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LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee

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 Louise Nightingale

  • 14 mai 1996, par un jour de pluie
  • Brooklyn, New-York, USA
  • 22 ans & 11 mois que tu parcours cette terre, que tu essaies de comprendre cet univers
  • Américaine, tu as des origines françaises de part ta mère
  • Hétérosexuelle, ce sont les hommes qui t'attirent, indéniablement.
  • Célibataire. Tu fonctionnes au coup de coeur, tombant amoureuse d'un regard, d'un sourire.
  • Assez pauvre, tout ton argent part pour payer ton loyer & tes études
  • La médecine. Tu es en cinquième année. Il te reste donc une année d'internat avant de choisir ta spécialité. Là, tu hésites. Choisiras-tu ton rêve d'enfant (la pédiatrie) ou ta première révélation (la cardiologie)?
  • Tu n'en as pas. La médecine prend tout ton temps, toute ton énergie
  • En plus de ton internat au Massachussetts General Hospital, tu travailles comme barista au Starbucks Coffee du campus, pendant tes moments de pause
  • Oui. Tu as obtenu une bourse grâce à tes excellents résultats. Autant dire tout de suite que le cas contraire, tu n'aurais pas pu te permettre d'étudier dans cette belle université.

CHARLOTTE MCKEE
MAISON OU NON ?
Entrer dans une maison. Faire partie d'un groupe soudé, d'une confrérie. On t'a souvent vanté les mérites d'appartenir à un clan. Comme si ce clan était une deuxième famille. Beaucoup qualifient cette expérience comme une chose à tenter, à ne pas louper. Pas toi. En effet, tu te penses trop complexe pour correspondre à une seule maison. Comme si on cherchait à te stéréotyper. Alors, tu as refusé d'envisager une seule seconde de postuler pour l'une d'entre elle. Toi, tu es et tu resteras une student. Et cela ne t'empêche pas de vivre à fond tes années universitaires, sans pour autant te faire entrer dans une case.
Il y a deux Louise. Celle que l'on croise aux détours d'un couloir et celle que l'on apprend à connaître. Car il faut être honnête, Louise, à première vue, elle donne pas envie de l'accoster pour lui parler. Elle ferait même un peu froide. Elle et sa démarche, regardant au loin. Elle et son maintien si droit. Elle et son visage si fermé. Ce que certains appellent de la froideur n'est, en fait, rien d'autre qu'une forme de timidité, de réserve. Car réservée, Louise l'est. Aller déranger quelqu'un pour lui demander son chemin? Elle n'y pense même pas et préférera chercher pendant des heures plutôt que d'accoster un inconnu. Rouspéter car le serveur s'est trompé de commande ou parce que le plat est froid? Encore une fois, elle ne le fera pas. Car Louise, elle n'ose pas. Comme si elle n'avait pas le droit de déranger, le droit d'exister. Louise, elle manque aussi de confiance en elle. Elle porte ce manque comme une cicatrice de son passé, marquée à l'indélébile. Chaque jour, elle se bat contre ces crises, ces incertitudes. Car Louise, elle est son pire ennemi. Capable de changer ses réponses d'examen car le professeur l'aura fait douter. Capable de tout remettre en question pour une remarque déplacée. Pourtant Louise, elle en a dans la tête. Intelligente, elle n'a pas besoin d'étudier énormément pour connaître une matière. Il suffit qu'elle s'y intéresse, qu'elle lise son cours quelques fois, et le tour est joué.
Voilà ce que l'on voit de Louise: une bonne étudiante, un peu distante, un peu réservée. Un peu froide, peut-être. Mais tout cela n'est qu'une grosse carapace qu'elle s'est construite au fil des ans. Une carapace qu'il faut chercher à casser. Car une fois percée, on découvre la vraie Louise. Une demoiselle avec le coeur sur la main. Loyale, en amitié et avec sa famille. C'est d'ailleurs la première à répondre présente au moindre souci. C'est aussi elle qui vous offrira une épaule sur laquelle pleurer, une oreille à qui se confier. Bavarde. Oui, bavarde. Quand elle vous connaît, quand elle vous fait confiance, Louise, on ne l'arrête plus. Elle peut aussi être souriante (et est d'ailleurs plutôt bon public, riant facilement), un peu fofolle, prête à relever de nombreux défis. Car Louise, même si elle a l'air un peu fragile avec ses incertitudes, cela reste une battante, qui croit en ses rêves. Une douce ambitieuse. Bien entendu, elle a aussi des défauts, comme le fait d'être rancunière, têtue, voire parfois de mauvaise foi. Et j'en passe. Louise, elle est complexe. Il faut juste l'apprivoiser.

Louise en vrac:
Myope, elle porte des lunettes. Distraite, il lui arrive pourtant de les oublier. A ces moments, le monde est flou. Et elle pourrait très bien passer à côté de son meilleur ami sans le saluer. Elle ne l'aura tout simplement pas vu ► Belle au naturel. Louise ne le sait pourtant pas. Elle, elle se trouve quelconque, dit qu'elle n'a pas de complexe. Elle s'accepte telle qu'elle est. Et ne cherche d'ailleurs jamais à camoufler ses cernes sous du maquillage ► Brooklyn. Sa ville de naissance. Elle y a passé toutes ses années avant d'atterrir ici, à Harvard. ► Louise est donc de New-York, de cette ville qui ne dort jamais. Tout comme elle. Quelques heures par nuit lui suffisent à être en forme ► Sa silhouette est mince. Adolescente, on s'inquiétait souvent pour elle car on la pensait anorexique. Ce n'était pas le cas. Ca ne l'est toujours pas d'ailleurs. Car Louise, elle ne compte pas le nombre de calories qu'elle avale, elle ne se prive pas. Elle mange, quand elle en a envie et ce qu'elle a envie. Pourtant, malgré ses grignotages réguliers, elle n'arrive pas à grossir ► La lecture est sa passion numéro une. Elle adore se perdre dans d'autres univers. Un peu trop rêveuse peut-être ► Asthmatique, Louise a toujours ses traitements personnels sur elle. Il faut dire que monter deux séries d'escaliers l'essoufflent. Alors il ne faut pas compter sur elle pour faire du sport. Encore moins pour tolérer que l'on fume près d'elle. Non, elle, elle se tuera plutôt à vous expliquer les méfaits du tabac (et croyez-moi, la liste est longue) ► Elle ne tient pas l'alcool. Un seul verre et elle est déjà joyeuse, inhibée ► Louise ne peut pas se passer de café. Le matin pour bien débuter la journée. Le midi pour se rendre une dose d'énergie. En fait, chaque moment est un bon prétexte pour boire un café ► Le vélo est son moyen de transport. Ecologique et plus rapide que la marche ► Frileuse, c'est la première à râler quand il fait froid et à accumuler les pulls l'hiver ► La musique l'aide à s'évader, à se retrouver. Il n'est donc pas rare de la croiser, écouteurs sur ses oreilles ► Amoureuse de l'amour. Louise, elle tombe amoureuse comme on tombe d'une chaise. Sans prévenir. Elle fonctionne aux coups de coeur, se laissant charmer par un sourire, un regard. Bien souvent, cela tombe sur la mauvaise personne. Pas réciproque, pas célibataire, pas les mêmes valeurs. Louise, elle a jamais eu beaucoup de chance en amour ► Maladroite. Elle a deux mains gauches. Ce qui provoque souvent des catastrophes  
Nuit blanche. Impossible de fermer l'oeil une seule seconde. Louise s'était tournée et retournée dans son lit, cherchant le sommeil sans succès. Cela faisait quelques jours que le stress l'envahissait, au fur et à mesure que les jours se rapprochaient de la date fatidique. Son entretien pour entrer à Harvard. La dernière étape afin de valider son inscription dans cette prestigieuse université. Aujourd'hui était le jour J. Le stress était beaucoup trop présent. Et elle ne savait plus que faire pour le faire diminuer. Elle s'était donc levée tôt, avait pris un bon café. Sous sa douche, la jeune femme s'était remémorée son parcours. De sa dernière année au lycée brillamment réussie, en passant par le choix de cette université, si prestigieuse mais si loin de sa famille. Et pour finir son dossier d'admission, bien complet, qu'elle avait envoyé. Un sourire se posa sur son visage alors qu'elle repensait à cette longue attente afin d'avoir une réponse. Cette lettre tant attendue qui avait fini par atterrir dans sa boîte aux lettres. Ce rendez-vous fixé pour convaincre qu'elle était digne d'être étudiante d'Harvard. On a qu'une chance de faire une bonne première impression. Et ça, Louise elle le savait que trop bien. Elle se répétait une nouvelle fois ces arguments tout en s'habillant. Elle avait opté pour un chemisier blanc sur un pantalon noir. Classique. Un peu trop peut-être. Mais c'était tout ce qu'elle avait trouvé de mieux. Le chemin qui la séparait de sa chambre d'hôtel (elle était arrivée la veille de Brooklyn) au campus lui parut fort long. Tout comme cette attente dans cette salle parfaitement blanche avec ces quelques étudiants qui se dévisageaient tous entre eux. Comme si ils essayaient de se juger d'un regard, de savoir lequel serait le plus fort. L'esprit de compétition. Louise ne l'avait pas. Tout comme cette patience d'attendre bien sagement. Plus vite elle serait passée, plus vite elle serait fixée. 'Mademoiselle Nightingale?' Louise porta son regard bleu azur sur cette voix masculine. L'homme lui envoya un sourire. La demoiselle l'observa discrètement. Il était petit -ou alors c'était son costume un peu trop grand pour lui qui donnait cette impression- et il ne devait pas avoir plus de quarante ans. Son regard noir ébène était franc et il vous fixait dans les yeux d'une manière insistante. Comme si il essayait de lire au plus profond de vous. Et cette attitude avait le don de mettre mal à l'aise Louise, qui avait baissé les yeux, le rouge montant à ses joues. 'Suivez-moi' avait-il fini par dire. Alors Louise s'était levée, le coeur battant à tout rompre dans sa poitrine. Elle l'avait suivi dans son bureau, avait répondu aux questions. D'une voix qu'elle avait voulu assurée - tout du moins, elle avait essayé de l'être, mais pour une grande timide manquant de confiance en elle, cet exercice était fort difficile. Il avait passé en revue ses excellents résultats, Louise lui avait parlé de ses ambitions de devenir un grand médecin, de son engagement dans un refuge pour animaux où elle était bénévole, chez elle, à New-York. L'entretien avait duré trente minutes. Trente minutes pour convaincre. L'homme lui avait une nouvelle fois sourit. Une poignée de mains plus tard, elle se retrouvait hors de cette pièce, doutant d'avoir réussi son challenge. Elle fut donc agréablement surprise de recevoir une réponse positive quelques semaines plus tard.
SPF / No'
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas  LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 1779901633 , je n'ai pas de pseudo fixe et j'ai une grosse vingtaine d'années au compteur. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à la pub sur Bazzart si je me rappelle bien (votre forum était dans mes favoris depuis un bon bout de temps, j'attendais juste le bon moment pour m'inscrire). Le design est superbe, les membres ont l'air sympa et actifs alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Charlotte McKee comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par lilousilver (avatar) & chrysalis (icone). Je fais environ 500 (je peux faire plus comme moins, je m'adapte à mon partenaire) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9201]☆[/url] ☆ <span class="pris">CHARLOTTE MCKEE</span> ◊ “ Louise Nightingale ”[/size]

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Ohana means family. La famille. Celle que l'on ne choisit pas. Celle qui nous tombe dessus à notre naissance. Quelques fois, on a de la chance. Car quelques fois, cette famille qui nous est offerte est unie, bienveillante. Et d'autres fois, malheureusement ce n'est pas le cas. Chez Louise, cela avait pourtant si bien commencé. Le départ de cette famille c'était une rencontre dans un supermarché. Une petite rencontre classique dans un rayon où Madame ne savait pas prendre un paquet posé bien trop haut pour elle et où Monsieur l'avait aidé. Quelques paroles, quelques sourires échangés et le charme avait opéré. Ils s'étaient échangés leurs coordonnées, s'étaient revus. Les sentiments avaient grandis. Si fort qu'ils avaient finis par se marier. De cette union était née trois enfants. Louise était l'aînée. La vie semblait tranquille, paisible dans cette famille. Louise avait donc vécu une enfance heureuse, entourée de beaucoup d'amour. Et puis tout avait dégénéré. Sans aucune explication. Ou du moins sans aucune explication connue. Car pour Louise, rien n'arrivait vraiment par hasard. Elle avait douze ans quand son père sombra dans l'alcoolisme. Un alcool destructeur. Autant pour lui que pour sa famille. Ce qui s'était réellement passé? Louise ne le saurait probablement jamais. Son père avait certainement dû faire face à des difficultés, n'en avait pas parlé. Il avait préféré noyer ses problèmes dans ses verres de bière. Résultat? Une violence hors du commun. Des coups qui pleuvaient de nul part, pour aucune raison particulière. Il ne fallait surtout pas se retrouver sur le chemin de son paternel quand l'alcool coulait dans ses veines. Des coups, Louise s'en était prise. Son frère & sa soeur aussi. Mais il y avait bien plus dévastateur que des hématomes sur un corps tout frêle. Il y avait les paroles négatives, répétées inlassablement. Des paroles qui avaient fini par rompre la confiance que Louise portait en elle. Réserve, timidité, manque cruel de confiance en elle. Et ces paroles qui restaient inscrites au fer rouge au plus profond d'elle-même. Ces paroles qui remontaient à la surface à chaque fois que Louise était dans une situation de stress. Cette adolescence brisée par un père alcoolique et une mère qui n'avait rien vu. Trop souvent absente, trop absorbée par son travail. Elle était passée à côté de la détresse de sa famille sans même s'en rendre compte. Et puis il y avait eu une rencontre. Elle. Une prof passionnée par son métier. Une prof qui avait remarqué la déchéance de Louise. Il lui avait fallu du temps pour gagner la confiance de l'adolescente. Elle qui refusait de parler de sa vie, de son enfer. Mais à force de patience et de douceur, cette dame avait réussi à percer cette grosse carapace. Et Louise s'était confiée. En parlant, elle se sauvait elle mais aussi son frère et sa soeur. Du moins, c'était ce qu'elle croyait. Tout avait été très vite ensuite. Les événements s'étaient enchaînés sans que Louise ne contrôle plus rien. Les services sociaux avaient été appelés. Ils avaient été placés en famille d'accueil. Séparés les uns des autres alors qu'ils s'étaient jurés de rester liés. A la vie à la mort. Louise était donc restée trois ans dans cette famille d'accueil, famille qui avait tout fait pour essayer de la reconstruire, lui rendre cette confiance perdue. Ils croyaient d'ailleurs avoir réussi. En apparence c'était le cas. Louise était devenue une belle jeune femme, avec de jolies valeurs. Mais derrière ce sourire qu'elle leur montrait, rien n'était vraiment effacé. A chaque épreuve, chaque moment stressant, son manque de confiance revenait. Par crise. Ce fait était handicapant. Et elle en avait loupé des moments heureux. Comme cette fois où elle n'avait pas avoué son amour à son meilleur ami et qu'elle avait fini par le voir se mettre en couple avec une autre qu'elle, impuissante. Ou encore cette fois où elle n'avait pas osé se rendre à son examen pratique pour son permis de conduire, pensant qu'elle échouerait de toute façon. Mais ne voulant pas se laisser abattre, Louise travaillait sur son manque de confiance, se lançant des challenges. Les réussir signifiaient des victoires sur son passé. A ses 18 ans, Louise avait donc postulé pour Harvard, avait passé un entretien où elle avait dû convaincre et s'était lancée dans des études de médecine, loin de ses racines. Ces petites revanches sur la vie, Louise les multipliaient et ses crises de manque de confiance diminuaient. A Harvard, elle s'était faite un groupe d'amis. Elle s'était même autorisée à aimer. D'un amour fort, passionnel. D'un amour qu'elle croyait indestructible. Mais après tout, n'était-ce pas ça la force d'un premier amour, de croire qu'il continuerait toujours? Ca n'avait pas été le cas. Louise était restée deux ans avec cet homme. Et leur histoire avait fini par s'achever, laissant le coeur de Louise brisé en mille morceaux. Depuis Louise n'avait plus aimé, ne voulant plus souffrir. Elle tombait sous le charme, très souvent. Elle était séduite par un regard pétillant, un sourire malicieux. Un rien pouvait la retourner le temps d'un instant. Car manque de chance, les hommes qui lui plaisaient étaient soit pris, soit pas intéressés. Ou alors n'avaient tout simplement pas les mêmes valeurs qu'elle. Alors Louise s'éloignait. En amour, elle n'avait pas de chance. C'était ainsi.
Et maintenant? Louise poursuit ses études de médecine. En plus de son internat, elle accumule les heures comme barista dans un Starbucks Coffee du campus. Quand elle a encore du temps à elle, elle le passe avec quelques amis, à refaire le monde. Elle manque encore parfois de confiance en elle. Mais elle surmonte ses difficultés du mieux qu'elle le peut.
   
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bienvenue à la maison ! amuse-toi bien LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 152426858 LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 2109348208
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Merci de ton accueil LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 2511619667 LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 3850463188
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Bienvenue et bonne chance pour ta fiche LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 3850463188
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La jolie Charlotte, excellent choix LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 3850463188
Bienvenuue sur ILH, et bonne chance pour ta fiche ! LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 1365124802
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Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche :heaart:
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Bienvenue parmi nous LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 1508216586 bonne chance pour ta petite fiche ! LOUISE NIGHTINGALE ► charlotte mckee 1839924927
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Welcome !

Bonne continuation :)
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bienvenuuuue :heaart:
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