Old news (CAMILA)

Sam 16 Mar 2019 - 20:29

Josephine et le spring break, c’est comme Josephine et l’alcoolisme en public. Cette fille en profite peut-être un peu trop pour faire la fête, mais comme c’est un des seuls moments où elle se déchaine en public, elle se dit qu’elle peut bien le faire. Après tout, ce n’est pas grave, si la Lauder semble parfaite tout le reste de l’année, qu’elle fasse la une des tabloïdes pendant une semaine par année ne devrait pas trop entacher la famille. La belle blonde portait short courts et t-shirt, tout simplement, alors qu’elle se déchaînait sur la piste de danse extérieur de l’hôtel pieds nus. Elle tenait un verre de bière en main alors qu’elle laissait son corps suivre le rythme de la musique. Elle était un peu éméchée, peut-être trop parce qu’elle percuta fortement une autre personne renversant sa bière sur la demoiselle. Une demoiselle qu’elle reconnu d’ailleurs, très rapidement. « Camila… on t’a donné le droit de sortir ? » Auparavant une amie, Joe s’était rapidement distancé de son amie à la suite de ses problèmes, elle ne tenait pas à être associé à ce genre de chose. Oui, Josephine a un peu l’esprit fermé.

©️ LOYALS.

(Invité)

Dim 17 Mar 2019 - 13:46

“who says you're perfect ?”@Josephine Lauder & Camila Wildingham j’étais fatiguée sans réelle motivation. le spring break censé être une source d’évasion me semblait plutôt fade et sans goût. probablement parce que j’étais fatiguée des murmures sur mon passage, des paris à mon sujet visant à se demander quand est-ce que je rechuterais encore une fois. à attendre constamment que je fasse le moindre faux pas. fatiguant. et dans cette foule, cette soirée déjà bien trop arrosée, une blonde me percutait renversant la moitié de son verre sur mon top m’arrachant un soupir. le pire ? se rendre compte que je connaissais cette personne et que ce n’était personne d’autre que josephine. lauder qui m’accueillait avec une réplique que je pourrais qualifier de cinglante. « non. je me suis enfui pour essayer de planter des seringues dans les bras de tout ce que je croise. » réplique tout autant ironique ponctué d’un sourire tout ce qu’il y a de plus faux. un peu comme la prétendue amitié que l’on avait toutes les deux puisque tu t’es toujours bien plus préoccupée de ton image que des gens autour de toi. « ce serait moche que tes parents te voient dans cet état, pas vrai ? » pas franchement habillée, en sueur, les cheveux te collant au front et surtout profondément alcoolisée. alors je sortais mon téléphone appuyant sur la gachette sans tarder. « scoop de l’année, la parfaite lauder est une dépravée » oh, ça serait une jolie headline ça. j’pourrais me reconvertir en presse people sans difficulté. « et dire que tu te penses trop bien pour moi » t’es juste du genre à cacher ton jeu mais t’es pas meilleure que quiconque. et malgré mes propres histoires, je reste la reine d’harvard. rappelles moi qui es-tu ?

code by solosands

(Invité)

Jeu 21 Mar 2019 - 11:51

OLD NEWS
— with @Camila Wildingham .

C’est bien étrange de ce dire qu’à une époque, Camila et Josephine ne faisait qu’un ou presque. Elles s’étaient connues toutes petites, avaient vu, vécu et vaincu ensemble. Mais voilà, Josephine est aveuglée par l’image qu’elle projette ou du moins, l’image qu’elle veut qu’on voit d’elle. Son obsession avec la perfection, le lisse et la beauté l’avait trahi alors que Camila aurait eu besoin d’elle. Pourtant, Josephine n’est pas une si mauvaise amie, ni même un mauvaise personne. Elle avait de belle qualité, mais les problèmes de Camila lui avait fait peur, probablement lui rappelant les siens qu’elle voulait tant cacher. Alors, elle avait fait sa merde, avait planté Camila et avait refusé de s’afficher avec elle. « Oh mais quelle surprise de ta part, ton dealer doit vraiment être heureux de te revoir, tu dois le rendre riche! » Le sarcasme faisait partie de leur vie, comme elles respiraient de l’air. Si Camila avait l’impression que Josephine n’avait jamais été son amie, elle avait tort, mais Joe ne lui dirait pas. « Oh prend autant de photos que tu veux ma belle, ils savent bien qu’une semaine par année faut s’amuser! » Comme un non-dit chez les Lauder, le spring break était la semaine de folies pour un peu tout le monde. Joe se fichait bien qu’elle soit vue ainsi cette semaine, le reste de l’année, elle n’avait même pas un cil de travers. « Ben au moins moi je passe pas mon temps comme un dépravée, s’pas une semaine par année qui change grand-chose, alors que d’autres, t’sais comme toi, ben clairement t’as de gros problèmes de dépravation comme tu dirais » Bien que Josephine n’était pas mieux que qui que se soit, elle avait ses problèmes à elle, mais elle vivait surtout dans le déni.

©️ LOYALS.

hj

Spoiler:

(Invité)

Lun 25 Mar 2019 - 20:53

“who says you're perfect ?”@Josephine Lauder & Camila Wildingham tu le sais pourtant. tu le sais que sous toutes les frasques que je me trimballe, je ne suis généralement pas du genre à chercher des histoires de mon propre chef. je créé des ouragans quand on me provoque, quand on me blesse mais je ne lance jamais les hostilités en premier. toi ? tu mérites ma colère. tu mérites tout ce qui peut sortir de ma bouche parce que tu m’as abandonné. parce que tu m’as laissé tombé dans le pire moment qui soit et que t’oses te pavaner comme si t’étais miss parfaite. t’es rien de tout ça. t’es juste une égoïste. une imbue de ta personne qui est prête à cracher sur n’importe qui juste pour ne pas venir entacher sa propre image. « c’est toujours mieux que de l’enrichir de ta connerie. » tu le sais que t’es insupportable ? que t’es une sacrée garce ? parce que c’est le cas. et j’attends le jour où tu te retrouveras définitivement seule. le jour où t’auras plus personne à tes côtés pour que tu puisses enfin te rendre compte à quel point t’as été exécrable. « s’amuser. » c’est marrant que t’emploi ce mot pour justifier que t’es pas grand chose d’autres qu’une dévergondée. tu peux te voiler la face autant que tu veux joe, ça change pas le fond. ça change pas qui tu es vraiment. « ah non, je t’arrête tout de suite, je ne suis pas une dépravée. » ça, c’est toi. tu te dépraves pour une semaine tout en prétendant être parfaite juste pour le fun quand moi, je fais face à des vraies problèmes. « moi, j’suis toxicomane. dépressive. suicidaire. et bipolaire aussi. probablement un brin attaquée. » j’hausse les épaules comme si je venais d’énumérer une liste de course. « tout est dans ma tête » que je tapote du bout de mon index avant de laisser un sourire mauvais étirer mes lèvres. « toi, t’es juste une salope. »

code by solosands

(Invité)

(Contenu sponsorisé)