ALYX ZOË SAMPER ► Àstrid Bergès-Frisbey

C'est le 14 février 1993 à Barcelone, que les membres de la famille Samper m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Alyx Zoë. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'art depuis un an. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Students.

Je suis timide mais sûre de moi ▲ J'aime autant les filles que les garçons ▲ Je n'ai jamais eu de relation sérieuse et durable ▲ Je fais de la danse classique depuis que j'ai 4 ans ▲ Je n'ai jamais vraiment connu mon père ▲ Je sais parler l'anglais et l'espagnol couramment ▲ J'aime prendre soin de moi ▲ Je rougis à la moindre occasion ▲ Je n'ai jamais bu une goutte d'alcool ▲ Je souhaite être une danseuse étoile reconnue plus tard et vivre de mon métier.

▲ Un jour, lors d'une représentation d'un ballet où j'interprétais le rôle principal, mon tutu se coinça dans la ceinture de mon partenaire, l'arrachant à moitié et me laissant à moitié nue sur le devant de la scène. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'hésite. L'alcool n'a jamais été mon truc, surtout que je n'ai jamais bu une goutte de ce breuvage. Alors fête arrosée...

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Je pense que c'est une excellent idée, d'aller voir ce qui se passe à l'extérieur et d'en prendre part. Mais je ne m'aventureras pas à ceci pendant mes études, je préfère me concentrer sur ma future carrière pour l'instant, et le voyage humanitaire n'est pas dans mes objectifs.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Bien sûr que oui, quelle question! Ça sera l'occasion de montrer mon talent de danseuse classique.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Si la nature s'est montrée généreuse avec elle, tant mieux pour elle. Mais je ne l'envie pas spécialement.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Euh... non.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

J'en pense qu'il n'a rien d'autre à montrer à part son argent. Ca doit être un type ennuyeux et sans grande conversation.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Oui, ça pourrait être intéressant. Il faut savoir cultiver son savoir. Tout est bon à apprendre.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle laùriita et j'ai 19 ans. Je suis franco-espagnole et j'ai connu le forum grâce à ma chérie. Le forum a l'air vachement cool alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Astrid Bergès-Frisbey comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par save heart.. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲

« Acceptée. » Un mot. Juste un petit mot changea ma vie l’espace d’un instant. J’avais été acceptée à la prestigieuse université d’Harvard, section art spécialisée en danse classique. Un regard échangé avec ma mère, un sourire rayonnant sur mes lèvres et je me jetais dans ses bras. « Felicidades cariño. » m’avait-elle dit. J’arrivais à peine à y croire. Mon rêve commençait doucement à se réaliser. Je me voyais déjà au devant d’une scène, dans un des conservatoires le plus réputé du monde, à exécuter mon numéro de danse classique. Mon ballet. Moi, danseuse étoile renommée.


Je naquis dans une des plus belles villes du monde : Barcelona. Mon père était un producteur américain renommé. Ma mère, une simple comédienne pas très reconnue, mais qui aimait dans la danse classique par-dessus tout. Leur rencontre ? Toute simple. Mon père était venu dans cette ville espagnole à la recherche d’acteurs pour son prochain film. Ma mère, à la recherche de travail, auditionnait. Ce fut comme un coup de foudre lorsqu’ils se virent. Mon père tomba amoureux de pas de danse qu’elle faisait lors de l’audition, mais aussi de son visage et de sa grâce hispanique. Trois ans plus tard, me voilà. Un 14 février, 1993 plus précisément. Quel plus beau cadeau pour la St Valentin ? J’étais la fierté de mes parents. J’avais les cheveux foncés de ma mère et les yeux gris-bleu de mon père. Alyx Zoë sont les prénoms qu’ils me donnèrent.


Mon enfance, je la passai plus près de ma mère que de mon père. En effet, à cause de son boulot de producteur, il passait des semaines, voire des mois, dans d’autres pays à tourner des films. Ce fut donc plutôt ma mère qui s’occupa de mon éducation. Elle m’inculqua tous ses savoirs sur la danse classique et fut heureuse de voir que j’étais plutôt douée pour ça. Elle m’inscrit dans une école de danse plutôt prestigieuse de la capitale catalane à mes 4 ans. L’argent n’était pas un problème, même si mon père n’était pas présent, son compte en banque l’était. J’étais ce qu’on pouvait appeler un vrai petit rat de l’opéra. J’adorais danser, porter des tutus, des chaussons de ballet, m’entraîner sur la musique douce… Mon professeur ne tarda pas à toucher deux mots à ma mère : il fallait que je continue dans cette voie, j’avais un énorme potentiel. Ma mère était plus que fière de moi : à part la danse classique, je réussissais la plupart des choses que j’entreprenais : j’avais de très bonnes notes à l’école. Enfant parfaite ? Quand même pas. Je n’avais pas que des qualités. J’étais très timide, en fait. Je n’avais pas beaucoup d’amis. On ne peut pas tout avoir comme on dit. Et puis, mon père me manquait. Même des heures de Skype ne remplaçaient pas des câlins. Je le voyais très peu. Une à deux fois tous les deux mois. Mais c’était la vie, et je ne pouvais pas faire autrement.


Suivant les conseils de mes professeurs du lycée et de mes cours de ballet, ma mère décida de m’inscrire à la prestigieuse université américaine de Cambridge. Elle savait que j’en avais les capacités, et elle m’en fit la surprise le jour de mes dix huit ans. J’étais folle de joie. Même si l’idée de quitter ma ville natale et d’aller de l’autre côté de l’océan me faisait un peu peur. Là-bas, je serais seule. Mais je pourrais vivre ma passion à fond. L’anglais ne serait pas une barrière, puisque j’étais complètement bilingue.

Puis la lettre arriva, et la réponse également. Mes parents furent si fiers de moi, que même mon père revint alors qu’il était en plein dans un tournage pour passer deux semaines avec nous, afin de préparer au mieux ma nouvelle vie américaine. Je me voyais déjà en train de marcher à travers l’herbe verte du campus.

Harvard, me voilà !