Invité
est en ligne
Invité
Tu es plutôt heureux d'être sortit de cet hôpital, une seconde de plus et tu aurais hurler à la mort jusqu'à la dernière seconde, parce que le pire dans tout ça. Tu en es capable. Tu finis par souffler, sortant de ta voiture de luxe, face aux gens qui t'observent, oui les bleus commencèrent lentement à disparaitre mais ceux sur tes bras non. Ils étaient aussi aggripé qu'une plaie et autant dire que tu avais mal. Ce n'était pas vraiment ce que tu préférais mais les gens avaient oublié qu'on t'avait marché dessus à cause de ses attentats à la con et tu n'étais pas à ta meilleure forme.
L'université n'avait pas changé, des riches et des pauvres, ceux que tu pousses pour passer et certains avec qui tu discutes pour vivre. Ton thermoste de café italien en main alors que tu parles à Hades encore de ses conneries sur le monde de mode, il te comprend. Oui, futur empereur de l'Oréal et toi, futurou presqueempereur de Armani, cela peut donner des envies de meurtres mais également des envies de gagner. Tu étais un battant, un acharné, le travail ou bien le plaisir, c'était des choses que tu adorais posséder. Tu étais intelligent, pas trop con pour détruire les gens, d'ailleurs ils venaient tous ramper à tes pieds pour le faire. Surtout en ce moment, à croire que tu étais le Diable ou son succésseur.
Le café se vide, les rires remplirent la pièce principale, le hall de l'université alors que tu as cours, tu finis par marcher, avançant dans les couloirs, déhambulant où tous les regards étaient sur toi. Tu étais le bipolaire, l'italien à la grande gueule, le voleur de femmes également, celui qui ne manque pas de détruire les gens pour obtenir ce qu'il veut. Concerntré dans tes lectures de mail, souvent de ton père, tu te laisses bercer aux rumeurs et mumures. Ce matin encore plus, tu avais un t-shirt noir aux écritures jaunes et un jeans foncé. Une veste en cuir pour le côté rock et ton éternel paire de lunette sur ton crâne. mais tes bleus se voyaient et autant dire que le premier qui parle, il se mange ta main ... Ah non, on t'a bousculé et tu tournes les yeux vers cette fille avant de la regarder. Son visage, son expression, tu l'observes, tu restes stoïc, tu fronces les sourcils Désolé Tu ne t'excuses pas avec les inconnus mais elle t'incite à le faire avec sa fragilité et sa délicatesse innée, et tu restes là, à la comptempler alors que le monde autour de toi continue de tourner ..
@Céleste Witherspoon
(Invité)