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(kristin) ❝ Money is the anthem of success.❞

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“. Money is the anthem of success.“
L’eau lui brûlant les mains, Nolan s’appliquait à nettoyer les verres et la diverse vaisselle en prenant soin de faire un travail exemplaire et rester ainsi à l’abri, dans la petite cuisine du pub, de l’heure bondée du soir. Il n’avait jamais véritablement aimé l’idée d’avoir un job – combien même il appréciait certains de ses collègues et l’esprit pouvant régner dans l’équipe –, alors exercer en plus dans une foule claquant argent sur argent… quand il pouvait s’y soustraire, il affichait un non merci. De plus, malgré le fait que l’endroit ne soit pas assez réputé pour attirer talons claquant à semelles rouges et ongles griffés d’un vernis coûteux, le Kingsley se méfiait toujours de croiser une connaissance avec laquelle il se projetait dans un avenir florissant et de casser ainsi sa possible dernière identité créée pour plaire à cette femme. Après tout, cela ferait longtemps qu’il aurait été connu sur le campus s’il faisait à toutes le coup du pauvre enfant qu’il était vraiment, déjà que ce n’était pas glorieux d’être un Oliver Twist avec famille… Cela lui semblait moins digne d’assumer sa vraie nature que de vivre en arnaqueur de ces dames. Après tout, il fallait bien des personnes pour attraper la pancarte “escroc, mauvaise personne“ avant de naître car pour faire un monde, il faut de tout. C’était une des excuses qu’employait Nolan dans le plus grand des silences, car pour le moment, il n’avait personne auprès de qui se faire pardonner – ou presque. Indéniablement, le Kingsley vint à penser à son ex, Quinn Alexis qui avait su cerné sa nature suite à leur rupture. Normalement, les filles côtoyées se contentaient d’un “Je ne veux plus jamais te revoir !“ lancé sur un ton dédaigneux, pendue au bras d’un homme n’ayant rien à envier à Ken. Mais pas la Prescott et c’était un problème, une pente dangereuse. Il fallait espérer qu’elle saurait se venger avec d’autres moyens que de se lancer dans un aveu complet. Il n’y avait rien de pire qu’une femme voulant condamner un homme, la gent féminine ayant probablement inspiré les forces du mal des divers dessins animés ou les dieux grecques. En bref, les filles avaient un côté vraiment effrayant.
« Kingsley, en salle ! balança soudainement un collègue. Maintenant que le rush est passé, tu peux faire un effort…»
Il était vrai qu’il n’était pas censé être abonné à la plonge, mais ça lui évitait de se frotter à des clients de mauvaise humeur. L’étudiant soupira et secoua ses mains sur le lavabo avant de les essuyer sur son jean noir. Il rejoignit la salle principale du pub et constata avec soulagement qu’il était possible de circuler à présent.
« Nol’, lança le collègue qui l’avait cherché, lui donnant une tape dans le dos. J’ai la cliente parfaite pour toi, pile ton genre ! rit-il avant de le forcer à se retourner et à la pousser discrètement derrière le bar.»
Le rire de Nolan n’eut pas le temps de naître, se retrouvant avorté lorsqu’il fit face à la cliente qui était effectivement son genre : belle à accrocher les deux yeux, ongles parfaitement manucurés et sac griffé posé sur le large comptoir. Sauf qu’il savait que ce n’était pas une bonne proie car pour une fille fortunée, Kristin était sur ses sous et après un essai semblant fructueux et plein de promesse, elle s’était mise en tête d’être remboursée. Et forcément, Nolan ne pouvait pas se le permettre.
« Taylor, quelle agréable surprise ! Qu’est-ce que je te sers ? C’est pour la maison, charma-t-il comme si la somme qui lui devait n’existait pas.»
Néanmoins, il y avait plus moche comme créancier, mais peut-être pas aussi terrible.
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J'étais vraiment fatiguée de cette journée improductive. Ces cours de danse se passaient relativement mal me donnant l'impression pour la première fois de ma vie dans le domaine artistique d'être une épave. Kovu était d'une patience d'ange mais la rage qu'il mettait à repousser mes avances n'aidait pas du tout. Je n'étais pas jalouse moi, pas même d'un futur bébé. Bon certes, ça allait un peu loin de fantasmer sur un futur père, même pour moi. Mais la tension s'était accumulée malgré la longue douche bouillante sous laquelle je m'étais plongée et je ne connaissais pas de meilleur moyen de l'évacuer que quelques cocktails alcoolisés. Peu regardante pour une fois sur la tenue que j'allais mettre, je pris la première robe qui se présenta, de toute façon, j'aimais toute ma garde robe; Il se trouvait qu'elle était pourpre mais c'était un détail. Ce soir je n'étais pas de bonne compagnie et c'est maussade que je passai la porte d'un pub que je ne fréquentais que de temps à autres. Il y avait du monde, peut-être des personnes que je connaissais mais même mon regard ne s'attarda pas. Je me dirigeai vers le bar avec pour seule idée d'oublier cette saleté de répétition et toute la frustration.
Je m'installai donc au bar, pleine d'espoir pour cette soirée en solitaire. Je pianotai sur le bar, le regard perdu dans la carte, cherchant ce qu'il y avait de plus fort lorsqu'une voix me hérissa. Non ? Heureusement que je ne croyais pas en Dieu car je l'aurais pensé capable de me poursuivre de ses assiduités dans le but de transformer ma vie en cauchemar... Je relevai la tête et dardai mes pupilles à présent emplies de colère sur Nolan, ce petit enfoiré.

- Nolan...

Imaginez une invitation par un mec vraiment attirant qui se finit en crise totale car vous avez dû tout payer, même le taxi pour le ramener chez lui... Il m'avait prise pour l'imbécile que je ne suis pas et malheureusement pour lui j'avais une très bonne mémoire. Je me penchai vers lui en appuyant sur chacun des mots :

- Mais mon chéri, ça n'est pas un verre offert qui va me rembourser tout ce que tu me dois; A mon avis ta paie va y passer sans compter les intérêts. Donc tu vas commencer par ce cocktail et te servir la même chose.

Je lui désignai un Sex on the beach, un sourcil relevé.
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C’était un fait indéniable : elle possédait un visage et un corps pour lesquels un homme se serait damné. Découvrir qu’en plus elle possédait une fortune à ses pieds chaussées de Jimmy Choo avait fait d’elle une personne ayant plus qu’accroché son regard foncé. De ce fait, il avait complètement oublié ce proverbe se faisant leçon de vie : Les apparences sont trompeuses. Là où il avait vu le temps d’une soirée une jeune femme légère à l’argent glissant entre ses doigts avec une vitesse déconcertante, se trouvait être au petit matin et en réalité une prêteuse sur gage, vrai dragon avide de son or, sortant les griffes dès qu’elle devait visiblement dépenser un dollars pou autrui – ou était-ce ainsi que Nolan aimait voir la situation. Il s’était laissé avoir alors qu’il était le parfait exemple à présenter pour ne pas se fier à n’importe quel air angélique. Et il avait bêtement cru que cela passerait à la Taylor qui se faisait cliente nocturne de son bar.
« Nolan… »
Elle n’avait strictement pas oublié d’un centime ce qu’il lui devait à entendre son ton. Le Kingsley sentit un frisson lui parcourir le long de son échine et sut se retrouver dans l’armure d’un prince de contes de fée. Il savait à présent ce que c’était que de se sentir à l’étroit, enfermé dans une lourde ferraille lorsque le dragon à affronter ouvrait son oeil jaune, prêt à faire déferler sa fureur. Néanmoins, peut-être que dans son cas à lui, il serait plus juste de dire qu’il avait parfaitement conscience de la situation fatale du brigand mal fringué ayant cru pouvoir subtiliser quelques pièces au grand reptile avant de se retrouver dans sa gueule…
Peu à l’aise mais ne perdant pas son masque pour autant, le serveur hocha la tête.
« Mais mon chéri, ça n’est pas un verre offert qui va me rembourser tout ce que tu me dois; À mon avis, ta paie va y passer sans compter les intérêts. Donc tu vas commencer par ce cocktail et te servir la même chose. »
La franchise est la meilleure des diplomaties, avait aimé écrire le dramaturge russe Ivan Tourgueniev. Il fallait avouer que la franchise était un moyen sûr d’aborder le problème de face sans s’embarrasser des diverses parades ne servant qu’à s’éloigner du sujet. En effet, la Taylor était décidée à prendre un chemin pour arriver à sa Rome, soit au remboursement du Kingsley. Ce dernier ne put réprimer un sourire peinant à cacher une grimace. Non seulement la jeune femme se faisait franche, mais elle voulait également l’alcooliser sur son lieu de travail ! Elle était aussi belle que terrible.
« Te rembourser en te rendant ivre, c’est une idée qui me plaît, blagua Nolan pour essayer de prendre le contrôle de la situation. Le visage impassible (car ce n’était pas la première fois qu’il se retrouvait dans une pareille situation, seul le montant changeait de manière inquiétante), il attrapa les différentes bouteilles nécessaires au désir de la Taylor et répondit à ce dernier assez rapidement, s’arrangeant au passage pour ‘omettre’ de glisser de la vodka dans son propre verre. Il déposa par la suite le verre alcoolisé devant Kristin : Et voilà, cheers ! Je t’ai connue avec une meilleure humeur. Qu’est-ce qui t’arrive ? Je suppose que je te dois bien de jouer le psychologue gratuitement… dit-il en se redressant, un sourire presque charmeur aux lèvres, son verre au bord des lèvres.»
Ne pas formuler concrètement que l’écouter s’épancher sur sa vie pourrait rembourser les intérêts était une manière de ne pas ramener cette histoire de créancier sur le comptoir. Pour le moment, instinct de survie oblige, il devait s’éloigner de ça car il n’avait aucune idée de ce qu’il devait faire, mise à part le fait qu’il ne pouvait pas lui rendre son argent. Peut-être que dans plusieurs années, s’il réussit ses études et obtient sans faute sa maîtrise, il pourra le faire sans grande peine. Néanmoins, il semblait que la Taylor n’avait pas la patience pour adoucir ses traits. Comment diable avait-il pu se laisser jouer par ce beau visage ? Pourtant, malgré cette question, il n’envisageait pas de changer son mode de vie.
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J'aurais pu rire, oh oui j'aurais pu mais le souvenir cuisant devait se payer et ça n'était pas l'argent qui m'intéressait, mais bien rendre coup pour coup. La loi du Talion en quelque sorte. Et visiblement, il n'avait pas bien compris à quelle sauce je comptais le manger. Si le sourire de Nolan était une pauvre imitation, le mien était on ne peut plus reluisant.

- Non, tu n'as pas bien compris, ça n'est pas moi qui vais être ivre ce soir !

Je lui fis un clin d'oeil mesquin tandis qu'il se tournait pour s'activer avec des bouteilles. Bien entendu il allait essayer de noyer le poisson, de jouer de son visage d'ange mais j'étais assez à l'épreuve des balles à ce niveau et la frustration de la journée augmentait considérablement mon degré de mauvaise humeur. Je lorgnais quand même vers le reste de la salle, savourant cette soirée qui rachetait plutôt bien le reste de...de tout depuis mon lever.

- Cheers oui !

J'étais loin de penser qu'il allait garder la santé bien longtemps en fait...
Mais quel culot ! De meilleure humeur ? En fait si, j'allais être de meilleure humeur dans quelques verres, de bien meilleure humeur mais rien à voir avec l'ivresse de l'alcool. Je portais le verre à mes lèvres et savourai la première gorgée. Me pinçant les lèvres j'approchai mon visage du sien qui comme je l'avais supposé tentait vainement de me détourner de mes intentions.

- Mon humeur s'améliore, tu dois être fin psychologue en effet. Mais bois donc ton verre ! Cul sec !

Je tournai mon doigt en l'air pour l'inciter à ingurgiter tout le liquide et un vrai sourire illumina mon visage en le voyant s'exécuter. Voilà ! Et de un ! Repoussant mon verre vers lui, j'inclinai la tête.

- Comme tu aimes beaucoup t'amuser avec ce qui m'appartient, je te propose de boire le mien en plus. Ne perdons pas les bonnes habitudes.

Je n'avais pas de doute quant au fait qu'il devait tenir l'alcool en raison de ce job mais je tenais certainement plus encore à ma dignité. On aurait pu passer une bonne soirée ensemble...la dernière fois, certainement. Il avait juste légèrement compromis la situation. Un si joli minois et d'aussi peu belles manières. Tout a un prix, tout se paie, il allait falloir qu'il le comprenne et je me proposais comme professeur. Peut-être avait-il de quoi me rembourser, je l'ignorais mais en fait, le jeu était beaucoup plus plaisant qu'un échange de quelques billets.
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« Non, tu n’as pas bien compris, ce n’est pas moi qui vais être ivre ce soir ! »
Un clin d’oeil féminin additionné à cette phrase et il se sentit définitivement comme un homme à jeter de la planche d’un bateau de pirates. Il lui restait de ce fait deux choix : sauter de soi-même dans le grand bain armé de dents ou essayer de parlementer. Pendant la préparation du cocktail, il choisit rapidement la seconde option, instinct de survie oblige. Cependant, il n’était pas certain de survivre pour autant ou de s’en sortir dignement, en entier. Vraisemblablement, Kristin avait des idées à son égard, la première ayant été soufflée précédemment. Elle voulait le bourrer. Ce fait laissait perplexe le barman du soir. S’il terminait alcoolisé, il se ferait sévèrement remontrer les bretelles par son patron, voir virer. Dans cette dernière optique, la Taylor se retrouverait avec un créancier purement et simplement incapable de la rembourser. Certes, ça ne changeait pas du cas présent, mais dans cette situation, même la volonté ne pourrait rien y faire. Autant dire que c’était tirer une balle dans le pied du Kingsley ou à défaut d’une balle, lui transpercer son pied avec un talon affiné par Christian Louboutin métaphoriquement. Peut-être était-ce exactement ce qu’elle cherchait. Il était mal barré, il le sentait comme un faon cible du regard pesant d’un gros félin.
Il se retourna pour déposer le verre sur le comptoir, prenant soin de garder le sien non-alcoolisé à portée de main. Elle souhaitait peut-être tester sa résistance à l’alcool, soit. Mais comme à n’importe quel jeu, il n’était pas impossible de tricher.
« Cheers oui ! Mon humeur s’améliore, tu dois être fin psychologue en effet. Mais bois donc ton verre aussi ! Cul sec !
Je vois ça, commenta-t-il en se demandant d’où venait cette subite mesquinerie dans les yeux de Kristin. Si je suis si fin que ça, n’hésite pas à m’ouvrir ton âme, ajouta-t-il en prenant un air faussement sérieux teinté de romantisme avant de sourire pour dévoiler la blague. Oh oui, qu’elle lui ouvre son esprit pour qu’il comprenne enfin ce que cachaient ces beaux traits ! Voilà un ordre difficile à refuser. Peut-être que se comporter comme un ami auprès de la jeune femme lui permettrait de la trouver moins impressionnante. Peut-être. »
Bien que son incitation gestuelle pour le faire boire lui inspira une image de propriétaire canin, il préféra obtempérer en se disant que cette demande pouvait passer pour amicale. Dans un cadre où il n’était nullement question d’argent et qu’aucune menace même légère n’avait été lancée. Mais ils étaient bel et bien dans ce contexte et il le comprit lorsque la Taylor poussa son verre vers lui, lui faisant hausser un sourcil.
« Comme tu aimes beaucoup t’amuser avec ce qui m’appartient, je te propose de boire le mien en plus. Ne perdons pas les bonnes habitudes.»
Rends-lui son argent et casse-toi, fut le message d’alerte qui traversa l’esprit du Kingsley alors qu’il maintenait un visage perplexe face à celui proche de Kristin. Il n’avait aucune idée de ce que pouvait cacher cette phrase, mais c’était un reproche clair comme de l’eau de roche sur leur soirée qui aurait coûté un saladier pour une personne de sa classe. Sceptique et sur ses gardes, il tendit une main vers le verre de Taylor, la gardant à l’oeil. Il était certain à présent qu’il essaierait d’éviter de lui tourner le dos. Mais il ne montra pas cette crainte, optant pour un haussement d’épaule avant d’attraper le verre et de le porter à ses lèvres pour en prendre une gorgée.
« C’est la première fois qu’une fille me renvoie un verre que je lui ai offert, dit-il en posant ce verre à côté de lui. Je suppose qu’on ne fait pas de remerciements dans ce cas, ajouta-t-il, pensif. Non, un “merci“ ne se présentait pas, surtout lorsque le cadeau avait une apparence de pistolet chargé d’une seule balle. Mais si je peux me permettre… une habitude n’est-elle pas une chose qui se répète souvent ? Ou dois-je réviser mon dictionnaire ? ou t’inviter à nouveau à sortir ? demanda-t-il en s’accoudant sur le bar. Même si avec cette deuxième option, j’inverserai plutôt la situation du premier rendez-vous.»
Il n’avait aucune idée de comment se sortir de ce pétrin et ni dans quel pétrin il était fourré, ou venait de se fourrer. Il savait simplement que le sort de sa peau subissait un verdict sourd à ses oreilles.
Nolan se releva et pour se donner de la consistance dans cet échange instable pour son sort, but la fin du verre de la jeune femme. Un peu d’alcool n’a jamais fait de mal pour mieux gérer une situation tendue.

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