NATHAN ASHLEY CELLIER-NORTHWOOD ► César Casier

C'est le quatre avril à Paris, que les membres de la famille Cellier-Northwood m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Nathan Ashley. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de mathématiques appliquées (majeure) et russe (mineure) depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Dunster.

Ashley est quasiment trilingue : il parle couramment l'Anglais, sa mère le lui ayant apprit depuis sa petite enfance, puis il a perfectionné son apprentissage de cette langue durant sa scolarité, il s'exprime couramment en français depuis qu'il est tout petit et c'est sans doute la langue qu'il maitrise le mieux et qu'il affectionne le plus. Enfin, il étudie le Russe depuis des années et le parle bien, sans le parler couramment pour autant. ▲ Sa famille compte beaucoup pour lui, elle constitue les personnes les plus importantes dans sa vie. Tout ne fut pourtant pas simple : il a récemment perdu son père, hors ils avaient coupés le contact depuis un moment. Ils n'arrivaient plus à se parler et Ashley qui porte d'ailleurs son prénom s'en veut de ne pas être resté proche de lui avec les années aujourd'hui qu'il n'est plus là pour lui. Si sa soeur est toujours là, il a également le sentiment de l'avoir perdue. Elle et leur mère sont ses piliers dans la vie. ▲ Il n'aime pas les hôpitaux. Quand il était petit, il s'est fait mal en faisant du sport dans un club. Il a été amené à l'hôpital, dans les bras de son père et a eu une crise de panique en prenant conscience de l'endroit. Il s'est mit à pleurer, ce qu'il ne fait jamais en publique. Depuis, il évite au maximum de devoir s'y rendre ou du moins d'y passer le moins de temps possible. ▲ Il a peur des chiens, il est incapable de dire pourquoi et d'à quand remonte cette peur panique mais il ne les supporte pas. ▲ Il a fait de la natation durant de nombreuses années. C'est son père qui lui a apprit à nager et il l'a toujours poussé à entretenir cette passion. Ashley aimait bien ça et nage encore aujourd'hui très bien, il a cessé de pratiquer de façon sérieuse à l'âge de dix-huit ans, alors que sa relation avec son père se détériorait dangereusement et qu'il ressentait le besoin constant d'entrer en conflit avec lui sur tous les sujets. ▲ Seuls ses proches utilisent son premier prénom pour l'appeler et encore, pratiquement tout le monde utilise Ashley, prénom qui était également celui de son père. ▲ Sa fierté fait en permanence barrage à ce qu'il devrait pourtant faire. Il n'est pas très démonstratif, si ce n'est avec se proches (c'est à dire principalement sa mère et sa soeur) et encore, il n'est pas du genre à l'être avec eux également. Il peut ainsi apparaître comme une personne plutôt froide. ▲ Une fois ses études finies, il pense revenir chez lui, à Paris. Il est fréquemment nostalgique de sa ville natale bien qu'il ne l'ai jamais dit à voix haute à qui que ce soit et même si cette ville lui rappelle bons nombres de souvenirs désormais douloureux en compagnie de son père. ▲ Deux choses le débecte : qu'on lui touche les cheveux, en particulier quand ce geste vient de quelqu'un qui ne lui est pas familier et qu'on laisse traîner ses mains dans son assiette. ▲ A ce sujet, il n'est pas particulièrement gourmand. Quand il était petit, ses parents le forçaient à manger au cours de la journée des fruits car ils avaient peur qu'il ne mange pas assez.

▲ Un gars, s'étant fraîchement fait une place parmi ma bande d'amis, arrive en cours en me glorifiant d'une grosse tape sur l'épaule. Après lui avoir demander ce qui le rend si joviale, il fait une description détaillée de la fille avec qui il a coucher la veille. Finalement, il désigne une fille dans le couloir, la fameuse inconnue qui a partager son lit. C'est ma soeur qu'il montre du doigt. VDM.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Tout dépend de son humeur. Ashley n'a jamais été du genre à se forcer pour quoi que ce soit, encore moins maintenant que ses décisions sont siennes et que ses parents ne sont plus là pour lui forcer la main. S'il en a envie, il s'y rendra. D'ordinaire, il irait, ne serais ce que par curiosité.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Non, cela relève d'égoïsme de sa part. Ashley a grandit dans le luxe, il a toujours été très choyé par ses parents et n'a pas connu beaucoup de difficultés dans sa vie. Il ne se salirait pas les mains pour les autres. (à part ceux à qui il tiens vraiment)

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Non, pas qu'il doute d'avoir aucun talent à exposer, mais il n'a jamais ressentit le besoin de se donner en spectacle, il ne vit pas pour être regardé.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ?

Est ce que c'est une question piège ? On sait tous que le physique est important, malgré ce que beaucoup de gens disent. Si elle est a son goût, il cherchera à lui tenir compagnie.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ?

Non, par manque d'intérêt.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Il pense qu'il a de l'argent, ou bien que ses parents en ont, c'est plus souvent le cas et c'est justement celui d'Ashley.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Non, très peu pour lui.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle fishing girl et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. J'ai toujours eu envie de vous rejoindre, le concept des confréries est top et puis l'ambiance à l'air vraiment géniale alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, tout le monde a l'air sympas, pour l'instant tout va bien de mon côté. J'utilise César Casier comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par this-guy-man (tumblr). Je fais environ environ 860 mots par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ :poppy: Ashley aime sa petite soeur.

Restez tranquilles les enfants et toi fait attention à ta petite soeur. Ashley, âgé de six ans, secoua la tête affirmativement. Cette réponse muette sembla satisfaire ses parents. Ils donnèrent deux gros baisers à chacun de leurs deux enfants avant de s'éloigner. Ashley regarda ses parents disparaître dans la foule de leurs invités. Il se tourna vers sa soeur. Il ne se pensait pas capable avant que sa maman la ramène à la maison d'aimer une autre fille que sa maman, justement. Les filles de sa classe, elles étaient ennuyantes, occupées à jouer avec leurs poupées et à sautiller bêtement. Non, il n'en voyait pas l'intérêt. Lola, c'était différent. Elle aussi, elle portait des robes semblables à ces camarades de classe, leur mère la coiffait de la même façon et lui achetait les mêmes jouets stupides, mais elle était plus mignonne, moins ennuyante. Il la trouva juste derrière lui, son pouce entre les lèvres. Viens dit il. Sachant qu'elle ne le ferait pas sans qu'il s'exécute de son côté, il attrapa son autre main et elle le suivit.

La relation qui unit Ashley à sa soeur a toujours été forte. S'il n'est pas du genre à faire des déclarations sentimentales dans la famille, il n'a jamais douté de tout l'amour qu'il a pour ses parents comme pour sa petite soeur. Issus d'une famille aux revenus aisés, Ashley a toujours été amené à prendre soin de sa soeur. Dorlotés par leurs parents, ils développèrent rapidement une complicité marquée. C'est le temps qui eu raison de cette belle relation. De petit garçon, Ashley devint un adolescent et commença à se prendre la tête avec ses parents.

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Un jour, je vais me barrer d'ici souffla Ashley suffisamment fort pour que ses parents l'entendent. Ashley ! Cria son père dont le ton de voix prit trahissait la colère. Ignorant son géniteur, l'intéressé gagna sa chambre d'un pas suffisamment rapide pour éviter que son père le rattrape pour qu'ils aient une conversation, ce qu'ils n'arrivaient plus à avoir tous les deux depuis des semaines. Il referma la porte de la pièce derrière lui et pesta en silence en se souvenant que son père lui avait prit sa clé, ne supportant plus de le savoir enfermé dès qu'il se fermait à la discussion. Merci beaucoup papa songea amèrement Ash en faisant quelques pas dans sa chambre. Elle n'avait pas beaucoup changer avec les années et comportait encore bon nombre d'éléments le ramenant à son enfance, époque ou il était proche de son père. Ashley se laissa tomber sur son lit et sa tête alla s'enfoncer dans les couvertures. Une peluche le heurta et il l'attrapa tout en tâchant de se calmer. Il s'agissait d'un gros lapin au poil devenu râpeux avec les années. Quand il était gamin, il le trimballait partout derrière lui, lui mordillant les oreilles. Autrefois cette vue l'aurait réconforté mais au grand désespoir de ses parents sans doute il n'était plus un gamin et il était bien trop sur les nerfs pour devenir sentimental à la vue de son ancien compagnon de jeux préféré. Soudain, une voix le sortit de ses pensées. Elle s'éleva derrière la porte et Ashley se mordilla la lèvre tout en laissant retomber le lapin.lI faut qu'on parle dit son père. Il était épuisé par ses disputes et n'était pas le seul. Pas maintenant, papa rétorqua durement Ashley avant de se lever et de se diriger vers sa fenêtre. Il l'ouvrit rapidement, laissant l'air frais de la soirée entrer dans la pièce. Après avoir attendu d'entendre les pas de son père s'éloignant de sa chambre, il ouvrit un tiroir de la vieille commode ou étaient rangés tous ses vêtements et plongea la main entre deux piles de pulls. Sa main se referma sur un paquet de cigarettes entamées. D'un bref geste de la main, il referma le tiroir et se hissa dehors. Il ne portait pas de chaussures et grimaça au contact de sa peau nue et du balcon. Il ne s'arrêta pas pour autant et balaya rapidement la vue du regard avant de prendre appui pour grimper sur le toit. C'était devenu une routine. Il s'installait ainsi, en hauteur pour fumer et jusque là, ses parents ne l'avaient pas appris : bien sûr, ils auraient désapprouver. Fumer était stupide, dangereux, sa mère en piquerait une crise si elle le surprenait une clope coincée entre ses lèvres, quand au fait de grimper sur le toit, son père se hisserait sans doute maladroitement dessus pour le faire redescendre directement. C'était ce qu'Ashley ne supportait plus : il se sentait coincé, traité comme un gamin. Il savait gérer sa mère. Généralement, elle le réprimandait avant de le prendre dans ses bras. Le problème était son père. Par le passé, il était le plus grand allié d'Ash'. Tous deux étaient très satisfaits de cette relation. Mais le temps était passé et Ashley n'était plus le petit garçon qu'il avait été par le passé. Il était sans doute trop dur, carrément méchant avec son père, mais incapable d'aller vers lui pour arranger les choses. Alors qu'il fumait, Ashley distingua une silhouette dans le jardin de la maison. Il plissa les yeux, reconnaissant rapidement sa petite soeur. Lola, qu'est ce que tu fais ? Demanda t'il avant de détailler la tenue de sa soeur et de manquer de peu de laissait tomber sa cigarette. Je vois tes fesses d'ici. Railla-t'il sa frangine. Son ton était froid. Il plaisantait sans réellement le faire. Il vit sa soeur rouler des yeux et se raidit. Change-toi, tu veux demanda t'il sans attendre le moins du monde de réponses. Il ne formulait pas un souhait. Il ne la laisserait pas sortir comme ça. Il n'eu pas de réponse, elle l'ignora tout bonnement, rejoignant une voiture, garée quelques secondes auparavant dans l'allée. Ashley héla sa soeur une dernière fois avant de battre en retraite, encore plus de mauvaise humeur. Ces derniers temps, il aurait aussi bien fait de s'adresser un mur.

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Tout était devenu irritant à ses yeux. Il ne reconnaissait plus Lola. Elle lui donnait l'impression de se regarder dans un miroir et cette perspective lui déplaisait au plus haut point. Il n'aurait jamais penser pouvoir comprendre à son père désormais et pourtant c'est le cas : lui ne supportait pas de le voir laisser sa vie partir en vrille et lui devait impuissant en faire de même vis a vis de sa soeur. Seule sa relation avec sa mère ressemblait à celle qu'il avait toujours entretenu. En quelques années, il avait perdu sa place au sein de sa famille. Ainsi, quand il fut enfin majeur, il put partir. Après avoir multiplier les fugues, il était libre d'acquérir son autonomie, loin de la présence constante de ses parents.

Ses gestes étaient tremblants. Garé devant la maison ou il avait grandit, Ashley se tenait à quatre pattes sur la banquette de la voiture que ses géniteurs lui avaient offert quelques années plus tôt pour son anniversaire. Ash' sentit enfin ses doigts se refermer sur ses clés et lâcha un gémissement tout en se redressant pour sortir du véhicule. En quittant la maison familiale quelques jours après son anniversaire, il s'était sentit soulagé, un poids lui ayant été retiré. Il avait balancer les clés de chez ses parents dans sa voiture en songeant qu'il n'aurait pas à y mettre les pieds un jour ou la maison serait vide. Il avait eu tord. Ashley quitta sa voiture, incapable de faire taire son appréhension. Il traversa le jardin ou il avait joué avec sa soeur étant gamin et il enfonça sa clé dans la serrure de la porte, la tournant d'un geste manquant de rapidité. Il referma la porte derrière lui et s'immobilisa quand il entendit la voix de sa mère juste derrière lui. Il sursauta quand elle ouvrit la porte juste derrière lui, l'air malade. Ou étais-tu passé chaton ? Est ce que tu... Ou est papa ? L'interrompit Ash' d'une voix qui ne lui ressemblait pas. Elle n'était pas comparable à celle teintée d'arrogance qu'il employait pour parler à ses parents depuis des années. On l'avait appeler pour lui dire qu'il y avait eu un problème et il pouvait lire sur le visage de sa mère que c'était grave. Elle qui prenait toujours soin d'avoir l'air raffinée à tout instant semblait épuisée. Elle n'avait pas dormi depuis trop longtemps. Ses cheveux blonds étaient tirés, filasses, il ne se souvenait pas de les avoir vu ainsi un jour. Son regard semblait hagard et Ashley attendit une réponse douloureusement. Finalement, elle rompit le silence. Elle entrouvrit la bouche puis sembla se raviser et leva lentement son bras. Sa main se rapprocha du visage de son aîné et avec son doigt, elle lui caressa doucement la joue. Ton père est décédé murmura t'elle. Se fut comme si on venait de lui donner un coup de poing dans le ventre. Il attendit qu'elle rit, lui annonçant qu'il ne s'agissait que d'une bien mauvaise blague. Mais sa mère ne plaisantait pas et Ashley se laissa glisser au sol, peinant à assimiler ce qu'il venait d'apprendre. Il voulait formuler une question, des dizaine se bousculaient dans sa tête mais il semblait avoir perdu la capacité de parler. De marcher. De faire quoi que ce soit à vrais dire. Il releva les yeux et réalisa que, perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarquer que sa mère était désormais à genoux, en face de lui. Tout va bien se passer mon chéri. Elle n'était pas très convaincante et ne cherchait qu'à le réconforter, à le rassurer. Elle n'y parvenait pas et il déglutit silencieusement toujours aussi incapable de parler. Viens là dit sa mère avec douceur et quand elle se pencha pour l'entourer avec ses bras, il alla se blottir contre elle, comme il le faisait enfant.

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Il avait refusé tout bonnement. Il avait le souvenir des blagues salaces que ses amis faisaient sur sa soeur et sa nouvelle attitude quand ils étaient adolescents et il n'aspirait pas à revivre ce genre de situations. Il l'aimait, nul doute là dessus, mais il ne la rejoindrait pas à l'université. Qui plus est, la sienne lui convenait parfaitement. Elle avait sembler déçue au téléphone mais n'avait pas insister. A quoi bon, elle le connaissait comme étant plutôt borné et n'avait sans doute pas eu envie de perdre du temps à essayer de le convaincre de faire un pas vers elle. Le décès de leur père continuait de fragiliser leur relation chaque jour et Ashley avait cessé de contacter sa soeur en semaine. Il l'appelait parfois, rentrait à la maison pour les fêtes de fin d'années, notamment pour sa mère et faisait l'effort de venir voir Lola pour son anniversaire pour lui faire la bise et lui offrir un cadeau dont il ignorait totalement s'il lui plairait ou pas. L'époque ou il incarnait un gentil grand frère câlin bien qu'un peu bougon et protecteur était révolue. Il ne voulait plus sans arrêt avoir à se soucier pour elle. Mais il avait tord, une énième fois.

Il appréhendait, encore une fois, pour des raisons différentes. Ashley avait changé d'avis, ce qui n'était pas une mince affaire d'ordinaire. Pris d'un élan de nostalgie, il s'était décidé à retrouver sa petite soeur. Quitter Dartmouth était un acte impulsif auquel il ne songeait pas sérieusement la semaine précédente. Ash' ne réfléchissait pas beaucoup, ce qui était drôle : la façon dont il prenait ses décisions contrastaient ainsi beaucoup avec ses résultats scolaires. Il avait toujours eu des bonnes notes, il était loin d'être stupide, même carrément futé, mais il ne se servait pas toujours de sa tête, ou du moins pas suffisamment. Qu'étais devenu sa soeur, la fillette qu'il avait couvé durant son enfance ? La dernière fois qu'il l'avait vu, il grimaçait devant ses tenues trop courtes et sa façon de le repousser dès qu'il ouvrait la bouche pour émettre un commentaire. Sans doute allait il la retrouver lovée dans un bras d'un crétin, cigarette à la main, la tenant fermement contre elle, un sourire arrogant au visage. Avec un gars comme lui. L'idée le fatigua. Il lui avait donner un sale exemple : s'il s'était comporté comme son père l'aurait voulu, elle ne serait pas devenue cette personne. Il nourrissait tant de regrets de son adolescence. C'était stupide évidemment, qui plus est lui n'avait pas changer. Il allait retrouver une partie de sa famille et les choses s'arrangeraient avec le temps songea t'il sans y croire vraiment.