You're alive ! (Magala)

C’est dernier temps avait été assez compliqué depuis les attentats à Boston. Je n’étais pas dans le pays car après ce qu’il c’était passé à Noel, j’avais tenue à présenter des excuses en personne à ma mère. J’étais donc partie une semaine en Norvège après mes partiels, mais ma semaine c’est transformé en deux. J’étais sensé rentrer le 20 mais c’était un jour après les attentats et ma mère à refusé de me laisser partir, elle était vraiment mal et moi aussi du coup on est resté toute les deux pendant un moment à attendre d’avoir des nouvelles de Magnus. Heureusement mon père m’avait appelé pour me prévenir que Magnus avait été retrouvé et qu’il n’était pas mort. Il m’avait demandé de ne pas rentrer tout de suite et de rester prêt de ma mère pour l’aider à traverser cette épreuve. On avait longuement pleuré. J’avais réfléchi avant de savoir si j’allais revenir ou pas à Harvard entre mon braquage de mi-octobre et maintenant les attentats, Boston n’était pas une ville tellement sûre. J’avais finalement trouvé le courage de rentrer à Harvard en plus j’étais présidente de la Lowell House, je ne pouvais pas disparaitre comme ça, de plus mon frère avait besoin de moi.  Me voilà donc à l’hôpital devant la chambre de Magnus, Je n’avais pas croisé mon père mais je voulais quand même aller le voir pour le remercier d’avoir prit soin de mon frère. J’entra dans la chambre en inspirant un bon coup, j’avais entendu dire qu’il était paralysé des jambes mais je n’avais pas encore intégré entièrement cette idée de me dire qu’il ne pourrait probablement plus marcher. Je n’aimais pas l’odeur des hôpitaux, cette odeur stérile, de javel. Il était là allongé sur son lit entrain de regarder la télé, en même temps il n’y a pas grand-chose à faire là-dedans mais bon Leslie avait quand même du s’occuper de lui et lui ramener de quoi s’occuper.  « Salut toi ! » Une larme roula sur ma joue et j’étais soulagé de le voir en vie, pendant une journée et demi à la suite des attentats j’avais cherché à le joindre sans qu’il réponde au téléphone, j’avais vraiment pensé qu’il était mort. Mais il était là vivant. Je m’approchai du lit et le pris dans mes bras en faisant attention de ne pas lui faire mal, comme si j’avais peur de le brisé. « J’ai eu tellement peur Mag’, Je suis tellement désolé.  »

@Magnus Underwood