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INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth

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 Inès Baldwin

  • 14 avril 1996
  • Bristol, Angleterre
  • 22 ans
  • anglaise
  • Rien ne la fait fondre comme un regard de braise, son regard de braise, des épaules larges et des joues barbues.
  • C’est un peu compliqué, elle ne peut pas vraiment être avec celui qu’elle désire, elle n’ose pas dire « celui qu’elle aime ». Perdue dans ses sentiments, elle ignore si elle est tombée amoureuse de lui le temps qu’a duré leur relation, aussi brève que passionnée, enflammée. En tout cas, elle ne cesse de penser à lui depuis qu’elle a brutalement quitté sa vie pour le protéger de ses vieux démons. Elle ne se contente que des souvenirs avec lui qui hantent son cœur et son esprit.
  • loin de rouler sur l’or
  • Musique
  • Chant
  • échapper à ses problèmes
  • oui

GRACE ELIZABETH
MAISON OU NON ?
Non merci... Il est vrai qu’il est plutôt prestigieux d’integrer une des maisons du campus, mais Inès n’en a ni le temps, ni l’envie, ni le besoin. Aucune maison ne pourrait vraiment lui coller à la peau, elle est trop complexe, et en même temps, elle se retrouve un peu partout... De plus, sa vie est trop compliqué, elle a d’autres priorité, sa vie n’est pas assez stable pour qu’elle puisse se le permettre. Son unique but aujourd’hui est de réussir dans la musique. Sans parler de gloire ou de célébrité, elle veut juste en faire son métier, rien d’autre n’umporte.
Inès est une jeune femme douce, très réservée, secrète et mystérieuse. Sa vie, semée d’embûches et d’erreurs, l’a forcé à se forger une carapace difficile à fissurer. Intelligente, elle a toujours eut de très bons résultats scolaires, pourtant, elle se laisse guider par sa passion, la musique, espérant en faire sa vocation et son métier. Drôle, elle a un grand sens de l’humour, impossible de s’ennuyer avec elle. Simple, car sa vie est déjà trop compliquée. Rancunière, malgré sa douceur, Inès ne se laisse pas marcher sur les pieds, ce n’est pas le genre de fille qu’il faut chercher.


Havard c’est... l’élite suprême. Pour toi, petite anglaise de Bristol, c’était le rêve américain. Jamais tu n’aurais cru que ça pouvait t’arriver. Et pourtant... Tu n’as que six ans quand on t’incite au piano. Gamine d’un quartier pauvre, ce n’était pas ta destiné. Ta mère bossait pour des gens riches, ils t’ont permis de suivre les cours de piano avec leur gamins friqués pendant les heures de ménage de ta mère. Tu t’es rapidement démarqué des deux autres, tu avais quelque chose de spécial quand tu jouais. Le prof, Mr Claffin, a poussé ta mère à t’encourager dans cette voix, tu avais du talent, un don, il le savait. Tu ne voulais pas être moyenne, tu voulais être la meilleure. Et comme le talent ne suffit pas, tu as bossé d’arrache pied du matin au soir pour surpasser tout le monde. Tu gagnais des concours à la pelle, jusqu’à intégrer un programme spécial, d’abord chez toi, en Angleterre. Puis tu as reçu une proposition du plus célèbre cursus musical au monde, au sein d’un lycée américain. Plus rien ne te retenais en Angleterre, alors tu es partis sans te retourner. Arrive en dernière année, tu as dû choisir quoi faire pour la suite. On te parlait d’Harvard et de son incroyable département artistique. C’était ça que tu voulais, et tu allais l’avoir. Tu as donc commencé à monter un dossier en béton, les concours remportés, l’école en angleterre, celle en Amérique, de nombreuses lettres de recommandations... Tu voulais en mettre plein la vue, et surtout plein les oreilles aux américains. Tu es sélectionnée pour passer les stats, plutôt bonne élève dans les matières scolaires, tu obtiens des résultats satisfaisants pour la seconde étape. Tu mets tes tripes sur papier, des mots sur ta passion, afin de pondre une dissertation pouvant exprimer un millième de ce que tu peux ressentir quand tu es assise au clavier d’un piano. Puis tu es venu passé une audition sur le campus, ça a été un franc succès. Malgré tout, toutes ces étapes n’ont pas été qu’une partie de plaisir. Ça a été difficile, tu as du donné tout ce que tu avais au fond de toi.
Aalye
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Aalye et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Vos impressions sur le forum J’ai été inscrite il y a bien longtemps, j’ai du partir mais je suis de retour pour de bon.. J'utilise Grace Elizabeth comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par morphine. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé

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si personnage inventé:  
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9209]☆[/url] ☆ <span class="pris">GRACE ELIZABETH</span> ◊ “ Inès Baldwin”[/size]

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Gosse de la rue, je suis née à Bristol, dans la banlieue de Londres, au sein d’une famille monoparentale. Je n’ai jamais connu mon paternel. Fille unique élevée par ma mère, mon enfance n’a pas été rose tous les jours. Nous manquions de tout, d’argent essentiellement. Elle essayait pourtant, ma mère, elle faisait du mieux qu’elle pouvait mais ce n’était jamais suffisant. La vie et la société ne sont pas tendre avec une mère célibataire. Je crois qu’à un moment donné, je ne saurais pas dire quand exactement, elle a baissé les bras. Et la situation s’est aggravé. Malgré tout cela, je sais qu’elle n’a jamais cessé de m’aimer et que son but était que moi je m’en sorte.

Ma mère faisait des heures de ménages chez des gens très fortunés pour finir les mois. De seize heures trente à dix neuf heure, elle était chez les Ferguson. Après l’école, elle m’emmenais directement chez eux. Je m’entendais bien avec leur enfants, James et Eleanor. Je faisais mes devoirs pendant que ma mère travaillait, puis un jour, les enfants on commencés à prendre des cours de piano. Monsieur et madame Ferguson ont proposés à ma mère de m’en faire profiter gratuitement. Après de longues négociations, elle a finit par accepter. Pour elle, c’était un truc de riche, il ne fallait pas que je me berce d’Illusion, ce genre de choses n’était pas pour nous. Pourtant je me souviendrais toujours de ce que j’ai ressenti la première fois que mes mains ont caressé les touches. Est ce que je l’ai su immédiatement? Je ne m’en souviens pas, j’étais trop jeune, je me souviens juste de l’émotion. Rapidement, je me suis démarqué par rapport aux enfants Ferguson. A vrai dire, selon monsieur Claffin, je le démarquais par rapport à n’importe qui. J’étais douée, j’avais un talent certain, dès les premières notes, ce fut inée, les partitions me semblait d’une simplicité évidente, tout glissait, mes doigts épousaient les touches pour des symphonies parfaites, j’avais trouvé ma voie.

Mon professeur, croyant en mon talent, m’inscris alors à de nombreux concours, j’en remportes beaucoup, bientôt, je les remporte tous, systématiquement. Je vais même me produire sur une scène de Londres pour des membres de la famille royale. Mon talent ne s’entend cependant pas encore jusqu’aux oreilles de la reine; mais un jour pourquoi pas... ce serait un tel honneur. Grace a mon professeur, et à la famille Ferguson qui, fascinée et fière de mon talent découvert grâce à eux, financent mon ascension, j’intègre une école avec un prestigieux département musical. Ça change de l’école minable de mon petit quartier. C’est là que les professeurs mettent la main sur un autre trésor en moi. Ma voix. Je n’avais jamais pensé à chanter et pourtant... Oh je suis loin d’être aussi bonne chanteuse que pianiste. Je ne suis pas une virtuose de la voix, mais il y’a quelque chose. Un timbre rocailleux, sombre et mélancolique, une voix suave, me rapprochant plus d’une Lana Del Rey que d’une Mariah Carey. J’entretiens alors ce petit talent, et bientôt, j’accompagne mon piano à la voix, et les résultats sont au delà de mes espérances.

Je termine mon cursus en obtenant de merveilleux résultats. Je commence à y croire. Ma mère, bien que brisée et épuisée de la vie, se montre très fière de moi . Elle n’y croyait pas vraiment, pour elle, la musique était un passe temps de riche, moi, je devais étudier dur pour avoir un métier sérieux. Pour ma mère, un métier sérieux signifiait avocate, médecin ou quelque chose derrière un bureau. Mais elle ne pouvait plus nier l’évidence. Sa fille va avait du talent. Cependant, elle a toujours été très stricte quant à mes études, et je n’avais le droit de jouer du piano que lorsque les maths et autres conjugaisons étaient terminés consciencieusement. Grace a cela, grâce à elle, j’ai toujours gardé de très bonnes notes dans les matières scolaires, et je lui en suis reconnaissante.

Le rêve ultime de monsieur Claffin était de me faire intégrer cet établissement américain avec le meilleur département musical possible pour un lycée. Il en était lui même issu, cela représente son heure de gloire, c’est sa plus grande fierté. Et me la voir l’intégrer comme son digne successeur le remplissait d’enthousiasme. Il a donc tout mît en œuvre pour que cela arrive. Ma mère a longtemps hésité avant de me donner son autorisation, puis elle en est venue à la même conclusion que moi: il n’y avait plus rien pour moi ici. Je venais d’une famille pauvre, dans un quartier pauvre, et si je restais ici, malgré mon talent, j’allais finir comme elle. Cela elle le refusait, alors elle me laissa partir. Monsieur Claffin paya mon billet d’avion, mon cursus scolaire ainsi que mon installation. Quelques mois plus tard, me voilà partie pour les états-unis. L’au revoir à ma mère fut difficile, je ne savais pas si j’allais revenir un jour et elle le savait aussi. Bien que nous n’ayons jamais été très proches, bien que nous soyons très différente et bien que parfois, j’ai eu le sentiment qu’elle aurait préféré ne jamais m’avoir eut, elle restait ma mère et je restais son unique enfant.

Claffin m’accompagne pour mon installation à l’internat et surtout, mon intégration à l’école. Il en est particulièrement fier. Je lui dois tellement... Après une semaine il retourne en Angleterre. Il règle l’école tout les mois et m’envoi de l’argent. Le lycée est merveilleux, je me démarque rapidement par mon talent de musicienne et chanteuse. Ça ne semble pas plaire à tout le monde, les américains ont un esprit de compétition bien plus présent que les anglais. J’ai du mal à me faire des amis mais je m’en moque, la solitude ne me pèse pas, elle m’apaise au contraire.

Au cours de la dernière année, un drame survient. Monsieur Claffin décède d’un accident de la route. Je suis anéantie. C’est comme de perdre un père que je n’ai jamais connu... Je suis brisée. Mais je dois rapidement me reprendre en main. Car qui dit plus de monsieur Claffin dit plus de fond pour l’école et pour vivre. J’avais dix sept ans, je me retrouvais seule dans un pays étranger, livrée à moi-même et sans argent. C’est alors que commence le cauchemar. Je refuse de quitter cette école. Certains professeurs me parlent d’intégrer le département musical d’Havard, j’allais enfin devenir quelqu’un, je ne pouvais pas laisser mon rêve se briser aussi près du but... Je m’y refuse! J’ai donc dû trouver de l’argent autrement, et dans la rue, il y’en a des moyens de se faire de l’argent rapidement. Je me met alors à pratiquer des activités illicites, des choses dont je ne suis pas fière, vol, trafic en tout genre... je ne vais pas jusqu’à la prostitution mais j’ai l’impression que ça me pend au nez. Vais-je devoir descendre aussi bas? Et tout cela en préparant un dossier d’admission à Harvard. Ce ne fut d’ailleurs pas une mince affaire... Je dois monter un impressionnant dossier, je réussi même à obtenir une lettre de recommandation d’un des membres de la famille royale d’Angleterre pour qui j’avais joué. D’un côté, il m’arrivais des choses incroyables dont je n’aurai osé rêver, et de l’autre, je vivais un véritable enfer. J’avais l’impression de mener deux vies, d’être deux personnes.

Après le dossier pour Harvard, je dois passer ce qu’ils appellent des stats, des sortes de tests. Bien que je n’obtiennent pas les meilleurs résultats dans toutes les matières, il n’y a qu’en musique que j’excelle, ils sont suffisants pour passer à l’étape suivante. Je tente de mettre ma passion sur papier pour une dissertation qui semble faire son effet puisque je suis reçue pour un entretien, ou plutôt une audition. Bien que je discute avec les personnes qui me reçoivent, je dois surtout leur montrer de quoi je suis capable. Après leur avoir joué un air célèbre de tchaikovski, j’interprète un piano voix mélancolique et sombre, puis une de mes propres compositions. Ils sont bluffés, sous le charme typiquement anglais que je semble dégager.

Je suis reçue dans la plus prestigieuse université du monde. En plus de cela, j’ai réussi à obtenir une bourse d’étude de la part du département musique. A ce moment, je décide d’en finir avec la rue. Je vais me trouver un petit boulot, je vais m’en sortir autrement, mais j’en ai fini avec ce monde là. Ouais, mais je n’imaginais pas que ce monde là en revanche n’en avait pas fini avec moi. J’avais de l’argent de côté, et je donnais des cours de piano pour arrondir mes fins de mois. J’avais une nouvelle vie, je voyais enfin le bout du tunnel. Je ne roulais pas sur l’or et les fins de mois étaient tendues et difficiles, mais j’étais bien dans ma tête, j’étais sereine et légère. C’est à ce moment de ma vie que je l’ai rencontré. Lui. Ce soir là je suis sortie à Boston, seule comme souvent. Il était là, assis au piano, à jouer cette mélodie triste, et je me suis mise à chanté pour l’accompagner. J’ignore si c’est l’émotion qui a découlé de ce moment magique, mais il m’a embrassé. Je ne l’ai pas repoussé. Nous sommes allés sur la plage. Je me souviens encore de chaque seconde, de chaque parole, de chaque regard. Nous avons fini chez lui. Je n’avais jamais couché avec un mec le premier soir, et pourtant j’ai fais l’amour avec lui toute la nuit, et le lendemain... c’était une bulle hors du temps, des moments gravés en moi pour toujours. J’oubliais tout dans ses bras, je me sentais à la fois forte et vulnérable. Mais c’était trop beau pour être vrai, ce mec était gentil, respectueux, beau a en crever, riche, intelligent, drôle, attentionné... bref, trop bien pour moi. J’ai flippé sur le coup, j’ai voulu m’éloigner de lui mais il a su me retenir, il a su me donner confiance, il a su passer outre nos différences pour que l’on se donne une chance. Alors nous nous sommes revus. J’ai commencé à ressentir des choses pour lui, et je crois qu’il commençait à en ressentir pour moi. Ce fut aussi bref qu’intense. Et puis mon passé m’à rattrapé...

Je devais encore de l’argent à ces mecs, ceux de la rue. Je croyais qu’ils m’avaient oublié, qu’ils ne viendraient jamais me chercher à Harvard, que j’allais me fondre dans la masse des étudiants et qu’ils ne me trouverait jamais. C’était mal les connaître... Ils sont revenus, ils m’ont retrouvés, ils ont menacé de s’en prendre à moi, je n’avais pas peur, j’avais l’habitude. Puis ils ont menacé de s’en prendre à lui... Et là ça a été différent. J’ai accepté de faire tout ce qu’ils voulaient pour le protéger. Il était hors de question qu’ils touchent à un seul de ses cheveux. J’ai donc dû disparaître de sa vie du jour au lendemain. J’ai bossé pour eux jusqu’à rembourser ma dette. Les trafics, le vol, c’était redevenu mon quotidien. Cela a duré deux ans, deux ans ou j’ai dû vivre comme un fantôme. J’étais autorisée à continuer les cours, ils comptaient profiter de mes capacités un jour ou l’autre. Tout était propice au trafic avec eux. Au bout de deux ans je ne leur devait plus rien, j’étais enfin libre... j’ignorais encore jusqu’à quand. Je pouvais reprendre ma vie d’avant pour le moment. Mais je ne cesse de penser à lui. Il hante mes pensées. Notre aventure n’aura duré que quelques semaines, mais cela a suffit à transcender mon existence. J’ignore ce qu’il est devenu en deux ans. Il n’était plus à Harvard donc aucune chance de le croiser sur le campus. Il a dû m’oublier depuis longtemps, je l’imagine au bras d’une femme magnifique, une beauté latine faite pour lui. Moi je n’étais rien. Cela dit, je lui dois peu être une explication après tout ce temps... enfin... si il se souvient encore de moi...
   
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  MxYCaQhr_o

INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  Kaze

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Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
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Kaze Faulkner
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modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze
et voilà pour toi INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  152426858

BIENVENUUUUUUUUUUUUE hanwii
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“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

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bienvenuuuue à la maison :heaart: .
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bienvenue et bon courage pour ta fiche INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  3850463188
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Bienvenue parmi nous Vic
Good luck pour ta fiche and have fun INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  1230098378
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bienvenue à la maison ! amuse-toi bien :heaart:
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Bienvenue INÈS BALDWIN ► Grace Elizabeth  2109348208
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