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SOMEONE LIKE YOU ❥ arwen & anzo

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Arwen & Anzo.
adele, someone like you ☂ I hate to turn up out of the blue uninvited, But I couldn't stay away, I couldn't fight it. I hoped you'd see my face & that you'd be reminded, That for me, it isn't over. Nevermind, I'll find someone like you. I wish nothing but the best for you too. Don't forget me, I beg, I remember you said : "Sometimes it lasts in love but sometimes it hurts instead" ► hellsangels.


Une journée particulière, mais à la fois sans attache. Anzo n’avait plus la présence de sa femme, Jade lui manque terriblement et encore aujourd’hui, il a du mal à faire son deuil. Malgré ça, il essaie d’oublier par tous les moyens possible, que ce soit l’alcool ou bien même avec le peu d’ami qu’il a. Car oui, Anzo est solitaire à présent. Il s’est beaucoup renfermé sur lui-même jusqu’à en oublier certains amis avec qui il était très souvent. Certains lui rend encore visite au jour d’aujourd’hui, mais les discussions sont très courte et il n’y met pas du sien. Bref, ce soir il avait besoin de se changer un peu les idées. Il a donc déposé sa fille, Aimee, chez son père. Son frère, aucune nouvelle.

La journée est passé tellement vite qu’il a rien eu le temps de faire, la vaisselle, le ménage, les papiers de l’école à remplir … tout est si compliqué à présent. Anzo devait vraiment penser à autre chose qu’à sa femme, hors il est impossible de lui retirer cela de la tête. Ou du moins, une seule personne peut réellement le faire. Arwen. Cette fille à son portrait craché, elle ressemble à Jade comme deux gouttes d’eau. Loin d’être sa sœur jumelle, malgré ça elle est son seul moyen de réconfort. Il lui ai déjà arrivé de lui parler comme si c’était sa femme. Cette dernière lui a déjà faire quelque réflexion, car elle avait bien remarquer qu’il parlait un peu « tout seul » pour ne pas le faire passer pour fou. Aujourd’hui, il fallait qu’il se détende. Il envoyait un texto à son amie pour lui demander si elle voudrait bien le rejoindre au bar ce soir. Elle a accepté et c’est donc à 21 heures qu’il irait la rejoindre là-bas. Aimee dormait paisiblement, il est neuf heures. Il serait peut-être temps de la réveiller. Il lui prépara son petit déjeuner, allumait la télévision sur la première chaine qui est les dessins animés puis il s’approcha à petit pas dans sa chambre. Sa princesse lui redonnait le sourire à chaque fois, c’est sa raison de vivre maintenant. Sans elle, sa vie serait un enfer et il n’hésiterait pas à en finir. Il la réveilla en douceur en lui déposant un baiser sur son front. Elle était bouillante, mais pas malade. Il la prit dans ses bras pour la serrer contre lui et lui faire un câlin. Il l’emmena sur le canapé où il la déposait, lui ajoutant une couverture pas très épaisse sur le corps. « Tu déjeune et après je t’emmène chez papy. » dit-il en lui souriant. C’est grâce à elle, également, qu’il va parfois bien. Une fois qu’elle eut terminé, il la laissa regarder les dessins animés. Il regardait avec histoire de passer un peu de temps en sa compagnie. Elle dormira là-bas c’est évident, vu qu’il compte rentrer dans un mauvais état. Bref, l’heure passe et c’est vers les huit heures et demi qu’il la dépose chez son père. Un petit arrêt de quelques minutes pour boire un café ensuite il se rendit de nouveau chez lui. Il prit une douche bien froide pour bien se réveiller, s’habilla d’une tenue simple pas besoin d’en faire trop. Puis, il ajouta un peu de parfum, du gel et hop c’est parti. Il se rendit au Lord Hobo, un bar très réputé apparemment. En arrivant, il pouvait constater qu’elle était déjà là. Comment faisait-elle pour être tout le temps en avance ? Il s’approchait d’elle tout doucement, posant ensuite une main sur son épaule. Il déposa un baiser amicale sur son front. « Sa fait longtemps que tu attends ? » demanda-t-il à la jeune femme tout en attrapant un siège. Il s’asseyait près d’elle et finit par appeler le barman. « Un whisky s’il vous plaît. » Le serveur s’exécuta et s’est d’un petit sourire qu’il reposa ses yeux sur la jeune femme. Se sourire cachait tellement de tristesse et de souffrance.
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ANZO & ARWEN

La journée avait plutôt mal débuté pour Arwen. Comme chaque jour depuis son arrivée. La demoiselle ne se sentait pas vraiment à son aise, la ville avait beau être plaisante, elle n'avait pas encore pris ses marques. Ce n'était pas le fait d'être en ville qui la dérangeait, ni le mouvement rythmé qu'offraient toutes ces grandes rues, car la brune aimait la ville en elle-même. Seulement, elle se sentait en insécurité toute seule. Depuis toute petite, elle avait le don d'être un aimant à problèmes. Elle subissait les rires de ses camarades, face à sa maladresse, ce qui parfois pouvait être vraiment gênant. En revanche, elle arrivait à se sortir des situations complexes à chaque fois. La demoiselle avait toujours eu dans l'idée que sa vie était faite d'aventures en tous genres pouvant lui coûter parfois un bras, une jambe ou même une voiture. En réalité, c'était bien plus que cela... Arwen faisait littéralement partie des gens malchanceux.

Ce matin avait été une matinée banale. Son réveil n'avait pas sonné à l'heure prévue, sortant la brune du lit vingt minutes plus tard. Elle avait enfilé un jean et un t-shirt en deux temps trois mouvements. Elle eut cette bonne idée de se hâter dans sa salle de bain loupant de peu l'entrée. Sa toilette avait été plus rapide que jamais. C'est en ressortant de la petite pièce que la jeune femme connue la pire douleur que l'on puisse ressentir quand son petit orteil rencontrait la carre d'un meuble. C'était donc une matinée banale pleine de douleur et de jurons. Arwen avait quitté mon appartement et s'était dirigée vers sa voiture sous la pluie pour ensuite aller sur le campus. Elle avait déjà loupé une bonne partie de son cours d'histoire de l'art, ce n'était pas un problème. Arrivée sur le parking, la demoiselle se gara temps bien que mal, de façon à ne pas reculer quand elle allait devoir repartir à la fin des cours. L'endroit était désert, ce qui était très bien ainsi. Elle se dirigea vers l'entrée activement, d'un pas maladroit, ses cheveux humides tombaient sur ses épaules.

Au cours de sa journée, la new-yorkaise avait reçu un message qui lui avait donné le sourire. Désormais, elle avait rendez-vous le soir même avec Anzo. La jeune femme était de nature, une personne qui ne savait pas mentir. Il était très dur pour elle de cacher aux autres ce qu'elle ressentait pour ce jeune homme. En tout cas, elle espérait qu'Anzo n'avait rien remarqué, ou alors, qu'il allait faire comme si de rien n'était. La demoiselle n'avait pas envie de gâcher la soirée, elle savait que s'il empiétait sur ce terrain, elle allait devenir très maladroite.

Il fallut peu de temps à Arwen pour rentrer chez elle. Elle y déposa son sac de cours, prenant le soin de ne pas oublier son portable. La demoiselle retira son t-shirt pour mettre un haut un peu plus habillé et décolleté par la même occasion. Après avoir refait sa toilette, elle se dirigeait vers la sortie. Comme à son habitude, Arwen reste très naturelle, elle n'était pas les artifices, après tout, ça ne serait à rien de tricher. Elle était arrivée au Lord Hobo en avance comme à son habitude. La jeune femme se dirigea vers le bar avec assurance et demanda une simple boisson sans alcool. En attendant qu'Anzo arrive, la jeune femme se laissa aller à son occupation préférée: l'observation. La demoiselle regardait les personnes qui l'entouraient tout en pensant à sa journée et à celle qui allait suivre. C'est quand elle sentit une main se poser sur son épaule que la jeune femme s'arrêta de contempler les différentes scènes qui s'offraient à elle.

« Ça fait longtemps que tu attends ? ». La demoiselle scruta sa montre avec un sourire. « Seulement quelques minutes. ». Autant rester vague, cela faisait déjà dix bonnes minutes que la demoiselle était arrivée. Le jeune homme déposa un baiser sur le front de la brune avant de prendre place à son côté. Un léger frisson lui parcourut le dos et ses joues reprirent des couleurs. « Tu as passé une bonne journée ? ». C'était une question des plus banales, mais c'était un moyen comme un autre d'engager une conversation.
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Il est vrai que depuis un petit moment, Anzo est différent après tout c’est tout à fait compréhensible. Il vient de perdre sa femme, pour lui sa vie est terminée, elle n‘a plus aucun sens. A quoi sa sert de vivre si on a plus les gens qu’on aime à nos côtés ? Sérieusement, personne n’aime perdre quelqu’un de cher. Anzo est très mal depuis le 31 décembre 2011. Super pour la nouvelle année. La perte de sa femme lui a fait réaliser à quel point sa fait mal de perdre quelqu’un. Il l’aimait comme jamais il n’avait aimé quelqu’un. Il voyait leur vie tellement longue, jusqu’à ce qu’ils soient enterrer. Là, ont pouvait le dire. Jusqu’à la mort. Devenu veuf, Anzo à du mal à se libérer, d’être avec du monde. Il a d’ailleurs éviter de croiser tous ses amies, préférant rester enfermé. Devenu solitaire, il n’a besoin de rien d’autres que sa fille. Celle qui lui donne le courage de se battre pour survivre.

Aujourd’hui était donc une journée comme une autre, sans intérêt particulier. Seulement, le soir même il avait besoin de se confier à quelqu’un en qui il aurait confiance. Notamment à Arwen, une fille intelligente et très attachante. Anzo l’apprécie tellement qu’il n’avait aucune envie qu’elle l’abandonne elle aussi. Il devait lui dire ce soir tout ce qu’il ne lui a pas dit. Quitte à avoir un coup dans le nez autant lui dire la réalité. Mentir n’est pas une bonne chose et depuis le temps qu’ils se connaissent il est quand même préférable de tout avoué pas vrai ? C’est en se préparant qu’il réfléchissait à ce qu’il pourrait bien lui dire. Il est vrai que les sujets de conversations avec lui se font très rare et surtout très banale. Ce soir, il fallait se lancer pour dire la vérité, en particulier l’existence de sa fille de 5 ans dont elle n’est pas au courant. En arrivant dans le bar, il pouvait constater qu’elle était déjà présente. Si ravissante de dos, mais encore plus charmante de face. Il s’approchait, déposa un baiser sur son front et attrapa un siège pour se mettre près d’elle. D’un petit sourire, il la regardait avant de demander un whisky. Il reposait ses yeux sur elle lorsqu’elle lui répondit qu’elle attendait que depuis quelques minutes. Il posait ses bras sur le comptoir avant de répondre à sa question. « Aussi banale les unes que les autres et toi ? » demanda-t-il en retour. En effet, comme dit plus haut, depuis la mort de Jade, Anzo passe des journées aussi simple les unes que les autres. Il regardait autour de lui, beaucoup de gens qu’il ne connaissait pas en même temps, notre petit Anzo est loin d’être sociable. Il prit la main de la jeune femme et lui dit un peu moins fort. « Sa te dirait d’aller sur une banquette là-bas au fond ? On sera au calme. » lui proposa-t-il ensuite. Anzo passa une main sur son visage et déposait un regard calme sur la jeune femme.
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Arwen était comme une adolescente amoureuse pour la première fois. C'était un peu comme si tout son monde tournait autour du jeune homme. Elle était simplement tombée amoureuse de lui dès le premier regard. Mais parfois, la jeune femme avait l'impression de fréquenter un inconnu, ils avaient beau se parler depuis quelque temps déjà, c'était comme s'il manquait une pièce au puzzle. La jeune femme restait très discrète avec Anzo, il était hors de question qu'elle fasse un geste trop affectif ou déplacé. La demoiselle ne faisait aucun sous-entendus. Elle ne voulait surtout pas que son ami se doute de quoi que ce soit, elle savait que la moindre maladresse de sa part pouvait ruiner leurs relations. Arwen allait devoir rester observatrice et essayer d'en savoir plus ce soir.

La demoiselle commençait par le plus simple, c'était ce qui allait lui permettre d'établir une discussion sans risque. Si elle parlait de sa journée, la jeune femme arriverait peut-être à attirer l'attention du jeune homme sur un « terrain calme ». La demoiselle faisait cela pour éviter le danger, car elle savait qu'elle était une très mauvaise menteuse et que la moindre gêne pouvait engendrer sa maladresse. Malheureusement pour elle, Anzo n'avait pas l'air bavard ce soir, du moins la réponse qu'il venait de lui donner ne l'avantageait pas, « Aussi banale les unes que les autres et toi ? » Arwen lui adressa un sourire, il fallait croire qu'il passait les mêmes journées, du moins que celles-ci étaient aussi intéressantes l'une que l'autre, la demoiselle se mordit la lèvre inférieure avant de répondre, « La même journée que d'habitude... si l'on peut dire. » La jeune femme aurait pu raconter sa journée en détail, mais elle préférait jouer la carte du mystère, après tout, s'il était intéressé, il allait poser des questions. Arwen posa son regard sur le jeune homme, tandis que ce dernier était en train de regarder autour de lui. Il n'en fallut pas plus pour que la brune détourne le regard, s'ennuyait-il en sa présence ?

Tout à coup, la jeune femme eut des frissons le long de son bras. Cette sensation avait été procurée par le geste du jeune homme. En effet, il avait posé sa main sur celle de la jeune femme avant de parler, « Ça te dirait d'aller sur une banquette là-bas au fond ? On sera au calme. ». Sans broncher, la demoiselle se leva de son tabouret. Elle enleva sa main de sous celle d'Anzo pour prendre son verre. Il avait raison, ils allaient être au calme s'ils s'installaient sur une banquette, c'était plus intime que le bar et ainsi, ils allaient pouvoir parler sans gêne. Une fois assise, Arwen posa de nouveau son regard sur le jeune homme. « Ça ne doit pas être facile d'être directeur d'une école. Je veux dire, tu dois être fatiguée quand tu rentres chez toi le soir. » La jeune femme hésita quelques secondes avant de continuer. « Tu n'as jamais eu envie de te poser et d'avoir une petite amie ? ». Arwen jouait la carte du direct avec Anzo, j'étais une simple curiosité, comme à son habitude. La brune espérait que cette question n'allait pas gêner le jeune homme. En attendant, l'étudiante reposa son attention sur la foule qui se trouvait dans le bar, n'osant pas trop regarder son ami.
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