Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJUNE & READ ▲ " Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. C'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps, sans répits. "
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JUNE & READ ▲ " Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. C'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps, sans répits. "

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JUNE & READ ▲ " Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. C'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps, sans répits. " Tumblr_mfahw2cD381ry3tn5o1_500JUNE & READ ▲ " Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. C'est pas par vagues, c'est constant, tout le temps, sans répits. " Tumblr_meii8xAGHs1qftlbeo1_500

    J’étais enceinte, cela devait bien faire 3 semaines maintenant même un peu plus. Depuis l’annonce par un vieux test qu’une lowell avait retrouvé dans son placard j’avais des douleurs assez importantes dans le bas ventre. Enfin des douleurs, c’était plutôt une gêne constante et l’envie d’aller aux toilettes toutes les 30 secondes mais je pensais que c’était l’une des choses les plus normales et basiques quand on est enceinte. Après tout je n’avais jamais porté un enfant, je n’avais aucune idée de ce que cela pouvait faire et puis ma mère était morte depuis trop longtemps pour que je puisse demander des conseils auprès d’elle. Et puis je me voyais mal parler de ça avec mes camarades de la lowell house. Je n’avais pas honte d’être enceinte, non, avoir un bébé même si c’était très mal tombé ne me dérangeais pas plus que cela même si j’avais complètement aucune idée de comment je pourrais m’en occuper, avec quel argent je pourrais le nourrir…Toutes ces questions c’est sûr commencer à être problématique pour moi mais la chose qui me posait le plus problème en ce moment c’était la perte de River. J’étais tout le temps entrain de pleurer, quand je ne pleurais pas, j’étais tellement absorbé dans mes pensées que je ne voyais même plus ce qui se passait autour de moi. J’aurais tellement voulu l’avoir auprès de moi, les choses seraient bien différentes. J’avais l’impression que plus jamais je ne pourrais être la fille pleine de bonne humeur et complètement déganté qui l’avait séduit au départ. Je me sentais très seule en ce moment, tellement seule que je passais la plupart de mes soirées dans le bar où je travaillais même si je finissais certainement par m’écrouler de fatigue. C’est vrai que la grossesse me puisait toute mon énergie, en plus j’avais faim en permanence et je prenais du poids à vue d’œil. Je devais vraiment me ressaisir. Pour briser ma solitude j’avais décidé d’envoyer une petite carte à mon père ! Je ne savais pas pourquoi j’avais fait ça, j’espérais simplement que quand il lirait ma carte il ne serait pas en crise et écrirait quelques mots pour moi-même si je n’avais aucune sorte d’affection envers mon père. Il finit par m’écrire avec un nombre incalculable de mots gentils ce qui me faisait penser qu’il devait aller plutôt bien. Il m’avait joint dans son enveloppe quelques cachets. Il m’assurait que c’était dans antidépresseur et qu’en cette période difficile je devais en prendre quelques uns. Bien sûr j’avais rangé ses médicaments en me disant que cela ne servait à rien, jusqu'à cette journée de merde que je venais de vivre. En plus de ne penser qu’à River, j’avais vu Tyler puis je m’étais blessé à la danse. J’avais l’impression que tout se dérobait sous mes pieds sans que je ne puisse rien faire, alors j’avais repensé aux cachets que mon père avait mis dans l’enveloppe et je les avais pris. Sans rien connaitre ni de l’effet, ni de la posologie mais 4 cachets d’un coup cela devait être bien suffisant. Oui c’était même très largement suffisant car quelques heures après j’avais l’impression d’être dans un autre monde, comme si j’avais pris de la drogue, comme si j’étais saoule, c’était vraiment bizarre. J’avais tellement d’énergie que je ne pouvais pas rester chez moi à rien faire, c’était impossible. J’avais donc décidé de noyer mon ennuie dans une boite de nuit. J’aimais bien ce genre d’endroit en France mais aux Etats-Unis je n’avais jamais testé. Arrivé là-bas je trouvais l’endroit plutôt sympathique, au moins je pouvais m’amuser là bas. Oui, je m’amusais bien d’ailleurs, toujours dans un état second je m’étais retrouvé à boire au bar un verre de cocktail sans alcool et maintenant je dansais contre la barre des stripteases d’une manière plutôt suggestives. Entre la perte de River et mes hormones j’avais vraiment l’impression que mon corps était un immense brasier qui n’attendait qu’une étincelle…
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Read buvait son énième verre d'alcool dans cette boîte de nuit. Un lieu qu'il n'avait jamais fréquenté auparavant, en tous cas, pas de cette façon. Mais plus les jours défilaient depuis la mort de sa fiancée, plus il buvait, il buvait des alcools de plus en plus forts. Cependant, il ne tenait pas l'alcool, mais alors pas du tout. Lorsqu'il buvait, il ne devenait pas violent, mais joyeux, trop joyeux. Sa timidité s'envolait et il était prêt à faire les plus grandes bêtises de sa vie, et ce sans même s'en rendre compte. Il criait, il parlait, il pouvait pleurer, comme un enfant. Mais le plus souvent, il allait se balader naturellement, au-dehors, sans se soucier de sa destination, avant de vomir ces tripes et ses intestins dans le caniveau le plus proche. Et lorsqu'il avait vraiment trop bu, c'est-à-dire pas grand chose (car c'était une faible nature en la matière), il finissait par s'effondrer telle une loque déchiquetée dans le caniveau le plus proche, à défaut de n'être parvenu jusqu'à son lit. Heureusement, il n'était pas fier de ses activités tardives et festives, et il ne le criait pas sur les toits. C'était en silence qu'il souffrait ensuite le martyr le lendemain au matin, tentant de sauver ce qu'il restait de son estomac. Il n'avait plus une vie vraiment saine depuis des jours. Un mauvais garçon, sans doute, si l'on pouvait dire ainsi.
Alors qu'il venait de finir son verre, totalement à la ramasse, il commença à déballer un lot de conneries à son voisin qui eut tôt fait de le fuir. Il aimait à parler de tout, de rien, bref, ouvrir la bouche pour ne rien dire de bien intéressant. Se grattant difficilement la tête, du fait de son état d'ébriété, Read se sentit d'aplomb pour aller danser un petit peu sur la piste. Il y avait beaucoup de monde à cette heure tardive de la soirée, et ce serait d'autant plus amusant. Marchant avec un peu de difficulté au départ, notre jeune secouriste retrouva rapidement l'équilibre avant de se faufiler parmi la foule. Une foule de très belles personnes pour la plupart, à moins que ce ne soit les grammes d'alcool qui rendaient le monde si beaux et si emplis de bisounours prêts à faire des câlins de partout. Read en avait besoin, de serrer des gens dans les bras, même des illustres inconnus, même des personnes mesquines. Il ne pouvait pas s'en passer, le contact avec les autres étaient devenu sa drogue, l'unique chance de retrouver son bien-être l'espace de quelques instants mérités. Alors qu'il s'avançait, son regard se posa sur une danseuse, se démenant et se déhanchant avec classe et fougue sur la barre des stripteases. Une fille plutôt jolie, sachant présenter ses formes en tous cas. Et cela le démangeait de parler encore, parler, parler jusqu'au bout de la nuit. Il prit donc cette direction, sans trop savoir pourquoi, avant de s'arrêter juste un côté, levant les yeux vers elle, il prit la parole.
« Tu danses super bien, t'es danseuse ? » demanda-t-il simplement. Et oui, l'alcool lui enlevait toute politesse et le vouvoiement était bien loin d'être de mise dans la situation actuelle. « Si tu veux, je fais des câlins gratuits ! » ajouta-t-il ensuite d'un air fier. Pu plutôt de cet air d'attardé que prenait la plupart des ivrognes levant l'index, comme s'il jurait devant le Seigneur.
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    J’étais là à me trémousser contre une vulgaire barre en métal, trémousser c’était bien le mot oui car j’avais dansé avec beaucoup plus de grâce et de finesse que cela. J’étais une bonne danseuse à la base, j’avais fait des années de danse classique même si ce n’était pas la première chose qu’on remarquait chez moi, après tout j’étais loin d’être un poids plume et les directeurs des quelques castings que j’avais passé dans ma vie avait bien rapidement fait de me mettre dans la catégorie des « danseuses modernes » sans poser davantage de question. Pourtant la danse classique était ma passion, tout comme le chant que j’avais découvert bien plus tard mais que je ne pourrais pas arrêter pour autant. J’étudiais la danse et la musique mais mon intérêt pour cette dernière matière serait toujours moins fort que ma passion pour ce qui était devenue mon sport favori après la boxe. Oui la boxe c’était certainement le truc le plus contradictoire avec la magie de la danse mais j’aimais bien cela, ça m’avait permis d’apprendre à me défendre, d’exploiter mon côté garçon manqué qu’il n’était pas difficile de détecter encore aujourd’hui. Je voyageais en moto, je parlais de sexe ouvertement et à longueur de journée et j’avais largement plus d’amis masculins que féminins. Face à ma situation actuelle la boxe pouvait d’ailleurs être un très bon atout pour moi, en effet si un homme se montrait un peu trop collant à mon égard je pourrais sans problème le dégager en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Je continuais à danser en voyant déjà quelques hommes me regardaient mais aucun ne valait vraiment le coup pour l’instant jusqu'à ce que je croise le regard d’un garçon aux yeux bleu. Il avait des yeux vraiment magnifique d’ailleurs avec un petit visage attachant, le genre de garçon bien, enfin ce n’était certainement pas un garçon bien mais il avait l’air comme ça. Il me fit décrochait un sourire, ce qui était plutôt rare en ce moment puis je lui tendis la main pour qu’il monte à mes côtés : « Viens avec moi ! ». Je le tirais aussi vivement que je le pouvais vers le petit podium sur lequel je m’étais installé depuis quelques minutes déjà, j’hochais la tête pour répondre à sa première question : « Ouai je suis danseuse, depuis que je suis toute petite regarde ! ». Je me mis alors sur la pointe des pieds avant de faire un Y, c’était le genre de truc qui devait impressionner tout le monde et ça a fait son effet je crois. Les hommes aiment bien les danseuses, certainement pour leur souplesse…Je le regardais ensuite en fronçant les sourcils quand il me dit qu’il faisait des câlins gratuits, non mais sérieusement il avait quel âge pour utiliser des expressions comme celles-ci. Je finis par lui demander : « Heu…Tu veux dire du sexe ? ». Oui autant appeler un chat un chat moi je m’envoyais en l’air avec n’importe qui mais je n’avais pas l’intention d’apporter quelque chose de spéciale à quelqu’un. Je commençais alors à danser contre lui en attendant sa réponse, ce n’est pas que je ne voulais pas coucher avec lui mais je préférais commencer en douceur !
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Doucement, Read s'était approché de la jeune danseuse, l'air des plus rudimentaires, marchant de façon peu active et semblant prêt à s'effondrer. Il tenait vraiment très mal l'alcool, mais il avait découvert à quel point cette substance, pourtant considérée comme nocive, pouvait lui faire du bien. Lorsqu'il buvait, il oubliait le sérieux et l'acharnement qu'il mettait dans le simple fait de vivre, de respirer et de se battre chaque jour pour se construire un avenir meilleur. A ce moment-là, il ne vivait ni dans le passé, ni dans le futur, mais en plein dans le présent, dans les quelques minutes qui avaient lieux devant ses yeux ébahis. L'alcool le rendait encore plus tendre, encore plus naïf et même peut-être plus enfantin que d'habitude, mis-à-part pour tout ce qui concernait le sexe. Et oui, le gentil et prude Read Priest ne se faisait pas prier pour une petite sauterie, alors que sa raison lui aurait décemment ordonné de s'abstenir. Mais voilà, lorsqu'il était saoule, n'importe quel inconnu pouvait le placer dans son lit et en faire ce qui lui semblait le plus plaisant.
La danseuse lui adressa un joli sourire par lequel il répondit en souriant lui-même avant de lui tendre la main. Le jeune homme accepta son invitation -si l'on pouvait appeler cela ainsi- et se hissa jusqu'à elle, sur le petit podium plutôt étroit où ils se trouvaient à présent tous les deux. Read avait les yeux brillants face à la démonstration de la demoiselle. « Wow, trop belle ! » s'exclama-t-il une fois qu'elle lui avait montré une position particulière. « On dirait les princesses dans les boîtes à musique ! » s'exclama-t-il, l'air d'un enfant tout heureux. Read alcoolisé équivaut à un Read qui dit tout ce qu'il pense et qui réagit au quart de tour. Il ne s'énerve pas aisément, mais il parle beaucoup et pour rien. La question qu'elle lui posa ensuite le fit littéralement exploser de rire. Il riait comme un enfant alors qu'elle entamait une danse sensuelle tout contre lui. Il laissa continuer quelques mouvements, profitant des formes qu'elle arborait, avant de reprendre la parole. « Quoi ? Tu sais pas ce que c'est qu'un câlin ? » lui demanda-t-il. Le jeune ambulancier avait une idée précise en tête lorsqu'il proposait quelque chose. Et là, il n'avait pas directement pensé à ce genre de câlins... «  C'est ça un câlin ! » s'exclama-t-il avant de s'élancer dans les bras de la demoiselle. Le plus naturellement du monde, il l'enlaça tout contre lui, la serrant et manquant surtout de les faire tomber tous les deux. Il déposa un vif baiser bien baveux sur sa joue en riant, avant de s'écarter. « Mais si tu veux du sexe, c'est gratuit aussi.... Mon corps vaut pas grand chose. J'ai même des préservatifs ! » rajouta-t-il, tout bonnement. S'il avait été sobre, jamais il n'aurait dit quelque chose comme ces paroles, même tout bas. Et là, il le clamait fort et il n'avait même pas honte. Si sa famille ou même son amie Nevada le voyait dans cette état et l'entendait affirmer des propos tels que ceux-ci, il ne donnerait plus cher de sa peau.
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    Depuis quelques minutes maintenant je dansais comme une folle sur ce podium contre une barre de stripteaseuse, j’étais sûre que de cette manière j’attirerais un mâle plutôt pas mal pour finir ma nuit. Ce comportement faisait très bestial, animal. J’aurais pu en avoir honte, oui si je n’étais pas enceinte et déprimé j’en aurais forcément eu honte mais j’avais envie d’oublier, de profiter, de me dire que ces plaisirs éphémères pouvaient me donner l’illusion d’être moins inutile. Je souffrais tellement, j’avais le cœur bien vide, tout ce que je faisais c’était survivre pour le bébé, bébé qui n’aurait certainement pas de père et encore moins de beau père ? Sérieusement qui veut avoir un gamin dans les pattes à 25 ans, surtout un gamin qui n’est pas le sien. J’avais toujours eu du mal à trouver un petit ami mais un père de famille, là, ce serait quasiment impossible. Je m’en voulais, je m’en voulais vraiment d’être tombé enceinte même si j’aimais mon bébé et que je ne me voyais pas du tout avorter, j’avais peur. Peur des conséquences et de l’avenir, est-ce qu’on pouvait vraiment avoir un bébé tout en étant à Harvard c’était le genre de chose qui me faisait assez peur. Alors je préférais oublier mes craintes et me dire que c’était mieux de passer du bon temps avant que petite chose arrive en criant et en hurlant pour boire son biberon. Bref en attendant j’avais trouvé quelqu’un pour me mettre sous la dent, un garçon comment dire…un peu spéciale, enfin spéciale il faisait assez naïf et innocent. Un petit garçon balancé dans le milieu de la nuit, je le trouvais étrange et quand je lui montrais ce que je pouvais faire en danse il me parla d’un jouet d’enfant. Bien d’autres garçons auraient fait des allusions un peu perverses sur ma souplesse retrouvée mais lui non, il préférait me comparer à une danseuse dans une boite à musique et je trouvais ça mignon. Cependant j’étais loin d’être une princesse et je préférais directement le remettre sur les rails, histoire qu’il ne croit pas au compte de fée : « Tu sais j’ai rien d’une princesse alors remballe tes métaphores… ». J’avais été méchante, oui, un peu trop agressive mais j’étais violente avec les hommes maintenant car je savais que les hommes ne m’aimaient pas en général à moins d’accomplir leurs fonctions primaires. Je me mis à rire quand il me demandait si j’ignorais ce qu’était qu’un câlin puis il me prit ensuite dans mes bras pour me serrer quelque peu. Bien sûr que je savais ce que c’était mais je crois que j’avais préféré oublier, oublier la douceur qu’un homme pouvait procurer car me rappeler cela c’était me rappelait de mes relations désastreuses. « Ouai je vois ben c’est peut être pas trop pour moi alors… ». C’était complètement faux, j’adorais la douceur, j’adorais quand quelqu’un me prenait si fort et m’entourait tellement que je ne pouvais plus respirer, j’étais vraiment la fille qui aimait les petits bisous et tout ça…Mais je préférais jouer les insensibles, apparemment on arrivait plus souvent à ses fins, je lui répondis simplement : « C’est plus trop pour moi plus exactement… ». Je me mis à rire quand il me proposait du sexe car il avait l’air surpris de ma requête mais en général c’est ce que tous les garçons demandaient que ce soit en début ou en fin de soirée, enfin il ne le demandait pas clairement mais le fameux ‘ je te ramène’ se traduisait souvent par ‘sur la banquette arrière et allongés tous les deux’. Je ne m’étais jamais faite à ce genre de chose et je préférais aller droit au but même avec des inconnus. Je me mis alors à danser de plus en plus proche de lui puis finit par l’embrasser en le plaquant contre la barre de métal. Je finis par lui répondre avec une voix chaude et séductrice : « Cool, moi aussi j’en ai, comme ça, deux fois plus de plaisirs. Tu veux faire ça où ? ». Là j’étais encore plus bestial que d’habitude mais comme il était consentent pourquoi perdre du temps dans des formalités. Je me mis à rire, tout en étant toujours dans mon état d’excitation prolongée rendu possible grâce ou à cause des médicaments de mon père…Je lui murmurais à l’oreille : « Je sens que ça va être super génial, dis pas que ton corps vaut pas grand-chose, tu feras des merveilles, on fera des merveilles bébé ! ». Là j’étais carrément dans un état proche de l’Ohio même si j’étais sans gêne je n’aurais pas dit ça sans l’influence des cachets.
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L'agressivité dont fit preuve la danseuse l'étonna, mais il se contenta de rire bêtement. De toute manière, il était bien trop alcoolisé pour comprendre chacune des réalités qui s'offraient à lui. Read observait toujours la jeune femme, qui avait cessé de danser contre la barre, afin de prendre les devants. Elle ne sembla pas particulièrement enchantée par le câlin que lui prodigua le secouriste, au contraire, elle eut comme une sorte de nostalgie dont la voix, combien-même son ton était clair et fort. Alors qu'elle dansait de nouveau contre lui, plus près, tout près, Read ne vit rien venir alors qu'elle le plaqua contre la barre afin de l'embrasser de manière insistante. Il profita de ce baiser, passant une main dans les cheveux de la demoiselle et un bras dans son dos. Elle ne perdait pas de temps, et à vrai dire, dans son état, Read n'en perdait pas non plus. Au contraire, il était déjà bien plus qu'excité à l'idée de la soirée qui l'attendait en compagnie de cette demoiselle. Une inconnue, ils ne s'étaient même pas présentés, mais les voilà tous deux prêts à s'envoyer en l'air dans une grandiose partie de jambes en l'air, et ce n'importe où, mais peut-être pas n'importe comment. Ce n'était vraiment pas dans les habitudes de Read... Enfin si, depuis quelques temps, ça l'était, mais c'était quelque chose de totalement contraire à toutes ses valeurs. Des valeurs inculquées par un père et une mère croyants. Heureusement qu'ils étaient à mille lieux de savoir ce qui arrivait à leur fils en ce moment, et quelle passe terrible il était en train de vivre. Et encore plus heureusement, malgré le fait qu'il était bourré, Read pensait à des choses comme le préservatif... Un objet qu'il n'avait quasiment jamais utilisé auparavant... Il n'en avait pas eu besoin avec Mary.

La danseuse fit preuve de bien plus de bestialité encore en demandant au jeune homme où est-ce qu'il voulait le faire. Souriant, de manière un peu plus maline et perverse cette fois-ci, l'ambulancier finit par reprendre la parole. « Je te laisse choisir, je suis sûr que t'as une excellente idée à ce sujet... mais on va pas trop loin, il fait bien chaud ici. » dit-il. Chaud dans les deux sens. L'excitation avait fait augmenter la température d'un bond, et le mercure n'était pas prêt de s'arrêter à un si bon moment. Autant dire que, dans son état d'alcoolique, Read n'avait pas envie de s'attarder sur des choix et des préliminaires à n'en plus finir... « On peut le faire dans plusieurs endroits différents, ça nous fera visiter... » dit-il en riant, avant de passer une main sur les fesses de son interlocutrice. Après tout, ils avaient plusieurs préservatifs à utiliser, alors, autant ne pas s'en priver... Et plus on découvre, plus on devient cultivé, on le lui a toujours répété. Les mots que la demoiselle lui susurra le firent sourire davantage et il posa son regard au creux de celui de son interlocutrice : « Des merveilles ? » demanda-t-il. « Et bien, j'attends que tu me le prouves... Et tu sais quoi, j'aime les gens qui tiennent leurs promesses... » fit-il avant de s'emparer des lèvres de la danseuse et de la caresser. Il était toujours dans la tendresse d'un câlin plutôt que dans la perversion d'un homme voulant se taper une femme à l'air plutôt bonne. Tout simplement parce que Read ne pensait pas dans cette catégorie. Tout ce qu'il voulait, c'était qu'on lui offre un peu d'amour, qu'on lui fasse comprendre qu'il pouvait tout aussi bien procurer du plaisir en tant que simple jouet sexuel. Au moins, cela lui donnait un peu l'impression qu'il n'était pas trop inutile. Et puis, de toute manière, un coup sur deux, le lendemain matin, il aurait oublié plus de la moitié de la soirée.
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    Depuis ma rupture avec River j’avais beaucoup de difficultés avec l’amour, la tendresse, les câlins, je ne pensais qu’au sexe. Pourtant il n’y avait pas beaucoup de garçons qui était passé dans mon lit, ils étaient seulement trois dont j’avais été amoureuse, j’avais su rebondir mais cette fois ci c’était trop fort. Je me sentais très mal depuis qu’il était partie de ma vie, me plaquer pour un mec je me demandais pourquoi je méritais ça. Le pire c’est que j’étais enceinte. Enfin le pire c’était une façon de parler, j’étais contente de porter son bébé mais je me disais qu’aucun homme à peu près censé et raisonnable de 24 ans voudrait faire sa vie avec moi. En même temps je me voyais pas du tout refaire ma vie, je ne pourrais pas redonner ma confiance à quelqu’un, c’était tout bonnement impossible. Enfin pour l’instant je me voyais mal vivre une histoire d’amour. C’était certainement pour ça que je couchais avec le premier venu et aussi parce que j’avais l’impression d’être une petite cocotte minute bourré d’hormone diverses et variés. Je me mis à rire quand il me dit qu’il ne voulait pas vraiment changer d’endroit, il voulait vraiment qu’on couche ensemble ici. Cela me fit rire légèrement. Je ne pensais pas que son intention était vraiment de s’envoyer en l’air en pleine boite de nuit mais franchement ça pouvait être excitant de coucher avec quelqu’un en public. Je ne savais pas si c’était un de ses fantasmes et je me décidai de vérifier en lui posant simplement la question : « Tu veux le faire ici, mais dans un coin sombre, assez discrètement… ». Je l’entrainais alors vers un coin que j’avais repéré précédemment il y avait une sorte de petit canapé, il y avait un peu moins de lumière de ce côté-là de la boite. Ce n’était pas très intime mais moi je trouvais ça super excitant. Je me mis à rire de nouveau en sentant ses mains sur mes fesses : « Où tu veux mais si on commençait sur ce canapé ! ». Je m’assis alors sur le canapé l’entrainant sur moi, je me décidai à l’embrasser même si je le connaissais pas des masses. Je n’arrivais même pas à savoir si j’avais un véritable désir envers lui ou si je désirais simplement coucher avec quelqu’un. Je murmure alors dans son oreille : « Ben viens que je te le prouve… ». Je sentais ses caresses sur mon corps cela me faisait du bien, j’avais l’impression d’être une fille et pas une poupée gonflable, c’était assez agréable mais je ne devais pas y prendre goût car tous les mecs n’était pas comme ça avec moi. Je le plaquai contre moi en souriant avant de passer discrètement ma main dans son caleçon, je savais exactement comment faire du bien à un homme. Ma rupture amoureuse m’avait donné au moins l’opportunité d’acquérir un peu d’expérience en couchant à droite et à gauche. Je commençais à caresser son sexe du bout des doigts en faisant attention que personne ne remarque notre petit manège et que tout le monde pense qu’on était simplement entrain de s’embrasser.
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C'était avec une grande tendresse qu'il embrassait la demoiselle se trouvant en face de lui et à présent dans ses bras. Read n'avait pas appris à être trop bestial, même s'il paraîtrait que cela plaisait à certaines femmes. Tout de même, au lit, l'on avait pas l'impression qu'il s'agissait d'un ours en peluche, sans quoi il serait vraiment ridicule. Non, non, il avait reçu pas mal de qualificatif, certaines l'avaient jugé pas mal, d'autres plus que bien. La pratique faisait le maître, alors pour s'améliorer, comme dans chaque discipline, il n'y avait pas de secret. « Discrètement, oui... » souffla-t-il. En vérité, le fait qu'ils étaient en public ne le gênait pas du tout, il était trop alcoolisé pour s'en rendre vraiment compte et la jeune femme en sa compagnie était des plus agréables. Alors, son attention perdue par l'alcool ne pouvait se focaliser que sur une seule chose en ce moment, et c'était sur June -où la fille dont il ne connaissait pas encore le nom et dont il ne connaîtrait certainement jamais le nom. Il se laissa entraîner vers un endroit moins illuminé, plus sombre et plus intimiste. C'était une sorte de canapé, inoccupé malgré le nombre de personnes grandissantes qui peuplaient la boîte de nuit en cette heure si tardive. Elle embrassa notre jeune secouriste qui prolongea le baiser. Elle avait l'air plutôt satisfaite pour l'instant, satisfaite de ce qu'elle pensait qu'il allait lui procurer. Et il n'était pas prêt d'arrêter là, puisqu'il avait été on ne put plus chauffé et excité auparavant. Comme quoi, on gagne forcément à proposer des câlins gratuits. Il caressa tendrement la demoiselle, l'embrassant dans le cou. Elle avait une peau toute douce... « T'as vraiment une peau délicate... » affirma-t-il. Read bourré devenait enfantin, et la fois si dépravé que c'en était presque vexant. Ses yeux brillaient. « C'est tant mieux, je me suis toujours demandé ce que ça faisait de le faire avec une princesse de Disney ! » s'exclama-t-il. Encore une fois, il comparait sa partenaire à une princesse. Mieux encore avec une princesse de dessin-animé, que les petites filles rêvaient de devenir en vrai. Et c'était la sincérité même puisque lorsqu'il était ivre, Read avait du mal à mentir.
« J'arrive... » répondit-il à l'affirmation de sa partenaire. Et alors qu'ils s'embrassaient, il sentit la main fraîche de la danseuse venir s'introduire dans son jean, et même venir caresser son intimité. Il en frémit et se mordit la lèvre afin de ne laisser échapper aucun son qui les trahirait. Il avait beau être excité par le fait d'être dans un lieu public, mais il savait aussi que si quelqu'un les remarquait, ce serait terminé et ils perdraient tous deux l'excitation intense dans laquelle ils se trouvaient. Son gland grandissait au fur et à mesure qu'elle lui procurait ce plaisir... Puis, il se pencha bien contre son oreille, susurrant : « Laisse-moi essayer... ». Et sans crier gare, mais toujours avec douceur, il se tourna de façon à ce que June se retrouve au-dessus de lui, l'embrassant et passant sa main là où il le fallait, il fit jouer de ses doigts avec insistance et précision... Tout en s'emparant des lèvres de la danseuse, l'empêchant ainsi de produire quelque mot ou quelque son que ce fut.

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    Je me mis à rire quand le jeune homme m’affirma que j’avais une peau délicate, je crois qu’aucun homme ne m’avait jamais fait un tel compliment. Encore, une peau douce, je pouvais comprendre mais une peau délicate, c’était un adjective qui ne semblait pas trop me correspondre. Cependant je souriais, c’était plutôt gentil de sa part d’essayer de me faire un compliment alors qu’il ne me connaissait pas du tout. Je lui répondis alors : « C’est rigolo, tu as l’air d’être un garçon gentil ! ». Oui c’était drôle car pour moi les garçons gentils ne sautaient pas sur la première fille venue mais peut être qu’il y avait une bonne raison à cela, je ne pouvais cesser de m’interroger même quand j’étais sur le point de coucher avec un parfait inconnu. D’ailleurs je me demandais si il avait de quoi se protéger sur lui, j’accordais une importance primordial à ce genre de détails tout simplement parce que ma mère était morte du sida pratiquement dans mes bras et je ne voulais pas faire subir ça à mes enfants. Quoi que c’était pas vraiment la faute de sa mère pour le coup. Je lui murmurais alors : « J’espère que tu as de quoi te protéger ». Sinon je serais obligé de fouiller dans toutes mes poches afin de trouver un préservatif, je devais forcément en avoir un sur moi mais où…Là était toute la question. M’installant sur le canapé par la suite j’avais commencé à caresser le jeune homme en face de moi qui avait finit rapidement par vouloir me rendre la pareille. Autant dire que la température était rapidement monté dans la boite de nuit, je ne pouvais cependant pas vraiment le laisser paraitre et même si les caresses qu’il me procurait me faisait du bien j’étais condamné à rester dans le silence le plus total. J’ouvris davantage sa braguette pour continuer de procurer moi aussi mes caresses mais j’avais rapidement envie de passer à la vitesse supérieure. Je ne sais pas quelle sorte de médicaments m’avaient envoyés mon père mais ils avaient été d’une réelle efficacité pour me rendre dans un état d’euphorie et de folie complète. Au moins ça prouvait leur efficacité, il n’y avait aucun doute là-dessus ! Je finis par lui murmurer quelques secondes plus tard « Bon… ». Montrant clairement mon avis d’aller plus loin avec lui que de simples caresses…


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