NIKOLAS DAVID WOODWARD ► Matthew Davis

C'est le 11 août 1979 à Québec au Canada, que les membres de la famille Woodward m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Nikolas David. Je suis divorcé malheureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée . Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que professeur de relations internationales et de sociologie depuis 5 ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Citizens.

Ma mère est canadienne et mon père américain ▲ bien que je sois né au Canada, je n’y ai vécu que les deux ou trois premières années de ma vie ▲ je parle couramment le français, l’anglais, l’espagnol et le chinois ▲ je suis divorcé depuis quelques mois seulement après 8 ans de mariage et 10 ans en couple avec la même femme ▲ je travaille à Harvard depuis 5 ans ▲ j’ai moi-même étudier à Harvard, j’étais un Dunster ▲ malgré mon côté intellectuel, j’adore faire du sport et m’entraîner ▲ j’adore cuisiner pour la femme que j’aime▲ je suis très proche de mes élèves ▲ la seule femme dans ma vie depuis le départ de Meredith n’est autre que ma bouteille de whisky!

▲ Le pire jour de ma vie est certainement le matin où je me suis levé seul dans mon lit pour constater que ma femme m’avait laissé.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle H0neyy et j'ai 19 ans. Je suis Canadienne et j'ai connu le forum grâce à mes contacts dans la mafia. Le forum est vraiment comme un gros caca qui attire une tonne de mouche à merde alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je crois que j’men sors pas trop mal, remarquez, avec un prof je sais pas, on verra. J'utilise Matthew Davis comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr & bazzart. Je fais environ 300 mots et plus par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲

Lorsque j’ouvris les yeux, c’était pour regarder près de moi et constater ce que j’avais crains durant les dernières semaines. Son côté du lit était vide et vu la porte de la penderie ouverte, je savais d’avance que celle-ci aussi l’était. Mon regard glissa lentement sur la fenêtre par laquelle je regardai sans réellement voir avant de tourner lâchement la tête vers le cadran; 6h02. Je restai dans cette position un bon moment avant de rejeter les couvertures d’un geste vif pour m’assoir sur le bord du lit, les pieds posés fermement sur le sol. Penchant légèrement la tête vers l’avant, je pris ma tête dans mes mains et fermai les yeux.

« TU NE PENSES TOUJOURS QU’À TOI NIKOLAS, J’EN AI MARRE À LA FIN! » Malgré le son strident de sa voix lorsqu’elle criait, j’adorais l’accent anglais qu’avait ma femme, peu importe ce qu’elle me disait. Malheureusement, ces pensées n’étaient pas suffisantes à me rendre le sourire cette fois, il en faudrait plus, bien plus même. Un long soupir quitta mes lèvres alors que je roulais les yeux en détournant la tête. Depuis quelques mois, c’était toujours pareil. Chaque jour, elle me prenait la tête pour les mêmes raisons et chaque fois j’avais la même réaction. « IL N’Y EN A QUE POUR TES ÉLÈVES! ON CROIRAIT PRESQUE QUE C’EST À EUX QUE TU ES MARIÉ! » Qu’est-ce que je pouvais y faire si je prenais mon travail à cœur? Ce n’était pourtant pas la première année que je travaillais à Harvard, elle savait très bien que j’étais très dévoué pour eux surtout depuis que j’étais responsable des Dunsters. Néanmoins, je tentais de rattraper le coup. Après 8 ans de mariage, je ne pouvais pas la laisser partir comme ça. J’approchai lentement et elle se détourna aussi rapidement qu’un animal effrayé. Je restai donc à l’écart quelques secondes et tentai à nouveau une approche, posant mes mains doucement, mais fermement sur ses épaules pour qu’elle me regarde en face. « Meredith… Arrête s’il te plait. Je m’excuse, je sais que je ne suis pas aussi présent que je devrais l’être pour toi, mais tu sais que je t’aime. Je t’aime plus que tout au monde alors… soit compréhensive, je t’en pris. » Bien malgré elle, je le sentais à la tension toujours présente dans ses épaules, elle se radoucit. Son air renfrogné quitta lentement son visage et elle se laissa couler dans mes bras, glissant son menton dans ce creux si familier de mon cou alors que mon visage trouvait lui aussi sa place dans sa longue chevelure. Ma main remonta derrière sa tête et je la serrai contre moi durant de longues minutes.

Des minutes qui me paraissaient si lointaines maintenant. Je relevai la tête et elle me semblait aussi lourde que l’ancre d’un bateau du genre Titanic. Je me relevai de mon lit et enfilai un simple pantalon de survêtement avant de me trainer tant bien que mal jusqu’à la cuisine où j’optai pour un grand verre de jus d’orange après avoir longtemps débattu mentalement entre ce dernier et un verre de whisky sur glace. Mais il était un peu trop tôt pour ce genre de chose et je devais me rendre au boulot comme à tous les jours. Le whisky attendrait à ce soir, il n’irait nulle part lui au moins. M’approchant du comptoir qui emplissait le milieu de notre cuisine, je la vis qui était là avec les papiers qu’elle avait déjà prit soin de signer. Sa bague. La bague que je lui avais offerte des années auparavant lorsque je lui avais demandé de m’épouser. Maintenant, elle l’avait retiré et elle me l’avait laissé avec le formulaire de divorce. Il ne manquait plus que ma signature au bas et tout serait compléter. Toutes ces années de bonheur et d’amour disparaitraient dans quelques gribouillages d’encre. J’avalai rapidement mon verre de jus et quittai la pièce en laissant tout ça derrière moi. Je n’étais pas prêt, je ne le serais jamais. Mais il le faudrait, tôt ou tard.