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Flavio Rafael Santana
25 Septembre 1994 -
Chicago USA -
24 ans -
Américain mais à la maison ils ont toujours été hispanique. Ses origines sont Dominicaine. -
Flavio aime les femmes, mais aussi les hommes. A peut être tout le monde à vrai dire. Pourquoi se priver ? -
Veuf. Beaucoup diront que son mariage n'a été qu'une façade, qu'une façon d'abuser d'elle, et de pouvoir hériter son argent. Mais la réalité est beaucoup plus simple, ils s'aimaient. Et il n'est pas vraiment prêt de recommencer ça de sitôt. Riche. Un nouveau riche, qui semble un peu trop dilapider l'argent sa défunt femme pour des choses futiles. L'espèce de gigolo qui se prend pour quelqu'un. -
Langue Anglaise (préparation du TESL pour enseigner aux étranger) & Espagnol -
Education Scolaire -
Prof particulier, tuteur, traducteur Anglais/Espagnol (en ligne) et qu'il apprend l'Italien dans son coin. -
Absolument pas. Flavio a suffisamment d'argent pour se payer toutes les études qu'il désire, un appartement, et vivre de longues années sans travailler un instant.
Colton Haynes
Flavio aimerait bien aller dans une confrérie, mais il ne sait pas où il aurait sa place. Il n'a jamais su où était sa place, et tout ce qu'il désirerait, ce sont des gens qui l'acceptent comme il est, ne lui demandent pas de changer, et soient là pour lui, comme il serait là pour eux. Evidement, les Cabots ne sont pas vraiment une option, c'est bien dommage, ça aurait pu être drôle d'avoir autant de filles à ses côtés.
Flavio c'est le gars qui laisse les ragots et les langues de vipères couler sur lui. Il connait sa réputation, il sait très bien ce qui se dit sur lui, mais il s'en fiche, il connait la réalité. Parfois il use même de sa sale réputation pour éloigner certaines personnes indésirables. La réalité c'est qu'il a souffert de la perte de sa femme et que faire son deuil est quelque chose de très difficile pour Flavio, elle était la seule qui lui donnait l'impression d'exister. Dur de passer après. C'est pour ça qu'il à l'air insensible, et distant, c'est simplement parce que Flavio ne s'est jamais vraiment considéré comme digne d'intérêt ou digne d'amour. Il n'a pas peur d'être abandonné, il n'a juste jamais compris que ses parents étaient en tort et lui non. Quand quelqu'un s'intéresse à lui, c'est effrayant, et Flavio panique, et fait tout capoter, parfois exprès, parfois par inadvertance, mais la solitude lui va mieux. Il est fier, demander de l'aide n'est pas dans sa nature, et c'est un effort qu'il n'aime pas vraiment faire. Dépendre des gens c'est difficile. Sinon c'est quelqu'un de bosseur, qui ne recule devant aucun effort pour parvenir à ce qu'il veut, parfois un peu trop perfectionniste que ça en devient maladif. Il sait pourtant profiter de la vie, aime s'amuser, boit en soirée, enchaîne parfois les aventures sans lendemain ou très brèves, Flavio use de son charme, et de son regard de braise aussi bien quand il veut obtenir quelque chose, que quand il s’ennuie. Charmer est une façon de compenser son manque d'intérêt (puisqu'il se croit indigne d'être aimé). Il est plutôt du genre à vous coller une droite et penser que le sujet est clos. Ce n'est pas le genre à comploter, ou manigancer des choses. Il est dans l'action, dans la réaction, dans le direct, la fluidité, la clarté, même si souvent il sabote lui-même ses relations. Il est jaloux, parfois limite possessif ayant du mal à croire qu'on ne va pas le quitter pour mieux la seconde suivante. Malgré sa réputation, Flavio ne jette absolument pas son argent par les fenêtres, il sait où sont ses priorité, il travaille dur pour gagner son argent. Il est romantique, fiable, droit dans ses bottes, même si parfois il lui arrive de tromper la personne avec qui il est par insécurité ou désire de mettre fin à la relation. Parfois il regrette son geste, parfois non. Il a une mentalité très manichéenne pour pas mal de choses, mais les relations sentimentales sont une zone très floue où le bien et le mal se côtoient tout les jours.
Flavio la première fois à obtenu un score plutôt satisfaisant, la seconde fois fut encore meilleur aux SAT. Il se présenta à l'entretient, comme beaucoup de monde, et on lui demanda pourquoi il ne s'était pas présenter la fois précédente. Il expliqua sa situation, et ses ambitions. Elles n'étaient pas démesurés, mais il avait envie d'aider son prochain. D'apprendre aux étranger l'Anglais, d'aider des personnes à comprendre, et à pouvoir mieux s'intégrer, et qui sait, peut être qu'il aimait juste enseigner et être le meilleur à ça. en tout cas, il réussit par on ne sait quel miracle à les convaincre et il signa son inscriptions à la prestigieuse Harvard avant d'oublier, de changer d'avis, ou simplement de prendre peur. Après tout, ils avaient prévu de venir ici tout les deux, et maintenant il était seul...
BlackRoses
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BlackRoses et j'ai votre âge. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à top-site. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Colton Haynes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ moyen 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9181]☆[/url] ☆ <span class="pris">Colton Haynes</span> ◊ “ Flavio Santana ”[/size]
Flavio à vu le jour dans une famille qui ne le désirait pas vraiment. Sa mère l'a porté pendant neuf long mois, mais il n'a jamais vraiment ressentit l'amour de ses parents. Flavio n'aurait jamais du venir au monde, et il ne serait jamais arrivé dans cette vie si son grand frère n'était pas malade. Vous avez bien compris. Flavio est un bébé créer artificiellement pour être compatible à 100% avec son grand frère Roberto. Il a été nourrit, logé, blanchit, et élevé, mais l'amour n'a jamais fait parti du tableau. A trois ans il donnait de la moelle osseuse à son frère. Et si vous pensiez qu'en grandissant sa vie serait plus agréable, vous avez tort. Flavio a toujours été traîné à l'hôpital quand son frère devait y aller. Trop souvent livré à lui-même, il jouait avec les infirmières, ou lisait les livres que Roberto lui donnait. Son frère n'était pas mauvais, il demandait des livres à ses parents, et sous couvert de les dévorer, les refilaient à Flavio pour qu'il puisse tromper son ennui, et apprendre des choses. Roberto avait vite compris que ses parents ne s'occupaient pas de Flavio, qu'il le laissait seul bien trop souvent. A 6 ans, il lui donna un bout de foie. A 8 ans, un de ses reins. Le traitement de Roberto pour lui sauver la vie, lui avait flinguer les organes, et Flavio n'avait pas vraiment son mot à dire. Les médecins se posaient de sérieuses questions, mais il le savait. Si il disait "non". Si il refusait de donner à Roberto ce qu'il lui fallait pour survivre, ses parents lui en voudraient. Ils ressentaient cette pression pour toujours combler les besoins de son frère. Flavio savait du haut de ses 6 ans, que si Roberto n'était pas là, il ne le serait pas non plus. C'est cruel d'enlever l'innocence à un enfant, de le faire venir au monde sans pouvoir l'aimer. Mais il ne disait rien. Il supportait de ne pas faire d'activité extra-scolaire, de ne pas ou presque pas avoir d'amis, de passer son temps à l'hôpital avec son frère, de n'être qu'un donneur vivant subissant toutes les horreurs que Roberto subissait, ou plutôt la complémentaire. Quand Roberto arrivait à l'hôpital à cause d'un rhume, c'est à peine si Flavio était choqué d'entendre sa mère, sa propre mère, proposer de lui prendre sa moelle, à chaque fois. Elle ne se rendait pas compte de la douleur, de l'insupportable anesthésie, de la violence de ses propos. Très jeune, Flavio traînait si on peut dire sur internet, bilingue de naissance vivant en Amérique mais parlant espagnol exclusivement en famille, il s'amusait à traduire des textes, au début gratuitement, puis petit à petit il était rémunéré. Mais la vrai horreur arriva bien vite. Roberto 15 ans mourra. Le seul véritable ami, le seul allié dans cette famille l'avait quitté. Flavio avait passé son temps dans les couloirs de l'hôpital, sympathisant avec les autres enfants malades du services, mais rien ne pouvait remplacer un frère. Du haut de ses 12 ans, il comprit très bien la solitude qui l'attendait. Et pendant deux longues années, Flavio se tuait pour être le premier de sa classe, toujours parfait, à l'heure, poli, mais la perte de Roberto avait rendu ses parents d'indifférent à violent. Ils lui reprochaient sans cesse la mort de son frère. Au début c'était des mots, des insultes, des remarques blessantes, mais très vite les coups s'étaient mêlé à l'histoire. A 14 ans, Flavio décida de prendre le large. Il avait prit un sac avec ce qu'il pensait nécessaire, et était parti, il n'avait nulle part où aller, alors il vécut dans la rue. Il dût abandonner son activité de traduction, n'ayant rien pour vivre, ou manger. Vivre dans la rue c'était violent, mais cette solitude le connaissait. Bien sûr il oubliait les jours qui passaient, tous se ressemblaient, la faim lui faisait parfois perdre le fils et la tête, mais c'était mieux, mieux que les supporter. A 14 ans il peut vous arriver des bricoles, pourtant il eut de la chance, une personne plus âgé que lui l'avait pris sous son aile, il lui avait montrer les endroits à éviter, les choses à faire, à ne pas faire, où dormir. Il ne pouvait s'empêcher de tourner autour de l'hôpital où il avait passé presque toute sa vie. Il croisa la mère d'une des gamines qui traînait trop souvent elle aussi à l'hôpital, elle pleurait la mort de sa fille, il tentait de la consoler, ils parlaient longuement de la fille disparut que Flavio avait très bien connu. Et un jour sans vraiment qu'il comprenne, il se retrouva à venir habiter chez cette dame. Elle avait besoin de vie, il avait besoin d'un toit. Il se pliait aux règles, bien content que quelqu'un s'inquiète de ses notes, de savoir si il allait en cours, si il ne faisait pas de bêtises, pour lui, rien que pour lui-même. Il avait quand même un peu de mal à supporter l'autorité par moment, et même si ils n’étaient pas liés par le sang, elle ressemblait tellement plus à une mère que son propre sang. Il fut scolarisé dans un autre lycée que celui où il aurait dû aller. Dans un autre quartier même si tout deux savaient très bien que de toute façon c'était pas ses parents qui allaient le chercher avec frénésie.. Les mois passèrent, et le temps lui donnait raison. Il reprit ses activités de traductions en ligne, l'occupant pas mal et lui rapportant pas mal aussi. Il essayait de ne pas trop peser sur sa "nouvelle mère" n'appréciant pas de dépendre trop d'une personne. Il était plutôt populaire au lycée, faisant partie de l'équipe de football, ayant des notes plus que correcte une fois le retard rattrapé. Et puis vint ce jour merveilleux où il la rencontra. La plus jolie fille du coin. C'est cliché mais il n'arrivait pas à la lâcher des yeux, peu sûr de lui il ne lui adressa aucun mot pendant des semaines. Au final c'est elle qui est venu lui demander de l'aide dans un cours d'Espagnol. Il ne compris que plus tard que ce n'était qu'un prétexte pour être seule avec lui. C'est aussi naïvement que leur histoire commença. Flavio était vraiment à fond sur elle, ses potes se foutaient de lui pour ça, mais il s'en contre fichait. C'était pas la fille la plus populaire du coin, elle venait d'une grande famille, d'une famille riche mais elle ne semblait pas spécialement être apprécié. Peut être qu'elle était trop normal pour toutes ses personnes surfaites et creuses. La bulle de Flavio se rétrécit pour ne tourner autour que d'elle, et ses études. Ils projetaient tout les deux d'aller à Harvard et de vivre ensemble une longue vie. Elle tomba malade. Du moins il pensait qu'elle tombait malade, ce n'est que bien plus tard qu'il comprit que ce n'était pas la première fois, et que c'était sûrement pour ça qu'on la mettait de côté à l'école. Ils reçurent leurs lettres d'admissions à Harvard, Yale et d'autres facs plus modestes. Mais plus les jours passaient, plus son état empirait. Flavio ne quittait plus son chevet, et passa les grandes vacances à ses côtés. Ils se marièrent en Septembre, il laissa tomber Havard, il ne s'y était pas inscrit, il préférait rester avec elle, elle le poussait à y aller mais il était intraitable. Les derniers temps, elle passait son temps à lui arranger des rendez vous avec toutes les filles qu'elle pouvait, lui créant même un profil sur un site de rencontre. Par respect pour elle, parce qu'elle voulait 'qu'il passe à autre chose" il s'y rendait sans jamais de conviction, juste pour pouvoir en rigoler avec elle après. Un jour elle lui présenta un ami de la famille, et ce fut la première fois où un gars capta autant son attention. Sur son lit, agonisante elle s'arrangea pour que les deux hommes passent beaucoup de temps ensemble et apprennent à se connaître. Il ne perdit jamais espoir, jusqu'au dernier moment. Il refusa toujours de faire plus que d'avoir un rendez vous platonique, une seule fois, avec la même personne, sans vraiment se rendre compte qu'il craquait pour ce type, peut être en refusant de craquer pour lui sous les yeux de sa femme mourante, de l'amour de sa vie qu'il perdait doucement mais sûrement. Le jour où on lui annonça la mort de sa femme, Flavio fonça chez ce gars pour noyer littéralement son chagrin dans l'alcool et le sexe. C'était son premier mec, et pendant de longues semaines il était sa bouée. L'alcool coulait à flot, et il finissait toujours dans le lit de ce gars, ou même ailleurs à vrai dire. Flavio était une épave mais son sourire ne semblait jamais quitter son visage, bien trop fier pour accepter de demander de l'aide. Son premier mec finit par le quitter lassé de ce comportement qui ne menait nul part et qui était destructeurs. Il avait tenté de l'aider plusieurs fois, mais Flavio l'envoyait littéralement chier. Il échoua à nouveau dans la maison de la femme qui l'avait pris sous son aile, qui l'élevait comme un fils. C'est d'ailleurs elle qui lui mit un coup de pied dans le cul. Il finit par avoir l'héritage de sa femme, et il refusait de toucher a cet argent, il ne voulait pas, il avait l'impression de l'avoir trahi, et laissé tombé. Il préféra donner cet argent a diverses associations, et puisa dans ses ressources à lui. Petit à petit, jour après jours, Flavio reprit contenance, et refit surface. Il donnait des cours à des gamins le temps de pouvoir repostuler à Harvard, il fut a nouveau accepté, et cette fois-ci, il y mit les pieds en temps et en heure. Il a débarqué ici, il y a 4 ans. Flavio à deux ans de retard.
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