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Nevada Bird ► Lucky Blue Smith

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 Nevada Orion Bird

  • Le Le 17 août. En ce jour de canicule, tu as poussé tes premiers cris, gigoter ton petit corps, affamé de ce monde qui plus tard, ne t’avait apporté qu’un lot de surprises malencontreuses.
  • Boston t'a vu naître, t'a vu grandir. Boston a témoigné ta décadence et ta malchance.
  • Tu as 24 ans. Bientôt un quart de siècle baigné dans le rictus plaisantin, la découverte de la chair, l’excursion du continuum sur lequel tu es et par dessus tout, de déception houleuses ayant laissé des séquelles dans ton âme ravagée par la Némésis.
  • Tu as la nationalité américaine. Certains te traitent de veinard, de chanceux, toi le jeune homme capable de vivre le rêve américain. Erreur, grosse erreur.  
  • Tu as été pointé du doigt, brûlé sur l’autel d’une foi qui t’es étrangère pour avoir eu un jour l’audace d’avouer tes préférences. Les courbes masculines, les mâchoires saillantes, la virilité assommante, c’est là où va ta préférence malgré le fait d’apprécier les arabesques félines de tes opposés d'une manière platonique. Tu es un homosexuel et fier de l’être.
  • Tes ailes de liberté te poussent à garder ton célibat intact. Tu es parfaitement confortable dans ta situation actuelle et tu as du mal à t’en débarrasser. Peut-être est-ce lié au fait de vouloir un seul et unique être, l’aveugle, là.
  • Pauvre. Tu as toujours été pauvre et tu le seras probablement pour le restant de ton existence. Tu fantasmes parfois sur un compte bancaire garni, sur des soirées mondaines interminables ou encore un lit bien douillet. Pour le moment, tu n'as qu'un taudis en guise de lieu d'habitation en espérant pouvoir changer les choses, un de ces jours.
  • Tu travailles comme vendeur dans une boutique de jeux vidéos. Quand la pénombre s'installe, tu te glisses dans la peau d'un barman remplaçant dans différents établissements nocturnes.

Lucky Blue Smith
Contempler pendant des heures les grands monuments historiques. Parcourir le chemin de la liberté ou encore visiter la petite colline de Beacon Hill le soir quand les ruelles sont éclairées par les lampadaires au gaz infatigables. Ces activités font partie de ce que tu aimes à Boston, la ville historique américaine. Tu aimes aussi le fait qu’elle soit la capitale culturelle quand bien même tu n’as pas eu la possibilité de faire de grandes études. Cependant, comme toutes les grandes villes, elle abrite des milliers d’habitants et vu ton manque de sociabilité et le malaise engendré par la foule, Boston devient rapidement oppressante pour toi. Malgré ce point négatif, tu aimes cette cité et n’envisages aucunement à la quitter.
Nevada, tu es une complexité dans un esprit baroque. Un paradoxe dans toute sa splendeur. Quand bien même une froideur exécrable émane de ton être, tu ne t’empêches pas de te montrer honnête et franc. Si quelque chose te déplaît, si une personne t’irrite, tu ne te retiens jamais de le dire sans pour autant user de bienséance. Tu n’es pas extrêmement sociable bien au contraire, quand tu te retrouves face à des inconnus, tu perds tes repères et ta grande gueule par la même occasion. La foule fait naître un malaise viscéral en toi, comme si tu souffres d’agoraphobie ce qui n’est pas forcément le cas. Tu es juste allergique à l’inconnu, n’appréciant pas le fait qu’on te regarde. Tu penses dur comme fer être une personne sans aucun intérêt. Doté d’une carence d’estime de soi, tu compenses avec une violence inhabituelle. Comme on dit, la meilleure défense c’est l’attaque, cette expression prend tout son sens avec toi. On peut facilement te qualifier d’antipathique à force de ne pas savoir étirer les lèvres. Sourire, détendre ton visage pourtant attractif et angélique ne fait pas partie de tes accoutumances. Dans ton cercle amical restreint, tu te permets de te plaindre à la longueur de journée tout en essayant de rester coller à eux. La notion de l’abandon, la solitude te font extrêmement peur. C’est dans ces moments là que tes crises surgissent. Dans ce cadre là où ta bipolarité se manifeste ardemment. Et c’est là où tes phobies te sautent à la gorge engendrant une vague de panique dans tes entrailles. Mais tu n’es pas seulement une montagne de défauts. Tu peux te montrer à l’écoute et de bon conseil même si parfois, ta négativité et ton pessimisme peuvent prendre le dessus. Tu es aussi prêt à défendre avec acharnement tes proches et tant pis si tu perds un bras ou deux dans le processus. Tu es loyal, amusant quand tu es de bonne humeur. Néanmoins, ta jalousie et ta possessivité peuvent facilement étouffer tes proches. Quand une personne monopolise tes sentiments, non seulement elle devient ton centre d’intérêt mais en plus, tu fais d’elle ta propriété. Dans les moments d’extrême euphorie liée à ta bipolarité, tu te montres telle une pile électrique, usant de paroles et de démonstrations affectives. Mais quand les heures sombres se manifestent, tu deviens davantage morose, évoquant à plusieurs reprises la Faucheuse. Non, tu n’es pas suicidaire quand bien même la mort sollicite un grand intérêt chez toi.      
Tu as poussé tes premiers cris à Boston. Tu as fait tes premiers pas dans une maison située dans ses ruelles malfamées. Malgré la condition de ta famille et la pauvreté qui la caractérise. Malgré les fois où tu as touché le fond, malgré un avenir confus, tu ne désires aucunement plier bagages et partir loin. Ta sœur se trouve dans la ville. Ta vie entière est basée dans la cité et par dessus tout, tu as une affaire inachevée qui t’attend.
Ton avenir est incertain. Cette idée assommante est administrée par ton esprit baigné par le pessimisme mais aussi ta réalité actuelle. Tu es pauvre. Tu n’as pas de diplôme. Tu n’as pas un métier stable et à cause de tes crises quasi-quotidiennes, tu n’as pas la possibilité de voir loin. Toutefois, dans l’obscurité de ton petit studio et caché des regards indiscrets, tu te permets de rêver Nevada. Tu te vois dans une salle où les machines intelligentes t’encerclent toi, l’être qui les commandes. Tu te vois en train de t’adonner à ta passion qu’est les jeux vidéos. Oui, tu te vois en game streaming, frappé par la jouissance que la manette peut te procurer. Mais les rêves sont forgés dans le but de ne pas se réaliser. Même si tu économises pour acheter le matériel nécessaire, même si tu manges à ta faim afin de rendre cela possible, tu es constamment habillé par la perplexité tout en espérant, au plus profond de ton être, réussir ce projet qui te tient à coeur.  
Eya ou Magma.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Magma. anciennement Phantasmagoria et j'ai plus de la vingtaine mon capitaine ! Je suis tuniso-américaine et j'ai connu le forum grâce à un partenariat avec mon petit forum. Je connais ILH depuis a création alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lucky Blue Smith comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par BALACLAVA. Je fais environ 600 jusqu'à 2000 mots par RP et mon personnage est un fabuleuxscénario crée par @Ares Raad.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si scénario:
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9194]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t100777-m-tu-as-chamboule-ma-vie?nid=7#3753351]☆[/url] <span class="pris">LUCKY BLUE SMITH</span> • “ Nevada Bird ”[/size]
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Tes charnues s’obstinent dans ce sourire à moitié nostalgique donnant un peu de gaieté à ta peau diaphane. Tes pieds, précédemment en mouvement, s’arrêtent d’un coup alors que tes yeux azurés scrutent depuis quelques minutes, l’établissement devant lequel tu te retrouves. Une église. La maison du tout puissant. Le pansement des péchés, la faiblesse de l’homme. Ta révélation. Cet endroit a une grande signification pour toi non pas pour ce qu’il représente mais pour la réminiscence qu’il a un jour ingurgité dans ton esprit. Tu revois ce portrait de famille composée d’un père à la mine fermée, une mère aux cernes prononcées, un gamin aux habits bon marché et une petite fille souffrant d’une condition dès la naissance. Cette famille est la tienne et c’est dans les entrailles de l’église qu’ils trouvaient leur salut. Pas toi Nevada. En grandissant, tu as commencé à te poser des questions. Pourquoi s’entêtent-ils à se rendre dans ces lieux dits sacrés tous les dimanches ? Pourquoi ta mère pleure t-elle devant l’autel ? Pourquoi cette divinité est si importante pour eux ? Si, enfant, tu ne comprenais pas leur façon de voir les choses, en devenant adolescent, tu as enfin mis des mots sur leurs agissements. Ils avaient besoin d’un allié capable de leur donner la patience nécessaire pour se réveiller tous les matins. Un être suprême apte à apaiser leurs souffrances principalement liées au syndrome de ta petite soeur. Alors qu’ils rêvaient d’une gamine ordinaire, jouant avec ses poupées. Une gamine qu’ils verraient un jour diplomée d’une quelconque université. Une petite fille ayant la possibilité de dire haut et fort sa pensée finalement, ils ont eu un enfant porteur de trisomie 21. Eux, qui étaient si proches de leur créateur. Eux qui suivaient à la lettre les récits de la bible. Ils avaient pensé à une punition et cette idée s’était accentuée le jour où ils avaient compris ton orientation sexuelle. Ils sont pauvres, tes parents. Ils n’avaient pas un niveau scolaire supérieur. Ils n’avaient pas des boulots extrêmement bien payés au contraire. Alors, ils voulaient jouir d’une progéniture qui à un jour, arriverait à les rendre fiers. Mais finalement, ils vous en eu vous. C’est là où les choses avaient commencé à se dégrader. Où ta mère avait commencé à ne plus s’occuper de ta soeur. Où ton père préférait plutôt gaspiller son argent dans la bouteille au lieu de nourrir des bouches inutiles, comme il le disait si bien. Et c’est là où tu as dû quitter le lycée pour subvenir aux besoins de ta frangine. Déjà que tu n’étais pas très doué dans les études. Tu n’aimais pas les règles, rebelle depuis ton enfance. Tu ne comprenais pas le besoin de suivre la troupe quand l’envie est quasi-absente. Tu as fait tes propres lois, Nevada. Tu as construit ta vie selon tes propres normes. N’ayant jamais fait la bouche fine, tu avais accumulé des petits boulots. Commis en cuisine, homme à tout faire dans un dîner, plongeur dans un fast-food grâce à lequel, tu avais rencontré un jeune homme ayant le même âge que toi. Un jeune homme avec lequel tu t’étais lié d’amitié, loin d’imaginer que ce lien était sur le point de faire chambouler ta vie.

*************************** 

“Allez on se fait une partie ! J’installe le jeu.” Frottant tes mains l’une contre l’autre, tu t’étais redressé dans le but d’aider ton ami à mettre en place les manettes. C’était un peu votre petit plaisir personnel à vous deux. Les jeux vidéos, l’adrénaline que cela provoquait dans chacun de vous, l’envie de gagner et clamer sa supériorité juvénile ne serait-ce que pendant une heure. Oui, c’était devenu votre quotidien après une journée de cours barbante vous, les petits garçons respectivement âgés de quatorze et douze ans. Cependant, ce que tu n’avais pas prévu ce jour-là, était la personne qui venait de faire son apparition dans le salon. T’avais à peine eu le temps de lever la tête que ton ami avait reprit la parole. “C’est mon frère Ares, tu le connais alors fais pas attention à lui tu veux.” Mais trop tard. Tes prunelles océaniques s’étaient accrochées à sa silhouette mouvante. Tu le connais. Oui, tu l'avais déjà vu quand tu venais jouer avec son frère, ton cadet de deux ans. Mais c'est la première fois que sa vision interpelle la tienne. Il s’était déplacé jusqu’à la cuisine incitant ta tête et ton corps à se pencher sur le côté afin de le voir. Le contempler. Jusqu’à ce jour Nevada, tu te rappelles encore de ses actions. Il avait ouvert le frigo pour récupérer du fromage et du pain. Il s’était appuyé contre le plan de travail pour préparer des tartines. Des gestes simples du quotidien. Des gestes assez anodins et qui pourtant avaient éveillé ta libido encore endormie. Sensuel, charismatique, sexuel. Oui, chaque mouvement effectué par sa personne avait une approche extrêmement charnelle pour toi. Sa manière à croquer dans le pain, sa façon à glisser sa main dans ses cheveux. Ca t’avait poussé à te mordre inconsciemment la lèvre, proie à une imagination non catholique et inédite. T'étais jeune, très jeune et pourtant, tu n'arrivais pas à contrôler cette pluie de sensations étranges. T’étais surpris à vouloir deviner la texture de ses paumes. A toucher ses phalanges longues et fines. A croiser son regard. T’étais surpris à désirer un congénère alors que tes opposées n'avaient jamais éveillé ce genre d'envie en toi. “Hey ho tu m’écoutes ?” T’étais tellement concentré à regarder Ares que ton conduit auditif avait filtré les interventions de ton ami. Seulement, quand il s’était mis à agiter sa main devant ton visage que tu avais repris connaissance. T’avais alors secoué la tête, reprenant doucement contact avec la réalité. “Hum quoi ?” “Bah c’est parti pardi ! ” Soupirant, t’avais attrapé la manette dans le but de te concentrer sur l’écran. Sauf que, ce n’était pas facile pour toi. Tu n’avais pas arrêté de jeter des coups d’oeil vers la cuisine, guettant la proie à plusieurs reprises. Pour la première fois de ta vie, t’avait perdu une partie et ça ne te faisait ni chaud ni froid. Non, tout ton être était captivé par cet homme dont tu ne connaissais rien à son monde à part son prénom. Ares. Dieu de la guerre. Il portait bien son prénom parce qu’à ce moment là, il avait détruit toutes tes limites. “Salut, Ares. Je peux avoir une tartine ? ” Oui, t’avais laissé ton ami pour rejoindre la cuisine. Oui, t’avais décidé de l’interpeller non sans faire des efforts afin de lui offrir un de tes rares sourires et cela malgré le fait qu'il te considère comme un gamin chétif. Oui tu voulais encore l’admirer. Oui, ce jour-là, t’avais eu ce qu’on appelle un coup de foutre.

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“Des pâtes, ça te va ?” Sa tête s’était hochée énergiquement te décrochant un sourire attendri. Ta sœur est probablement l’une des rares personnes à qui tu peux offrir un étirement de lèvres sincère et réel. Elle est l’une des rares personnes pour qui tu portes un amour incommensurable. T’avais laissé tomber l’école afin de subvenir à ses besoins négligeant les tiens dans le processus. En effet, depuis quelques temps, quelque chose s’était manifestée dans tes entrailles. La première fois, c'était le jour où t'avais été au courant de l'adoption de ton ami. Il était parti et ne reviendra pas. Il était parti et il t'avait laissé proie à ta solitude insupportable. Au départ, t’avais ignoré les signes ; les mains soudainement tremblantes te poussant à lâcher le plateau des mains au boulot. Les sueurs froides parcourant ton échine dorsale au point de faire accélérer les battements de ton cœur. Des sautes d’humeur soudaines et qui parfois, peuvent te plonger dans la mélancolie sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit pour t’en sortir. Oui, t’avais fermé les yeux sur ta condition physique et mentale dans le seul but de ne pas faillir à ton rôle de grand frère. Cependant, une fois le déjeuner prêt et servi devant la petite télé ayant connu des jours meilleurs, tout avait basculé. Tu regrettes encore d’avoir pris cette maudite télécommande pour zapper les chaînes. Tu te mords les doigts de t’être resté scotcher devant ces images d’incendie et de catastrophe naturelle. Tout s’était accéléré dans ton esprit ravagé par la pathologie sans que tu ne le saches, sans que tu en donnes la permission. T’avais du mal à respirer normalement avant de ne plus être capable d’inspirer l’oxygène nécessaire à ta survie. Les paumes moites et frémissantes, les muscles contractés jusqu’à te faire hurler de panique. C’est ça, c’est la panique en bonne et due forme. C’est l’angoisse psychique se propageant jusqu’à ta carapace charnelle. C’est une peur indescriptible mais réelle. Tu l’avais senti sous ta peau, sous chaque parcelle au point de te mettre à crier et à pleurer. Elle aussi avait crié. Elle aussi avait pleuré en te voyant dans cet état. La suite des événements, tu ne les avais pas témoigné quand bien même t’étais l’acteur principal. T’étais juste réveillé à l’hôpital, un médecin à ton chevet. Il t’avait expliqué la situation engendrant des maux encore plus prononcées ; t’avais eu une énième crise et des tests étaient recommandés afin de comprendre leur origine.


*************************** 

“ Merci beaucoup ! A lundi” Après un petit hochement de tête reconnaissant, tu sors de l’établissement dans lequel tu viens de décrocher un emploi. Vendeur dans un magasin de jeux vidéos. Rien de très glorieux pour certains mais pour toi Nevada, ça a un goût particulier de réussite. Un an plus tôt, t’avais l’impression de toucher la Géhenne. T’avais l’impression de t’enfoncer dans les abysses sans être capable de remonter à la surface. Cet effondrement avait une explication ; t’avais eu le verdict sur ta condition mentale. Tes crises, n’étaient pas passagères. Tes crises avaient un commencement qui n’est autre que la bipolarité. Ce terme médical était étranger pour toi. Toi, le petit jeune homme modeste, menant sa vie comme il le peut. Toi le jeune homme ravagé par cette pathologie expliquant le besoin d’extérioriser ton mal être en te coupant la peau. Vu la dégradation de ton état, le médecin t’avait interné dans un hôpital psychiatrique. Au départ, t’avais protesté ne désirant aucunement te retrouver prisonnier parmi les fous. T’avais hurlé ton incapacité à rester loin de ta petite sœur. T’avais pleuré ta malchance. Pourquoi toi ? Pourquoi cette maladie s’était installée dans tes gènes ? Pourquoi dois-tu encore souffrir même en étant adulte ? Des questions loin d’être réparatrices. T’étais passé par plusieurs étapes. Le déni, la colère, l'anéantissement et l’acceptation. Oui, t’avais fini par accepter cette pathologie. T’avais accepté le fait qu’elle ne s’estompera pas avec le temps. Elle restera accrochée à toi jusqu’à la fin de ton existence. C’est à partir de ce moment là où ta condition avait commencé à évoluer. T’avais signé pour te faire traiter dans un établissement spécialisé. Quand bien même tu savais la raison pour laquelle t’étais interné, tu n’arrêtais pas de compter les mois, les semaines, les jours et les heures. Trois cent soixante dix sept jours plus tard, t’étais libre. T’avais juste une ordonnance pour tes médicaments et la liberté enfin acquise. La première chose que t’avais faite une fois démuni de tes chaines, fut d’aller affronter tes parents. Ta requête était simple; t’étais prêt à payer tous les frais liés à ta petite sœur Neiza, tu pouvais venir la voir un jour sur deux mais t’avais besoin de t’occuper un peu de toi. Besoin d’avoir ta propre habitation et prendre enfin ton envol. Besoin de le voir aussi et prétendre ta capacité à vivre au lieu de survivre.  
 
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bienvenuuuuue :heaart:
très très bon choix de scena Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 152426858 j'ai hâte de vous shiper avec ares Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 3997999705
ou pas Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 2157042859
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bienvenue et bon courage pour ta fiche :heaart:
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quelle genre de perfection là ? Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 1365124802 j'suis sur le cul
bienvenue à la maison, amuse-toi bien :heaart:
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Le scénar d'Ares qui est tenté :yoongijen:

J'ai tellement hâte de vous lire tous les deux. Ça va être de la folie je le sens

Bienvenue Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 2511619667
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je suis une stalkeuse en sous-marin d'Ares et ta plume a l'air dantesque alors comment dire que je suis charmée Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 208576344
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bienvenue parmi nous Nevada Bird ► Lucky Blue Smith 2109348208
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welcomeee :)
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Bienvenu :heaart:
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