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car tu feras la guerre avec prudence | ainsvic

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❝ car tu feras la guerre avec prudence  ❞
Addison & Yaron

J'ai merdé. J'ai beaucoup trop merdé.. J'ai voulu jouer au plus fort en te disant que je ramenais à l'appartement une nana rencontré sur tinder, qu'on essayerait de ne pas faire trop de bruit, sous entendu qu'on allait baiser tellement fort que t'en deviendrais rouge de honte et de jalousie. Et tu m'as eu à mon propre jeu. Depuis quand t'a un mec ? J'aime pas l'idée de te savoir avec un inconnu. T'es belle, t'es magnifique même. Et quand bien même je préfère me faire arracher la langue avec un morceau de fer brûlant, plutôt que de te l'avouer, t'es aussi vierge et ça les mecs d’aujourd’hui ils aiment ça. T'imagines pas la fierté de dire à tes potes que t'as troué une vierge. Et je veux pas qu'on dise ça de toi. Je veux pas non plus prendre le risque que tu changes d'avis au dernier moment et que ton "mec" ne soit pas de cette avis. Je sais que mon comportement est excessif, j'ai tendance à m'occuper de toi comme si tu étais une mission mais je suis comme ça et personne n'a réussi à me changer alors je ne vois pas pourquoi toi, tu réussirais. Je suis dans ma chambre quand tu rentres en vitesse et que quelques minutes après tu ressors. J'attends que la porte d'entrée soit fermé et je sors de ma chambre, sentant immédiatement l'odeur de ton parfum. Putain en plus tu te parfume pour lui ? Sans trop comprendre pourquoi, je ressens une sorte de tension dans tout le corps. Le déni m'habite complètement et je me suis tellement persuadé que je n'avais plus de coeur que je ne me rends même pas compte à quel point je semble .. jaloux. Je secoue la tête, attrape mon manteau et mon bonnet et je me mets à te suivre dans la rue. Faite que tu n'apprennes jamais ça. Je te suis sur plusieurs rues et puis je te vois emprunter une ruelle pas super fréquentable. Putain non Addie ! que je pense fort tout en t'emboitant le pas. Il fait sombre mais j'ai pas trop de mal à me repérer. Et soudain je l'entends, ta voix au loin. Je comprends assez vite que t'as pas croisé quelqu'un que tu connais ..



©️ MADE BY LOYALS. - @Addison Ainsworth
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number four
YARON AND ADDISON
(boston/city center - février 2019)

tu vois, y a des moments où je ne te comprends pas. j’arrive pas à te cerner, à saisir le pourquoi du comment de tes réactions. j’ai beau étudier la psychologie, toi t’es vraiment un cas à part. du coup, j’ai pas envie de te céder. va falloir que tu comprennes que c’est pas toi qui décide, que tu ne m’imposes pas les choses et que je suis libre de mes mouvements quand bien même ça ne te plais pas. et quand j’passe finalement la porte de notre appartement, j’en fais toute une mission, accélérant le pas pour atteindre ma chambre à toute vitesse, changer de chaussure, mettre du parfum et revenir tout aussi vite vers la sortie. le but ? ne pas te croiser. parce que j’avais clairement pas envie que tu me refasses le même cinéma. alors quand j’atteints l’air libre sans avoir eu à te croiser, je respire un coup. tant mieux. de toute façon, au pire des cas, tu bouderas quelques jours puis ça te passera. rien de bien différent de d’habitude en soit. les mains dans les poches, j’marche dans les rues quasi vides comme si tout le monde ici disposait d’un couvre feu. j’ai pas l’habitude en fait, je ne suis pas le genre à traîner dans les rues une fois la nuit tombée. je suis pas du genre à traîner tout court en fait. puis j’me laisse happer par mes pensées et je me dis qu’en soit, je devrais probablement arrêter d’inventer ce « petit ami » à tout le monde. arès il est gentil, il est respectable mais quand bien même je rêverais d’avoir quelqu’un de ce genre à mes côtés, c’est pas le cas. et s’il a joué le rôle, c’est juste parce que j’ai aligné les billets à côté. pathétique. puis j’me souviens plus, à droite ou à gauche ? j’hésite une seconde et bifurque dans une ruelle. après réflexion, je suis pas certaine que ce soit le chemin. j’ai pas le souvenir d’être déjà passée par ici et pourtant, je continue d’avancer. vous connaissez la sensation étrange d’avoir l’impression d’être épiée ? suivi ? exactement celle que j’avais à cet instant précis. sûrement la raison qui faisait que je ne voulais pas faire demi-tour. et y a ces deux types qui sortent de l’ombre. comme s’ils disposaient d’un super pouvoir. bah alors, on s’est perdu poupée ? y a rien qui est rassurant. ni dans leurs démarches, ni dans leurs manières de s’exprimer. « je mh.. non, ça va aller. j’vais rebrousser chemin, ça devait être la rue d’après » être polie, en toutes circonstances. tu peux rester avec nous princesse, t’en fais pas je déglutis difficilement, resserrant mes doigts sur mon téléphone sans pour autant oser le sortir. « je.. je suis attendue. alors je.. je ferais mieux d’y aller » et je recule d’un pas, juste d’un. assez pour qu’ils réagissent au quart de tour réduisant l’espace. ok, respire, expire. donnes ton sac. qu’est-ce qu’on m’a appris déjà ? ne jamais résister. pas là, pas comme ça. tant pis pour les papiers et tout le reste. j’préfère le tendre et ne pas donner la moindre raison de déclencher une altercation. gentille fille qu’il souffle, ses doigts effleurant ma joue alors que je ferme les yeux. tu nous fais la totale gratuitement ce soir ? « s’il vous plaît, laissez moi partir, j’dirais rien » c’est ce qu’elles disent toutes et ses mains qui s’accrochent à mes poignets me tirant vers lui, le rictus mauvais.
(Invité)