Reaghan ► on joue avec plaisir avec toutou

on joue avec plaisir avec toutou

Je m'étais engager dans une conversation avec le président de notre maison. Il voulait savoir comment j'ai fais pour être aussi populaire avec mon titre. Il était un peu jaloux, mais ceci n'était pas quelque chose de gros comme jalousie parce que même si je suis un athlète olympique, je ne me considère pas comme étant une personne populaire ici parce que l'Université, c'est complètement différent que quand lorsque nous sommes dans les rues et que les gens te reconnait et qu'il vienne te demander une photo ou encore un autographe de notre part. Je suis partie lorsque ses copains son arriver. Je ne voulais pas trop le déranger même si c'est lui qui a commencer à me parler comme si on se connaissais depuis longtemps. J'ai trouver cela quand même cool de sa part parce que moi je n'aurai pas été lui parler tellement qu'il y a des filles qui sont à ses fesses. Je me suis précipité chez moi pour aller me changer et de commencer à faire une brassé de linge parce que j'avais beaucoup à rattrapé sur mon lavage. Je mis mon linge dans la laveuse et l'autre dans la sécheuse. Lorsque j'avais terminer, mon chien me regardais avec sa laisse dans sa bouche. On ne pouvais pas refusé cela d'un chiot qui te regarde avec un regard de pitou. Vous s'avez comment ce que sait un visage comme ça ? Moi, je dois l'endurer à tous les jours. Je l'enfilais à l'entour de son collet et je lui enfilait aussi un foulard du union jack pour lui donner du charme. Avec son pelage beige et ses grand yeux bleu, il pouvait en faire brisé des coeurs. Je sortie de ma chambre et je barrait ma porte à clé et je me suis diriger vers le parc du campus et Bruno voulait commencer à jouer avec sa balle que je lui avait acheter hier. Il avait brisé son autre balle qu'il aimait beaucoup faire du bruit avec, mais cette fois si, il aimait courir avec pour jouer. Je me suis mis au milieu du parc et j'avais enlever sa laisse pour enfin lui botté le ballon parce que s'était simplement ça qui voulait.

Je longeais la grande avenue tout en jetant un œil autour de moi. Je venais de terminer mes heures à la librairie. Je serais bien restée plus longtemps parce que j'avais trouvé une édition ancienne de Dostoïevski. Mais madame Prescott m'avait quasiment mis à la porte, disant que je devais profiter de la belle journée, bien que le froid s'était installé depuis des jours. Et donc je me retrouvais loin de la boutique, cherchant un truc à faire avant de rentrer à la Quincy House. Madame Prescott avait raison. Je ne devais pas rester enfermer alors qu'il faisait beau. Quand j'étais à l'hôpital, je n'avais qu'une hâte, sortir. Alors là, je pouvais me balader comme je le voulais. Allez, c'était décidé. Une petite balade au parc allait me faire du bien. Et puis, je pourrais prendre ce qu'il faut à l'épicerie du coin pour faire un gâteau. Je suis sûre que Kasia allait adorer. J'entrais dans le parc, posant mon regard sur un groupe d'enfants qui venait surement de l'une des petites écoles voisines. Puis je vis plus loin, une boule de poils familière. J'esquissais un sourire tout en me dirigeant vers le gros nounours. Le chien qui s'amusait avec un ballon, finit par me remarquer. Il lâcha sa balle et se dirigea vers moi en aboyant. Houla. Il m'aurait fait tomber si je n'avais pas parer l'énergie quand il posa ses pattes sur moi. « Bonjour mon beau. » Je lui caressais l'encolure. J'avais trouvé Bruno, errant quelques jours après mon arrivée à Harvard. Le pauvre s'était perdu. Je l'avais donc gardé avec moi, faisant des tracts pour que son maitre puisse le retrouver. Et Phoenix avait fini par retrouver son husky. D'ailleurs, alors que Bruno reposait ses pattes par terre, je prenais la parole en jetant un oeil au sportif. « Salut! Ça me fait plaisir de te voir. Comment vas-tu? » Je regardais Bruno qui avait repris sa balle. « Il semble en forme. » Je m'étais attachée à cette petite boule de poils. Ce chiot était adorable et obéissant pour son âge.

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Bébé chien deviens gros chien ? Ouais, je m'y attend à cela à tous les jours. Parfois, je rêve qu'il grossis du jour au lendemain et cela ne m'aurai pas surpris que je me réveille en le voyant à sa pleine taille adulte. Je le tient très actif pour ne pas qu'il est des problèmes au niveau de sa santé parce que même s'il mange beaucoup, cela ne veut pas dire qu'il va quand même rester en santé. Nous avions eu l'idée d'aller jouer un peu dans le parc du campus. Il n'y avait pas beaucoup de neige et lui qui adore gratté dans la neige, il était déçu, mais simplement à jouer avec sa nouvelle balle, il était heureux. Je lui bottais le ballon et il courrai après en jappant et s'était très comique. Je riais tellement que s'était drôle de le voir aller et surtout qu'il passait plusieurs fois fois au dessus du ballon lorsqu'il le poussais avec son nez. Comment ne pas trouvé cela comique ? Moi j'étais presque accroupis tellement que cela était crampent ! Il s'arrêtait pendant quelques secondes et il oubliait son ballon, mais lorsque je me suis retourner, je reconnu la demoiselle qui avait rapporté Bruno à moi parce qu'il s'était sauvé de ma chambre. Je sourit en voyant qu'il l'avait reconnu. S'était surprenant de savoir qu'il avait une aussi grande mémoire. Elle s'appelait Reaghan et elle adore mon chien. Je crois que je me suis trouvé une gardienne pour Bruno lorsque je vais avoir des événements important pour ma carrière d'athlète.

« Cela fait du bien de te revoir aussi. Et toi, comment tu va ? » Lui dis-je avec un sourire. Je remarquais Bruno qui avait retrouver sa balle et la déposait au bien de Reaghan. « Oui beaucoup. Il devient de plus en plus gros. »

J'avais quasiment toujours grandi avec des animaux à la maison. Quand j'étais gosse, ma grand mère m'avait offert deux poissons rouge. Je les avais gardé plus de cinq ans, plus après j'avais eu un lapin et une tortue. Mais je n'avais jamais eu de chien, ni de chat. Les poils de ces animaux étaient mauvais pour ma santé et j'ai du m'en passer. Pourtant, j'adore ces bestioles. J'adore fourrer mes mains dans leur pelage. Comme je le faisais à cet instant avec Bruno. Le chien était adorable, magnifique et je ne me lassais pas de passer un peu de temps avec lui et avec son maitre bien sûr. Phoenix était un grand sportif. J'avais cru entendre qu'il avait même participé aux J.O. En fait, j'en savais rien. Je n'écoutais pas ce qui se racontait sur les uns ou les autres. Et puis je me disais que si le garçon voulait m'en parler, il le ferait. Mais là, à cet instant précis, c'est le husky qui attirait notre attention. Je souriais au garçon tendant que je ne me lassais pas de caresser le chien. « Ça va merci. Tu es au parc depuis longtemps? » Je jetais un œil à Bruno qui s'était détaché de moi pour courir un peu plus loin. « J'ai un peu de temps devant moi, je peux te tenir compagnie si tu veux. » Puis j’acquiesçais à ces paroles. « Oui il a encore grandi. Un vrai nounours. » J'avais passé un peu de temps avec le chien quand il s'était perdu. Et il était adorable et très obéissant, tout en étant très joueur. D'ailleurs, le husky revint vers moi en me déposant la balle à mes pieds. Je souriais avant de la prendre en main. « Tu veux jouer? » Je jetais un œil au chien qui s'était assis, attendant avec impatience que je lui jette la balle. « Ok. » Je regardais un instant le sportif avant de lever le bras et d'envoyer la balle plus loin dans le parc. J'avais fais attention à ne viser personne.

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Je me souviens quand j'ai eu pour la première fois un chien chez moi. Je n'avais que 7 ans et cela m'a beaucoup marquer parce que Daisy, je l'aimais énormément. Un epagnole spingner anglais qui était un ange. Elle ne voulais que moi et moi je l'adorais énormément. Je demandais toujours à ma mère de venir me chercher à l'école avec Daisy pour qu'on puisse marcher pour retourner à la maison, mais ma mère avait pris la voiture pour venir me chercher. Elle me la fais au moins plusieurs fois avant qu'elle réalise qu'elle avait eu raison de venir en marchant parce que ce n'était pas trop loin. Daisy faisait la gueule à ma mère parce qu'elle ne la laissait pas marcher et cela m'a fait tellement drôle de voir son visage. Daisy est décédé lorsqu'on jouait ensemble dans la cours arrière chez mes grands-parents. Elle ne sait jamais plus relever et ceci m'a pas beaucoup fait de peine quand elle est décédé. Je l'aimais tellement et je ne voulais plus rien savoir des chiens avant que Bruno vienne dans ma vie. J'aime mon chien et surtout qu'il me fait rappeler de Daisy lorsque nous jouons ensemble.

« On viens tout juste d'arriver. En fait, s'était l'idée de Bruno. Il m'attendais au pied de ma porte de chambre avec sa laisse dans sa gueule pour prendre une marche. » Dis-je en rigolant un peu parce que s'était vrai et ce n'était pas la première fois qu'il faisais ça. « Cela ferais plaisir à cette boule de poile ambulante. Cela m'a étonner qu'il n'est pas rester coucher ce matin. » Dis-je en me retournant pour le voir courir.

Reaghan adore les animaux tout comme moi. À chaque fois qu'elle croise Bruno, c'est le grand amour et c'est pareille pour moi quand je croise d'autre animaux. Je suis un fou des animaux et si je pourrai avoir un zoo à moi seul, je donnerais un amour fou au bête qui y habiterais. Je les regardais tous les deux et cela me surprenait encore plus de le voir aller. Une grosse boule de poile qui désire avoir de l'attention de tout le monde. Ouais, c'est bien son genre et quand le maître monte sur le tremplin, l'attention est sur moi à 100%.

J'ai toujours aimé les animaux. Avec eux, je me sentais bien. Les animaux vous acceptaient tel que vous êtes. Ils ne vous jugeaient pas. Ils vous aimaient tout simplement. Et puis, ils étaient une source de sérénité. Enfin pour moi. J'ai toujours été une gamine un peu à part. Mes fréquents passages à l'hôpital ont désorganisé ma vie sociale et ma scolarité. Je passais des longs moments chez moi. Alors forcement, je me prenais d'affection pour les bestioles qui y trouvaient. Bruno ne dérogeait pas à la règle. C'était un husky très affectueux. Il était adorable et j'appréciais passer du temps avec Phoenix et lui. Le garçon était loin d'être d'une compagnie désagréable, bien au contraire. Je crois qu'il avait cette même passion pour nos bêtes à poils. Je souriais aux paroles du Winthrop. « Il avait envie de se promener. J'imagine que c'est parce que c'est encore un chiot. » J'imaginais sans mal que les chiots comme le husky avaient besoin de se dépenser et de découvrir le monde avec leurs yeux, leurs pattes et leurs babines. J'observais Bruno qui courrait après la balle. Une fois qu'il l'attrapa au bond, il la garda dans la gueule avant de revenir vers nous. Il donna la balle à son maitre et j'en profitais pour le caresser un peu. Puis je regardais à nouveau Phoenix. « Quelles sont les nouvelles pour toi? La compétition ça va? » Je n'aimais pas chercher des « scoops », je voulais juste savoir comment ça se passait pour lui. Cela faisait un moment que l'on ne s'était pas vu. Bruno était entrain de courir à nouveau. Et je regrettais de ne pas avoir pris mon appareil photo. J'avais besoin de remplacer le réflexe et je n'avais pas envie de le garder dans mon sac de pas de lui donner un coup, sans le vouloir. Je ne voulais pas avoir de regrets.

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Mon père ne voulait rien s’avoir des dresseurs de chien. Il voulait former Daisy à sa manière et pour que tout le monde puisse avoir du plaisir à jouer avec elle. Elle n’était pas la plus tranquille dans les environs parce qu’elle aimait beaucoup jouer et surtout s’aventurer dans le voisinage pour se trouver des amis. Elle était très amicale et commence ne pas l’oublier ? Elle est était tellement belle et surtout bien élever que cela me rend compte que Bruno, même bébé commence à devenir comme elle. Il apprend très vite et même si je ne suis pas souvent avec lui à cause de mes entraînements et des cours, il reste que je me donne quand même du temps pour lui parce que c’est un animal incroyable. On dit que le chien est le meilleur ami de l’homme, je suis tout à fait d’accord avec ce que les gens penses de cela et surtout qu’ils sont fidèle à nous, les humains. Reaghan est une personne qui adore les chiens aussi. Je confis Bruno à elle quand je ne suis pas là et je peux facilement remarquer qu’elle lui donne des trucs aussi pour être une bonne bête.

« C’est devenu une habitude je crois. Je ne veux pas trop le faire marcher parce que je ne veux pas qu’il développe des maladies aux hanches tout comme les Bouviers Bernoits. Mais, j’ignore de où est-ce qu’il a pris cette habitude. Dit moi, quand tu es avec lui, est-ce que lui donne des trucs ? » Lui dis-je avec un sourire tout en commençant à marcher dans le parc.

Elle m’avait demandé une question qui était sur ce qui était nouveau pour moi. Je dois dire qu’il n’y a pas grand-chose à part de mon couple et de ma compétition qui arrive à grand pat et je suis nerveux pour ça. J’ai simplement peur qu’elle puisse me dire quelque chose ou encore qu’elle puisse me faire la gueule jusqu’à temps que je revienne.

« Disons que je dois partir pour une semaine bientôt. Tu auras la chance d’avoir Bruno. »

J'écoutais Phoenix parler de Bruno et des chiens en général. Il semblait s'y connaître en matière de canins. Tout ce que j'avais appris, me venait de l'assistante du chenil où maman et moi avions adopté des animaux de compagnie. Je ne m'y connaissais pas plus sur le sujet. Alors je laissais le Winthrop m'en dire un peu plus. Après tout, cela pourra peut-être m'être utile à l'avenir... J'aimerai avoir un chien ou un chat, enfin un petit animal auquel je pourrais donner tout mon attention et mon amour. J'adorais les animaux et cela me peinait de voir que des gens étaient capable des pires cruautés sur ces bêtes qui ne pouvaient pas se défendre. J'avais juste envie de leur donner un bon coup de pieds bien placé et de les dénoncer à la police. Puis à la question de Phoenix, je fronçais les sourcils, ne comprenant pas trop où il voulait en venir. « Mais c'est bien qu'il puisse se dépenser non? Il faut qu'il reste en forme. » Puis j'ajoutais en caressant à nouveau Bruno. « Mais non je ne lui donne rien. Enfin à part une ou deux croquettes quand il fait une bonne action. » C'était mal? Je croyais qu'il fallait toujours récompenser un chien quand il agissait bien...

Je marchais avec lui, suivant son pas alors que Bruno courrait à nouveau devant nous, la balle dans sa gueule. Puis à ses mots suivants, je souriais un peu plus. « Vraiment?! Génial. Il va falloir mettre ma coloc' dans la confidence. Mais je suis sûre qu'elle sera partante. » J'en étais même certaine de chez certaine. J'étais contente à l'idée que Phoenix me laisse à nouveau Bruno. « Je vais prendre soin de lui, je te le promets. » Je lui fis un grand sourire alors que le husky revenait vers moi. Je posais une main sur sa tête.

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