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(fb) meekei ☾ better lock it, in your pocket, taking this one to the grave.

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meekei ☾ better lock it, in your pocket, taking this one to the grave.
— dans le jardin d'une villa à nassau, les bahamas, spring break 2018
ft. @lei feng xi

Tu ne savais pas ce que tu foutais là, tu n'avais même pas eu envie de venir au départ. C'était habituel chez toi, les grandes fêtes pleines de monde qui repassaient en boucle les mêmes tubes de l'été, ce n'était pas vraiment ce que tu préférais faire – pour être complètement honnête, tu rêvais juste d'être dans ta chambre à ce moment-là. Pourtant t'es venu, t'as voulu faire plaisir à ton copain face à ses suppliques insistantes, et t'as fini par boire un coup et te détendre, te laissant aller à quelques danses contre lui, voulant tout de même profiter de la soirée sans être un relou grognon toutes les deux secondes et créer de bons souvenirs pour ce début de Spring Break 2018. Vous étiez aux Bahamas, ce soir-là dans une villa à Nassau, et tu avais fini par entraîner ton copain dehors, dans un endroit un peu plus calme où tu pouvais mieux respirer, bière à la main alors que vous vous posiez contre un petit muret de pierres. Silence confortable, alors que tu admirais la grande piscine implantée dans le jardin, quand tu sentis une main se poser sur ta cuisse. Geste anodin pour quelqu'un étant ton petit-ami, tu n'y faisais pas vraiment gaffe, avant que celle-ci commence à remonter vers ton entre-jambe. Ah. Ok. Tu voyais le genre, mais t'étais vraiment pas d'humeur là. Sans même le regarder tu dégageais sa main gentiment, histoire de lui faire comprendre que ce n'était pas le moment, mais quelques secondes plus tard tu rencontrais à nouveau cette même main baladeuse. « Arrête... » Tu soupirais doucement, lui lançant un regard tout en recommençant ton geste. Tu prenais une grande gorgée de ta bière, avant de te lever – pour t'éloigner de lui, pour retourner vers la fête où d'autres étudiants se trouvaient, pour aller aux toilettes, tu savais pas – mais si tu comptais t'enfuir, il ne t'en laissait pas l'occasion. Tes yeux croisaient son regard qui s'était durci, un mélange de colère et de désir charnel difficilement dissimulé à travers ses prunelles, et dans ta tête, c'était un peu comme si le prince charmant se transformait en monstre à ce moment-là. Il t'attirait vers lui, te déstabilisant avant d'attraper tes poignets, de mettre son poids sur le tien pour t'immobiliser. « Ferme-là. » Son souffle puant l'alcool parvenait à tes narines et l'une de ses mains se libérait pour venir sans aucune gêne défaire un à un les boutons de ta chemise. Et toi, t'avais ton cœur qui tirait la sonnette d'alarme, battant douloureusement dans ta poitrine d'une peur qui ne faisait que grandir en toi. T'essayais de gigoter pour te défaire de lui, mais t'étais bien plus faible face à cet homme de quelques années ton aîné, alors tu te retrouvais terrorisé, le souffle saccadé, alors que ton cerveau marchait à mille à l'heure en essayant de trouver une solution, une porte de sortie – n'importe quoi qui pouvait te sauver de là. Un frison de dégoût te parcourait alors qu'il resserrait ses doigts contre tes poignets, venant caresser ton torse pâle avant de glisser ses doigts plus bas, baisant la fermeture éclaire de ton pantalon avant de défaire le bouton. Alors que tu commençais à comprendre ce qui allait se passer, des larmes voilaient malgré toi ta vision – Non, s'il vous plaît, non.
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— dans le jardin d'une villa à nassau, les bahamas, spring break 2018
ft. @Su-Hee 'Meeko' Park

J’avais toujours été du genre suiveur, donc si mes potes allaient quelques parts, je suivais le rythme. Le spring break, c’était le rendez-vous des étudiants et en tant que bon étudiant américain, j’avais l’habitude de m’y rendre depuis mon entrée à Harvard. Les grosses soirées à te mettre en avant, ce n’était pas vraiment mon genre, je me contentais simplement de passer une bonne soirée dans mon coin. J’avais un verre de bière dans ma main, l’alcool ce n’était pas franchement ce que j’avais l’habitude de boire mais en découvrant les soirées étudiantes j’avais appris à en consommer avec modération parce que je n’étais promis de ne plus finir dans un état pas possible au point de faire n’importe quoi. La dernière fois, j’avais mis enceinte une fille en partageant son lit alors que je n’étais même pas conscient de ce que j’étais en train de faire et les conséquences de mon acte. Aujourd’hui, je ne regrette rien parce que cette erreur de parcours ma apporter la plus belle chose au monde, mon fils. Je l’avais confié à mes parents pendant le spring break parce que sa mère faisait aussi partie du voyage, en tant qu’étudiants nous avions le soutient de nos familles malgré le choque que cela leurs avaient fait à l’époque, ce petit ange était rentré dans nos vies et il était si adorable qu’il faisait craquer tout le monde. Il y avait cette fille qui c’était approché de moi pour danser, un peu gêné, je lui avais simplement souris lui faisant non de la main, danser comme ça devant tout le monde, ce n’était pas mon activité favorite mais elle avait insisté pour une danse. Prenant un peu sur moi, une danse n’allait pas me tuer, glissant mes mains dans son dos, elle s’était collée contre moi commençant à onduler son corps contre le mien. Je dansais avec cette inconnue un peu étonner de moi jusqu’au moment où elle souffla la fumée de son joint contre ma bouche histoire que je partager celui-ci. Faisant une légère grimace, je me recule d’elle feintant une envie pressante. J’avais besoin d’un peu d’air histoire d’avoir les idées un peu plus claires et de sentir une autre odeur que cette horreur que je venais d’avoir dans le nez et la bouche. Je marchais à l’arrière de cette villa, prenant quelques gorgés de ma bière admirant le ciel rempli d’étoiles, il faisait bon et c’était agréable de se balader à cette heure-là après la chaleur de la journée. Mon regard fut attiré par un bruit de plainte par une voix qui m’était familière. J’avançais un peu pour en savoir un peu plus mais rapidement je reconnu mon meilleur ami Meeko qui semblait avoir besoin d’aide. Lâchant mon gobelet rouge qui venait s’écraser au sol, j’attraper cet homme qui l’immobilisait par le bras pour l’obliger à se relever mais il m’envoyait rapidement au sol par un grand coup de point dans le visage. Tombant au sol dans l’herbe derrière moi, je remarquait un par terre de fleures remplis de pierres. J’en saisi une dans ma main me relevant pour aller donner un grand coup sur la tête du jeune homme qui était retourner bloquer Meeko dans ses bras. L’homme s’écrasait au sol sans un mot. Je restais un moment sans bouger, l’objet de mon coup dans la main le visage fixé sur l’homme que je venais de frapper.
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— dans le jardin d'une villa à nassau, les bahamas, spring break 2018
ft. @lei feng xi

T'avais peur. L'homme que tu voyais devant toi semblait si différent de celui que tu avais appris à connaître depuis plusieurs mois, tellement que tu avais l'impression de te retrouver en face d'une toute autre personne, d'un inconnu, d'un étranger. Malgré la terreur, tu ne pouvais que laisser ton cerveau s'inonder de pensées, au bord de la surchauffe par les mille et une questions qui se bataillaient entre elles pour une réponse. Pourquoi toi ? Pourquoi maintenant ? Était-ce seulement un comportement abjecte provoqué dans l'instant par un trop plein d'alcool dans une ambiance bien trop festive, ou était-ce le vrai visage d'un homme qui se dévoilait, faisant tomber le masque qu'il arborait depuis votre rencontre afin de passer à l'étape suivante de son plan machiavélique ? Ce qui faisait mal, tu te rendrais compte plus tard, c'est que tu ne sauras jamais laquelle de tes hypothèses était la bonne. Tu gémissais, plaintes silencieuses alors que tu tentais de te défaire de lui, de le repousser, en vain. T'avais pourtant quelques muscles dessinés sous tes habits, résultat d'années de danse acharnées, qui aujourd'hui sous le choc et l'effroi ne t'apportait rien. T'entendais la résonance de la fête qui battait toujours son plein, les paroles indistinctes d'un tube qui venait de sortir, et tu ressentais comme si tu étais à la fois trop près et trop loin de la maison, des gens, d'une possible aide. Pourtant, elle vint, cette aide. T'avais peut-être prié très fort, rassemblé toutes tes croyances et tes espoirs pour qu'une force divine les entende, car d'une seconde à l'autre, le poids de ton petit-ami sur ton corps qui t'immobilisait disparaissait, et tu pouvais comme respirer de nouveau, pour un instant seulement. Tes yeux s'affolaient, alors qu'ils se posaient sur la silhouette d'un jeune homme qui se faisait ardemment pousser au sol par la force de ton copain – et tu ne pouvais retenir un sanglot alors que tu reconnaissais de suite ton meilleur ami. Merde. Merde merde merde. Tu ne voulais pas qu'il te voit dans cet état, mais surtout, tu ne voulais pas le mêler à ça, tu ne voulais pas qu'il puisse finir blessé par ta faute. Tu ne pouvais pas l'aider pourtant, comme pétrifié devant ces deux figures – t'avais l'esprit en compote, t'avais pas imaginé recevoir réellement de l'aide, voir quelqu'un apparaître. Le soulagement ne fut que d'une très courte durée, puisque une fois Lei à terre il retournait vers toi, et tu te levais rapidement, faisant un pas en arrière, comme si ça pouvait réellement l'empêcher de te rattraper – quel pauvre naïf tu faisais. Ses doigts agrippaient ta main si fort qu'elle en laissera des traces, et une nouvelle fois, sous tes yeux, il se passait quelque chose. Sa prise sur toi ramollissait, son allure s’affaissait, et tu déviais vite de quelques pas sur le côté afin de ne pas te retrouver enseveli sous son poids, alors que son corps s'écrasait sur le sol. Tu clignais tes yeux une fois, puis deux, de peur que ton regard ne te fasse défaut, et tu ne sentais plus que le rythme que ton cœur créait, complètement affolé contre ta cage thoracique. Il était face contre terre, ne bougeant plus, et t'avais la peur irrationnelle d'être dans un film d'horreur, et qu'il te face sursauter dans quelques secondes lorsque tu te croirais en sécurité en se relevant d'un coup comme si rien ne s'était passé. Il restait pourtant au sol, comme inerte, et un court instant plus tard Lei se retrouvait les bras chargés de ton corps alors que tu t'effondrais et que tu relâchais la pression contre lui. D'un point de vue extérieur l'image devait être cocasse, toi avec ton mètre soixante quatre et lui qui te surplombait de son mètre quatre vingt cinq, mais t'avais pris l'habitude depuis que vous vous connaissiez de te sentir comme une fourmis à ses côtés – et il fallait avouer que t'avais peut-être besoin de ça à ce moment-là, de sentir comme si tu pouvais te transformer en une petite chose, si petite qu'elle ne pouvait être touchée par des êtres malintentionnés. « Lei... » Tu croassais difficilement, tes doigts froissant le tissu de sa chemise, alors que tu te détachais de lui de quelques centimètres, juste assez pour tenter de frotter tes yeux et d'écraser tes larmes de ta main libre. « M-merci... » Tu murmurais – et tu te sentais mal de ne pas réussir à en dire plus, de ne pas trouver les mots justes afin de lui montrer ton immense gratitude envers son aide ce soir, mais c'était trop tôt pour que tu réussisses à former des pensées cohérentes. T'avais tellement l'esprit embrouillé par diverses émotions, par le yoyo de ressentis que tu avais vécu en si peu de minutes, que tu n'avais même pas compris que ton copain n'était pas seulement assommé pour un court laps de temps mais plutôt pour une durée disons... Définitive.
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ft. @Su-Hee 'Meeko' Park

Je ne savais pas vraiment ce que je venais de faire, enfin je savais mais je n’arrivais pas à croire à l’effet de mon geste. Je n’avais pas tendance à réagir par la violence mais pour une fois je n’avais pas pris le temps de réfléchir à mon geste j’avais agis pour sauver mon meilleur ami de cet homme qui ne ressemblait plus qu’à une bête à cet instant. Je n’avais même pas remarquer que ma lèvre s’était fendue par son coup de poing, c’est en portant ma main à ma bouche que j’avais remarqué les traces de sang sur celle-ci. Je beuguais sur ce corps inerte, mon cœur battait tellement fort contre mon torse que j’avais l’impression qu’il allait me faire défaut à tout moment. Mes yeux croisèrent ceux Meeko avant qu’il ne me tombe dans les bras soulager l’avoir sortie de cette galère. Je sentais bien la pression et l’adrénaline retomber mais je faisais tout pour soutenir ton ami comme je pouvais parce que c’était lui la victime dans cette histoire. Je me remercier d’avoir quitter la fête pour aller prendre l’air après que cette fille m’est balancé sa fumée au visage. Ma main venait caresser le dos de sa tête pendant que l’autre soutenait son corps. « Je suis là c’est bon, ne t’inquiète pas ça va aller ! » soufflais-je pour le rassurer comme je pouvais. Alors qu’il se détachait légèrement de moi, je l’entendais souffler mon prénom avant de se mettre à pleurer. Rapidement, je le ramené à nouveau contre moi quelques secondes avant de venir prendre son visage entre mes mains. « Ne pleure pas pour une pourriture comme lui, je lui là Meeko, tu peux compter sur moi, tu le sais ! » J’essayais de trouver les mots juste pour le rassurer. Il n’avait pas besoin de me remercier n’importe qui l’aurait fait au vu de la situation, enfin j’espérais que tout le monde aurait eu le même réflexe. Me redressant légèrement après mettre mis à la hauteur de mon ami, mes yeux se posèrent sur l’espèce d’enfoiré qui était encore au sol. J’avais vraiment dû y aller fort pour qu’il ne soit pas encore relevé. Fortant mes mains sur mon jean avant d’aller me mettre à croupi à coter du corps du jeune homme, je le retourné de toute mes forces afin de le mettre sur le dos mais horrifié je tombais en arrière sur mes fesses. Ses yeux était ouvert et il semblait … mort. « Oh putain ! » soufflais-je, je n’osais pas aller prendre son pouls pour vérifier ma théorie, qu’est-ce que j’avais fait.
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