes parents, moi je n'avais rien à voir là dedans. Les années collèges se passèrent tranquillement, je faisais mon cursus scolaire normal et j'adorais ça.

L'adolescence fut pour moi une révélation, le lycée fut sans nul doute les plus belles années de ma vie. Mon père ne rentrait plus qu'une fois par mois, Debby ne pouvait pas toujours être derrière moi et j'étais donc livré totalement à moi même, c'est peut être pour celà que je traînais avec des gens peu conventionnel, j'avais besoin de me faire remarquer, de vivre tout simplement. C'est à cette époque là que je connus les joies du tabac, ah la nicotine, je n'ai jamais pu me sortir de ce cercle vicieux, encore aujourd’hui, la cigarette reste ma meilleure alliée contre le stress, c'est également à cette époque là que je rencontra Emilie. Emilie c'est .. une boule de bonheur à elle toute seule, il suffisait que je pose mes yeux sur elle pour être totalement subjugué de bien être, oui ce petit bout de femme avait quelque chose. Emilie et moi nous fûmes trés vite amis, inséparables en fait, et bien vite il y eu plus que de l'amitié entre nous. Quelque chose de fort, de puissant , de magnétique, mais les choses ne se passèrent pas sans difficulté, mon père s'opposa bien vite à celà, estimant que je n'avais pas à me mélanger au "bas peuple" et de son côté Emilie partit de chez elle, ne supportant plus son père alcoolique. Volant la carte de crédit de mon père, nous décidions de nous enfuir elle et moi, afin d'espérer une vie meilleur. Avec l'argent que j'avais nous achetâmes un appartement, a dix huit ans nous avions arrêté les études, elle travaillait en tant que serveuse et moi en tant que barman, ce n'était pas une situation facile, ni pour elle, ni pour moi. Mon père tenta de se racheter et de renouer avec moi, sinon qui allait reprendre l'entreprise familiale ? Il me paya des études de droits et nous offrit de quoi mieux nous loger, Emilie de son côté suivait des études pour devenir assistante sociale afin d'aider les enfants. Nous étions parfaitement heureux, et notre bonheur fut total lorsqu'elle m'annonça que nous attendions un enfant. Ce fut le plus beaux jours de ma vie, aprés notre mariage bien sur.

J'avais vingt deux ans. Ca faisait à présent deux ans qu'Emilie et moi avions eu une petite fille, nous l'avions appelé Eléanor mais nous la surnommions "Ella", elle faisait notre bonheur. Mais en même temps que mes études je devais également gérer l'entreprise familiale et j'étais peu présent, c'est peut être pour celà que tout vola en éclat. Je ne savais pas si indirectement c'était la vie de mon père qui se répercutait sur moi, mais un jour Emilie fit sa valise, emmenant notre fille avec elle, ne me laissant seulement que les papiers du divorce et une lettre où elle me signifiait qu'elle ne supportait plus cette situation et que ce n'était pas comme ça qu'Ella pourrait s'épanouir.Je fus anéanti, j'essaya mainte fois de la joindre mais sans succès, elle ne me répondit jamais, et peu à peu ma tristesse se transforma en colère. Elle m'avait abandonné et était partie avec notre fille, je ne pouvais pas lui pardonner. Me concentrant sur les études, je passa mon concours afin de devenir professeur et grâce aux relations de mon père, je postulai pour Harvard où je fus accepté. A présent je prenais ma nouvelle vie en main, mais je comptais bien récupérer ma fille.