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Jean Atkins ► shanina shaik

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 Jean Atkins

  • neuf avril mille neuf cent quatre-vingt-quinze. du moins, c'est ce jour-là que tu as été trouvé.
  • c'est assez flou, tu n'as pas réellement de lieu précis de naissance. tu es juste un enfant trouvé dans une contrée du Brésil.
  • cette année, tu souffleras ta vingt quatrièmes bougies
  • née au Brésil, tu obtiens donc la nationalité brésilienne. elle viendra - suite à ton adoption - être ensuite complété par celle britannique.
  • tu ne vas pas nier que tu as un très lourd penchant pour les attraits masculin. bien qu'il t'arrive parfois de goûter aux lèvres pulpeuses d'une brune ou deux, tu n'as jamais voulu plus que cela. alors, tu te penses hétérosexuelle. bien que tu n'aimes pas te mettre d'étiquette.
  • tu es un électron libre qui se contente seulement d'un corps ou deux sous les draps.
  • t'es pas vraiment ce qu'on peut appeler une jeune femme riche. ni même aisée. bien souvent, le rouge te pend au nez en fin de mois. même si tu ne te considères pas comme pauvre, t'es loin de la vie paisible et sans-souci que tes parents t'offrais.
  • histoire.
  • langue et littérature
  • pour le peu que tu bosses, tu te contentes d'être caissière au Quincy Market le week-end. du moins, c'est le seul boulot que tu déclares. celui que tu pratiques la nuit, tu préfères n'avoir une trace de lui qu'en liquide.
  • oui, grâce à tes excellents résultats

SHANINA SHAIK
Dunster House
Quoi de mieux que la Dunster Houser ? C'est tout simplement la confrérie qui te convient le mieux. Tu as toujours été celle qui se donnait à fond dans ses études. Bosseuse, travailleuse. Si tu veux quelques choses, tu donnes tout ce que tu as pour l'avoir et être au top. Cela t'a valu le sacrifice d'une vie sociale étant adolescente mais, aujourd'hui, tu arrives à mieux gérer ton temps et as profiter aussi de la vie. Sans pour autant perdre de vue tes objectifs.
Les années t'ont bien changé. Tu as grandi et, tu as découvert les insanités de ce monde. Bien que tes débuts ne furent pas glorieux, tu espérais bien trop que le monde ne serait à présent qu'un amas de mousse, absorbant chaque malheur que tu allais pouvoir rencontrer. Malheureusement, ce regard bien trop candide que tu avais encore il y a quelques années, disparus au fur et à mesure que les problèmes vinrent s'accumuler sur tes épaules. La vie d'adulte n'a rien de brillant, tu le découvres à tes dépens. Tu es pourtant bien trop jeune pour devenir aigri ou pour t'accabler sur ton sort. Ce n'est pas vraiment dans tes gênes. Toi, tu es une battante malgré ça. Puis, tu es douée pour mentir. À toi-même, au monde. Ce sourire qui orne tes lèvres en permanence en est la preuve. Vestige d'une éducation parfois stricte. Ta mère te disait toujours de sourire, de ne rien laisser paraître. Alors tu écoutes ses conseils, encore aujourd'hui. Tu joues la comédie alors que ton être intérieure n'est que débris. Malgré ça, tu restes une jeune femme déterminée dans ce que tu fais. Tu sais ce que tu veux et, têtue comme une bourrique, il est difficile de te faire lâcher tes idées. C'est parfois une qualité, comme cela peut s'avérer être un défaut. Bien trop curieuse pour ce monde, tu peux t’enticher d'une passion durant quelques mois avant d'en changer. Il est d'ailleurs préférable de ne pas fouiller ton historique internet à cause de cela.
Harvard a toujours été ton rêve. Chaque fois que tu glissais le nez dans un bouquin, tu espérais qu'un jour cela te permettrait d'effleurer ton rêve. Ne serait-ce que du bout des doigts. Pourtant, aujourd'hui, tu as réalisé ton rêve. Non sans un travail colossal et quelques sacrifices, mais tu te dis que cela en valait la peine. Tu as su te surpasser et donner le meilleur de toi-même pour que seul l'excellent ressort lors de l'entretien final. Il faut croire que cela à été payant. On n'a jamais rien sans rien après tout.
MIDNIGHT BLUES / LINDA
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle midnight blues et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart la première fois je crois. Alec m'a forcé à venir ici alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Shanina Shaik comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sarasvati. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9064]☆[/url] ☆ <span class="pris">SHANINA SHAIK</span> ◊ “ Jean Atkins ”[/size]
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I got this feelin' inside my bones
It goes electric, wavy when I turn it on


Tu n’as que 5 ans quand finalement un vieux couple d’Anglais te sortent de cet orphelinat miteux du Brésil dans lequel tu vis. À cet instant, pour la petite fille que tu es, c’est un grand changement. Tu es partagé entre la peur de quitter un endroit que tu commençais à connaître sur le bout des doigts et l’excitation de goûter au plaisir d’un meilleur endroit.
L’excitation prendra finalement le dessus en découvrant ta nouvelle maison. Elle est grande, le jardin l’est tout autant. Tu passes d’ailleurs une grande partie de tes étés à courir dedans, de long en large. Sans jamais t’épuiser. Le grand air, le bonheur d’avoir des parents. Des parents qui t’aiment. Toi, seulement toi. Ils n’ont pas d’autres enfants alors, tu peux profiter de chaque parcelle d’amour qu’ils t’offrent. Ta maman est parfois un peu stricte en ce qui concerne les bonbons ou l’heure pour se coucher, mais ce n’est rien de dramatique. Cela n’efface en rien ton sourire. Jusqu’à ce jour maudit où elle prononcera des mots qui te marqueront. Des mots qui te pousseront inconsciemment à débuter un journal qui ne fera qu’accentuer cette différence qui te sépare de ta “famille”.



Mama's gonna put all of her fears into you
Mama's gonna keep you right here


Assise à ton bureau, tu lances un premier regard en direction de la porte, comme pour vérifier que celle-ci est bien fermé. Qu’aucun son de pas ne s’en approche. Tu restes ainsi peut-être bien une petite trentaine de secondes, avant que ton attention ne se porte finalement sur le petit carnet posé devant toi. Tu le contemples quelques secondes, tes doigts effleures délicatement la reliure qui semble être victime du temps.
Stylo en main, tu finis par l’ouvrir, feuilletant les quelques pages déjà noirci d’encres pour en choisir une d’un blanc presque immaculé. Tu y apposes la date du jour, comme tu as l’habitude de le faire depuis quelques années et, tu laisses finalement ton esprit guider la plume.

✻✻✻

Je sais que cela fait quelques mois maintenant que je ne t’ai pas écrit. J’espère que tu ne m’en veux pas. Je n’avais pas trop la tête à ça. Il faut dire qu’elle ne me laisse pas beaucoup de temps pour me reposer. Mais je vais bien. J’imagine que l’important pour toi s’est d’entendre ça. Non ? Je l’espère en tout cas. Tu sais, dans quelques mois je vais avoir 15 ans. Puis quelques mois plus tard encore, je vais rentrer en onzième années.

Dix ans que je suis ici et, j'ai l'impression que c’était hier que je sortais finalement de l’enfer. Parce que oui, c’était l’enfer. L’enfer dans lequel tu m’as laissé. L’enfer dans lequel tu m’as abandonné. Pourquoi ? Tu sais, chaque jour qui passe, je me pose cette question. Plus je grandis, plus je me demande. Je ne lui en parle pas parce que je ne veux pas lui faire de peine, mais j’ai besoin de réponse. Même si je sais que tu ne m’en donneras jamais. Parce que j’ignore où tu es, qui tu es.

Sinon, je voulais quand même dire qu’ils me traitent bien. Je suis heureuse avec eux. J’ai des amis. Pas beaucoup, mais cela m’importe peu. Je n’ai besoin que d’eux. On s’amuse parfois dans les champs. Enfin, surtout avant. Là, on a plus vraiment le temps. Puis Charles va bientôt déménager. Je suis triste, je l’aimais bien, mais elle dit que c’est la vie. Que je ne dois pas lui dire, que je ne dois pas lui montrer. Elle me répète souvent “Tu veux que ce soit le souvenir qu’il garde de toi ? Une petite fille qui pleure ?” Elle a raison. Ce n’est pas ce que je veux. Je veux qu’il puisse se dire que jouer ensembles, c’était cool, que ça va lui manquer. Qu’il puisse avoir de bons souvenirs quand il sera parti. Ne pas culpabiliser parce qu’il nous a fait pleurer.


✻✻✻


À ses derniers mots, tu t’arrêtes d’écrire. Les larmes qui ont commencé à rouler sur tes joues t’empêchent de continuer. D’un mouvement, d’un seul, tu essuies cette eau qui humidifie ta peau puis, tu fermes le journal dans un geste un peu brusque. Si brusque que le claquement des pages interpelle ta mère qui se trouve en bas. Il lui faut peu de temps pour monter les escaliers et arriver à ta chambre. Mais, assez de temps pour que tu puisses cacher ce journal sous tes draps.

- Tu pleures ? S’étonne-t-elle.
- Il va me manquer..
Elle s’approche de toi, glissant ses paumes contre tes joues.
- Je comprends, mais que t’ai-je déjà répété à propos de cela ma chérie ?
- Que je ne dois pas lui montrer.



You see me I be work,
You see me do me dirt


C’est un corps meurtri par le travail qui passe, encore une fois de plus, la porte de la maison ce soir. Tu traînes des pieds, comme si tu traînais le poids de ton existence à tes chevilles. Tu arpentes, épuisée, les couloirs de la maison pour parvenir jusqu’à ta chambre. Sans grande douceur, ton corps fini sa course sur le matelas de ton lit. Tu ne prends guère le temps de te déshabiller pour sombrer dans les bras de Morphée. De toute manière, même si tu l’avais souhaité, tu n’aurais pas réussi à relever ce défi, car toutes tes forces t’avaient abandonné.
Pourtant, bien que cisaillé de fatigue, tes paupières laissent à nouveau place au clair de tes yeux. Seulement quelques heures après avoir quitté le monde des vivants pour celui des rêves. Les choses se compliquent même quand tu tentes d’y retourner. Impossible, comme si l’entrée de ce tunnel venait de se barrer. Tu luttes pourtant, un temps qui te semble plus que nécessaire, mais rien.
- Bien. Dis-tu simplement avant de poser le pied au sol. Tu quittes ce nuage de draps pour te poser devant ton bureau.
Attrapant stylo et papier, tu replonges alors dans un travers que tu pensais avoir enfoui depuis quelques années maintenant : lui écrire.

✻✻✻

Bien. Je vais être sincère, je pensais que je ne reviendrais pas vers toi. Je crois qu’au fond, je ne le désirais pas. En tout cas, une bonne partie de moi. Mais voilà, je ne parviens pas à retrouver le sommeil alors, je me dis que c’est peut-être à cause de ça. Cela fait déjà quelques nuits que je ne dors pas bien. Pourtant j’en ai besoin, je le veux même, mais mon esprit est loin d’être d’accord avec ça. Alors, je t’écris. Je t’écris et, je veux que tu arrêtes d’occuper mes pensées après ça. Même inconsciemment. Sors de ma tête, définitivement. C’est tout ce que je te demande et, en retour, je veux bien faire un effort et te parler de moi, de ma vie, de ce que j’ai réussi à faire. Je vais quand même essayer de rendre ça moins brouillon que la dernière fois. Donc, je vais te parler en points.

Les cours.

Tout se passe bien à ce niveau-là. Je suis une élève très assidue, je me donne les moyens de réussir. Il faut dire que je sacrifie beaucoup de choses à côté. Je sors très peu, voir pas du tout. Les seuls moments où j’arrive réellement à voir mes amis, c’est durant les cours ou les pauses. Je crois qu’ils m’en veulent un peu pour ça, mais je ne veux pas prendre ça à la légère. Surtout avec le rêve que j’espère atteindre un jour. Je t’en parlerais plus bas de celui-ci. Mais, si tout se passe bien, je devrais pouvoir le réaliser. Je dois juste continuer sur cette voie, continuer mes efforts et, je sais que tout cela sera payant. D’ailleurs, je me suis toujours demandé pourquoi l’histoire était la matière qui me plaisait le plus en plus de la littérature. C’est en t’écrivant que je suis en train de trouver la réponse je crois.. Quoi de plus logique après tout ? J’aime et je désire ce que je n’ai pas moi-même : un passé. Un moyen de savoir. Alors, à défaut d’avoir ma propre histoire, je m’intéresse à celles des autres.

Le boulot.

Depuis deux ans maintenant je bosse. Dès que j’ai eu 16 ans en fait. Ce n'est pas toujours simple. Surtout le ménage durant les vacances dans les chambres d’hôtel. Encore plus quand on sait que l’hôtel en question n’est pas un hôtel 5 étoiles. Je ne te parlerais pas des trucs que je retrouve parfois collé dans la salle de bain ou contre le sol de la chambre. En période de semaine, je bosse le soir dans un fast-food. C’est le seul endroit qui a accepté de me prendre en semaine après les cours. Je sens surtout la friture quand je rentre, mais c’est pas grave. J’espère économiser assez pour ensuite partir convenablement et avec des économies de côté. Pour les imprévus ou autre. Il n’aime pas que je bosse autant. Elle… Elle accepte. Pour elle, c’est comme ça que je vais apprendre ce que s’est. Que je vais me forger pour la suite. J’espère qu’elle a raison et que je ne fais pas tout ça pour “rien” à ce niveau. Je t’avoue que, je ne sais parfois pas comment je fais pour garder la tête hors de l’eau. Ni comment mon corps supporte encore tout ce que je lui inflige. Mais je tiens le coup. J’ai commencé à prendre de quoi me booster un peu, mais j’ai parfois peur de tomber dans une dépendance ou, carrément de voir débarquer des effets secondaires. Bref. Tout ça pour dire que le boulot, c’est compliqué mais j’en ai besoin.

Harvard.

Bien, le voilà mon rêve : Harvard. Je veux y entrer. C’est d’ailleurs pour ça que je me défonce autant en cours, qu’au boulot. C’est pas la porte à côté Boston, c’est pas non plus simple de décrocher une bourse au mérite. Alors je donne tout ce que j’ai, je donne toutes mes tripes juste pour vivre ce rêve. Juste pour me dire que j’ai réussi à me fixer un objectif et à le tenir. Juste pour me dire que je suis pas là pour rien, qu’il y a une raison à tout ça. Que je suis capable de déplacer des montagnes pour prouver ce que je vaux. Que je suis pas personne, que je suis quelqu’un dans ce putain de monde.


✻✻✻


Tu reposes finalement le stylo contre le bureau alors que tu sens ta main saisi par une crampe. Tes doigts se sont tellement emballés en écrivant les derniers mots, que tu en as fait un trou dans le papier. Mais, étrangement, tu te sens libéré, comme si un poids venait de quitter tes épaules. Tu te sens légère alors, tu attrapes le morceau de feuille que tu froisses avant de le jeter dans la poubelle. Tu prends le temps de te déshabiller et, tu retournes enfin dans les bras de Morphée, sereine.



The secret side of me, I never let you see
I keep it caged but I can't control it


En colère. C’est ainsi que la jeune femme que tu es se sent depuis quelques semaines maintenant. Une colère que seule le goût amer d’une cigarette parvenait à atténuer jusque-là. Une routine qui malheureusement n’allait pas faire son travail ce soir.
C’est assise dans une partie du Ringer Park que l’on te retrouve. Tu affiches - comme à ta grande habitude lorsque tu es seule - un air las, fatiguée. La vie se fait de nouveau difficile pour toi depuis que tu es là et, le sol semble se dérobé sous tes pieds chaque fois que tu fais un pas. T’es prête à sombrer, à couler à pic comme le Titanic.
- T’es vraiment une belle ordure. Marmonnes-tu en essuyant d’un geste du pouce, la seule perle qui s’est aventurée sur ta peau.
Tu renifles un instant, extirpant la seconde d’après un carnet de ton sac. Il est presque en miette, des feuilles semblent vouloir s’échapper de tous les côtés. Tu ne sais même pas comment il fait pour tenir encore le bougre. Néanmoins, tu lui accordes une chose : il est à l’image de ton coeur. Cabossé, meurtri, ne tenant qu’à un fil. Et, ce soir, tu ne vas rien faire pour l’aider.
Tu ouvres alors ce carnet, tu poses ton regard sur quelques phrases, quelques mots. Les dates s'enchaînent au fur et à mesure que tu tournes les pages. Tes doigts se crispent sur la couverture et le papier. Tu en froisses plus d’une feuille alors que tu sens ton palpitant passé la vitesse supérieure. Plus tes iris décryptent tes mots, plus la colère s’insinue dans tes veines. “Abandon. Abandon. Abandon”. Ce mot sonne comme un coup de poignard en plein coeur. Ta mâchoire se crispe, ton coeur se serre et t’exploses. Tu hurles. Tu hurles à plein poumon. Comme si ta vie en dépendait. Comme si ta dernière heure venait de sonner. Tu hurles, à t’en déchirer les cordes vocales, à en percer tes poumons. Tu libères, 23 ans d’un coeur écorché.

Quand finalement tu perds toute force de crier, tu te laisses aller contre le sol en tentant bêtement de reprendre ton souffle. Tu découvres en même temps le journal, éjecté plus loin. Tu l’as certainement balancé en craquant. Mais, tu remarques que les pages se sont finalement détaché de la reliure. Elles commencent même à s’éparpiller sur le sol au gré du vent. Tu pourrais te précipiter pour les ramasser mais, tu n’en fais rien. Tu t’allonges simplement sur le sol et, tu fermes les yeux. Qu’elles s’envolent. Qu’elles emportent avec elles le souvenir de toutes cette vie. Le souvenir de cette mère imaginaire à laquelle tu parlais. Celle que tu n’as jamais connue, celle qui t’a abandonné. Qu’elles emportent ces lettres stupides que tu pensais un jour lui faire lire si jamais tu la retrouvais. Qu’elle aille au diable, tu as tout ce qu’il te faut. Tu n’as plus besoin d’elle, plus besoin du poids des questions que tu te posais et qui tournait au-dessus de ta tête telle une épée de Damoclès.
- J’en ai fini avec toi, maman.

✻✻✻


Les jours qui suivirent cette libération furent calmes. Bien entendu, à crier comme tu l’avais fait, ta voix n’avait plus réellement donné signe de vie. Seul un son étouffé était parvenu à sortir de ta bouche. De quoi amuser la plupart de tes collègues en caisse. Oui, tu étais caissière. C’est l’un de seul job que tu avais réussi à trouver en arrivant à Boston après la fin de tes études en Angleterre. Oui, tu avais réussi à entrer à Harvard alors, il avait bien fallu que tu déménages. Puis, la bourse n’étant pas suffisante pour tout, tu avais dû te trouver un petit boulot pour pouvoir (sur)vivre. Mais, tout ceci ne t’empêchais pas d’être parmi les meilleurs de ta promotion. Et ce, malgré la vie sociale que tu avais finalement réussi à développer. Tu trouvais un équilibre dans ta vie et, maintenant que tu pensais t’être débarrasser du sentiments encombrant d’une mère inconnue, tu allais pouvoir pleinement profiter de ta vie ici.

   
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AH OK MIDNIGHT BLUES ET SES AV DE FOLIE
shanina, ma femme
ce pseudo, l'amour

hâte de voir la suite. bienvenue ici beauté Jean Atkins ► shanina shaik 2109348208
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Aaah enfin tu as craqué Jean Atkins ► shanina shaik 152426858 Content de te voir par ici chaton :heaart:

Je viendrais te voir avec Alec plus tard Jean Atkins ► shanina shaik 166564858 En tout cas re bienvenue par ici Jean Atkins ► shanina shaik 2511619667

Bon courage pour ta fiche que je vienne t'harceler plus tard Jean Atkins ► shanina shaik 152426858
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Sofia Dunn-Aguera

Âge : 28
Lieu de naissance : Nashville, dans le Tennessee.
Quartier d'habitation / Colocation : Cambridge, avec Eowyn dans mon appartement.
Situation sentimentale : célibataire, collectionneuse d'homme selon les rumeurs. Cherche en réalité l'amour.
Études / Métier : étudiante en bio-ingénieurie et pompier volontaire
Date d'inscription : 28/08/2014
Pseudo & Pronom(s) IRL : polaroid papers, elle.
Icon : Jean Atkins ► shanina shaik 1f788a2cc061729f048b4b066393bed9c1cacedb
Faceclaim : selena gomez
Crédits : @strange-hell (av) + gold anthem (sign) + Jendy (profil)
Multicomptes : Leandra, Stevie, Asto et Khai
Description (1) :
sofia d u n n - a g u e r a
believe you can
and you're
halfway there

Jean Atkins ► shanina shaik 740899cc3e50fa04176d280a89986d735929185d

Jean Atkins ► shanina shaik 1c467e8fd08309e8ea01bec82cf353c7edea023b

Jean Atkins ► shanina shaik 5971d9d854196918503717849d45a55c464bd5c8
» m o o d b o a r d »
elle porte le nom de ses deux mères » elle fait du skate » elle parle l'espagnol, portugais de manière courrante » elle chante parce qu'elle aime ça » elle sait jouer du piano appris depuis qu'elle est enfant » elle a un petit frère » souriante, elle est souvent le coeur de la fête, à rire, faire rire, jusqu'à ne plus se tenir » pompier volontaire » elle plaide la cause féminine, soutient les femmes, leur corps, leur choix » active sur les réseaux » elle croit à l'amour, le vrai

» character Sofia, c'est la douceur du soir. Capable du meilleur, tendre la main vers ceux qui en ont besoin. Parfois naïve, surtout quand c'est la parole des hommes. Elle croit au prince charmant, elle croit que quelqu'un l'attends quelque part. Elle est cette fille qui pense que tout peut lui sourire si elle tends l'autre joue. Elle fêtarde, Sofia, elle aime être aimée, acceptée. C'est la lumière dans la pièce, c'est elle qui dicte, qui sait ce qu'elle veut, qui sait où elle va. Elle s'intéresse à tout, elle est curieuse, intriguée par un rien. Elle fonce quand elle le peut. Elle se bat pour ce en quoi elle croit.

Description (2) : Jean Atkins ► shanina shaik 3209d057c3fae00f7b260ce865dc3812

Jean Atkins ► shanina shaik TNk4vBMO_o

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Eowyn » amie.
Jade » amie.
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Shayn » rencontré et aidé, à voir.
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Aidan » ex petit-ami.
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» liens négatifs
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» préférence de jeu [HORS JEU] joue principalement au feeling // active en rps, sms et qnt.


Warnings : violences (excès de colère/excessive/gratuite), mort, sang, alcool, drogue, adoption.



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I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.

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bienvenue et bon courage pour ta fiche! Jean Atkins ► shanina shaik 2511619667
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J'viens marquer (et non pas souiller) ta fiche comme promis avec le bon compte Jean Atkins ► shanina shaik 152426858

JPP de toi et ta signature débile tu vas finir par me tuer Jean Atkins ► shanina shaik 1881463262
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Stéphane Bern c'est bae on est d'accord Jean Atkins ► shanina shaik 550846730
Shanina est trop belle btw (je hurle sur ton talent graphique aussi)
Bienvenue Jean Atkins ► shanina shaik 2109348208
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Bienvenue parmi nous Jean Atkins ► shanina shaik 2511619667
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