AZAEL WILSON ► Chloé Moretz

caractèreAzaël à toujours été quelqu'un de profondément gentille, elle a été élevé dans l'amour et le respect des autres. Elle a grandi avec deux frères alors elle u sens de l'humour un peu cru ou pas drôle des fois. Une chose est sur elle est déterminer, elle est tombée enceinte, elle a gardé le bébé même si elle devait qu'à 20 ans sa ne serait pas simple. Ce qui a été très dure pendant la grossesse c'était de ne pas manger ses Oréos, elle a tendance a être très gourmande. Az, n'est pas naïve du tout, ses frères essayaient de l'embêter petite ce qui lui a forger du caractère elle ne se laissera pas marcher sur les pieds. Son bureau pour travailler les ordinateurs et un vrai bordel pour les yeux inexpérimenté mais pour elle le rangement est méthodique, d'ailleurs elle ne supporte pas qu'on touche à son matériel. Ce qui risque d'être dure avec un bébé.   . .

depuis combien de temps vis-tu ici ?Azaël a pris la décision d'abandonner sa fille à son frère Nate. Elle était en pleine dépression post partum. Elle savait que lui s'en occuperait. Sauf que quand elle a entendu en buvant son café que les attentats avait lieu à Harvard. Elle vivait à New York. Son instinct maternel c'est réveiller en un instant. Elle partait pour Boston en rien de temps. Pour le moment elle est bloquer à Boston pour sa fille qui est l’hôpital. Elle ne veut pas retourné à Londres c'est une certitude, elle ne veut pas retourné en arrière

comment te vois tu dans 10 ans ?Dans dix ans, je vois Azaël avoir monter sa boite d'informatique, ou encore une application révolutionnaire. Après avoir repris ses études a Harvard en informatique. Ce qui est sur c'est qu'elle seras avec sa fille qui aura une dizaine d'année.  Une chose est sur Azaël a plein de possibilité qui s'ouvre a elle, elle sera probablement resté près de Nate pour près  de son jumeau s'il vient dans le coin.

story of my lifeJe suis née en compagnie de ma moitié mon jumeau Tristan, la vie n'est pas facile alors c'est toujours mieux de l'affronter à deux, j'ai eu la chance d'être née avec une personne qui serait avec moi toute ma vie. Tristan et moi, on s'entend parfaitement depuis ce jour-là.
Vers l'âge de 6 ans certaines choses était bien plus simple pour moi que pour les enfants de mon âge. Je me rappel encore des cries de ma mère quand j'avais bidouillé le grille pain pour en faire un robot. Je ne sais pas comment ça fonctionnait pour moi, mais quand je vois un objet électronique, je vois plus loin et je vois tout ce qui peut-être. C'est à partir de ce moment qu'à la maison il y a eu la règle strict que je ne touche plus à l'électronique neuf, en échange mon père me ramenait des vieux objets pour que je m'amuse. Ma chambre ressemblait plus à un antre de génie fou qu'à la chambre d'une enfant.
D'ailleurs, c'est l'année de mes 6 ans qu'un autre homme est rentré dans ma vie. Je ne comprenais pas tout ce qu'il se passait, mais je savais que Nate, c'était mon nouveau frère. Je m'en souviens comme ça. Ma famille est la prunelle de mes yeux. Les trois hommes de ma vie et ma mère.
Ma mère, je crois qu'elle ne m'a jamais réellement compris, mais c'est grâce à elle que je suis resté une femme dans cette famille essentiellement composé d'homme. J'ai trouvé un certain équilibre grâce à ma famille.
Vers l'âge de 12 ans, je me suis mis à mettre mon envie de bricoler sur les ordinateurs, mon père m'avait ramené un vieux de la décharge et je l'ai réparé pour en faire un ordinateur de la famille. Je commençais petit à petit à voir beaucoup de possibilités. C'est comme ça qu'à 15 ans pour me faire un peu d'argent de poche, je me mettais à réparer des ordinateurs chez les gens certes mes parents n'étais pas les plus pauvres, mais j'aimais cette idée de pouvoir subvenir à mes besoins moi-même. Je suis ce qu'on peu appeler une autodidacte. . C'est la même année qu'on m'a trouvée une maladie assez problématique, l'endométriose qui rendait mes règles affreusement douloureuse, surtout vu mon type d'endométriose, j'ai été diagnostiquer stérile, c'est assez perturbant, mais à 15 ans on ne pense pas trop à ce genre de chose, alors je l'avais rangé dans un coin de ma tête. Ce n'était pas qu'une informatique que j'étais doué, le reste me paraissais simple, pas aussi simple que les ordinateurs, mais quand même. Alors j'ai eu la chance de pouvoir entré a Oxford en même temps que mon frère.
Ma première année d'étudiante se passait pas mal, je me concentrais sur mes études, je n'osais pas trop aller aux soirées, je me faisais un réseau pour réparer les ordinateurs. C'est en deuxième année quand j'ai commencer à me faire des amies que j'ai assisté a la première soirée en Novembre exactement, je me rappel du mois parce que c'est au début du mois de décembre que j'ai eu des nausées, je pensais avoir attrapé une gastro, mais ça durais et je n'avais pas de fièvre c'est en allant chez le médecin et après une prise de sang que j'ai su qu'à 19 ans j'étais enceinte, c'était un choc vu mon infertilité.
J'ai vécu ma grossesse seule, a 19 ans, c'est mal vue d'être enceinte et célibataire. J'évitais mes parents. Les fêtes de fin d'année avec ma famille sans problème, je me suis juste arranger pour faire croire que je n'avais pas envie de boire. C'était bien plus simple que dissimuler une grossesse si j'avais eu un gros ventre.
Je savais que ma mère avait pris la décision d'abandonner Nate, c'était pour moi hors de question de faire adopté l'enfant que je porte. Je sais que ce ne serais pas simple, mais en mettant ma famille devant le fait accomplie, jamais ils ne pourront me forcer à faire adopter mon bébé. J'avais cette intuition, cette enfant serait la plus belle chose de ma vie, surtout que les médecins ne comprenait pas comment ça avait pu arriver, alors je ne comptais pas laisser passer ma seule chance d'avoir un enfant. Par contre hors de question de faire face a ma famille avant l'accouchement parce que je sais que mon père pourrait me faire abandonner mon idée parce que je ne lui refuse rien. Cacher cette nouvelle à ma famille fut une grande source de stress. Je ne devais pas prendre trop de poids, je disais à mes parents que j'étais débordé par les études. J'ai eu de la chance que Tristan parte en échange pour les mois les plus dure a cacher. Nate lui était à Boston alors pas de problème pour lui cacher les appels ou les face times me permettais de cacher facilement mon ventre. Mon autonomie financière me servait bien pour faire les premiers achats pour la petite princesse qui grossissait dans mon ventre.
D'ailleurs, Nate a été celui que j'ai appelé au moment de l'accouchement, je ne voulais pas être seul et je savais que lui serait de mon côté. J'avais peur de leur réaction à tous, mais j'étais sur de ma décision de la garder.
Une petite princesse pointait le bout de son nez, une petite merveille que je trouvais magnifique, je n'avais d'yeux que pour elle-même si cette grossesse avait été une grosse source de stress.
Le prénom Emma m'était venu spontanément. . Les premiers jours à la maternité, j'étais une boule d'hormones fatigué, les infirmières et corps médical m'ont bien aider. C'est en rentrant dans mon appartement que je me rendais compte que les choses n'étaient pas simple, j'étais épuisé et tout retombais le stress tout. La petite ne faisait que hurler, je ne comprenais rien. Je ne trouvais pas ce qu'elle voulait, elle était propre et elle avait manger. Je ne dormais plus. Je n'arrivais plus à rien faire.
Je n'étais plus que l'ombre de moi-même entouré de couche sale, d'ailleurs, j'avais l'impression que cette odeur ne me quittais plus. J'étais en pleine dépression.
En ce jour de septembre je n'en pouvais plus, je devais travailler sur les cours à venir cette année. Je ne pouvais pas, la petite ne faisait que me vriller les oreilles. Je ne pouvais jamais avoir la paix.. J'avais réuni ses affaires en vrac dans une valise fait la mienne et j'ai tout déposé devant la porte de la seul personne que je savais pourrais s'en occuper correctement, mon Nate. J'avais absolument besoin d'aire et je savais que lui pourrait s'en occuper et il ne l'abandonnerait pas. J'avais peur que mes parents le fassent si je leur avais laissé.
Je n'avais pas un budget illimité alors j'avais trouvé un poste en informatique sur new york pour me faire un peu d'argent et une pause. Je n'étais pas si loin et en même temps, je n'avais plus peur de faire du mal a Emma, je savais qu'avec lui, elle était en sécurité. C'est après trois mois de travail et de vie new-yorkaise que ce jour funeste est arrivé.
Le jour ou j'ai cru que mon cœur allait s'arrêter. Je voyais les informations, un attenta avait eu lieu à Harvard. Je pensais immédiatement à Emma et Nate, j'étais dans un café quand j'échappais un crie d'horreur.
Je sortais du café en attrapant mon sac, je sautais dans un taxi pour rentrer chez moi prendre ma voiture. JE ne savais pas ce que je faisais, je n'avais pas les idées claires mais mon corps, ma tête, mon Coeur me disait que je devais être là bas, au près de ma famille. Je ne pensais absolument pas à ce que j'avais fait a Nate en laissant ma fille là bas. Je pensais qu'a une chose à lui et ma fille. Une fois dans ma voiture je m'enquillais les quatre heures de route sans réfléchir. Je devais être là pour ma fille, ce petit bout de vie qui n'a que quelques mois...