DANAE WEASLEY ► taylor marie hill

caractèreFemme complexe, tu es un mélange entre celle énervante et celle attendrissante. Femme de caractère, tu parles sans véritablement réfléchir. Tu es bien trop bavarde, les mots sortent de ta bouche sans passer par la case filtrage d’information. Dans un sens, tu te dis que la vérité est dite, que l’on ne peut pas te reprocher d’être une baratineuse. Et si on accepte ce défaut parfois véritablement agaçant, on remarque que derrière cette langue aiguisée se trouve une véritable attentionnée. Tu prends soin des tiens, comme la prunelle de tes yeux. Tu pourrais tout faire pour eux, le pire, comme le meilleur.

Véritable impatiente, tu veux tout dans l’immédiat, et donne tout ce que tu as pour l’avoir. Tu es plutôt tenace dans ton genre. L’abandon ne fait pas parti de ton vocabulaire. Tu penses qu’en persévérant on peut tout avoir, qu’il ne faut jamais se laisser abattre par quoi que ce soit. La vie nous sourit tôt ou tard.

Lunatique, tu peux avoir un sourire à tomber à la renverser à dix heures trente, puis à dix heures trente-quatre bouder comme une enfant de neuf ans. Mais rien ne dure jamais assez longtemps, tu oublies facilement les raisons de cette prise de tête.

admission à harvardTu n’avais jamais ressenti une telle pression. La sélection allait être difficile, tu le savais et en étais pleinement consciente. Venant d’une famille quelconque, tu t’étais préparée à ça depuis bien longtemps. Car pour travailler avec les meilleurs, il ne fallait pas être diplômé chez n’importe qui. Si tu veux intégrer plus tard le monde très sélectif de la F1, il te faut à tout prix obtenir un diplôme de chez Harvard. On ne remettrait jamais en doute ton niveau et les portes s’ouvriraient toutes sur ton passage. Véritable acharnée, passionnée par ce que tu fais, ton dossier a visiblement attiré l’intention. Il ne te fallait que ça, un signe. Tu as donné le meilleur de toi dans chacune des étapes de l’admission. Tu ne pensais qu’à ça, rêvais des sats pendant des semaines. Mais le plus difficile fut le student’s essay. Tu n’es pas une fan de l’écriture. Tu préfères la parole, faire valser les mots dans les airs. Alors tu avais tenté de faire passer ta passion pour la Formule 1, montrer que tu savais où tu allais. Tu avais fait de multiples brouillons avant d’enfin trouver celle qui était parfaite. Enfin, elle ne l’était pas, selon toi. Mais elle t’avait permis de pouvoir passer l’entretien. Tu y étais allée le plus détendu possible. À quoi bon préparer un oral. Tu pensais qu’il te suffisait d’être toi-même. Tu étais certaine de ton projet, de tes raisons de vouloir intégrer Harvard. Il fallait uniquement que tu montres tout ça, être sincère.

story of my life 01 - Née à New-York, tu n’as jamais connu son père. À chaque fois que tu demandais à ta mère, l’homme changeait d’identité. Tu as eu droit à une dizaine de versions différentes. C’est au bout de la treizième que tu as arrêté de lui poser la question. Tu as tout simplement abandonné.
02 - Ta mère a débarqué à New-York lorsqu’elle était adolescente, désireuse de devenir une star de Broadway. Son rêve ne s’est jamais réalisé, elle n’a jamais dépassé le stade, chanteuse dans un bar minable. Le moindre argent qu’elle gagnait allait directement dans ses cours de chants ou dans des tenues de scènes.
03 - A six ans, les services sociaux t’ont séparée de ta mère. Entre dormir dehors, dans une chambre minable, chez des inconnus, tu pensais que tu ne pouvais tomber sur une mère moins irresponsable que la tienne. Au fond, tu le savais, tu étais son boulet, vous seriez mieux l’une sans l’autre.
04 - En cinq ans, tu as fait pas moins de trois familles d’accueil. La première était une vieille dame. Tu l’appelais mamie gâteau, une femme adorable. Tu aurais voulu rester avec elle, rester dans ce lit bien douillet. Mais à peine un an après, elle est décédée suite à un AVC. Tu es allée chez Madame Style.
05 - Tu as rencontré ta famille actuelle alors que tu étais chez Madame Frotys. Désireuses de quitter cette odieuse famille d’accueil, tu revenais souvent à la maison aux bras de la police. Connue pour vols, dégradation, l’agent Weasley avait souvent à faire à toi. Lui-même famille d’accueil, il prit les devants auprès des services sociaux.
06 - Tu avais douze ans lorsque les Weasley t’ont adoptée. C’était le plus beau jour de ta vie. Tu n’as pas hésité une seule seconde, car même si avec Frank c’était souvent la guerre, tu le considérais comme un père. T’aimais juste jouer avec le feu, pousser tes limites. Fort heureusement pour toi, haut placé dans le département de la police, il arrivait à enlever la plupart des affaires dans lesquelles tu étais impliqué. La grande majorité même, des délits mineurs qui pouvaient être effacés aussi sec.
07 - Adolescente, tu passais tout ton temps dans le garage, avec Frank, tu remontais l’une de ses vieilles voitures. C’était votre passion commune, la mécanique, les autos. Souvent, vous partez suivre des courses de voitures. Mais ta préférée s’était celle des F1. Discrètement, tu enlevais ton casque pour libérer tes oreilles et entendre les moteurs de ses bolides vibrer plus fort que jamais.
08 - A quinze ans, tu commenças à travailler dans un garage mécanique du quartier. Clyde t’avait appris bien plus de choses que tu en avais appris avec ton père. Rapidement, tu étais devenue plus que bonne dans ton domaine. Tellement, qu’on était venu t’y déloger, pour aller travailler chez les Rooth. L’homme de maison était un passionné d’automobile comme toi. Il comptait sur toi pour réparer ses voitures, et remonter des épaves. Il t’emmenait dans les coulisses des plus grands, te faisant toucher de prêt tes plus grands rêves.
09 - A dix-huit ans, tu as quitté New-York pour commencer une nouvelle vie. Pour la première fois, tu étais triste de quitter une maison, de devoir quitter une famille qui avait su tirer de toi le meilleur. Pour autant, tu continues à travailler pour Monsieur Rooth, tout en travaillant dans un garage.