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Why are you so sad ? - LIBRE&Ares

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i'm sad
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Tout le monde part, tout le monde s’en va. Chaque personne laisse en toi une empreinte. Quelque chose qui ne s’en va pas, quelque chose qui chaque jour, petit à petit se grave dans ta mémoire. Quelque chose qui fait mal, tard le soir. Quelque chose qui te travaille quand tu es seul, dans ton désespoir. Ce soir, j’ai envie de dire que je suis mal. J’ai envie de cracher ma peine, mon malheur à travers des hurlements, à travers des mots. Mais rien ne sort, comme à mon habitude. Mon silence me pèse sur la conscience, qui elle, à genoux face au mur, priant sans doute ma perte en implorant une libération. Je la regarde, du coin de l’œil, je la vois se perdre dans ce cœur qui me sert de néant, où il n’y a que des regards échangés, que des soupirs joués. Ce soir, j’aimerais pouvoir dire au monde, que je souffre. Mais qui voudrait bien l’écouter ? Toi, moi, ton voisin, ta voisine. Nous avons tous déjà tant de malheur à tenir, pourquoi s’encombrer de davantage ? Je regarde le ciel, peu éclairé par les étoiles, cars elles aussi, ont sans doute compris. Compris que l’univers est froid, compris que chaque recoin de ce monde regorge de peine. J’ai la gorge nouée, ce soir. Pour la première fois depuis tant d’années, je me surprends à prier. Je me surprends en train de parler tout seul. Suis-je fou ? Suis-je en train de perdre la boule ? Je ricane, assis sur ce banc. Il fait froid, et pourtant, je ne ressens rien. J’observe les passants, mais eux, ils ne voient qu’un gars sur un bac, totalement dingue en train de parler seul. Et c’est peut-être ce que je suis. Le gars seul, qui parle seul, qui vit seul. Et même si je ne voudrais pas, personne et rien ne pourrait y changer. Je m’abats sur ma cigarette, ma cinquième depuis environs quinze minutes. Je ne veux de pitié, je ne veux qu’on me tende la main, je ne veux pas de ton aide, je ne veux pas de ton regard inquiet. Je m’adosse contre le banc, je fais valser la fumée face à mon visage en plissant des yeux.
Ce soir, il fait bon. Ce soir, c’est peut-être le bon soir pour aller mal. Parce que durant la nuit, nous ne sommes jamais seul à pleurer au fond de nous. Parce que toi aussi, il t’est arrivé de chialer dans ton lit, sous la douche, mais jamais devant les gens non, ça serait être égoïste. Je lève mes cils, mes pupilles dilatées, parce que j’ai bu, comme toujours. Parce que c’est ma nature, non ? D’être sauvage. Je pince mes lippes l’une contre l’autre. Je ferme mes paupières, je prends mon visage entre mes deux mains. Je vais exploser. D’une minute à l’autre, alors toi, toi, passant, toi, inconnu, toi, qui passe devant moi sans l’ombre d’un regard. Je te déteste.

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Wsh ! Alors c'est un #RPLIBRE je ne sais pas où va aller ce rp, mais je peux te dire que ça va être compliqué, Ares arrive a un stade où il risque d'exploser, à toi de voir si tu vas l'ignorer, ou l'aborder Why are you so sad ? - LIBRE&Ares 1508216586

Petite musique pour voir comment est Ares !
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Why don't you run from me?

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@ares raad

Tu t'es dit que sortir pourrait peut-être te changer les idées. Qu'au lieu d'observer les quatre murs miteux de ton appartement minable, t'allais finir par te sentir mieux. La morsure du froid te réveille bien déjà là. Malgré tes bottines, tes mitaines et ton bonnet, ça ne te protégeais en rien. Seulement, ça ne te dérangeais pas d'avoir le bout des doigt engourdie par le froid. Cette sensation prouvait que tu étais bel et bien vivante, malgré que tu te sens vide à l'intérieur. Tu marches d'un pas lent, la tête baissée, n'ayant aucun crainte de bousculer par accident qui se soit, car à cette heure, même le plus solitaire des loups ne sortirait pas vu la rudesse cette journée hivernale. Tu te coupes un peu du monde en ayant tes écouteurs accrocher aux oreilles, une autre échappatoire qui était bienvenue. En levant les yeux, pour te situer un peu où tu te retrouves, tu perçois un homme assis sur un des bancs, tête baissée cachant légèrement son visage. Plus tu t’approches, plus tu pouvais discerner les traits de son visage. L’humeur sombre sur ce dernier te donnait presque l’envie de traverser la rue pour aller sur le trottoir en parallèle. À la place, tu enfonces encore plus tes écouteurs dans tes oreilles, la capuche de ton manteau tout en marchant d’un pas beaucoup plus pressé. Ton cœur tambourine dans ton torse, couvrant presque la voix grave de travis scott qui jouait sur ta playlist. Quand tu arrives à la hauteur de l’inconnu, pour une raison quelconque, ton intuition peut-être, tu te recoquilles encore plus sur toi-même, pressant ton pas pour te déplacer loin de lui.
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Est-ce que tu as peur de moi ? J’ai lu, dans ton regard. Tu sais, la crainte fait briller nos yeux, elle danse dans tes pupilles comme une alerte, et personne, personne ne peut la louper. Ni moi, ni les autres inconnus. Je reste paralysé, sans doute ma conscience qui me hurle dessus, de voir à quel point, je peux faire peur. A quel point, je suis un monstre, que ce n’était pas juste des rumeurs, mais que c’était la triste vérité. Je t’observe, une, voire trois petites secondes, avant de me lever. J’ai envie de frapper, j’ai envie de te bousculer, de te demander pourquoi tu as posé un regard sur moi, pourquoi tu as eu autant peur. Mais ça ne serait pas poli, n’est-ce pas ? Je serais irrespectueux de venir t’aborder de la sorte. Mais, est-ce qu’un jour j’ai déjà été respectueux envers quelqu’un ? Je me surprends à froncer les sourcils, mes traits sont toujours étirés, ils montrent à quel point je vais mal, et moi non plus tu sais, je ne peux pas faire semblant. Je frotte mes yeux de mes articulations, quand je m’approche de toi, je suis derrière toi, à peine quelques pas. Tu vas hurler, dire que je te suis, crier que je suis un putain de pervers, un psychopathe, ou pire, un sociopathe. Mais je me permets, oui, dans un silence malheureux de poser une main hésitante sur la courbe de ton épaule, je t’interdis de bouger, je veux juste comprendre, alors, explique-moi. « Ce n’est jamais bon de baisser les yeux, et d’avoir peur. » Ma voix me trahit, je sens la tristesse, l’angoisse, la nervosité. Je sens que je vais exploser, à tout moment. « Je t’ai vu me regarder, longtemps. Je t’ai vu m’observer. Qu’as-tu compris ? » Dis-moi, dis-moi la vérité, celle qui tue, celle qui poignarde.

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@ares raad

Quand tu es dos à lui, tu pousses un soupir de soulagement. Tu te faisais trop de cinémas pour rien. Malheureusement, c'était la dure réalité d'être une femme. S'inquiéter au moment qu'on se retrouve seule avec un homme qui nous est inconnu. On pense le pire de lui sans vraiment le connaître. L'histoire à forcer à la vigilance des femmes quand une présence masculine les rendait inconfortables. On criait dans les rues l'égalité des sexes, mais on ne peut démentir la nature des choses. L'homme est fort et dominant physiquement. Il en use pour marquer son territoire et obtenir ce qu'il croit qui lui est de droit. Tu auras beau toi-même défendre tes points de vue sur ces égalités, cela ne t'empêche pas de ressentir une certaine frayeur dans des moments comme celui-ci, quand un homme dégage quelque chose de sombre et que tu ne voulais pas te trouver sur son chemin pour en finir victime. Ton répit fut vite interrompu quand l'inconnue se relève de son siège pour poser son énorme patte sur ton épaule. Bien sûr que tu pousses un cri. Il s’attendait à quoi comme réaction de ta part ? Tu essaies de te libérer de sa poigne, mais avec peu de succès. Alors tu glisses ta main vers ton sac, tâtant l'intérieur pour y trouver ton poivre de cayenne. Prête sur ta lancée pour lui asperger le visage, tu t'arrêtes quand sa voix abstruse fait surface. À ses paroles, tu ne peux t'empêcher de lever le regard pour rencontrer ses iris obscurs. Ce qui tu voyais dans son regard n'était pas à ce que tu t'attendais. Il avait un air abattu ? Triste ? Tu n'arrivais pas à mettre sur le terme adéquat. ''Rien'' réponds-tu à sa question après quelques moments d'hésitation. Tu ne le connais pas, il ne te connaît pas. À moins que tu aies des dons de médium caché, tu ne pouvais dresser un portrait de lui les yeux fermés. ‘’ Maintenant, lâche-moi’’ tu voulais à tout prix être loin de lui. L’une de tes mains avait encore l’emprise sur ton moyen de défense et tu étais prête à tant servir s’il continuait à être persistant.  
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J’ai jamais voulu faire peur, je sais que clairement mon physique n’a rien de rassurant. J’ai des tatouages partout, même ma présence en elle-même est clairement pesante. Mais j’y peux rien, clairement. Quand je te regarde droit dans les yeux, je peux sentir que tu as peur, et je me brusque. Je serre la mâchoire, je fuis même tes yeux en observant ta main gesticuler dans ton sac. « Tu comptes sortir un couteau et me planter ? » Faut croire que c’est vraiment une question, je te questionne du regard, comme si je voulais savoir si oui, tu étais capable de faire ça, et si sincèrement tu pensais que c’était utile. Je secoue la tête de gauche à droite, soupirant. « Je ne comptais pas t’agresser, ni te faire peur. » Les gens regardent, ils pensent peut-être que je suis un putain de pervers, ou un gars qui agresse les femmes. Mais si dans le fond tu savais comment je peux respecter. Je recule ma main, je mordille l’intérieur de ma joue en enfonçant mes mains dans mes poches. « Je t’ai juste vu me regarder, et je voulais savoir ce que tu avais pu voir en me croisant. » Parce qu’on dit souvent que le premier regard est important, on dit que c’est l’instinct, celui qui nous guide ou non vers la personne, et là, clairement, tu as préférée t’enfuir. Je me recule d’un pas, comme pour t’inciter sur le fait que je n’étais pas ici pour te faire du mal, plus maintenant. Plus en sachant que ma conscience est à nouveau en boule dans un coin de la pièce. « Je suis désolé. Vraiment. Si je t’ai fait peur, c’était pas mon but, et je sais à quoi tu pensais, et c’est faux. Je suis pas un gars comme ça. » Je suis pas un fils de pute, ou si, finalement, je le suis dans un sens propre. Je pince mes lippes, en relevant mon regard vers toi, observant les traits de ton visage. Tu étais franchement jolie, je me disais que c’était absurde. Totalement con, de comment on venait de se rencontrer. « Tu peux partir si tu le souhaites. Je compte pas te retenir, ou reposer ma main sur ton épaule, je tiens à ma vie. » Je haussais les épaules.

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