e. lénaïs-n rockefeller ► gabriella wilde.

C'est le 14 juillet 1993 à new york, que les membres de la famille rockefeller m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée ella lénaïs-nala. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine spécialisation oncologie en majeur et gestion -administration- en mineur depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliots ou les Dunsters.

Elle est fille unique mais aurait préféré avoir des frères ou soeurs pour ne pas rester toute seule. ▲ Ses meilleurs amis sont sa PS3 et son jeu Fifa 13 ▲ Elle ne fume que des gauloises blondes, boit rarement sauf lors de grandes occasions et n'a encore jamais couché avec personne. ▲ Dans quelques années, elle sera chargée de diriger l'empire familial et elle espère pouvoir être à la hauteur ▲ Ses passes-temps favoris sont le shopping, les sorties aux musées et au cinéma, boire du thé à la menthe, et voyager. ▲ Très calme, elle ne s'énerve que rarement, mais il ne faut pas dépasser les limites. ▲ Généreuse, suivant l'exemple de sa mère, elle est membre de plusieurs associations caritatives et aime surtout venir en aide aux enfants. ▲ Aspire à devenir oncologue en plus du futur héritage, car elle a été profondément touchée par un enfant qui avait le cancer ; depuis elle s'est dit qu'elle ferait tout pour les guérir plus tard. ▲ Elle déteste les gens trop superficiels, les garces en tout genre, les minettes qui minaudent ; ça l'exaspère au plus haut point. ▲ A longtemps pratiqué la danse classique, mais suite à un problème au genou, elle a dû arrêté.

▲ Aujourd'hui, j'ai ouvert mes cadeaux de Noël. De mes grands-parents, fervents croyants, j'ai reçu un rideau de douche. Il est original, surtout ses imprimés : des psaumes de la Bible. VDM.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Probablement pas. Faire la fête n'est déjà pas tellement mon truc, mais en plus chez les Mathers, qui sont réputés pour faire des soirées de folie, non merci, ce n'est pas trop mon genre. Je préfère encore rester tranquillement dans ma chambre, avec un bon film à regarder, que d'aller me bourrer la gueule, et de sniffer tout plein de trucs illicites.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

C'est intéressant comme projet, un voyage humanitaire. Il est vrai que, mon statut social plus qu'aisé ne me permet pas forcément de réaliser la pauvreté, les maladies horribles et autres dans le monde, et donc ce qu'il se passe derrière le rideau rose, malgré le fait que je fais partie de diverses associations qui luttent contre ces fléaux ; ainsi je pense que je m'inscrirai à ce voyage, pour découvrir la réalité des choses, et puis venir en aide, si besoin. C'est toujours bien de se sentir utile.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

N'ayant aucun talent, musicalement parlant, je vais m'abstenir de participer au talent show des Lowell. Très sincèrement, je n'ai ni une jolie voix lorsque je chante, et je ne sais malheureusement jouer d'aucun instrument de musique. Quant à la danse, je pratiquais de la danse classique auparavant, mais suite à une blessure au genou, je suis dans l'incapacité de redanser aussi bien qu'avant. Je vais donc m'abstenir d'auditionner.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Disons que ça ne me fait ni chaud ni froid, et étant donné que j'ai envie de ressembler à personne d'autre que moi, je ne réagis pas vraiment.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Je ne pense pas 'acheter' un homme même lors d'une vente aux enchères. Premièrement, parce que ce n'est pas vraiment mon genre de participer à ce genre de 'jeu', et puis de plus, même si j'en achetais un, je ne saurais pas vraiment quoi faire pour l'occuper, ayant du mal à tenir des conversations, où autres. Donc bon, c'est à voir.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Ben, disons que c'est l'univers dans lequel je suis née et grandi, même si je ne roule pas en Ferrari, étant donné que j'ai mon chauffeur. Je ne pense rien de spécial donc, étant donné que j'ai toujours été habituée à fréquenter des personnes dans ce style et de ce milieu, donc ça me paraît quasiment normal, à présent.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Ça paraît plutôt intéressant, de plus, j'aime beaucoup la littérature anglaise, donc je pense y participer une ou deux fois dans la semaine pour découvrir de quoi il s'agit. Peut-être pas toute la semaine cependant, car ça ferait trop, mais sinon, je serais du genre à y aller oui.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle prettygirlrock et j'ai vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart, je crois. C'est le meilleur forum du monde alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Gabriella Wilde comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ ça dépend de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ :coeurboum:

LA FAMILLE ROCKEFELLER ;; Qui ne connaît pas la famille Rockefeller de nos jours ? Toi, Lénaïs, tu es la petite dernière, la descendante directe de cette famille à l'ascension sociale fulgurante. En effet, si l'on remonte d'environ deux siècles auparavant, l'un des premiers hommes dont t'as parlé ta mère est ton arrière arrière arrière […] grand-père, nommé William Avery Rockefeller. Ce dernier n'était pourtant qu'un marchand, qui se rendait de pays en pays, en vendant des médicaments, qu'il appelait médicament-miracle, qui en réalité, était constitué de pétrole mélangé à du laxatif. Oui, tu as été choquée de cette révélation, mais cet homme s'annonçait comme sans scrupule, étant donné qu'il n'a jamais cessé d'en vendre ; et pourtant, c'était un homme de confession chrétienne, un fervent croyant, qui n'aurait pas du faire tout ce mal. Toujours est-il qu'il s'est marié avec Laura Celestia, avec qui il a eu cinq enfants. On en arrive au véritable fondateur de l'empire Rockefeller ; John Davison, le dernier de la famille. Tes parents n'ont cessé de te parler de lui, le considérant quasiment comme un héros, celui dont la réussite a été plus que brillante, étant donné que certaines études le considèrent comme l'homme le plus riche de tous les temps, sa fortune étant estimée à 200 milliards de dollars en 2012. John, industriel américain, s'intéresse très tôt aux usines, aux chemins de fer et aux banques, et devient le créateur de la Standard Oil ( dit Esso de nos jours ), puis d'Exxon Mobil. C'est un républicain, totalement contre le communisme, qui finira par se marier à son tour. Et de lignée en lignée naquit ton père. Ton père, Nelson Rockefeller est né et a grandi à New York, dans le quartier de l'Upper East Side, bien sûr. Il a très rapidement pris les rênes de l'empire familial pour le diriger, avec des tas de personnes sous ses ordres évidemment, l'empire incluant le Rockefeller Center, le complexe immobilier, l'Université Rockefeller, le Rockefeller Group, qu'est une société immobilière, la Fondation Rockefeller ainsi que le musée Rockefeller. Et il le dirigea et le dirige encore d'une manière exemplaire, qui n'a rien à envier à ses ancêtres. Ton père a toujours été un homme à l'allure remarquable, au caractère dur et froid, peu expressif de ses sentiments. C'est d'ailleurs durant ses études à l'université d'Harvard qu'il a rencontré la femme qui allait devenir ta mère ; Bluenn Wilmington. Bluenn, anglaise d'origine, a déménagé aux États-Unis pendant son adolescence, son père y étant été muté. Possédant une classe sans pareille et une beauté époustouflante, elle a de suite tapé dans l'oeil de ton père, avec qui elle décidé de se marier trois années plus tard. Un magnifique mariage entre personnes de haute société, traditionnel mais débordant de luxe. Cette union te sera d'ailleurs bénéfique, étant donné que tu vas en naître. Car, très rapidement, et après avoir abandonné son travail de trader à la Bourse, pour se pavaner en dame de bonne société, Bluenn tombera enceinte. Une nouvelle qui ravira grandement leurs familles respectives, et enchantera bien sûr les deux époux, alors qu'ils revenaient de leur lune de miel aux îles Caraïbes. Ainsi, le quatorze juillet mille neuf-cent-quatre-vingt onze, aux environs de vingt-deux heures suite à de violentes contractions, ta mère est amené d'urgence à l'hôpital, où tu finiras enfin par arriver au monde. Quel beau bébé tu étais ! Si fine, et adorable. Un bijou, dans ton pyjama rose Burberry, fait sur-mesure. Bluenn en avait les larmes aux yeux une fois qu'elle t'a prise dans ses bras et Nelson ne pouvait détacher les yeux de ton joli petit visage, si émerveillé et fier. Ton prénom avait déjà été décidé à l'avance, quelques mois plus tôt. C'est donc ainsi que tu fus nommé Ella Lénaïs-Nala. Rockefeller, évidemment.

L'ENFANCE ;; Après que le médecin ait autorisé tes parents à regagner leur maison, vous êtes donc rentré chez vous, à New York, dans le quartier chic de l'Upper East Side, où ton père possédait un appartement au complet, composé de six étages. Bien sûr, ce n'était pas le seul complexe qu'il détenait, mais tu as grandi là-bas. Tu avais un immense appartement luxueux pour toi toute seule au second étage, où les gouvernantes, les cuisiniers, les femmes de ménage se succédaient. Pour dire vrai, tes parents ne se sont pas tellement occupés de toi. Ton père avait tant à faire au niveau travail qu'il était aux abonnés absents ; ta mère avait des tas de soirées à organiser, où à s'y rendre, des associations de charité à présider, et ça n'en finissait pas. Elle venait donc généralement passer un peu de temps avec toi durant la soirée, mais plus globalement, c'est tes gouvernantes qui t'ont élevé. T'étais une enfant calme, tu ne criais pas souvent, t'énervais que très peu. Tu restais tranquillement dans ta chambre la majorité du temps, à jouer avec tes poupées. Tu en avais des tonnes d'ailleurs. Où alors, tu faisais des puzzles, ça t'amusais beaucoup. Il y avait une gouvernante que tu aimais plus que les autres : elle s'appelait Mary et elle était si gentille avec toi. Elle jouait avec toi sans se lasser, te grondait que très peu, te faisait rire... Tu l'appelais même ' maman ' parfois, dans la mesure où elle t'a fait grandir. T'étais tellement mignonne, toute blonde avec de fins cheveux, de sublimes yeux bleus. Mary t'habillait de jolies robes et te nouait des serres-têtes avec des noeuds de papillon sur la tête. Même si, seule petite fille dans ton gigantesque appartement, tu t'ennuyais très souvent, malgré les distractions proposées par Mary, incluant de longues promenades au parc, au zoo, dans des musées... entre autres. Si seulement tu avais pu avoir une petite sœur ou un petit frère pour t'amuser avec. Mais non, ta mère avait décidé qu'un enfant était de loin suffisant, surtout qu'elle n'avait aucun temps à octroyer. Ce n'est donc que lorsque tu as eu trois ans et qu'on t'a envoyé au jardin d'enfant privé sur l'Upper East Side que tu as pu enfin faire la connaissances d'autres petits de ton âge. Mais ça n'a pas été très simple pour toi : en effet, plutôt timide, tu restais dans ton coin, sans oser aller jouer avec les autres. C'est donc souvent la maîtresse qui t'y poussait, du moins au début. Puis, plus le temps passait, plus tu te sentais à l'aise avec tout le monde et ça devenait une véritable joie de t'y rendre tous les matins. Ta maîtresse t'aimait beaucoup d'ailleurs ; t'étais si adorable aussi, comment en aurait-il pu être autrement ? Avec ta petite voix claire, tes manières de faire, ta politesse... Un ange. A cette époque-là, tu as fais la découverte d'une passion qui deviendra tienne ; la danse classique. En effet, un soir où ta mère t'a emmené voir un ballet, tu as été émerveillée par toutes ces danseuses en tutu, telle des princesses, esquissant des mouvements si gracieux. C'était tellement beau, qu'à peine sortie, tu as dis à ta mère que tu souhaitais en faire à ton tour. Et le lendemain, tu étais inscrite au New York City Ballet.

L'ADOLESCENCE ;; Même si tes parents ont été très souvent absents dans ton éducation, et dans ton quotidien, leur autorité était elle, présente. Ton père surtout, était très strict, et ne lésinait sur aucune règle. C'est lui qui t'a transmis les valeurs les plus importantes de la sa vie, selon lui ; et même si tu lui as reproché pendant longtemps d'être aussi distant avec toi, tu l'as toujours admirer dans le fond. Il mène tout de front, et travaille sans relâche. Il a ses principes également, et c'est pour cette raison que tu as étudié dans des écoles pour filles. En primaire déjà, tu étais dans une école réservée aux filles. Accompagnée de deux de tes meilleures amies, c'était un grand plaisir pour ta part d'apprendre chaque jour de nouvelles choses ; élève assidue, tu faisais parfaitement tous tes devoirs, et récoltais d'excellentes notes. Et ce, en plus de la danse que tu pratiquais sans t'en lasser, mais également tous les bals auxquels tu devais t'y rendre en compagnie de ta famille, bals que tu détestais car c'était ennuyeux. De plus, la valse et le tango n'étaient pas ta tasse de thé. Après avoir atteint l'âge de quinze ans, tu as intégré le très sélectif et prestigieux lycée catholique pour filles Convent of the Sacred Heart, sur l'Upper East Side, bien sûr, où l’uniforme était de rigueur. Le lycée n'a pas été une partie de plaisir, à vrai dire ; le règlement était si sévère que quasiment rien n'était autorisé. Trop de stress, surtout pour les examens t'ont conduit à fumer ta première cigarette, et depuis, tu n'as jamais cessé. Mais seulement les Gauloises blondes. Tu avais un emploi de temps de ministre d'ailleurs, entre tes cours scolaires, tes cours de danse, les associations où tu étais membre, et celle particulièrement concernant les enfants, voyageant ainsi à travers le monde, et tes virées shopping, que tu fatiguais très facilement. Mais tu tentes toujours de faire bonne figure, après tout, tu es obligée étant donné l'influence et la renommée de ta famille. Lors de ta dernière année de lycée, alors que tu te prépares pour les futurs examens d'entrée à l'université, et que tu n'as encore aucune idée d'études que tu veux entamer, excepté la gestion pour diriger l'empire à l'avenir, tu te rends à l'hôpital où ton père a été hospitalisé suite à un évanouissement, mais heureusement il n'a rien d'alarmant, simplement qu'il est trop fatigué. Et à travers une porte, tu aperçois un enfant, blanc, sans cheveux, l'air affaibli, tout seul. Aussitôt, ton cœur se serre, et tu te rends à son côté, pour engager une conversation, que tu espères amusante, pour lui redonner le moral. Il a le cancer. En repartant, tu en as les larmes aux yeux, mais tu as trouvé ta voie ; études de médecine, spécialisation en oncologie. Tu t'inscris donc pour passer les SATS à l'excellente université d'Harvard, tout comme tes parents.

HARVARD ;; Ayant postulé pour entrer dans la confrérie des Eliots, tu as donc choisi des études de médecine et de gestion. Tu as conscience qu'une toute nouvelle vie commence, surtout que tu n'as pas été habitué à être entouré de garçons, après avoir étudier dans des écoles de filles. A présent, tu entames ta deuxième année, et tu te sens comme chez toi.