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Alexander E. Windsor
15 Juin 1993 -
Londres, Royaume-Uni -
25 ans -
Anglaise -
Homosexuel. Tu dirais presque à temps partiel, au vu de ta famille qui t'empêche de t'assumer réellement à Londres. -
Célibataire et encore blessé. Prince d'angleterre -
Relations internationales -
Littérature française -
Sans emploi -
Non-boursier
NEELS VISSER
Quand tu es arrivé à Harvard, tu n’étais pas vraiment informé sur ces histoires de fraternités. Ni même réellement intéressé. A vrai dire, tu n’as pas vraiment eu l’occasion de te pencher sur la question : ta mère était assez au courant pour deux. Elle n’a eu qu’un mot a la bouche, enfin, deux : Eliot House. Ton objectif apparemment. Encore un truc d’héritiers très branché sur l’entre-soi. Tu as l’habitude, tu es a l’aise dans ce milieu là. Après tout, c’est le tien depuis toujours. A Harvard, la simple évocation de la Eliot House attire le regard, lance les murmures, et dans le fond tu aimes bien que l’on s’intéresse à toi.
« C’est le gendre idéal l’un des meilleurs partis de Grande-Bretagne », tu l’as entendu moult fois, ta mère, répéter cette phrase à toutes les dames de bonne famille qui ont une fille à marier. Tu as même presque failli y croire, à l’écouter en boucle. Après tout, c’est vrai que tu es facile à vivre : tu es plutôt du genre docile, et tu as très bon fond. Tu respires la gentillesse, peut être même un peu trop. Ça t’attire les bonnes grâces des gens, mais ça t’amène également une bonne poignée de vautours qui veulent en profiter. Surtout qu’il est facile de t’influencer, parce que ce que tu sais faire de mieux, c’est le caméléon : tu sais t’adapter aux gens, à ton environnement, tu es un vrai passe-partout. En dépit des situations tu ne t’énerves jamais, c’est ton côté diplomate, tu es assez habile pour lisser les situations. Puis aussi loin que tu t’en souviennes, on t’a toujours répété « Qu’est ce que tu es beau Alexander ! ». Ta mère, ton père, tes grands parents, tes amourettes adolescentes. Tu ne te trouves pourtant rien de spécial - c’est peut être ça qui plait aux autres, ta gueule d’ange impeccable. Tout ça pour dire que tu pourrais, en effet, être le gendre idéal que ta mère aime si bien vendre. Le problème, il n’est pas là : tu as toujours préféré les princes aux princesses dans les contes de fées. Et ça, même ta mère ne pourra rien y faire. Ça t’embête presque, parce que dans le fond tu aimes bien lui faire plaisir, elle le mérite. Tu aurais aimé lui ramener la belle-fille royale dont elle rêve tant, mais tu ne peux pas. Tu ne peux pas non plus lui dire : tu n’imagines pas faire un pas en dehors du chemin qu’elle t’a tracé sans qu’elle ne syncope. En Amérique, tu es beaucoup plus libre, tu peux agir plus ou moins comme bon te semble et avec qui tu le veux, mais les quelques fois où tu te montres à Londres, il faut faire bonne figure. Redevenir le prince parfait, loin du « nouveau toi ». Tout ça parce que tu n’aimes pas t’imposer, surtout face à ta mère. Tu ne veux pas la blesser, ni elle ni les autres. Alors tu te fais discret, cordial, et tu te plies aux règles. Tu ne donnes donc pas souvent ton avis, sauf si on te le demande. Jusqu’ici, tu n’as pas eu à te plaindre : les autres se sont très bien débrouillés pour toi : tu as intégré une université prestigieuse, tu as beaucoup d’amis, tu mènes une vie épanouissante… Enfin, ce sont aussi des prétextes derrière lesquels tu te caches, pour ne pas avoir à affronter le véritable Alexander qui ronfle au fond de toi depuis bien trop longtemps. Mais après tout, tu te demandes parfois : n’est ce pas normal d’être prisonnier de ce genre de chaînes, quand on s’appelle Windsor ?
Qui a choisi ta première école ? Mère. Qui a choisi ton collège ? Mère. Ton lycée ? Mère. Alors a ton avis, qui a choisi Harvard ? Toujours la même. Enfin, tu ne t’en plains pas. Tu n’as pas vraiment grand chose à redire : ça aurait pu être pire, tu aurais pu rester prisonnier de l’Angleterre et des murs froids d’Oxford. L’Amérique, tu préfères : pour une fois, tu étais d’accord avec les choix de ta mère. Tu n’as pas eu beaucoup de mal à réaliser ton rêve américain : mère sait s’y prendre, tu as toujours eu la meilleure éducation et pour contenter tout le monde tu t’es surpassé dans ta scolarité. Les tests, les entretiens… Quand on s’appelle Windsor, on appréhende ça avec un peu plus de confiance. Si bien qu’après une première année à Oxford qui t’en a paru durer 100, tu as intégré Harvard, pour poursuivre tes études en relations internationales. Tu as également pu poursuivre ton apprentissage du français, sans savoir te débarrasser de ton horrible accent.
LUCAS
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lucas et j'ai 19 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à un des top-sites il me semble.... Le mot "Harvard" me donne des frissons alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Neels Visser comme avatar. Je fais environ entre 500 et 1000 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par la fabuleuse @Beth M. Windsor .
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je veux être parrainé par @Agathe A. de Belgique-S
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