Anya L. Andersen - Nataniele Ribeiro

C'est le 31 décembre 1992 à Rio de Janeiro, que les membres de la famille Andersen m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Anya Leïa. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale modeste. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de La criminologie depuis deux ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Dunster.

Je suis végétarienne depuis l'enfance. ▲ Empathique, j'ai le soucis des autres. ▲ J'ai horreur de la méchanceté gratuite et de l'hypocrisie. ▲ Je n'ai jamais connu ma mère. Cette dernière étant morte à ma naissance. Du moins, est-ce ce dont on m'a toujours raconté. ▲ Je rêve de prendre une année sabbatique pour faire le tour du monde.▲ Je suis un fan de grosses cylindrées et voitures ▲ J'ai découvert, depuis peu, que mon père n'était peut-être pas si innocent dans la "disparition" de ma mère. ▲ Je suis du genre très tête en l'air. Le nez toujours dans mes rêveries. ▲ Je n'ai jamais eu d'heures de retenues. ▲ Impulsive, je ne suis pas quelqu'un qui se laisse faire. Ne me venez pas me chercher de trop près, vous aurez affaire à moi autrement.

▲ Alors là, il y en a tellement que choisir serait impossible. En plus, il est dit que "choisir c'est renoncer", donc tout est dt. Puis, si je vous dit maintenant, il n'en restera plus pour la suite non ?

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

En tant que très friande de soirées, si une telle occasion se présente à moi, j'y vais sans l'ombre d'une hésitation. Après tout, on ne vit qu'une seule fois. Il faut donc savoir saisir les occasions de s'amuser un peu, tout en restant raisonnable bien entendu.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Ce genre de projet a toujours forcé mon admiration. Je ne sais pas si je serai un jour capable d'organiser un voyage comme ça. Mais si une cause me tient à cœur, je serais tout à fait capable de participer à l'un d'entre eux. Sinon, j'encourage et soutient ce genre d'initiative.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Je ne sais pas si je serais capable de participer à une audition. Certes, je joue du piano et du violon depuis toute petite déjà, mais mon manque de confiance fait que je ne me sens pas encore assez à l'aise avec le "don" qui m'a été donné (oui parce que de l'avis de certains proches, j'aurais un don, ce dont je doute mais bon....). Après qui sait après tout ?

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

N'ayant, hélas, pas une grande estime de moi, j'avoue que je serais très tentée par vouloir lui ressembler.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Une enchère ? Marrant ça ! Le concept est super en tout cas. Je pense que pour le fun, j'en serais bien capable. Quoi que peut-être que l'idée me traverserait l'esprit, mais qu'au final, je n'en ferais rien. Ou peut-être que....

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Ma première impression irait sur la voiture. Je suis une fan de grosses voitures. Quant à l'Eliot lui-même, n'était pas du genre à juger sur les apparences, je n'irai certainement pas lui coller une étiquette. Je ne suis pas comme ça. Il m'est en fait très difficile de répondre à cette question. Surtout quand on ne connaît pas la personne, qui est une personne comme une autre pour moi.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Encore une fois, cela va dépendre du sujet de la conférence. Il est clair que je n'irai pas perdre mon temps pour une qui ne m’intéresse pas. Ceci dit, la période victorienne et encore plus, la littérature anglaise, font partie de mes centre d'intérêts, donc il est fort possible que je m'y rende.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nobody et j'ai 21 ans. Je suis vénusienne et j'ai connu le forum grâce à mon excursion sur votre belle planète Terre. Ce forum m'a tout de suite attiré par son activité, son contexte mais également par la beauté de son design alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien/j'aurais besoin d'aide. J'utilise Nataniele Ribeiro comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par mischievous wink. Je fais environ un certain nombre de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ R.A.S

Ce matin-là l’ambiance n’était pas à la joie pour la jeune étudiante. Ses examens de fin d’année approchaient à pas de géant et elle stressait plus que de raison. Elle avait tellement besoin de réussir cette année, ces études, qu’elle ne rendait même pas compte de la pression qu’elle se mit. Les nuits blanches à potasser bouquins et cours. Les privations de sortie pour privilégier ses révisions. Elle avait dû en effet faire des sacrifices. Elle en faisait énormément en ce qui concernait les études. Anya s’était juré de réussir. Ne serait-ce que pour prouver à son cher paternel, avec qui elle avait coupé les ponts, qu’elle pouvait faire autre chose dans la vie. Depuis toute petite, il avait poussé sa fille à devenir meilleure… toujours plus. Les heures passées en exercices (elle pratique le violon) auraient pu finir par la dégoûter de la musique. Pourtant, ce n’est pas ce qui se passa. Au contraire, sa passion devint plus grande et plus forte que jamais… et l’envie de sortir de cette emprise plus tenace pour enfin laisser s’exprimer son art en toute liberté. Mais comment en parler à son père, sans craindre de le blesser ? Lui qui avait tout perdu depuis son accident, espéré que sa fille prenne sa suite. En fait, à travers elle, c’est son rêve avorté qu’il vivait. Il ne reculait devant rien, même si pour cela, c’est toute l’enfance de sa fille qu’il en était venu à gâcher. Combien de fois la petite fille s’était plut à rêvasser en regardant les autres enfants s’amuser dans le square à côté de chez elle ? Combien de fois avait-elle demandé la permission à son père d’aller jouer avec eux ? Mais toujours la même réponse… le même refrain vif et sec : « Hors de question ! Tu as beaucoup mieux à faire que ses enfantillages ! » Des « enfantillages » ? Mais n’était-elle pas encore une enfant encore ? Le cœur lourd elle ne disait jamais rien… elle n’osait jamais se plaindre. De peur de blesser celui qui avait mit tant d’espoir en elle. Ne parlons même pas de l’adolescence. Allez dire à une jeune fille de quatorze ans qu’elle n’a pas le droit de sortir sous prétexte que ça nuise à son travail ? Le coup de trop. Le clash. Mais ce n’est que quatre ans plus tard, la jeune fille ayant atteint ses dix-huit ans, qu’elle décida de plier bagages et de se tirer de cette maison qu’elle ne supportait plus. Elle n’en pouvait plus de ne pas se sentir libre de ses gestes. Elle voulait vivre sa vie, sa propre vie. Et tant pis, si elle ferait des erreurs, elle était prête à les affronter. Car après tout, ce sont ces mêmes erreurs qui nous apprennent le plus de choses non ? Du moment qu’elle se trouvait loin de ce père tyrannique, peu lui importait. L’occasion s’était alors présentée à elle, lorsqu’une de ses amies, qui connaissait sa situation, l'invita à venir s'installe chez elle. Elle n’avait pas hésité une seconde. Ce n'était qu'une mesure temporaire, en attendant de trouver une autre solution. Parce qu'elle voulait réellement voir sa propre indépendance. Elle y tenait plus que tout. Elle y était d'ailleurs parvenue. A l'heure actuelle, elle poursuit ses études à Harvard. Une nouvelle vie s'est offerte à elle depuis qu'elle a quitté son brésil natale pour venir s'installer aux États-Unis. Elle compte bien saisir cette chance et vivre pleinement cette nouvelle vie. Même si elle n'a encore qu'un statut précaire, puis qu’étudiante, ce n'est pas très grave. L'essentiel pour la jeune fille était de vivre enfin sa vie. Comme elle l'avait toujours entendu.