Hartley Wilson ► Charles Leclerc

caractèreAmbitieux- Attentionné- Charismatique- Déterminé- Dynamique- Entregent- Expressif- Honnête- Observateur- Vif d'esprit- Romantique- Sentimental- Sexy- Sportif- Souriant- Talentueux- Tenace- Travailleur

Bavard- Boudeur- Compétitif- Excessif- Impulsif- Jaloux- Lunatique- Mesquin- Rancunier- Vulgaire parfois.

il n'a ni tatouage, ni piercing. il a déjà fait de la chirurgie pour son épaule droite qui s'en est entièrement remise. il a déjà eu un accident de voiture qui a failli lui coûter la vie mais il s'en est sorti presque indemne. ses cheveux restent les mêmes, il n'y touche pas. il consomme de temps en temps de l'alcool et fume occasionnellement. il possède un accent proche de celui du Texas. il est entièrement ambidextre, il est fils unique d'un père homme d'affaire et d'une femme qui profite tout de même de l'argent de son mari. il est chrétien athée, il ne croit pas en dieu et trouve que c'est des foutaises.

admission à harvardTON ADMISSION À HARVARD - Sportif de talents, SAT's plutôt moyens, Hartley avait misé sur le fait que ses réussites sportives puissent l'aider a rentrer, lui qui n'est  généralement pas stressé n'a pas dormi de la nuit, pourtant il avait tout prévu, il savait vendre, se vendre même. Puis en cherchant son nom sur google on avait déjà une page Wikipédia avec un palmarès bien fourni en kart, et en monoplace quand le jeune garçon avait seize dix-sept ans, dans ses eaux la. Il avait passé la nuit a jouer a l'ordi, pour faire passer le temps ouais, il n'y avait clairement rien d'autre a faire. Sa dissertation sur ses projets, soit la formule1, que ce soit pilote ou chef d'une écurie devait surement avoir fait effet, surtout au vu de toutes les complexités du domaine que j'ai ajouté, et la dissertation avait bien fait une bonne dizaine de pages recto-verso, en se décrivant lui-même avait pu faire effet. Et c'était sur, elle avait du faire effet. Qui vise aussi haut? Quelqu'un qui pense avoir le potentiel. Ça veux tout dire, que ce soit de la détermination ou de l'envie d'atteindre des sommets. Chacun a ses objectifs, chacun a son sommet, le mien est d'être en haut Voilà la dernière phrase de sa dissertation.  L'entretien s'est passé avec un homme bien présenté, tailleur chic et bien rasé, que ce soit pour l'homme bien plus âgé que Hartley, ou pour le jeune américain aussi. L'entretien a duré assez longtemps, bien quarante-cinq minutes, passés par des questions en tout genre sur le campus, les enseignements et tout ce qui va autour, le jeune Hartley a clairement réussi haut la main l'entretien, contrairement aux SAT's, il faut dire qu'il est habitué a prendre la parole et dire ce qu'il faut savoir dire alors quelques semaines après lorsqu'il recu la lettre d'admission, évidemment qu'il veut content, n'importe qui le serait.

story of my life"On va faire du karting Papa?"
"Non Hartley pas ce weekend"
La chose a ne pas dire, et hop un caprice enclenché. Petit Hartley se laisse pas faire et commence a se plaindre.
"Mais comment je vais être pilote de F1 si je m'entraine pas Papa!!"
Le petit en a du coffre, il semble crier avec sa voix enfantine, il veut clairement pas rater son habituelle session de karting, et l'objectif du jeune bonhomme est clair, c'est déjà la F1, comme les trois/quarts des gamins qui font du kart à son age. Son père le regarde longuement avant de soupirer et dire simplement
"Va chercher ta tenue et ton casque. On y va, je prépare le kart"
"OUIIIII!" Crie le petit Hartley en se ruant dans les escaliers comme une balle

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Quelques réussites en karting et a seulement quinze ans un appel d'un numéro, inconnu. Hartley prends son téléphone hésitant avant de décrocher.
"Hm..Allo?"
Une voix résonne dans le téléphone, il semble simplement dire
"Bravo monsieur Wilson, vous savez vous faire un nom a ce que je vois."
L'adolescent que fut Hartley hausse un sourcil avant de tout bonnement dire.
"Euhm.. Merci. Excusez-moi c'est surement impoli mais.. qui êtes-vous?"
L'homme rigole derrière son téléphone avant de simplement dire
"Gunther Steiner, directeur de l'équipe Haas. On possède un programme jeune ou les petits prodiges comme toi passent par d'autres catégories pour accéder a la F1 possiblement."
Un sourire apparait sur le visage de l'homme, ça commence alors a marcher, la concrétisation de weekend, qu'ils soient dans un froid hivernal a pleuvoir alors que tout les autre gamins arrêtent et que lui était la les mains gelées a continuer a rouler et a pleurer dès qu'il arrêtait a cause du froid qui le tétanisait, tout ces efforts sont enfin concrétisés. Alors il dit simplement
"Hm. C'est avec plaisir monsieur."
"Je vous envoie le contrat alors."
Hartley réponds poliment et raccroche avant de pêter un plomb, sautant dans tout les sens fou de joie.  

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"Haaartley? Viens voir."
La voix de Lisa, la mère de l'américain résonne dans la maison familiale. Et Hartley sans un mot semble descendre voir sa mère. Qui directement lui dit donc
"C'est quoi ça?"
Hartley arque un sourcil donc, avant de se demander ce qui se passe donc.
"C'est quoi ça je t'ai demandé monsieur Wilson."
"Euh.. J'peux savoir ce qui te prends m'man?"
Elle le regarde et le fusille du regard avant de simplement dire . Ca sens pas bon du touuut pour Hart.
"C'est quoi cette lettre d'admission à Harvard tu peux m'expliquer." Dit-elle en souriant.
"Fais pas ça, j'ai cru t'allais m'engueuler." Lache le jeune homme calmement.

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"And welcome to the young star Hartley Wilson to Haas F1 team as reserve driver"
Les caméras braquées sur toi dans une salle plutot grande, ou toute l'usine est présente. Quelques mots bafouillés et clairement peu préparé a être devant autant de gens, ça semble passer, certains applaudissent. Et l'homme qui t'a appelé bien plus jeune a vu le pilote réserviste grandir, s'améliorer et mûrir, il le regarde calmement avant de juste dire "Merci Gunther." Il sourit avant de simplement dire "Tout le plaisir est pour moi gamin." Je rigole alors, il est sympa comme gars.

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La télé résonne dans les stands. Grand-Prix d'Amérique, on a entendu y'a quelques jours sur les télés américaines que un jeune pilote Américain va participer au Grand-Prix d'Amérique, de plus c'est le seul Américain, et sa première course c'est sur ses Terres. Et le voilà Hartley. Les qualifications reflètent ni un bon ni un mauvais résultat, il partira dixième sur vingt pilotes. Un long souffle se fait entendre dans la radio alors que le relais radio entre Hartley et son collègue qui lui dis simplement
"Concentré Wilson, tu peux le faire. Si t'es ici c'est que tu le mérites, t'es chez toi. Montre a ton pays que tu vas redorer le blason. Tu peux clouer le bec a tout le monde."
Alors que les mécaniciens sont tous autour de la monoplace rouge, il semble retirer les couvertures chauffantes des pneus et se reculer, le petit américain semble simplement dire
"Merci, je vais ramener la monoplace déjà."
Il ne dis plus rien, silence radio, passe en apnée. Les feux s'allument: Rouge-Rouge-Vert. Les moteurs de toutes les monoplaces s'emballent et montent dans les tours, le départ commence, et les voilà lancés sur la ligne droite. La course se passe bien, le voilà a l'avant dernier tour, à une position remarquable pour le jeune pilote il est troisième derrière les cadors du championnat. Ce tour se passe bien, mais le dernier tourne au drame. A la télé tout le pays entends alors
"Dernier virage bien négocié par Wilson, troisième place assurée par le pilote Haaaaaas..!"
Un silence de mort, le pneu arrière gauche qui explose, la monoplace qui perds tout contrôle, et Hartley qui s'envole dans les airs, plusieurs tonneaux avant de se retrouver bloqué, impossible de sortir contre la barrière a quelques mètres de l'arrivée, la voiture méconnaissable et commençant a prendre feu. Et sous l'émotion Hartley semble rapidement et fébrilement dire
"Venez me sauvez, je suis bloqué! Je prends feu. Je veux pas mourir! Vite."
Les différentes personnes responsables de sécurité arrivent avec des extincteurs pour éteindre le début du feu a l'arrière de la monoplace alors que Hartley lui reste bloqué de longue minutes dans l'attente de la remorque pour remettre la voiture sur ses roues, du moins ce qu'il reste de cette voiture. L'attente dure bien cinq minutes, cinq longues minutes ou Hartley parle avec les membres de son équipe.
"J'ai mal au cou, venez me retirer de là."
Et voilà la remorque qui met la voiture sur ses quatre roues. Sans un mot le pilote sors de la monocoque ou il était installé, partant directement vers le poste de secours le plus proche.