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THEODORA L. O'NEILL ► camille rowe-pourcheresse.

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 THEODORA LOUISE O'NEILL

  • J'ai vu le jour le 15 août 1992.
  • Dans une ville irlandaise appelée Cork.
  • J'ai vingt six ans mais cette année je vais sur mes vingt sept ça me rajeunis pas tout ça.
  • Irlandaise pure souche.
  • Purement et uniquement hétérosexuelle, j'aime les hommes les vrais et personne ne me détournera de ça.
  • Libre comme l'air.
  • Ni pauvre, ni riche, je suis de la classe moyenne.
  • Huitième année de journalisme, ma passion depuis toujours.
  • Aucune, je me concentre uniquement sur le journalisme.
  • Aucune pour le moment, je cherche un petit job afin de mettre un peu d'argent de côté.
  • Non, je ne croule pas sous l'or mais mes parents peuvent quand même me payer des études à Harvard.

   
CAMILLE ROWE-POURCHERESSE
MAISON OU NON ?
   Une communauté, un esprit de fraternité. Voilà ce qui me pousse à vouloir entrer dans une maison Hardvardienne. Appartenir à un petit cercle fermé où tout le monde se serre les coudes. J'ai besoin de m'investir et de vivre dans l'euphorie d'un groupe. Je ne suis pas faite pour vivre et avancer seule. J'ai un besoin de savoir que je compte pour des gens et que eux compte pour moi. Derrière cette enveloppe charnelle, attirante, séductrice. Y'a un cerveau et un coeur. Alors oui, j'ai quelques défauts comme tout le monde mais lorsque je suis investie dans quelque chose je remuerais ciel et terre pour rendre heureux les gens qui m'entourent. Et puis, se faire des copines, boire des margaritas en pyjama en chantant I will always love you c'est grave mon truc.
Caractériellement on ne peut pas dire que je sois facile à vivre mais on ne peut pas dire que je sois un monstre non plus. Je suis quelqu'un d'apparence joyeuse, rigolote à la limite de la folie. Fêtarde mais toujours avec modération. Je sais jouer de mes charmes et de mon physique mais il ne faut pas s'y méprendre je suis quelqu'un d'intelligent qui sait se faire passer pour la blonde de service.
Têtue et obstiné j'obtiens toujours ce que je veux. Curieuse et gourmande je remplie aussi bien mon esprit que mon estomac. Fidèle que ça soit en amour ou en amitié, je serais toujours présente pour les gens qui compte vraiment. Jalouse et possessive, ce qui est à moi est à moi.
Mais derrière ce tempérament qu'on pourrait qualifier de normal. Ne se cache pas quelqu'un de forcément bien. Si je devais être un animal je serais un chat parce que quoi qu'il arrive je retombe toujours sur mes pattes. S'il faut que j'écrase le monde pour avancer je le ferais. La vie m'a apprise à être égoïste par moment et dans les cas les plus extrêmes à sauver sa peau avant celle des autres. Impulsive et colérique il peut m'arriver de manquer de self-contrôl par moment.
Je ne suis pas foncièrement méchante mais je fais souvent des choses que je regrette par le passé. Et je regrette tout les jours mon manque de responsabilité. Mais on a tous nos démons et nos blessures non ?
TON ADMISSION À HARVARD - Je n'ai pas commencée mes études de journalisme à Harvard mais dans une petite mais tout aussi prestigieuse faculté Irlandaise à Galway plus précisément. Les années ont été obtenus sans difficulté mais mon rêve avait toujours été de rentrer à Harvard. Donc grâce à mes parents et à une lettres de recommandations du directeur général du New-York times pour qui j'ai travaillée un petit moment. Harvard m'a gentiment ouvert ses portes pour venir y passer ma huitième et ma neuvième année. Je viens finir mon cursus scolaire dans la plus grande université américaine pour que les portes de l'avenir s'ouvrent en grand.
AUCUN/OCEANE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle océane et j'ai vingt deux ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Ce jaune estivale et ce scénario complètement bandant m'ont fait appuyer sur le bouton plus vite que mon ombre, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise camille rowe-pourcheresse comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par MORPHINE. Je fais environ 300 à 600 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Raleigh 'Styx' Laufey.

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

   Je recense mon avatar
   si personnage inventé:
   
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]☆[/url] ☆ <span class="pris">AVATAR</span> ◊ “ Pseudo ”[/size]
   si scénario:
   
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9197]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t93951p10-f-you-were-my-world-you-betrayed-me-this-is-war-now#3753897]☆[/url] <span class="pris">CAMILLE ROWE-POURCHERESSE</span> • “ Théodora L. O'NEILL ”[/size]
   
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Cork. Une ville ni petite, ni grande mais une ville très mignonne. C'est cette ville irlandaise, qui recueillit ton premier cri et tes premiers pas. Petite dernière d'une famille recomposée de quatre enfants. Tu es la seule enfant que le couple O'Neill a eu en commun. Ta mère avait déjà deux filles d'un premier mariage. Alexis et Charline avaient respectivement huit et six ans quand tu ouvrais les yeux. Quant à ton père c'est deux garçons qu'il a eu de sa première union. Eden était âgé de cinq ans lors de ta naissance et Théo venait tout juste d'avoir trois ans. Tu étais un accident pour tout le monde mais chacun s'en accommoderais à sa façon.

A l'aube de tes cinq ans et de ton entrée à la petite école, tes parents et toute la tribu décidèrent de déménager à Boston. Ton père venait de passer directeur général de son entreprise dans le domaine de l'édition. Et quand à ta mère, elle trouverait bien une place d'avocate au barreau de Boston ou aux alentours. C'est donc à Boston que tu connues tes premières fois. Toutes tes premières fois. Tes premiers amis, tes premiers petits copains, les premières bagarres de tes frères pour toi, les premiers conseils de tes sœurs pour avoir et garder un mec. Tu semblais bien entourait et rien ne semblait détruire ce bonheur familial si fragile mais pourtant là. Chacun grandissait petit à petit et quittait peu à peu le nid lors de ton entrée au collège. Seul tes deux frères étaient encore à la maison et le premier drame familial ce produisit à ce moment-même.

Deux jours avant tes treize ans, une tempête monstrueuse s'abattit sur tout le pays. Les arbres se cassaient, la pluie se déchaînait sur les routes et le toit des maisons. L'électricité fût coupé pendant quatre jours et quatre nuit. Cette tempête plongea tout le monde dans une panique totale mais elle plongea ta famille dans une obscurité éternelle. Le troisième soir de cette tempête, ta mère rentrait du bureau comme tout les soirs. Il était vingt et une heure quand ton père reçut un appel de l'hôpital pour lui dire que sa femme venait d'être amenée aux urgences mais qu'elle avait quitter le monde sur le trajet la menant à l'hôpital. Suite à cet appel, ton père posait le téléphone sur la salle de la table à mangeait et un cri de douleur déchira toute la maison. Eden, Théo et toi accourait à son secours et c'est là entre deux sanglots qu'il vous annonçait que votre, que ta mère était décédée. Un voile vint se poser sur ton corps entier et c'est à ce moment que tu ne te souviens plus de rien. Alexis et Charline étaient arrivées aussi vite qu'elles avaient pu. Tout le monde se prenait dans les bras, pleuraient, criaient, extériorisaient la douleur sauf toi. Tu repartais te coucher comme si de rien n'étais. Ce n'est qu'une semaine plus tard que tout devenait réelle, lorsque tu vis le corps de ta mère allongeait dans un cercueil, tu venais enfin de comprendre que tu l'avais perdu. Mais quelque chose clochait, tout le monde disait que la tempête l'avait tué mais tu savais que quelque chose ne tournait pas rond. Tout le monde te cachait la vérité. Ce n'est qu'en entrant au lycée que la vérité sur la mort de ta mère se dévoila enfin. Un jour alors que ta sœur, Charline venait de couvrir une de tes conneries une énième fois depuis ses trois dernières années que tout éclata. « Théo, pourquoi es-tu comme ça ? Pourquoi es-tu une petite peste ? » Charline semblait énervée contre toi, ses yeux sortaient de ses orbites, son corps paraissait gigantesque et son visage rougit par la colère. Tu te mis à sangloter un instant pas que tu avais envie de pleurer mais uniquement pour faire passer la pilule. « Tu veux savoir pourquoi je suis comme ça depuis que maman est morte ? Parce que vous me mentez tous en me disant que c'est un accident alors que je sais que c'est faux. Maman s'est suicidé ! Et je sais que tu connais la raison du pourquoi du comment deux jours avant mes treize ans, elle s'est jeté dans un platane ! » Tu venais de lui hurler dessus et pour le coup tu pleurais vraiment. Une boule de nerfs venait de sortir de tes tripes et les larmes coulaient à flots. Ta sœur ne dit pas un mot, elle partait en direction de son sac à main. Fouillait à l'intérieur et en ressortis une lettre jaunie par le temps. « Lis ça et tu comprendras pourquoi personne n'a jamais rien dit. » Elle embrassa le dessus de ton crâne et quitta le domicile familial.

Cette lettre fut ta descente aux enfers. Tu aurais mieux fait de ne pas connaître la vérité plutôt que d'apprendre que ta mère n'était pas heureuse dans son mariage et que cette famille aimante et idyllique n'était qu'un leurre. Elle était fière de tout ses enfants, même Eden et Théo mais elle ne supportait plus le comportement déviant de ton père. En quelques mots ta mère expliquait ses années de viol conjugales, de délires sadomasochistes auquel ton père l'obligeait à participer. Mais pourquoi ? Pourquoi n'avait-t-elle rien dit ? La suite de la lettre te l'appris aussi et t'appris bien pire. Tu n'étais que le fruit d'un viol conjugal ce fût le premier et tout le reste s'est enchaîné pendant treize année. Ta mère avait décidé de ne rien dire, car ton père lui faisait du chantage de tout te révéler si elle osa parler. Alors pour te protéger ta mère à serrer les dents et à accepter. La fin de cette lettre mis le feu au poudre dans ton corps. C'est fini la Théodora mignonne et souriante était morte avec cette mère violée. Tes années lycée furent les plus douloureuses pour tout le monde. Pour toi, pour ton père, pour tes frères et sœurs et également pour Raleigh. Raleigh c'était le vrai seul ami que tu avais. Tu ne sais même pas si c'était vraiment un ami ou si tu avais espérais que ça soit plus. Enfin bref, Raleigh il était toujours là pour toi, pour te soutenir, te protéger et te faire rire. Il ne savait rien de toi mais au final il ne posait pas de questions et répondait présent quand tu avais besoin de lui c'était tout ce qui t'importait. Un petit copain qui te blessait ? Raleigh sortait les poings. Une copine qui te faisais pleurer ? Raleigh te tendait ses bras pour y déposer tes peines. Il veillait sur toi, comme un frère veille sur sa sœur. Votre relation pris bien vite une tournure plus intime. Tu aimais le fait que ce garçon te rassure, te fasse te sentir belle et désirable. Il avait ce regard qui disait que tu étais la plus belle chose de sa vie. Et lui il étais la plus belle chose de la tienne. Tu aurais tout donné pour lui. Tu l'aimais plus que ta propre vie et tu savais que c'était l'homme de ta vie, tu étais jeune mais lui seul pouvait te sauver et tu n'aimerais jamais quelqu'un d'autre autant que lui. Mais il ne cautionnait pas cette autodestruction.
En effet, tes années lycées c'est sexe, drogue et rock'n'roll. Tu étais défoncée à toute heure de la nuit comme du jour. Tu allais en soirée pour te retourner le cerveau et oublier dans les bras d'un mec différent tout ce qui te faisait souffrir. Tu avais même retrouver refuge quelques fois dans les bras de ton dealeur. Lorsque tu étais vraiment déchirer c'est vers lui que tu te tournais et c'est son sexe à lui qui déchirait tes entrailles. Ce rapport avec ton dealeur n'avait pas durer longtemps, car Raleigh l'avait appris au détour d'une conversation et il lui avait réglé son compte à la sortie du lycée. Le petit ami trompait défendait coûte que coûte la femme dont il était amoureux. Tu en avais voulu à Raleigh de t'avoir priver de came pendant un certain temps. Parce que suite à l'usage des poings de ton petit ami, ton dealeur avait pris ses distances et ne voulait plus te fournir aussi souvent. Mais cela n'avait durer qu'un temps. Tu avais par la suite fais comprendre à ton dealeur qu'entre vous maintenant c'était uniquement pour la came et que le seul homme que tu aimais était Styx.

Les années ont passées mais toi tu ne changeais pas. Tu étais une gamine pleine de colère, droguée, voulant faire un doigt d'honneur au monde entier. Tu t'en foutais de tout, de tout le monde sauf de lui, Raleigh mais même ça tu n'avais pas été capable de le conserver.
Un jour, alors que t'allais te fournir chez ton dealeur, ce dernier en avait profité pour te tripoter et même plus pour te violer. Tu te souviendras toujours de ce corps lourd sur le tien, tu serrais les dents et puis la vision de ta mère était revenu sur le devant de la scène. Tu tournas doucement la tête, attrapa le cendrier sur la table de nuit et lui éclata sur la gueule. Tu partais en courant, sans même savoir s'il était en vie ou pas. Ce n'est que le lendemain lorsque la police débarqua chez toi que tu compris que tu étais dans la merde. Au vu de tes antécédents et de la délinquante que tu étais personne ne croirait que tu l'as tué parce qu'il te violer mais plutôt parce qu'il ne voulait plus te fournir. Mais tu ne voulais pas aller en prison. Alors plutôt que d'assumer, tu fis la pire erreur de toute ta vie. Tu dénonça Raleigh à ta place. Sur le coup, tu trouvais que c'était la meilleure chose à faire et tu en étais même fière, tu avais souris lorsque tu l'avais vu avec les menottes aux poignets. Tu avais souris parce que pour toi c'était normal qui le fasse, il fallait qu'il te protège comme il l'a toujours fait. Et qu'il protège son bébé enfin votre bébé. Quelques mois avant le drame, tu avais découvert ta grossesse. Styx était le père c'était certain mais tu n'avais pas eu le courage de lui dire par peur de sa réaction. Et voilà que tu envoyais le père de ton enfant en maison de redressement à ta place mais tu connaissais Raleigh et tu savais qu'il comprendrait quand tu lui dirais tout à sa sortie. Malheureusement, le temps à fait que tu lui donnais peu de nouvelles et tu ne trouvais jamais la force de lui parler du bébé. Cet enfant, tu l'as mis au monde mais sous X. Tu pensais que c'était le mieux à faire enfin ton père te disait que c'était le mieux à faire si tu voulais réaliser tes projets futurs grâce à son financement. Prise à la gorge, tu faisais ce que tu savais le mieux faire, être égoïste et ne pensait qu'à toi. Raleigh n'en saurais jamais rien tu pensais. Et puis de toute façon jamais plus tu ne le reverrais d'ici quelques mois tu t'envolerais pour l'Irlande. Cette petite fille aura une vraie famille, pas un père ancien taulard et une mère à la ramasse. Elle pourra grandir, s'épanouir sans se dire qu'un monstre l'a mise au monde. Et c'est comme ça que t'enfouissais un nouveau secret et un nouveau regret.

Tu fuyais Boston et ton père à l'âge de dix-huit ans pour entrer à l'université de Galway dans la section journalisme. Ton père était fier que tu retournes en Irlande et toi tu lui faisais croire que tu voulais vraiment étudier là-bas. Bien sûr qu'il n'était pas au courant pour lui, le viol et le meurtre. Tout ce que ton père voyait c'était que tu entrais à l'université et que tu avais arrêter la drogue après un été passé en désintoxication. Tu restais en Irlande jusqu'à ta septième année que tu obtiens haut la main. Et puis voulant faire un break, tu cherchas un petit boulot aux Etats-Unis et c'est comme ça que de fil en aiguille tu te retrouvas assistante au New-York Times. Tu devenais une jeune femme belle et brillante mais toujours aussi torturée et machiavélique. Tu bossais pendant une année là-bas. Et puis, en juillet, 2018, tu discutais avec le directeur général du New-York Times de ton envie d'intégrer Harvard pour tes deux dernières années. Et c'est grâce à des bonnes notes, un bon stage avec une petite lettre de recommandation et un papa fier de pouvoir retrouver sa fille auprès de lui que tu intégrais la prestigieuse université d'Harvard en septembre 2018 pour ta huitième et avant dernière année de journalisme.

Le tout était de savoir comment tu vas gérer ton dégoût et ta colère face à ce père déviant ? Comment tu vas gérer de revenir sur la terre de toutes tes blessures ? Et ne vas tu pas faire de mauvaises rencontres qui risqueraient de te faire replonger ou même de mettre ta vie à feu et à sang ?

   
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@Dae-Ho Jeon et @Ruby Carstairs merci à vous deux THEODORA L. O'NEILL ► camille rowe-pourcheresse. 1365124802
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bienvenue et bon courage pour ta fiche THEODORA L. O'NEILL ► camille rowe-pourcheresse. 2511619667
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Meeeerci à vous tous hanwii THEODORA L. O'NEILL ► camille rowe-pourcheresse. 1365124802
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