L.-R. ANTHEA THAXTER ► Emily Didonato.

Laïa-Rose Anthea Thaxter

22 ans ▲ Anglo-Russe ▲ Officiellement fiancée

Mon profil

C'est le 12 avril 1990 à Londres, que les membres de la famille Thaxter m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Laïa-Rose Anthéa. Je suis célibataire mais promise à un homme pour qui je ne ressens rien malheureusement pour moi, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle, du moins je le crois et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit et économie en majeur et de langues en mineur depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les Eliot House.

10 choses à propos de moi

Elle a été l'une des danseuses étoiles de la célèbre troupe du Bolchoï qu'elle a récemment quittée pour des études plus conventionnelles puisque ses parents désirent qu'elle prenne leur suite ▲ Excellente violoniste, c'est par cet instrument que l'on découvre la véritable Anthéa ▲ Est tombée enceinte très jeune, mais étant issue d'une famille hautement catholique, elle fut forcée de le garder et l'enfant a été adopté ▲ Principalement élevée par sa grand-mère qui en a profité pour la modeler à son image ▲ Elle considère la danse comme sa vie, si elle arrête de danser elle meurt, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'en plus de son cursus universitaire, elle continue d'exercer auprès de théâtre et opéras ▲ Elle parle l'anglais, le français et le russe ▲ Est une véritable garce comme on en fait plus maintenant, merci grand-mère ▲ Suit un régime alimentaire extrêmement stricte ▲ Est toujours sur le contrôle, faisant très attention à l'image qu'elle renvoie, ses vêtements, sa manière de se comporter, d'agir ▲ N'a que faire des sentiments, véritable bourreau de travail dont on ne s'approche pas facilement ▲ Grande cinéphile, ayant une préférence pour les films en noir et blanc ▲ N'est pas du tout coutumière des relations d'une nuit et ce n'est pas tout le monde qui visite son temple sacré.

Vie de merde

▲ Aujourd'hui, durant une audition capitale pour un ballet, alors que j'effectue la dernière partie de mon numéro avec très grande fierté, j'entends un "crack" et un "pouf". Mon collant venait de se craquer au niveau des fesses tandis que je présentais ces dernières au jury en lâchant un petit pet pour accompagner le tout. VDM.

Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Ma réponse est sans hésitation un non. Je ne vois pas ce qu'une fille de mon rang irait faire dans ce genre de soirées.
Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Bien que je trouve cela démesurément stupide, Grand-mère m'a toujours appris à sauver les apparences, nul doute que j'y participerais uniquement pour entretenir l'image de la famille Thaxter qui se doit d'être irréprochable en tout point.
Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Non, merci. Je sais ce que je vaux et je n'ai nullement besoin qu'une foule de personne aussi idiotes qu'inintéressantes émettent le moindre jugement sur ma personne.
Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Il se trouve que je suis justement cette perfection. Cela répond-t-il à ta question ?
Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Non, merci. Mes charmes naturels sont très efficaces.
Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je n'en pense pas grand chose étant donné que suis coutumière de ce type d'entrée plutôt remarquée.
Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Bien que j'adore la littérature anglaise, je n'ai malheureusement pas le temps d'y consacrer toutes mes soirées ayant fort à faire avec mes autres occupations.

Derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mayaku et j'ai créé le monde. Je suis nbelhe et j'ai connu le forum grâce à un des membres. il m'a tapé dans l'oeil alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais besoin d'aide. J'utilise Emily Didonato comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Vive les pandas asexuellement stériles empalés sur des cactus épilés.

(Invité)

Mon parcours

L.-R. ANTHEA THAXTER ► Emily Didonato. Tumblr_m9rk4z9mjE1qfm8bso1_500

Accoudée contre le comptoir, Anthéa commanda un autre verre. Un énième depuis le début de la soirée, d’ailleurs elle avait fini par arrêter de les compter. A quoi bon ? Tant qu’elle obtenait le résultat escompté, elle n’avait que faire des moyens mis en action. Comme sa grand-mère avait coutume de dire, la fin justifiait toujours les moyens et la brune avait bâtie sa vie sur cette vision de choses si bien que lorsqu’elle désirait ardemment quelque chose, elle pouvait aller bien loin pour l’obtenir. Bien trop loin jugeraient certains.

Le barman la jaugea un instant afin de déterminer si elle était encore capable de boire quoique ce fut sans finir inconsciente sur le bord d’une rue. Elle darda son regard dans le sien, froide, impitoyable. Encore une fois, elle n’avait que faire des considérations de cet homme qui n’avait d’autre ambition que de se complaire dans un travail de seconde zone. Que les choses soient claires, Anthéa n’était en aucun cas coutumière de ce genre de lieu, bien au contraire. Elle était de ceux qui travaillent d’arrache-pied pour obtenir des résultats satisfaisants. Jeune lady distinguée, elle se devait de conserver une bonne réputation auprès des autres donc comme toute jeune fille de la haute société qui se respectait, elle optait pour des festivités plus mondaines seyant à son statut social. Le principal intérêt de toute cette mascarade était d’éviter de ternir une nouvelle fois le nom des Thaxter, chose qu’elle s’était juré d’éviter. Ceci expliquait sa présence dans cet endroit qu’elle méprisait de tout son être et de tout son âme. Il n’y avait, selon elle, que les faibles qui préféreraient noyer leur chagrin dans l’alcool au lieu de les affronter, cela faisait-il d’elle ce qu’elle détestait le plus au monde, un être démesurément pathétique ? Elle se refusa à pousser plus loin sa réflexion et trempa une nouvelle fois ses lèvres dans son verre. Pour ce soir seulement, elle délaissera son masque de la parfaite petite fille de riche pour quelque chose de plus humain. Du moins jusqu’à décembre prochain. Elle ne comprenait pas ce vide lancinant qu’elle ressentait à chaque fois à cette période de l’année alors elle prenait le whisky pour réconfort. En fait, elle ne comprenait pas grand-chose aux émotions humaines, ces années en compagnie de sa grand-mère semblaient l’avoir dépourvu de toute sensibilité. Enfin, c’était ce qu’elle se plaisait à croire. Les sentiments étaient une forme de faiblesse et lorsque l’on voulait réussir, il fallait se débarrasser de toute faiblesse. L’on ne pouvait se permettre de fléchir devant telle ou telle décision à cause des inclinaisons de notre cœur. Cette manière de penser expliquait en quelque sorte pourquoi elle était présentement perdue. Elle ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait et surtout ne parvenait pas à le contrôler, ce qui était fait important avec une personne autant sur la retenue que l’était Anthéa.

Elle soupira, passablement agacée par sa propre bêtise. Si sa grand-mère avait été là, elle aurait su la conseiller, enfin la réprimander de façon à ce qu’elle put se reprendre. Elle regretta soudain d’avoir quittée la Russie et le seul parent qui ne lui ait jamais porté un quelconque intérêt après ce qui s’était passé l’automne de son quatorzième anniversaire. L’erreur qui lui avait fait perdre la confiance de ses parents qu’elle tentait aujourd’hui de récupérer par tous les moyens possibles. En effet, en plein dans l’adolescence, l’envie d’aller contre toutes recommandations de ses parents le plus souvent absents se faisaient sans cesse plus pressant alors elle commença à faire le mur en compagnie de son amie de l’époque, Katie. Alors que la gouvernante les pensait paisiblement endormies, les deux jeunes filles en profitaient pour s’éclipser. « Anthea, je te présente Katie, ma fille. » C’était ainsi que les choses débutèrent. Les yeux de la brune, jusqu’ici baissés, se posèrent sur la jeune fille qu’ils étudièrent avec neutralité puis un sourire apparut sur ses lèvres. Elle tendit la main en direction de la dénomme Katie. Cette dernière en fit de même. Elles se présentèrent un peu plus en détail. Polies, respectueuses, chaleureuses, conforme au comportement que leur parents voulaient qu’elles adoptent. Anthéa pensa d’abord trouver une fille de fervent catholiques d’un désintérêt immense comme il en existait pas mal dans la haute société mais ce ne fut pas le cas. Elle fut d’ailleurs surprise de constater qu’elles avaient un immense point commun, le désir de liberté. Elles ne supportaient plus cet enfermement perpétuel qu’était leur quotidien depuis bon nombre d’années maintenant. Ce point commun aida grandement à leur rapprochement. L’engrenage était en marche. Cela commença tout d’abord par des mensonges sans grand intérêt, concernant des devoirs non faits, la télévision qu’elles avaient laissé allumé plus longtemps qu’elles ne l’auraient dû, l’ordinateur en dehors des heures autorisées etc.... Puis cela prit graduellement de l’ampleur. Trouvant cela fort injuste que les jeunes de leur âge purent s’amuser comme ils l’entendaient alors qu’elles devaient se contenter de leur prison de crystal, elles décidèrent d’adopter le même comportement qu’eux, ce qui signifiait donc mentir continuellement à leurs géniteurs. Qu’importait, elles étaient prêtes à tout pour jouir de leur jeunesse. Aussi, elles se mirent à faire le mur la nuit pour se rendre à des fêtes qu’organisaient leurs camarades de classe. A deux, c’était plus aisé de se jouer des autres. L’une invitait l’autre, comme leurs parents s’entendaient à merveille, ils ne purent qu’être heureux de leur proximité grandissante et lorsque ceux-ci sombraient dans les bras de Morphée, elles en profitaient pour mettre les voiles. Au début, ce ne fut pas chose facile car Anthea était rongée par l’appréhension tandis que mon cœur battait fort à lui exploser la cage thoracique mais étrangement, elle appréciait beaucoup de se retrouver dans un tel état de tension. Pour la première fois depuis longtemps, elle se sentait enfin vivre, non plus simple spectatrice de ma propre existence. Elle fit part de sa réflexion à son amie qui lui confia ressentir quelque chose de semblable. Les fréquences de leur sorties nocturnes devinrent plus régulières, même si elles ne rendaient pas à des fêtes précises, le simple fait d’être dehors, seules, leur suffisait amplement. L’idée que cela eût été dangereux ne leur avait même pas effleuré l’esprit, tant qu’elles avaient la liberté, elles n’avaient que faire du reste et puis elles avaient fini par devenir accro à l’adrénaline résultant de tout cet exercice. Néanmoins, toute bonne chose ayant une fin, la leur ne tarda pas à se présenter.

Si vous demandez à Anthea comment les choses avaient pu dégénérer de la sorte, nul doute qu’elle serait incapable de vous fournir une réponse claire, l’ignorant elle-même. Katie et elle étaient encore sorties cette nuit là, comme presque tous les soirs d’ailleurs. Elles s’étaient rendues à la fête de l’année comme leurs camarades avaient coutume de la qualifier. L’alcool coulait à flot et la musique battait si fort que l’on ne s’entendait pas penser. Elles étaient déjà bien habituées à ce genre d’ambiance si bien qu’elles se contentèrent de prendre la direction du buffet où elles attrapèrent chacune un verre avant de se séparer, se donnant rendez-vous au même endroit dans quelques heures. Anthéa fut vite accostée par un garçon avec qui elle flirtait depuis un bon moment désormais sans que cela aille pourtant plus loin. Il l’invita sur la piste de danse, ce qu’elle accepta avec joie. Ils se déhanchèrent l’un contre l’autre, d’une manière qui aurait sans nul doute donné une crise cardiaque à ses parents. Elle sourit discrètement à cette pensée, amusée. S’ils savaient à quoi leur petite fille occupait ses soirées, nul doute qu’elle était bonne pour un aller simple vers le couvent le plus éloigné de Londres. Une fois la danse terminée, son ami lui proposa une boisson et alors que les verres s’enchaînaient, les barrières établies, elles, sautèrent et emportés par l’ambiance ambiante ils se laissèrent aller au plaisir de la chair. Anthea était bien trop enivrée pour se souvenir que coucher avant le mariage était pêché et au fond, peut-être n’en avait-elle aucune envie. Les représailles de cette décision précipitée lui semblaient à des années lumières, très mauvaise stratégie puisqu’elle se découvrit quelques temps plus tard enceinte. Comme un malheur n’arrive jamais seul, il fallut que sa gouvernante tombât sur le test de grossesse avant qu’elle ne put régler la situation comme elle l’espérait et en parle, bien sur, à ses patrons. S’en suivit une interminable discussion durant laquelle ses parents lui firent part de leur immense déception, leur sentiment de trahison, qui s’accentua d’autant plus lorsque qu’elle leur parla de ses multiples sorties nocturnes avec Katie, qui d’ailleurs sera envoyée en pension quelques jours plus tard. A leurs yeux de catholiques intransigeants, elle ne valait guère mieux que Marie Madeleine, prostituée biblique et ils décidèrent donc de l’envoyer auprès de sa grand-mère en Russie, loin d’oreilles indiscrètes qui auraient pu ternir l’image des Thaxter. En outre, il était hors de question qu’elle avortât, alors elle accoucha et l’enfant fut immédiatement mis à adopter, sans qu’elle eût le temps de le tenir dans ses bras une seule fois. L’enfant en question avait aujourd’hui sept ans et tout ignorer de lui avait plus d’impact sur elle qu’elle ne l’aurait voulu. Curieuse, elle avait en secret menée sa petite enquête afin de savoir ce que son petit garçon était devenu et surprise ce dernier vivait également aux Etats-Unis, fait qui avait grandement influencé son choix d’université.

Un jeune homme plutôt séduisant se glissa à sa droite. Vidant son verre d’une traite, elle se tourna vers lui, munie de son plus beau sourire. Ce soir, comme chaque dix-huit décembre, son corps lui deviendra étranger, une terre inconnue que foulent les désirs des hommes. Elle regardera de loin bouger, jouir, comme si elle avait glissé hors de son enveloppe. Ce dégout inconscient qu’elle avait d’elle, de sa vie d’avant, de ses certitudes idiotes de première classe devaient être exorcisées dans l’ordure.

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EMILY

Bienvenue sur ILH L.-R. ANTHEA THAXTER ► Emily Didonato. 3850463188

Bonne chance pour ta fiche hanwii

Have Fun

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Bonne chance pour ta fiche and have fun L.-R. ANTHEA THAXTER ► Emily Didonato. 185272391

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THANK YOU. :3

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Ce choix

bienvenue

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Et le tien de choix ! hanwii

Thanks !

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bienvenue :excited:

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bienvenue sur ilh

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Thaaaaanks !

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