LEONARD « LEO » DICKSON ► Sam Claflin

caractèrePersonnalité troublante et inquiétante ❥ Excès de colères ❥ Manipulateur ❥ Jaloux ❥ Psychopathe ❥ Dangereux ❥ Pervers ❥ Maniaque ❥ Violent ❥ Impulsif ❥ Dominant ❥ Protecteur ❥ Déterminé ❥ Sociable ❥ Charismatique ❥ Intelligent ❥ Rancunier ❥ Têtu ❥ Honnête ❥ Sinistre ❥ Malsain ❥ Apparence doux et gentil ❥ Cache son jeu.

admission à harvard Il quitte l'Angleterre pour les États-Unis, à ses seize ans pour suivre une demoiselle. À deux, ils étaient plus forts. Ambitieux et motivés à réussir professionnellement, ils complètent leurs dossiers d'admissions, passent les STATs qui sont suffisants pour passer les entretiens. Leurs candidatures étaient encourageantes, les voilà officiellement étudiants à la prestigieuse université d'Harvard. Un an plus tard, les deux jeunes étudiants se séparent. Une énième crise de jalousie, des paroles violentes et blessantes, la relation devenait toxique et elle le quitta.

story of my lifeLéonard, né à Londres, en Angleterre, s’est installé à Boston, il y a neuf ans. Fils unique, et abandonné par son père, Léo était un enfant doté d’une personnalité troublante et inquiétante. Alors que les autres enfants se socialisaient en jouant dans la cour de l’école, lui, préférait s’isoler dans son coin. Poussé par des excès de colères, il n’éprouvait aucune émotion à détruire verbalement ses camarades. Sous les yeux ébahis du personnel d’éducation, ce comportement était perçu comme étant un « enfant à problème » qui pourrait causer bien des tourments. Autour de lui, Léonard faisait subir à son entourage et notamment sa mère, sans emploi, alcoolique et droguée, un véritable calvaire. L’autorité paternel absent, il la vidait de son énergie par des cris, des pleurs et des hurlements à répétition. A l’adolescence, il avait honte d’elle et n’hésitait pas à la bousculer moralement. Il était devenu insensible aux besoins des autres et uniquement concentré sur ses propres envies. Hautement manipulateur, il lui retournait le cerveau. Une première proie facile et vulnérable. Ils vivaient dans la banlieue de Londres dans un véritable taudis et les dettes s’accumulaient. Il a très vite compris que sa mère dépensait le peu d’argent qu’ils avaient. Il a commencé par se mêler de ses dépenses et notamment les relevés de comptes bancaires. Un dénommé, « Mr. Agustín Garcia » virait énormément d’argent tous les mois sur le compte de sa mère. Mais qui était-ce ?

C’était son père. Un homme puissant, riche et isolé fiscal qui avait monté un empire en quelques années. C’était simple, en une seule recherche Internet, il connaissait son parcours professionnel. PDG d’une société cinématographique, il avait trouvé des bénéfices juteux dans la mafia et la prostitution. Cet homme n’était pas bon. Mais avait-il de la culpabilité à avoir abandonné Léonard ? Avait-il un intérêt à verser des sommes exorbitantes à sa mère ? Pour en savoir plus, il fallait s’adresser à l’intéresser, sa mère. Elle en était terrifiée et s’était donnée à lui, à l’époque où elle exerçait dans un hôtel en tant que femme de chambre. C’était un homme de pouvoir, terrifiant, à obtenir tout ce qu'il voulait des autres. Son objectif était d’acheter son silence pour éviter que ces plans tombent à l’eau. C’est lors du décès de son paternel, que Léo rencontra sa demi-sœur. Ce jour là, il apprenait également qu’il était trois enfants. Sa seconde sœur n’était pas présente à l’enterrement. Intrigué par cette famille recomposée, il se rapprochait dangereusement de la plus jeune. Il souhaitait connaître ses racines et le passé tumultueux de Agustín, son père. Ainé de la famille, il est l’héritier direct de la fortune de ce bandit au sang glacial. Mais Léonard se moque de cet argent, il veut juste s’amuser en jouant avec les nerfs de sa sœur et lui faire croire, qu’elle serait ruinée, fauchée et malheureuse. Il n’a rien à envier à cette classe sociale, c’est un homme qui vit simplement. Les biens matériels sont futiles et avides de sans.

Il s'est installé à Boston, dans un appartement près de Downtown. Entre deux cours à l'université d'Harvard, il passe ses journées à travailler pour le musée des beaux-arts de Boston en tant qu’agent d’accueil et de surveillance, plus communément appelé : Gardien. Un métier polyvalent qui lui permet de rencontrer de nombreux usagers. Et notamment, une. Carter, d’origine irlandaise, iI est fasciné par sa beauté. Il en est sûr, elle est faite pour lui, et il est fait pour elle. Léo analyse et interprète chaque geste et chaque mot de Carter, devient obsédé par elle, commence à la traquer sur les réseaux sociaux, décortique le moindre aspect de sa vie, la suit, l’épie lorsqu’elle est chez elle… Et décide de la « sauver » d’une vie qui, selon lui, ne lui convient pas. Ce qui implique d’écarter, un à un, tous ceux qui se mettront en travers de son chemin. Vous l’auriez compris, il possède un double visage. Derrière la façade, du gardien sympathique et équilibré se cache un psychopathe sans remords ni culpabilité, qui justifie ses actes par sa conviction qu’il agit pour un Bien supérieur. Léonard est inquiétant, sinistre, malsain ; il n’y a aucune histoire d’amour, si ce n’est dans son esprit perturbé. Avec Carter, c’est différent. Il est sûr de lui. C'est la bonne.
Pendant ce temps-là, il continue à collectionner les squelettes d’animaux morts cachés dans une boite en métal avec les dents de sa première victime, une jeune femme nommée Elizabeth Thomas. Un drame amoureux, une histoire tragique et cruelle, Léonard a tué sa petite amie. Un coup de couteau par ci par là et c’était réglé. Comme tous bons psychopathes, Léo prend un certain plaisir à tuer et n’hésite jamais vraiment à le faire pour régler ses problèmes.