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Just checkin' on you (Cobi)

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Depuis le baiser de Coco, les contacts s'étaient faits extrêmement rares avec Bambi. Le dernier en date restant au sujet de Tania, lors de sa disparition... mais l'italienne n'oubliait pas pour autant l'amitié les ayant liés pendant si longtemps et ce fut pourquoi, en apprenant sa blessure au cours de l'attentat, la jolie brune décida qu'il était plus que temps de faire un pas vers lui. Voilà pourquoi elle se rendait à son loft en ce clément début d'après-midi, les bras chargés d'un lourd parquet : celui-ci contenait de quoi checker sa plaie abdominale, certes, mais aussi des biscuits maison, ses préfères, ceux-là même sur lesquels ils se disputaient encore la fois dernière. Avec son ventre largement arrondi par sa grossesse et son visage fatigué, Bambi frappa à la porte, le cœur battant, espérant qu'il ne la repousserait pas. Ce fut pourquoi, à peine celle-ci ouverte, elle ne lui laissa aucune occasion d'en placer une, plaçant ses billes d'entrée de jeu : Bonjour... je me doute que je dois être la dernière personne que tu as envie de voir, mais j'ai appris pour ta blessure et je viens voir si la cicatrisation de tes points de suture se fait correctement... je t'ai aussi apporté tes biscuits préférés histoire de... enterrer la hache de guerre ? Mon pote me manque, tu sais Coco... énonça-t-elle, ses prunelles turquoises brillantes d'émotion, et ses bras frêles peinant à contenir son sac tant ceux-ci tremblaient à l'heure actuelle de peur d'un rejet.
@Gíacobe E. Wilkins
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Peut-être que cette période de rémission était la plus difficile pour toi. Soyons clairs tu étais tout bêtement frustré. Le sport laissait un énorme vide dans ton quotidien et puis faut le dire tu n'avais pas remis les pieds en cours depuis les événements tragiques. Alors oui tu errais dans ce loft et malheureusement ça n'allait pas aussi bien qu'on le voudrait. Moralement tu ne tenais que très peu le coup. A croire que la période de coma t'avait plus traumatisé que les attentats en eux-mêmes. Hanté par le souvenir de ta sœur décédée, chose que tu ne verbalisais pas assez. Ouvrant la porte de chez toi, tu plissais les sourcils, pour une surprise, ça en était une. Tu n'as pas eu le temps d'en placer une, comme si elle avait répété son texte sans relâche. Un léger rire te quittait. Un rire qui ne venait pas des tripes parce que oui tu craignais la douleur. « T'en as mis du temps ! » Oui tu le pensais. Elle t'avait complètement effacé de sa vie. Tu l'avais aperçue quelques fois, tu avais entendu des rumeurs, et tu n'avais jamais rien dit. Merde comment en étiez-vous arrivés là ? Tu y avait tenu à cette amitié. Tellement que tu finissais déçu de voir qu'elle avait parfois oublié à quel point cette amitié t'avait été précieuse. « Entre. » L'air de rien votre flirt de l'été dernier t'avait poussé à ressentir des choses pour elle, c'est vrai. Mais à peine avais-tu eu le malheur de laisser entendre que les choses changeaient peut-être, qu'elle t'avait comme banni. C'est comme ça que tu l'avais vécu. Votre amitié en avait pris un sale coup. Pourtant tu la voyais enceinte, et tu étais content pour elle. Puis de ton côté tout allait pour le mieux aussi côté, du moins sentimentalement parlant.



@Bambi C. Bishop
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Bambi reconnaissait très volontiers ses erreurs sur ce coup-là et s'était préparée à toutes les remontrances possibles et imaginables de la part de Coco. Pourtant, hormis un rire, qui parut presque lui faire mal physiquement - de son point de vue - et une simple remarque, il n'en lâcha pas un mot. Le grand brun était de retour, ne verbalisant pas assez ce qu'il ressentait profondément mais cela ne faisait rien : l'italienne n'avait pas besoin de mots pour comprendre, elle le connaissait assez pour entendre tout ce que son corps hurlait : la douleur, l'abandon, le rejet de cette amitié auquel ils tenaient autant l'un que l'autre. Lui s'y était accroché davantage, elle avait fuit, bêtement. Tu me connais, je peux agir stupidement parfois... admit-elle sans ménagement alors qu'il lui proposait d'entrer, se faisant toute petite pour le moment. Hors de question de s'imposer d'une quelconque manière : la jolie brune avancerait pas à pas histoire de retrouver cette confiance perdue par sa faute, quitte à en payer le prix fort. Tu veux d'abord goûter l'une de mes merveilles ou je te change ton pansement histoire que l'on en parle plus ? reprit-elle la parole au bout d'un instant de silence, qu'elle brisa avec autant d'habileté que possible, malgré la maladresse évidente s'accaparant de tout son être. Foutues hormones.

@Gíacobe E. Wilkins
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