Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDon't get me wrong, but I'm really busy tonight, no time for ghosts
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Don't get me wrong, but I'm really busy tonight, no time for ghosts

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Klaus & Coco

© Kaiji

J’avais passé une journée épuisante. Enfin. On va dire plutôt chargée, parce qu’épuisante, il ne fallait pas quand même exagérer. Il faut dire que mon transfert à Harvard s’est passé plutôt comme je l’attendais, et même si en arrivant sur le campus j’ai pu retrouver des gens que je ne pensais jamais revoir, tout allait pour le mieux. Durant toute la matinée, j’avais engagé des hommes pour finir le déménagement, déplacer, replacer les meubles de créateurs, quelques tableaux aux murs, quant à moi, je m’étais occupée du reste, comme remettre en ordre ma penderie de la taille d’un appart deux pièces. C’était dur, oui mais finalement, j’avais pu déjeuner avec ma meilleure amie, Anya.
Nous étions dans ce bon restaurant français dont elle m’avait tant vanté les mérites depuis mon arrivée, j’étais vraiment heureuse de passer du temps avec elle. Depuis mon arrivée à Harvard, je trainais avec très peu de gens. Me mêler aux étudiants n’étais pas vraiment mon truc, et seuls les Eliots me convenaient, c’était d’ailleurs le souhait de mon père, qui lui-même en avait fait partie bien avant ma naissance, et il en va de même pour son père. Et finalement, même si j’étais réputée pour mon caractère distant et glacial, ce que je ne niais pas, je pensais pouvoir m’entendre avec quelques uns d’entre eux. Disons, les plus influents, les plus confiants. Je n’aime pas trop l’idée de me mélanger, ce n’est pas mon truc. J’étais invitée à un bon nombre de soirée, notamment les Mathers, mais aussi les Eliots. D’ailleurs, je rentrais chez moi, me préparer, avant de m’y rendre pour 20 heures, accompagnée de mon plus grand ami, Alekseï. Je me servais un verre de Scotch avant de me faire couler un bain. J’adorais ça, les bains, c’était pour ma la meilleure façon de se détendre. Je me prélassais dans l’eau chaude et mousseuse, fermant les yeux. La voix de la divine Nina Simone résonnait dans tout mon appartement, et j’étais au paradis, lorsque la sonnerie retentie. Je fus d’abord interloquée, je n’attendais personne, encore moins à cette heure-ci. Finalement, je me dis que ce put être mon ami Aleksei, qui était un peu trop en avance. Je sortais de mon bain un peu exaspérée et enroula une serviette autour de ma poitrine avant de sortir de ma salle de bain, traverser le grand salon puis me retrouver dans le hall afin d’ouvrir à mon ami ‘ Aleksei, je t’av ..’
Le voir me coupa dans mon élan. Je ne pu terminer ma phrase. Je le regardai inexpressive et devint toute pâle comme si je venais de voir un fantôme. Ce visage. Je l’avais déjà vu auparavant. Ce n’était évidemment pas Aleksei. C’était mon ami d’enfance, Klaus. Cet homme que je ne pensais plus jamais retrouver de ma vie, venait de refaire surface, en deux temps trois mouvements. Je n’en croyais pas mes yeux. Et je le laissais planté là, sur le pas de ma porte. Moi qui ne manquais pas d’assurance, le voir me rendait toute chose, et j’en perdais mes mots. ‘ Klaus … on peut savoir ce qui t’amène ici ? Ou as-tu eu mon adresse ? ‘ J’aurais pu lui sauter dans les bras, esquisser un petit sourire, mais non. Je restais enfermée dans ma froideur pour changer. Je ne l’avais pas vu depuis trop longtemps, regagner ma confiance et une place parmi mes amis ne risquait pas d’être facile, et réciproquement. Ou pas, puisqu’il venait de faire un pas vers moi. Mais ça ne voulait rien dire. Je me retourna, tout en remontant ma serviette histoire qu’il n’ait pas de quoi se rincer l’œil, puis repris. ‘ Je te ferais remarquer que tu m’interromps dans mon bain, mais j’imagine que tu n’en as pas grand-chose à faire … Je sors ce soir. Si tu veux un Scotch, le mini bar est en face de la table en verre. ‘ Disais-je pointant du doigt cette fameuse table sur laquelle je mangeais le soir.


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shine bright like a diamond
Il est vrai que le matin peut être une dure épreuve. Ce fut un lendemain de soirée que Khelos frotta ses yeux. Le soleil venait le réveiller de ses songes. Rien de particulier, mais assez pour ronchonner. Il était à peine onze heures du matin, une heure tardive pour les personnes normales, mais une heure trop jeune pour ce bel homme. Il se recroquevilla, se positionnant comme un fœtus, il avait dormi chez des amis. La soirée avait été rythmée, il n’avait pas eu le temps de dire « ouf ». Ce fut alcool et drogues à gogo, tout pour finir dans un sale état, et ce dernier ne dérogea à la règle. Onze heures, dix. Il décida de se lever définitivement, cherchant sa chemise dans toute la pièce, il finit par la trouver, agrippant son écharpe autour du cou, il partit comme un voleur en croisant la jeune femme qui faisait le ménage au sein du foyer. Il la salua de loin et prit l’ascenseur. Son crâne ne cessait de faire boum boum, il n’arrivait plus à réfléchir, ni à penser. La soirée avait été différente de ses habitudes, il n’avait pas fini avec une femme, mais il avait fini en boxer sur le balcon avec une bouteille de champagne à la main. Ce genre de soirée est bonne enfant, rien de trop dangereux n’est abordé, mais les défis imposés relèvent peu le niveau. Après des cocktails, des dégustations de bons vins et l’incroyable vodka, on ne pouvait pas leur en vouloir, leur intelligence était limitée. Khelos recommença à ronchonner, il n’arrivait pas à avancer, la rue était complètement bloquée par les bouchons, son coupé sport ne cessait de ronfler à toute puissance. Il ouvrit la fenêtre de son incroyable joujou, regardant le ciel, il décida de s’allumer sa cigarette laissant sortir une épaisse fumée grisâtre qui se mélangea à celle de dehors. Il augmenta le son de son poste de radio en chatonnant les paroles qui défilaient au fur et à mesure. Avec un peu de patience, il arriva à se faire un petit chemin pour regagner sa demeure, d’autres diront que c‘est une tanière. Et je ne leur en tiendrai pas rigueur. Le jeune homme monta les escaliers pour se retrouver au chaud, prenant un café, il chercha des toasts qu’il fit griller, après tout après une telle soirée, il est normal d’exprimer un peu de faim. Mais sa journée ne se résuma pas à manger ou même à se doucher, bien au contraire, en tant qu’homme assidu quand il voulait, il se mit à lire une note de ses cours, un geste qu’il applique rarement, pourtant ça lui réussit si bien de faire le petit intellectuel ! 19h30 sonna ! le jeune homme avait une idée bien précise en tête, grâce à une de ses connaissances, il avait eu accès aux dossiers des élèves, une élève l’intéressait particulièrement. Il s’agissait de Coco Harper, une ancienne amie à lui. Ils avaient toujours été proches à Londres, jusqu’à se coller ! Pourtant ils s’éloignèrent très vite quand le jeune homme partit à York. De plus, il fut surpris de se trouver nez à nez avec son dossier, il se doutait qu’elle était dans cette université, mais il n’aurait pas imaginé une seule seconde que la jeune femme était bien là ! Il fut donc ravi de pouvoir ramener sa fraise devant elle. Une chemise noire, assortie d’un pantalon en pantalon gris, une écharpe blanche autour du cou, il était paré pour affronter cette déesse ! A vrai dire, il savait très bien que les retrouvailles allaient être difficiles à gérer ou même cosmiques mais c’était ce qui l’amusait !

Se retrouvant chez elle, il sonna à sa porte avant de remettre ses cheveux en place. Elle se décida à ouvrir, en charmante petite tenue. Ce n’était pas cette petite tenue qui attira son regard.. En fait si, Klaus restait un homme, il avait une politique, des yeux étaient faits pour voir et des mains pour toucher. Bien sûr, le moment était trop tôt, trop délicat pour user de ce privilège, il devait se contenter de regarder. On ne peut pas tout avoir. Un sourire ironique sur les lèvres, il tira de son dos une boite. Un petit cadeau pour la jeune femme. « Voyons, Coco, tu me connais mal on dirait ! Que fait un jeune homme de mon type devant ta porte d’après toi ? » Sa voix avait une seule qualité, elle n’était pas rauque, elle l’était mais peu, juste berçante, une qualité qu’il avait appris à exploiter. Il savait que sa voix arrivait à charmer n’importe qui. Elle se retourna, il ferma sa porte et se dirigea vers le salon, sauf qu’il laissa sa tête de côté pour regarder la jeune femme qui gambadait avec légèreté devant lui. « A vrai dire, tu as bien raison, je m’en fiche bien ! Tu pouvais être au lit, au bain, ou en train de manger, cela ne m’aurait pas empêché de venir te rendre visite. » Il prit un verre entre ses mains, le liquide précieux coula à l’intérieur, il referma le bar et laissa ses lèvres se mélanger au liquide. Un grand sourire aux lèvres, déguster un Scotch était la meilleure chose qui puisse être. Mais c’est presque qu’il avait oublié son éducation de gentleman ! Il suivit la jeune femme jusqu’à ce qui semblait être la salle de bain. Frappant à la porte, il se montra un peu désagréable, mais quand on a un présent pour une femme on peut tout se permettre. « J’ai une surprise pour toi ma chère ! ». Il s’agissait des pâtisseries dont la jeune femme raffolait le plus au monde. On ne peut guère oublier les goûts d’une dame, c’est en lui offrant ce type de présents qu’on peut marquer des points.
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Klaus & Coco

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Voyons, Coco, tu me connais mal on dirait ! Que fait un jeune homme de mon type devant ta porte d’après toi ? » me dit-il toujours avec sa prestance inimitable. C'est vrai que Klaus était un bel homme. Je ne l'avais jamais nié. Il avait ce pouvoir avec les filles, une espèce de magnétisme que la plupart n'avait pas. Tout chez lui était dans sa classe, ses gestes, sa façon de parler. Mais je ne me laissais pas avoir, même en apercevant la jolie boite qu'il me tendit en cadeau. Mes yeux louchaient dessus, comme une enfant qui voit son cadeau de Noël dans les mains d'un autre. Mais je me retenu, parce qu'après tout, c'est ce que je fais le plus souvent.. me retenir. D'ailleurs, je relevai les yeux sur lui, et si je suivais son regard, je tombais bizarrement sur mes cuisses ou ma poitrine à demi cachée par la serviette. ' Exactement Klaus. Je te connais trop bien, tu n'as pas changé ! Toujours aussi voyeur ... ' Il referma la porte derrière lui. Visiblement, il était là pour rester. Je marchais lui indiquant le bar
« A vrai dire, tu as bien raison, je m’en fiche bien ! Tu pouvais être au lit, au bain, ou en train de manger, cela ne m’aurait pas empêché de venir te rendre visite. » Je lâcha alors un petit rire ironique. Sans blague ?! C'était tellement son genre, mais je ne relevai même pas. Je m'en allais en direction de ma salle de bain, mon bain mousseux, bien chaud aux huiles essentielles m'attendait, et je devais être prête pour 20h. Je refermai la porte derrière moi, et laissa glisser ma serviette sur le tapis avant d'entrer dans ma grande baignoire et de m'y installer confortablement. Je déposai même sur mes yeux des rondelles de concombre, et me laissa aller, sans même m’inquiéter pour Klaus qui en ce moment même devait surement être entrain de se servir un bon verre de Scotch, comme à son habitude. Et alors que je commençais vraiment à me détendre, j'entendis quelqu'un toquer à ma porte. Non il plaisante j’espère. Mais non, je le vois rentrer sans gêne dans la salle de bain, alors que je suis nue dans mon bain. Je retire les rondelles de concombre de mes yeux en m'écriant ' Klaus ! Enfin ! ' Heureusement qu'il y a de la mousse pour cacher mon corps.
Je jete un regard noir à Klaus qui lui, en revanche semble totalement jovial. « J’ai une surprise pour toi ma chère ! » Il me tend la même boîte que tout à l'heure, sauf que cette fois-ci, elle me fait flancher. J’écarquille les yeux en voyant ce qu’il y a dans la boîte grande ouverte. Que des tentations, et je me sers avec hésitation un macaron aux couleurs pastels. Je le déguste dans mon bain, c’est génial, j’ai l’impression d’être une princesse, et c’est seulement pour cette raison que je pardonne cette irruption dans ma salle de bain. Je finis par le regarder à nouveau, il semble vouloir vraiment rester en plus. ‘ Heu .. dis-moi Klaus .. tu compte assister à mon bain encore combien de temps ? ‘ Je le regarde puis finis par reprendre ‘ Bon ok .. J’ai compris, retourne toi .. aller ! ‘J’attrape mon peignoir blanc, et l’enfile avant de nouer la ceinture autour de ma taille. Une fois prête, je reprends la parole ‘ C’est bon, tu peux te retourner. J’peux savoir ce que tu viens faire ici, au juste ? Que veux-tu de moi Klaus ? Ca fait vraiment longtemps … et d’ailleurs, si Aleksei te croise, il risque de ne pas vraiment apprécier … ‘ Aleksei était mon meilleur ami, même si je me doutais qu’il allait croire qu’il serait mon petit ami. En vérité, je ne sais même pas si Klaus sait que je n’ai jamais vraiment eu de relations, si je suis encore vierge. Mais ça, il ne risque surement pas de le savoir de si tôt, puisque tout le monde pense le contraire, à mes soins. Je nous fais sortir de la salle de bain en direction de ma penderie. Deux robes sont accrochées à des cintres de soie. L’une rouge de chez Dior, l’autre moulante de chez Carven. Je les montre à Klaus histoire d’avoir son avis sur ma tenue de ce soir, il a toujours eu d’excellent goûts vestimentaires, pour ça je lui fais entièrement confiance. Je le fais se retourner une seconde fois afin d’enfiler la robe qu’il a choisie, et le fais ensuite retourner, lui exposant mon dos à moitié nu ‘ Tu peux m’aider à la boutonner dans le dos, s’il-te-plait ? ‘ Pendant qu’il ferme ma robe, je ramène mes cheveux sur le coté afin de ne pas le gêner.


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