bisexuel, mais plus attiré par les rondeurs des femmes.
Célibataire
Dans la moyenne
Communication
Multimédia
caissier dans une supérette et barman
Oui
XAVIER SERRANO
MAISON OU NON ? Lorsque j’ai un but dans la vie, je me fixe des objectifs bien précis pour obtenir ce que je souhaite. Assidu et enjoué, je désire pouvoir intégrer les brillants Dunster. Je trouve que j’aurai ma place dans cette maison qui rassemble ces personnes qui n’ont pas peur de travailler et d’aller jusqu’au bout. Ceux qui sont ambitieux et qui savent exactement où ils s’en vont dans la vie. De plus, être entouré de gens qui me ressemblent, est réellement un plus. Surtout que pour moi, je trouverai à coup sûr une deuxième famille.
J'ai mon propre caractère que je trouve bien équilibré. Je suis un vrai chevalier, agissant par conviction, prêt à défendre la veuve et l'orphelin, à combattre l'injustice et crier haut et fort mon amour, ma douleur. J'affronte la vie et ne me laisse pas faire. À la fois introverti et extraverti, je me mets en avant lorsque je me sens investis d'une mission, mais dès l'aventure accomplie, je peu devenir un Ermite et devenir assez fermé. Étant une personne très réactive, je n'hésite jamais à me lancer à l'attaque des causes qui me tiennent à cœur. Je suis une personne réfléchie et qui fait réfléchir les autres. Je suis quelqu'un sur qui on peut compter, toujours loyal et fidèle à ceux qui te sont chers. Je me considère comme une personne à part entière qui sait ce qu'elle veut dans la vie. Je sais également que je ne suis pas toujours très facile à vivre, mais une fois que vous avez appris à me connaître, à me cerner, vous voyez que je suis quelqu'un de tout à fait charmant. Je peux tout à fait être doux comme un agneau comme la journée qui suit, une ordure. Je peux me montrer entêté, pas toujours de bonne foi et ne reconnaît pas toujours mes torts. Par contre, je suis aussi affectif et démonstratif, possédant une grande générosité de cœur. Malgré tout, j'ai plusieurs vices. Je fume comme un pompier que ce soit nicotine ou herbes, je bois peut-être un peu trop au goût de mes proches ce qui fait de moi quelqu'un qui tient très bien l'alcool. Ce qui est pratique lors des fêtes, que j'adore.
L'admission n'a vraiment pas été de tout repos pour moi. Moi qui suis de nature réfléchie, qui est facile de me concentrer. J'ai eu beaucoup de difficulté à passer les Sats. J'étais presque certain d'échouer. Pourtant, à ma grande surprise, j'ai été un peu au-dessus de la moyenne. Ce qui m'a donné une grande joie et la motivation nécessaire pour continuer mes démarches, même si je n'avais pas l'intention d'abandonner. Ce n'est pas dans ma nature. L'essay a été, comme je le pensais, un peu plus facile. Parler de ce que je ressens, de ce que je vis a été un pur plaisir. Ce qui m'a fait le plus peur en revanche c'est bien l'entrevu qui allait me permettre ou non d'entrer à Harvard. De savoir si j'allais réussir ou non à obtenir une bourse. Lorsque j'ai obtenu une réponse favorable à ma demande, je ne pouvais pas être plus heureux. C'est ainsi que j'ai fait mon entrée à Harvard. J'allais montrer aux gens qui m'ont donné cette chance, que j'allais aller loin. .
MAELSTROM / MARIE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Maelstrom et j'ai encore 31 ans . Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à encore et toujours Jendy . Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Davi Carvalho (+ WH) et Silas Rothschild ( + Student, futur EH ). J'utilise Xavier Serrano comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 200 + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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14 juillet 1995, West Newbury, Massachusetts Ma mère me tient dans ses bras. Jeune garçon aux yeux toujours clos sur le monde. Elle espère de tout son coeur que je pourrai voir un monde meilleur qu’elle a connu. Elle me berce lentement, ne disant pas un mot, mais toutes ses pensées sont focalisées sur moi. Au loin, nous pouvons entendre les infirmières s’activer, d’autres bébés pleurer. Nous pouvons voir également des hommes embrasser leurs femmes qui viennent de mettre au monde leur beau trésor. Ma mère elle, elle sait que mon père ne viendrait pas. Elle ne l’avait d’ailleurs par revue depuis la fois où elle lui a annoncé, les larmes au bord des yeux, qu’elle était enceinte. Pour toutes félicitations, il lui avait avoué une vérité qu’elle n’aurait pas voulu entendre. Elle aurait préféré rester dans l’ignorance. Il lui avait menti sur toute la ligne. Depuis le début de leur histoire. Tout était basé sur un mensonge. Elle n’était qu’une maîtresse, il ne l’a jamais aimé. Eh oui, il avait déjà une autre famille quelque part dans le monde, en Europe. Elle ne voulait rien savoir de plus. Son beau conte de fées venait de se terminer, se demandant comment elle avait pu être aussi naïve de croire à toutes les promesses qu’il lui a dites. Comment elle a cru qu’un homme dans son genre pouvait s’intéresser à une femme comme elle, simple serveuse d’un restaurant? Elle aurait dû le savoir, et elle s'en était voulu. Mais maintenant, cela n'avait plus aucune importance, elle avait tiré un trait sur lui et avait décidé de me garder, malgré tout. Toujours en me berçant, elle me murmurait à l’oreille que je suis le plus beau cadeau que la terre a pu lui faire. Elle savait très bien que j’allais vivre sans père, mais elle ne s’en faisait pas. Elle avait assez d’amour à me donner. Oui, elle allait m’aimer pour deux.
16 mai 2002, West Newbury, Massachusetts La vie n'est pas toujours facile pour nous. Ma mère, toujours célibataire a du mal à joindre les deux bouts, mais nous nous en sortons. Certes, ce n'est pas la vie de château, mais nous ne manquons de rien. Je suis scolarisé dans une école de quartier, je me suis déjà fait quelques amis dont ma voisine qui est super et je suis déjà très autonome pour mon âge. Je sais que je n'ai pas vraiment le choix puisque ma mère n'est pas toujours là le soir, lorsque je rentre à la maison après l'école. En revanche, ce que je ne sais pas, c'est qu'elle enchaîne deux services pour subvenir à nos besoins, pour que je puisse avoir la meilleure vie possible qu'elle puisse m'offrir. Elle veut que je sois heureux et ne jamais regretté d'avoir refusé que mon père lui envoie de l'argent. Elle veut se débrouiller seule et ne jamais entendre parler de lui, quoi qu'il arrive. Lorsque ma mère n'est pas là le soir, c'est la maman de ma meilleure amie qui vient s'occuper de moi. Je fais mes travaux d'école avec elle et nous rions beaucoup des anecdotes qui se sont passées. Comme par exemple, il y a des plus vieux à l'école qui s'amusaient à m'intimider. Eh bien, ma meilleure amie elle a décidé que ça ne fonctionnait pas avec elle. Elle a mordu le mollet du plus vieux pour me secourir. Je l'adore, c'est la plus belle et la plus gentille que je connaisse. Lorsque sa mère ne peut pas venir jeter un coup d'oeil à la maison, je sais que je peux me débrouiller seul. Je sais par exemple, qu'en rentrant de l'école, un bon petit repas m'attend dans le frigo, préparé par ma mère. Je peux le manger devant la télé avec un jus de fruit. Quand elle entre, je suis généralement dans mon lit en train de lire une bande dessinée ou en train de regarder la télé, prêt à m'endormir. Je les vois les yeux de ma mère briller. Je le vois qu'elle est fière de moi et de ce que je suis en train de devenir. Pour me préserver, elle m'a dit que mon père est mort avant que je naisse, mais que c'était quelqu'un qui m'aurait aimé à coup sûr. Elle n'a pas jugé utile de me dire la vérité, trouvant que l'homme en question ne méritait pas l'amour que je pourrais lui porter. Malgré cela, elle m'inculquait des valeurs. L'honnêteté était une des plus grandes qualités possibles. Elle ne voulait pas que je devienne comme mon géniteur et que je traite les femmes avec respect.
21 juin 2009, West Newbury, Massachusetts Le collège, c'est fini. Toutefois, je ne disais pas "enfin!", non. J'ai véritablement adoré cette période de ma vie, les gens ne s'offusquant plus quand je disais que mon père était mort, ne me jugeant plus sur ce que j'étais. J'ai commencé à sortir le soir, faire un peu plus vieux que mon âge réel, aidait autant que d'avoir un charme certain. Seulement, la vie décida en cette fin de soirée alors que je suis revenu d'une fête organisée, j'ai entendu des cris et des pleurs. C'est là que j'ai découvert ce que le père de ma meilleure amie lui faisait subir. Comment un homme pouvait-il blesser sa propre fille de la sorte ? Même si ce n'est pas moi sur qui il levait la main, j'en ai tout de même souffert, si peu habitué à ce genre de choses. Je me suis dit qu'il me fallait la protéger, faire ce que son père n'a jamais fait pour elle... Je devais par le fait même, me blinder sentimentalement parlant. Parce que ce que je comptais faire pour elle, n'allait pas être de tout repos. Cela ne fit que renforcer mon autonomie. Je détestais véritablement ce crétin, je détestais West Newbury et je voulais disparaître. Déménager et y emmener avec moi ma meilleure amie pour qu'elle soit heureuse à son tour. Cela n'a pas été facile de convaincre ma mère de mon projet. Elle n'était pas du tout d'accord de me laisser partir, me trouvant trop jeune. Elle a toutefois fait un compromis avec moi, sachant que j'étais très mature pour mon âge. Elle me permettait de m'en aller, mais seulement à 16 ans. J'ai donc commencé à monter un plan, ce que j'allais faire, ce que j'allais devenir et comment j'allais moi aussi subvenir à nos besoins. Cela ne fit que renforcer ma détermination. Je me suis juré que je réussirais tout ce que je voudrais entreprendre dans ma vie. Pour elle.
17 juillet 2011, Boston, Massachusetts Quelques jours après mon anniversaire. Lettre d’émancipation en main, dûment signée par ma mère. Appartement trouvé, peut-être un peu trop petit, mais peu coûteux. Une aubaine en vérité. Et également un boulot de caissier dans une supérette, me voilà déménagé avec Zaralena à Boston. À un peu moins une heure de voiture de notre ville natale. Néanmoins, on savait très bien que le père de Zara n’allait pas venir la chercher là. Nous avons réussi à quitter cet endroit sinistre et prendre un nouveau départ. La joie se lisait sur mon visage, sur nos visages. Nous rayonnons tout simplement. En fait, nous étions prêts à conquérir le monde. Libre de faire ce dont nous avions envie. Se lever, se coucher à l’heure à laquelle nous avions décidé. Évidemment, je n’allais pas faire trop de folies, dû à mon but que je me suis fait. Mais je ne pouvais être plus qu’heureux d’avoir parvenu à mes fins. Il ne restait plus qu'à décorer et aménager notre petit appartement avec deux chambres à notre goût. Comme dit précédemment ce n'était pas le grand luxe, mais assez pour nous satisfaire et nous loger le temps d'amasser plus d'argent pour pouvoir s'offrir un peu plus grand.
15 mai 2013, Boston, Massachusetts J’étais là, à attendre dans la salle d’attente de la prestigieuse université qu’est Harvard, les mains moites. Mes essays n’ont pas été de tout repos, j’ai eu beaucoup de difficulté à me préparer convenablement avec mon boulot et tous les choses que j’avais à faire. Cependant, à mon grand étonnement j’ai passé les Sats, un peu plus élevée que la moyenne ce qui me donnait ma chance pour me qualifier avec l’essay, que j’ai réussi sans grandes difficultés, cette fois-ci. Il ne me restait plus que l’entretien et je me suis mis à repenser à tous les bons et moins bons moments que j’ai vécus. À ces soirées sans fin donc je n’avais quelques fois aucun souvenir. Tout ça allait être derrière moi si je réussissais à intégrer Harvard. Tout ça était déjà fini en fait. Il était temps de grandir, d’entrer à l’université pour assurer mon avenir. La bourse était primordiale pour moi et l’entretien allait décider de mon sort. Mon sens du contact avec les autres, mes relations, ma facilité à persuader et surtout mon franc-parler ajouté à mon tact faisaient que je pouvais être un élément majeur. C’est ce que j’ai essayé de leur faire comprendre. C’est comme ça que je me suis présenté. Un mois après cet entretien, je venais d’apprendre que j’avais obtenu la bourse tant désirée, moi ce gamin qui a quitté le nid familial sans doute trop tôt allait intégrer la prestigieuse université d’Harvard, en communication et multimédia. J’ai eu de la difficulté à contenir ma joie, j’étais promis à de grandes choses. J’allais rendre fière, la femme la plus importante de ma vie, celle qui m’a tout donné. Ma mère.
8 mars 2019, Boston, Massachusetts Désormais, je suis étudiant en communication et multimédia comme prévu. Je suis toujours assidu, mais ma vie sociale a explosé, me faisant sortir presque tous les soirs. Mine de rien je n’abandonne pas. Je sais que je ferai de grandes choses dans la vie et que je parviendrai au bout de mes rêves. Je me suis toujours imposé une discipline pour mes cours. Je demeure toujours avec ma meilleure amie dans un appartement sans doute trop petit pour nous deux, mais nous prévoyons d'en louer un nouveau. Je me suis trouvé deux emplois, caissier dans une supérette que j’ai depuis la notre arrivée à Boston, mais également serveur dans un bar. Les pourboires sont bons et je ne pourrais m’en passer. Mais tout ceci n’est que temporaire, puisque ce que j’aimerais c’est d’avoir ma propre émission de radio ou encore de bosser dans un label et être manager. Voyons voir ce que l’avenir me réserve…