Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTell me It's not the truth... || Railan
-19%
Le deal à ne pas rater :
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H -16Go/512 Go
1299 € 1599 €
Voir le deal


Tell me It's not the truth... || Railan

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


La rouquine a le don pour te faire chier, mais elle sait aussi que Rain est un sujet sensible avec lequel il ne faut pas déconner. Tout comme je ne me serais jamais permis d’inventer une telle histoire sur Tamsin, je suis persuadé que l’histoire de Scarlett est véridique et qu’elle n’inventerait pas une telle chose. Certes, j’ai eu beaucoup de mal à la croire, j’ai même fais comme si cela ne m’atteignait pas, mais il est clair que c’est tout le contraire, que je suis touché par ces aveux.
La preuve, je demande à la demoiselle, héroïne de toute cette histoire, si je peux lui parler. Qui fait ça Alan ? Certainement pas quelqu’un qui en a rien à foutre comme tu veux le faire croire. A vrai dire, j’ai même hésité jusqu’au dernier moment à y aller, mais maintenant que je suis devant la devanture du Lord Hobo, je vois mal comment je peux reculer. Je ne vais tout de même pas rebrousser chemin et rentrer chez moi pour cogiter sur cette situation comme un imbécile encore une fois. L’envie de clarifier cette situation pour de bon est bien plus forte que la crainte que cela m’inspire, que l’appréhension du résultat final. Je pénètre dans le bar où je l'ai rencontré et observe les alentours, sachant pertinemment qu'elle doit être là vu que tu es en retard comme à ton habitude. Les yeux se posant sur la demoiselle, je me rend compte dans le même temps que cela fait une éternité que je ne l’ai plus croisé, réveillant en moi une sensation des plus étranges, un sentiment quasiment oublié.
“Salut”, te contente-tu de dire froidement quand tu arrive à sa hauteur, prenant place sur le tabouret près du sien tout en remarquant qu'elle a déjà bien entamée sa consommation. "Il n'est pas là ?", lâches-tu sans pouvoir le retenir plus longtemps. C'est direct ça Alan, comme entrée en matière tu fais fort, c'est ce qu'on appelle mettre les deux pieds dans le plat. D'un signe de la main à l'homme derrière le bar, tu fais signe que tu prendras la même chose. Ce ne sera pas ton premier verre de la journée...


@Rain S. Wilkins
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Un sms fait vibrer ton téléphone sur la table. Tu lorgne l’écran. Voit son nom. Et ton coeur manque un coup…. de peur.
Tu ramène l’appareil devant toi. Continue à écouter cet apprenti avocat te conseiller de faire si et ça devant les jurés, et te dit que … tu t’en connais tellement mieux que lui. Quel perte de temps. Surtout que t’en a encore pour une bonne trentaine de minutes avant de pouvoir ouvrir le clapet de ce téléphone, et lire le message que tu viens de recevoir.
Qu’est ce qu’il te veut?
La dernière fois, t’as dit non à sa demande de rencontrer sa mère. Serait il du genre à te le demander de nouveau? Non. Tu sais que non. Tu as été assez sèche pour qu’il ne te le redemande jamais. T’as même cru que t’étais assez sèche pour qu’il te déteste et ne te reparle plus jamais.
Attends! Tu lui as donné quel numéro pour Sidney déjà? te demande tu, instantanément sur tes gardes... Non. Pas celui ci. Un numéro pour téléphone jetable, que tu garde chez toi. Ca te fais penser que tu devras lui envoyer un SMS Dimanche pour décommander votre rencontre Lundi. Tu le note quelque part dans ta tête.
Un regard en biais vers l'apprenti avocat, et tu juge que tu pourras regarder le contenu de ton téléphone, subtilement, sans qu’il le remarque.
“Va falloir qu’on parle Rain…”
De quoi? Ceci est la phrase la plus dégueulasse qu’on peut envoyer à quelqu’un. L’autre personne ne sait pas à quoi s’attendre, et s’attends au pire…
Toi? Tu penses à tellement de pires que tu sais pas quel sujet de conversation il a choisi pour te torturer. Sa mère que t’as ramené ici, et dont tu as payé le traitement ? Sidney, la fille que t’as incarné pour le catfish sur tinder? Sa mère que t’es allé voir à son insu? Ou est ce que le FBI l’a recontacté? Ton père l’a recontacté?
Ton cerveau part dans tous les sens. Jusqu'à ce que tu décide que ce n’était pas une bonne idée, que tu inspire un bon coup, et que tu ferme les yeux pour deux secondes, avant de les rouvrir.
Personne n’aurait pu remarqué ton changement d’attitude, à première vue. Pour ça, faudrait qu’on fasse attention à ta position, maintenant droite sur ta chaise, tes yeux moins expressifs, plus froid, plus focus, ton visage instantanément plus sévère. Tu redeviens en contrôle de tes émotions, exactement le genre de personnes qu’il ne faut pas que tu sois durant ton procès. ça tombe bien, tu ne l’es pas encore. Cette attitude te permet simplement de reprendre le contrôle, et de rédiger des réponses courtes, concises.

Ce qui t’amènes quelques heures plus tard… au bar ou vous vous êtes rencontré la deuxième fois. Ton attitude n’a pas changé. Si tu te laisse aller, tu vas te mettre à trembler. Non pas de peur, mais de stresse. Si tu te laisse aller, tu vas t’effondrer.
Alors tu restes en contrôle. Beaucoup moins cerné aujourd’hui, maquillé aussi après ton passage par la case avocat.
Ton verre devant toi, tu sais déjà que tu vas attendre Alan. Ca ne te dérange pas, ça te permet d’entamer ta boisson, brûlant de t’en griller une.
“Salut” Te dis sa voix, te sortant de ta torpeur.
“Salut” répète tu.
Tu ne l’as même pas vu venir. Te sermonne tu.
"Il n'est pas là ?" Il?
Alors c’est de ça qu’il veut te parler? De sa mère… Il doit s’être rendu compte que Dylan t’avais aidé à la faire venir.
Tu le fixe, et tout aussi froidement que lui, tu réponds
“Tu vois bien. Personne n’est la.”
Tu te la joues safe, et réponds à côté. Comme la parfaite Rain que t’es.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Cette rencontre, tu l'as repoussé depuis tellement longtemps que tu avais finis par te convaincre que tu ne l'aurais jamais avec elle. Tes espoirs de la retrouver surpassaient ta crainte que cela ne soit plus possible. Seulement la nouvelle que l'on t'as asséné, que la rouquine t'as annoncé subitement plus précisément, à remis tout ton raisonnement en question.
Dans un premier temps, les doutes, se dire que cela n'est pas possible, nier l'évidence alors que les faits semblent avérés. La coloc a la crinière rousse semblant catégorique sur ce qu'elle a vu ce soir là, à savoir une proximité ne laissant quasiment aucun doute quant à ce qu'il a pu se passer entre elle et ce mec sortis de nulle part pour flinguer tes plans. Puis dans un second temps, les questions qui se succèdent les unes après les autres, tellement vite que tu n'as même pas le temps de trouver une réponse à chacune d'elle. Comment en est-on arrivés là ? Qui c'est ce mec ? Qu'a-t-il de plus que toi ? N'avais-t-elle pas compris tes intentions ? Et surtout: Pourquoi ? Tu as quelques idées sur la question mais aucune des réponses ne te plais.

Les yeux restent rivés sur ce verre qu'on vient de t'amener, sur le liquide que tu fais tournoyer d'un léger geste du poignet, tout simplement parce que le simple coup d'œil que tu as posé sur elle t'as permis de constater à quel point elle est belle, beaucoup trop belle. Tu sais sais que si ton regard reste posé sur elle, tu auras beaucoup de mal à lui faire des reproches, parce que c'est son pouvoir, sa beauté est envoûtante,du moins avec toi. Et avec un autre apparemment…
Trop évasif Alan, comme toujours. C’est peut-être même pour ça que tu l’as perdus. Et pourtant, t’es là, à continuer de lui sortir du charabia toujours aussi vague. Logiquement, elle ne comprends pas où tu veux en venir et tu te décides donc à trancher dans le vif pour une fois, parce que tu as fais tout ce chemin pour ça. Tu n'es pas là pour t'enfiler les verres d'alcool, aussi bons et apaisants soient-ils, mais bien pour lui parler franchement.
“C'est pour ton nouveau petit-ami que tu t'es fais belle comme ça ?”, lances-tu nonchalamment avant de laisser tes lèvres goûter l’alcool dans ton verre, toujours sans jeter un œil à la demoiselle à tes côtés de peur qu’elle te déstabilise. Tu pensais pouvoir lui dire tout ça en la regardant dans les yeux, mais tu n'en es pas capable. Tu t'es surestimé Alan. La preuve, tu pensais pouvoir la récupérer, quel imbécile...


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu fixe son profil à mesure qu'il s'approche d'un état d'ébriété plus ou moins avancé.
Que t'est il arrivé Alan? Pourquoi as tu laissé une meuf aussi nocive que la brune à côté de toi te blesser tellement, que t'es revenu à une ancienne addiction? Pourquoi laisse tu les filles, et les gens en général peu importe qui ils sont, dicter ta vie.
Tu as tellement envie de lui hurler ces phrases, que tu dois te mordre l'intérieur de la joue un moment pour t'en empêcher, avant de te concentrer sur ses paroles, vite marmonné.
Ce qu'il dit n'a aucun sens.
Tu as beau décortiquer ses mots, tu comprends à chaque fois une nouvelle partie de l’information. Au début t'as l'impression qu'il te demande si tu t'étais fait belle pour lui, ton petit ami. Puis tu te rappelle qu'il ne l'est plus. Et tu dois faire un effort pour te rappeler du terme “nouveau” qu'il avait accolé à “petit ami” . Ainsi donc il suppose que t'as un nouveau petit ami? Rien que parce que tu t'es fait belle ? Ne te connaît il donc pas du tout?
“Mais non voyons, je me suis faite belle pour toi”
Dis tu de ta voix la plus suave et sensuellement dédaigneuse de ton répertoire.
T'aurais peut être pas du. Ton ton est clairement blessant, et ton regard toujours aussi froid. Voulais tu lui rappeler qu'il n'était plus ton petit ami? Voulais tu tourner le couteau dans la plaie? Ou peut être te moquer de lui?
Tu comprends que ça puisse donner cette image, sauf qu'en réalité ,t’es juste blessé toi même… et c'est ton seul mécanisme de défense. Tu n'as aucune idée de ce qu'il veut de toi, et ça, ça te perturbe.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Le plus drôle dans toute cette histoire, c'est que tu es venus pour l'engueuler, lui faire comprendre à quel point elle te fais mal et finalement, tu en es incapable. Ta nature de gentil te permet juste de lui asséner des remarques froides auxquels elle réponds avec un mordant que tu lui connais. Rends toi à l'évidence Alan, même du temps ou vous étiez ensemble, elle menait vos joutes verbales d'une main de maître et parvenait toujours à obtenir ce qu'elle désirait de toi.  
"Ne te fous pas de ma gueule Rain !", dis-tu en posant cette fois le regard sur la belle à tes côtés qui abuse un peu trop à ton goût cette fois-ci. "Quelqu'un t'as vu à une soirée, tu étais très proche d'un autre mec apparemment super baraqué ! C'est ça en fait non ? Je n'étais pas assez balèze pour toi ?", ajoutes-tu dans un soupir avant de demander au barman de venir remplir ton verre une nouvelle fois après l'avoir liquidé d'une traite. C'est ta solution miracle ça, tu vas t'imbibé d'alcool pour oublier tes déceptions. Une solution qui n'en est pas une du tout, mais qui est la seule te venant à l'esprit sur le moment.
Tu aurais peut-être dû écouter tes potes qui t'ont dis que cette fille n'était pas pour toi. Que cette fille ne te mérite pas. Et pourtant, tu t'es accroché comme l'imbécile et le naïf que tu es. Dès qu'une fille t'accordes de l'attention, tu deviens aveugle et ne te soucis plus du mal qu'elle pourrait te faire. Absolem t'en as fait pourtant, tu devrait être sur tes gardes, mais avec Rain, tu ne l'as jamais été, parce que tout est venus sans prévenir, sans la moindre prévision.
"Dire que je m'amusais à raconter que je sortais avec la fille la plus sexy d'Harvard... Je vais encore passer pour un gros con moi quand la nouvelle fera le tour du campus, Alan l'imbécile is back les amis !"
Un verre de plus ponctue cette tirade transpirant le regret, peut-être qu'après un coma éthylique tu auras oublié tout ce passage de ta vie. C'est à la mode dans le coin les comas et les amnésies non ? Pourquoi pas moi ?


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Sa première réplique te tétanise. Pourquoi ? Parce qu'il lève son regard bleu vers toi en même temps. Tu n'étais pas préparé à ça. Lui qui avait fuis ta vue depuis qu'il s'est posé à côté de toi quelques minutes plus tôt, a finalement ramené ses pupilles bleutés sur toi et … t'es tétanisé. Tu as même un mouvement de recul que tu n'avais pas prémédité, en préparation à sa prochaine réplique.
Celle la, elle te tire une expression surprise à la limite du choqué. De quoi ? Une soirée? A quel mec fait il référence? Quel mec baraqué ? Pourquoi est ce qu'il te parles de ça, aussi soudainement ? Se rend il simplement compte de l'absurdité de ce qu'il est entrain de dire? Hein ? Il n'était pas assez balaise pour toi ?
Il rigole ou quoi ?
Tu es encore en train de ressasser ces questions, quand la troisième réplique te fou un revers. Une grimace tords tes traits. Un soupire soulève ton torse. Et si t'avais ton verre dans la main tu le lui aurait jeté au visage : “ Attends quoi ?” tu laisse glisser ta main sous le comptoir. On n'est jamais trop prudent, des fois que l'envie te reprends. “Mais de quoi est ce que tu parles?” De tout les 'faut qu'on parle’ auxquels t'as pensé, aucun ne concernait une crise de jalousie. Et de quel mec il parle ? Alejandro ? Arès ? As tu un jour été physiquement proche d'un autre être humain de sexe masculin, et un ou une harvardienne aurait eu la bonne idée de “kafter” ?
Tu le regarde toujours aussi surprise, et t'exclame “Tu es réellement en train de péter un plomb a cause de ce qu'on pourrait dire sur ta virilité ?” Tu mets des guillemets imaginaires sur le mot virilité et continue “tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre qu'on t'aie félicité de m'avoir baisé ? “ Tu as tellement de rage en toi que t'es contente d'être dans un endroit assez bruyant, dans lequel tu peux noyer le volume de ta voix “et qu'est ce que ça peut te faire avec qui je couche. Ça fait 5 mois qu'on n'est plus ensemble” fallait il vraiment que tu le lui dise ? Ne s'en était il pas rendu compte ? N'a t il pas dit à sa mère qu'ils avaient rompue ? A Sidney aussi, sans savoir que c'était toi ? Tu es complètement largué… c'est SANS AUCUN DOUTE la dernière chose que t'avais attendu de lui en venant ici ce soir.


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Si son regard est difficile à soutenir en temps normal, il l'est d'autant plus quand elle prends la mouche. Ma virilité, je n'en ai pas grand chose à foutre à vrai dire, je n'ai jamais était ce genre de gars qui accorde une importance primordiale a ce genre de détail. Quand elle continue à te sermonner, tu lâches ton verre et tourne le tabouret sur lequel tu es posés dans sa direction pour lui faire face. Étonnamment, tu gardes ton calme pendant qu'elle t'envoie tout ça à la figure, toutes ces interrogations auxquels tu n'as pas forcément de réponses.
Des félicitations Rain ? Personne ne m'a jamais félicité de coucher avec toi, on m'a plutôt conseillé de me tenir éloigné en fait. Mais je me fais mon propre avis sur les gens, et mon opinion était que tu valais le coup que j'apprenne à te connaitre, que tu m'as intrigué assez pour que je prenne le risque d'approfondir cette relation que j'avais avec toi, à tel point que l'on a finis par se mettre en couple.
"La faute à qui Rain !", haussais-je le ton lorsqu'elle me signale que nous ne sommes plus ensemble depuis plusieurs mois. "Ne me dis pas que tu n'avais pas compris mes intentions depuis tout ce temps ! Tu es plus intelligente que ça !", continuais-je sur le même ton. Malgré cet épisode prison, malgré le fait que tu me dises que tu n'es pas une fille pour moi, j'ai tout de même tenter de garder un minimum le contact avec toi, je n'ai eu de cesse de dire à ma mère que j'aimerais remettre en couple avec toi, tout simplement parce que j'étais bien, que j'étais heureux, que je suis une vraie loque depuis que je ne te côtoie plus, que j'ai perdus mon pilier qui me soutenait contre toutes les mauvaises nouvelles me tombant dessus. Comment as-tu pu ne pas me comprendre à ce point ?
"Je sais même pas pourquoi je t'ai demandé cette entrevue...", lançais-je en me levant dans l'intention de me barrer sans un regard mais je finis tout de même par me retourner pour lui adresser le fond de ma pensée plus calmement:
"La vérité Rain, c'est que tu repousses toutes les personnes qui s'attachent trop à toi. C'est sûrement mon erreur... Je me suis attaché, beaucoup trop à ton goût et tu as préféré mettre un terme à tout ça avant de te faire du mal. C'est mieux que ce soit moi qui souffre c'est ça ?"
Je ne saurais même pas dire pourquoi je te dis tout ça, je doute de pouvoir te changer à ce niveau là. Tu es la fille dangereuse qu'il ne faut pas fréquenter et pourtant, c'est ce que je désirais le plus ces derniers mois...

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)