NOAH BUSHNELL-HARRISON ► Clément Chabernaud

C'est le treize avril mille neuf-cent quatre-vingt-neuf à Boston, que les membres de la famille Bushnell-Harrison m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Noah. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Sport en majeur et Sociologie en mineur depuis cinq ans ans. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les students ou les groupe2 (uniquement si confréries).

est un bâtard, dans tous les sens du terme ▲ sa mère a jamais voulu lui révéler l'identité de son père ▲ légèrement violent et impulsif ▲ excelle à la planche à voile et à la plongée ▲ a obtenu une bourse ▲ est un ex mather ▲ fumait de l'opium ▲ a eu un accident de voiture complètement bourré ▲ son frère est mort dans l'accident ▲ a arrêté de boire et de fumer pour se consacrer à ses études ▲ s'est éloigné de sa mère ▲ est rongé par la culpabilité et sa haine envers lui-même ▲ a une cicatrice dû au défibrillateur sur la poitrine ▲ n'est jamais tombé amoureux ▲ cherche à connaitre son père malgré lui ▲ a peur des papillons de nuits

▲ Aujourd'hui, envie pressante, j'attends depuis dix minutes devant des toilettes publiques. Quand enfin la porte s’ouvre, l'homme qui en sort me dit : "Le monstre n'a pas réussi à couler, mais nous vous inquiétez pas, il ne vous attaquera pas." VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'ai passé assez de temps comme ça à leur soirée, je resterais dans ma chambre sans hésiter une seule seconde.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

J'y participerais si j'en ai les moyens, j'ai une longue liste de chose que je dois me faire pardonner alors autant commencer.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Je chante comme une casserole, je danse... convenablement mais non merci.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je la trouve très gentille et belle, mais j'ai un coeur qui ne fonctionne plus très bien, dommage.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Pas particulièrement.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

A ce que je n'aurais jamais ?

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

J'y vais, encore et encore.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle atrazine et j'ai 15 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à un membre. Le forum est jouissif que cela soit niveau personnages, ambiance, codage et graphisme alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Clément Chabernaud comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 2500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲

Les mœurs légères sur lesquelles on se penche, sont les délivrances de l'âme, nos secret les plus enfuient. On cache nos erreurs, par une façade neutre d'hypocrisie telle que le politiquement correct et l'amour. Tout n'est qu'une question d'apparence, alors que chacun se tait dans une parfaite image d'harmonie. Une harmonie feinte cependant avec difficulté, ainsi, souvent, une grimace échappe à la surveillance d'une visage. Je n'ai point d'harmonie, et mon visage est tordue par la souffrance et la solitude. Journal, qui de nous peut être qualifié de parfait ? Ce monde dont l'intelligence disparaît sous de trop grande masse de médiatisation, pourrit petit à petit. On oublie nos racines, notre histoire, nos doutes et particulièrement nos erreurs, qu'on cache sous un amoncellement de courbettes et de portes retenues. Où est donc, ma conscience ? La douce culpabilité qui se déverse par flot sur moi voulant pourtant faire croître l'indifférence. Peut être que je passe pour un fou, mon cher journal, peut être. Mais je dois bien être le seul, qui respecte sa mémoire. Le seul qui chaque jour regrette et essaye de se racheter réellement sans cacher ses erreurs. J'aurais aimé aimer, moi ou d'autre. Rechercher l'amour idéal. Cependant je ne le peux. La seule chose après laquelle je courrais sera mon pardon, et le sien. De son monde il me voit et m'attends. Son regard pèse sur mes épaules.Je supporte sans mal le regard d'autrui, leur gout me désintéresse complètement, seul le sien compte. Mais peut importe, cher journal. Mon âme s'effiloche avec le temps. La lumière c'est éteinte. La peur d'oublier m'étrangle, renvoyant de puissante décharge dans mes membres. L'adrénaline se repend dans mon corps alors que je suis pétrifié. Le silence m'entoure, quel sale type je suis. Je ne t'oublierais pas.


La radio bourdonnait agréablement à mon oreille. La route brillante de pluie se dévoilait face à nous, toi et moi. Ma tête était vide de pensée alors qu'elle s’alourdissait de fatigue, nous avancions dans la nuit. Ma poigne sur le volant se faisait moins forte et mes mains glissaient légèrement. Toi,tu t'endormais à côté de moi alors que je peinais à retrouver le chemin de la maison. Mon poing s’abattit doucement dans tes côtes pour te réveiller. Un petit gémissement t'échappa accompagné de rire.
" - T'es con Noah !
- Dors pas la ble au bois drmant !
- Je dormais pas ! Je me reposais les yeux !
- Evidment ! T'sais où on'est ?
- Bah.. non.
- Idiot
- Crétin ! "
Ma main vint à la rencontre de l'arrière de ta tête, la claquant doucement.
" - Aie ! "
Je riais doucement alors que tu essayais de riposter, tes petits poings allant frapper mon épaules. Je lâchais d'une main le volant pour venir te chatouiller et c'est ainsi que se déclara notre dispute dans la voiture. Pendant quelque minute a zigzaguer sur la route et plusieurs coup de klaxon lâcher, je fini par arrêter la bataille.
"- Je conduis ! STOP ! Je coduis !
- Ouais ! T'as de la chance ! Autrement je t'aurais botté le cul
- Ah ouais ?
- Ouais "
Je posais ma tête contre le volant, essayant de calmer mon rire. Ton visage fier pendant quelque instant se dissipa pour prendre une mine offusquée puis boudeuse. Tu te tassa sur ton siège, ton visage tourné vers la vitre.
" - Boude pas Jess... "
Le silence se fit dans la voiture, alors que j'accélérais dépassant de beaucoup la vitesse maximum permise sur cette route. La radio grésillait maintenant, et je décidais de l'éteindre.
" - On est bientôt arriver je pense
- Rien à foutre
- Jess, arrête de bouder, c'est bon
- Tu vas repartir quand ?
- D'trois jours
- Tant mieux "
Je clignais des yeux, à la fatigue de plus en plus présente s'était ajouté un mal de ventre et de tête. La route était de moins en moins visible et je voyais les de marquage en double. Toi, Jess, tu t'étais rendormi et je te regardais... un peu triste. Dans trois jours je repartais pour Harvard et l'idée de t'avoir loin de moi me rendait nostalgique. La voiture tournait de plus en plus à gauche quand...
" - AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH "


Et ce fut le début de ma fin, et la fin du début de ta vie.