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(ainsvic) - the truth untold

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j’suis agacée. probablement parce que j’ai pas spécialement l’habitude qu’on me parle comme ça. qu’on me traite de la sorte. et pourtant, je sais que venant de yaron, c’est pas spécialement de la méchanceté qui en émane. disons juste que.. c’était pas le moment. j’ai confessé être vierge, c’était pas pour entendre suce ma banane grosse dinde. j’me dis qu’en fait, là, on a atteint le comble de l’irrespect. résultat, j’ai fini par bloquer le numéro préférant rager dans mon coin et ne plus recevoir ce genre d’insanité. et j’suis tellement frustrée que je finis par utiliser mes clés pour passer la nuit dans la salle d’attente du cabinet du docteur solano, juste pour ne pas avoir à rentrer chez moi. et c’est aux aurores, avec peut être deux heures de sommeil que je me retrouve à arpenter les rues de boston pour finalement rentrer dans l’appartement où je suis plus souvent prise pour la boniche que pour un être humain. putain dylan, j’te hais par moment d’être parti comme ça. supporter yaron, c’était grave compliqué par moment. même là, j’avais tout sauf envie de le croiser. et pourtant, je déverrouillais la porte, traînais des pieds dans l’entrée, jusqu’à voir l’idiot l’air plus qu’en colère. « commence pas hein » je préfère prendre les devants avant que tu me prennes la tête. et pour la peine, je passe devant toi l’air de rien pour m’engouffrer dans le couloir et accéder à ma chambre. mon dieu, mon lit. meilleure chose au monde. et je m’écroule dessus sans même prendre la peine de retirer mes chaussures, ou de fermer la porte. t’as plutôt pas intérêt à venir m’emmerder là de suite.

@yaron abramovic
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Addison & Yaron

Je suis un gros con. Je le sais. Je le cache pas, j'en joue même parfois. Et ce soir j'ai été sacrément con visiblement. Tu m'as avoué que tu étais vierge et moi la seule chose que j'ai trouvé à faire c'est de te dire "suce ma banane grosse dinde" C'est sorti tout seul, c'était presque pas contrôlé. J'suis un gros lourd, qui fait des blagues de gros lourd, comme Dylan quoi. Alors cette fois-ci, je suis allé trop loin puisque apparemment t'as fait le choix de bloquer mon numéro pour que je ne puisse plus te joindre. Au début, je me dis que c'est pas grave, je vais attendre que tu rentres et j'te balancerais entre deux pompes que c'était pour rire. Sauf que voilà 23 heure et t'es toujours pas rentrée. Normalement, à 21 heure, t'es dans ton lit avec ton pyjama dégueulasse en pilou-pilou, ton pisse mémé et ton masque noir sur la gueule. Là, t'es pas là et c'est pas normal. Alors j'me cale dans le canapé et j'te bombarde de sms auxquels tu ne réponds toujours pas. Je commence à paniquer, je sais pas ce que tu fais, peut-être que je t'ai vraiment blessé et que t'es partie oublier ça dans un bar avec des tas de mecs qui te regarde comme si t'étais un bout de viande. T'avais peut-être des problèmes et j'aimais pas trop cette idée. Je me fais un café, puis deux, puis trois.. Je zappe les chaînes de la télé pour essayer de me garder éveillé. Vers trois heures du matin, je fais les cents pas. Je suis en train de devenir fou. Et alors que je commence à m’assoupir sur le canapé, j'entends la clé qui tourne dans la serrure de la porte et j'te vois passer dans le couloir me gratifiant d'un "commence pas hein". J'me lève d'un bond et je te suis jusque dans ta chambre. « Commence pas quoi ? Putain Addison t'as vu l'heure ? » J'suis soulagé que t’aille bien, mais je suis vraiment en colère t'as même pas conscience. « T'étais où ? Tu recommences plus ça, pas rentrer de la nuit, bloquer mon numéro. T'es débile ou quoi ? » J'essaie de ne pas perdre mon sang froid, parce que c'est pas moi, mais tu m'as vraiment fait peur Addi !


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de toute façon, j’ai pas envie de te parler. si j’avais voulu le faire, j’aurais pas bloqué ton numéro. et puisque je l’ai fais, je trouve que ça reste assez significatif de mon état d’esprit. preuve étant que j’ai préféré passé la nuit loin de l’appartement quitte à ne pas savoir où aller plutôt que de te voir. alors même si je viens de rentrer, même si t’as visiblement pas fermé l’oeil de la nuit, je m’en fiche royalement. je ne veux pas savoir, je ne veux pas t’entendre et c’est un long soupir qui sort de ma bouche quand je constate que t’as rien eu de mieux à faire que de me suivre. alors lentement, je me redresse de sorte à me retrouver en tailleur sur mon lit, les yeux qui se lèvent au ciel signe de l’agacement que tu procures sur ma personne. « et ? » jusqu’à preuve du contraire, je fais encore ce que je veux que ça te plaise ou pas. je crois pas avoir de couvre feu ni besoin de justifier ce que je fais et à quelle heure je rentre. même si ça sort de mes habitudes. « de quoi tu te mêles ? » non mais parce que clairement, j’ai pas de compte à te rendre. si je veux passer les prochains jours à découcher, je le ferais et t’es certainement pas en mesure de venir me demander quoi que ce soit. « t’es pas mon père yaron, bouge de là. » je lance même un coussin dans ta direction comme si ça pourrait suffire à te faire déguerpir. l’espoir fait vivre, non ? parce que dans le fond, je sais que tu vas pas bouger et que quand tu décides de me faire chier, y a plus ou moins rien susceptible de t’arrêter. « t’as besoin que je répète ? » non mais je te jure, j’suis vraiment pas d’humeur. tes blagues sexistes, je les entends à longueur de journée et je les supporte. que tu te foutes de ma gueule, par contre, ça passe beaucoup moins bien. that’s all.
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Addison & Yaron

J'ai passé la nuit à me faire un sang d'encre pour toi et tout ce que tu trouves à faire quand tu rentres à pas d'heure, me voyant déjà réveillé, c'est de me remballer ? Tu t'es cru où petite princesse ? T'as cru que tu pouvais me faire peur comme ça et rentrer comme si de rien était ? J'accepte pas que tu me parles sur ce ton, pas après la frousse que tu m'as foutu. Alors même si je déteste montrer ce que je ressens et que montrer son inquiétude, c'est montrer qu'on tiens aux gens, ce soir c'est trop, je dois te faire savoir que tu m'as rendu fou. Toi tu fais la meuf agacée, la meuf soulée qui veut qu'on la laisse tranquille mais c'est hors de question que je te laisse tranquille. Alors je te suis dans ta chambre et je refuse de la quitter tant que tu te seras pas mis en tête que ce que tu as fait ce soir c'était idiot ! « Fais pas comme si on était des inconnus. Je pense à ta sécurité moi, contrairement à toi qui est totalement irresponsable. T'as vu le quartier dans lequel on vit ? » Je passe ma main sur mon crâne tout en me mordant la lèvre. Si je t'engueule c'est parce que j'ai eu peur qu'on m'apprenne qu'il t'étais arrivé un truc. Mais comment tu veux que je te le fasse comprendre, toi t'es en colère et moi aussi. On est deux handicapés. « Non en effet parce que t'as plus de père. Dylan est parti, tu vois ton frère dans le coin ? Non. Donc y a que moi. Et je peux pas te protéger si tu te casses dans la nuit et que tu me réponds pas. » Tu balances un coussin dans ma direction, je l'esquive et le ramasse. Je le sers très entre mes mains pour exprimer ma rage, parce que je peux pas faire ça avec toi, j'te blesserais, j'te briserais même. « Je crois que c'est toi qui a mal entendu Addison. Tu ne recommences plus jamais ça c'est comprit ? » Être coloc c'est pas juste manger dans la même pièce et partager un loyer. Par pour moi en tout cas. J'ai l'impression de devoir veiller sur toi tu comprends ? T'es si .. fragile et tu découvres le monde avec tes grands yeux d'enfants. Je ne peux pas me permettre de te laisser tomber sur des personnes qui pourraient t'aveugler. Alors je suis en colère. Parce que tu as décidé d'être irresponsable mais aussi parce que tu ne comprends pas que je fais ça pour ton bien.



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puis je m’en fous de ce que t’as à dire. je me fous que tu ne sois pas content de ma désertion de cette nuit. j’ai pas de compte à te rendre. j’ai pas à te prévenir de l’endroit où je peux être ni de quand est-ce que je rentrerais. et si t’as pas envie d’accepter ça, c’est pas mon problème. j’ai déjà des frères qui se chargent du boulot à ta place, t’as clairement pas besoin d’en rajouter. alors ouais, la leçon de morale, je m’en passerais clairement. je ne suis pas une enfant de quinze ans que tu peux réprimander après une soirée trop arrosée. dans le fond, je ne suis rien d’autre que ta colocataire et partant de là, tu fais ta vie et moi la mienne. à aucun moment je ne t’ai demandé de me rendre des comptes, t’as pas à le faire de ton côté non plus. « ouais, ce serait vraiment triste s’il m’arrivait quoi que ce soit, tu devais chercher une autre femme de ménage. » parce que c’est comme ça que tu me vois, pas vrai ? à faire le ménage, la cuisine et toutes les autres tâches que tu m’assignes sous prétexte que je suis une femme. garde donc tes réprimandes et préparer toi le petit déjeuner comme un grand au lieu de venir jusqu’à ma chambre pour me prendre la tête. puis soudainement, tu vas trop loin. j’ouvre la bouche pour rétorquer mais les mots restent coincés dans ma gorge alors que j’accuse le coup des paroles que tu viens de prononcer. plus de père. terriblement vrai. mon géniteur m’a abandonné et celui ayant bien voulu de moi est mort des années plus tôt dans un accident de voiture où j’étais présente. mais c’est moche de dire un truc comme ça. puis peut être que c’est la fatigue qui prends le dessus mais mes yeux, ils s’embuent de larmes. la lèvre inférieure qui tremblent et moi qui quitte mon lit m’approchant de toi pour essayer de te pousser à l’extérieur de cette pièce qui est mienne. « j’te déteste t’entends ? j’te déteste » que je suffoque dans une crise de larmes. t’as tellement pas le droit de dire des trucs comme ça.
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J'ai envie de mettre une droite dans la porte mais j'ai pas la thune pour réparer alors je vais me contenter pour le moment de te crier dessus. T'es totalement irresponsable et ça commence à me casser les couilles. Tu t'en rends pas compte ou alors t'es juste trop conne mais quand on est une jeune femme de ton âge, avec un physique avantageux, on s'amuse pas à trainer dans les rues la nuit. Surtout dans notre quartier. Et je m'en branle que tu te sois mise à l’abri, pour moi tu l'étais pas et ça me suffit à t'en foutre pleins la gueule. « Je m'en bas les couilles du ménage putain, arrête de jouer à la conne avec moi et réfléchis deux secondes à ce que tu viens de faire.   » Je sens que ça monte, la colère elle est là au bout de mes doigts. J'arrive pas à la canaliser, je la sens qui se propage dans chacun de mes muscles. « Putain » que je gueule en mettant un énorme coup de poing dans la porte au point de la transpercer. Oups, j'ai pas été très long sur ce coup. Je me tourne vers toi, le regard noir, les veines apparentes le long de mon cou. « Je ne me répèterais pas Addison. Ne recommence jamais ce que tu viens de faire. » Je te fais peur ? Tant mieux. Tu m'as rendu fou ce soir. Tu me connais pas, tu connais pas ma vie, ce que j'ai pu faire ou voir, endurer ou subir. Tu n'imagines même pas toute la noirceur qui pollue mon âme. Alors ne t'amuses surtout pas à jouer avec mes nerfs. C'est pour toi que je fais ça. Et je suis tellement énervé que je sors la phrase de trop. Je te dis que en effet t'as pas de père et alors que je pensais que tu allais encore faire l'ado rebel, tu te contentes de te lever de ton lit, de faire tout ton possible pour me pousser hors de ta chambre, mais tes petits coups de poing sur mon torse ne me font pas bouger une seule seconde. Tu me dis que tu me déteste et je ne remarque pas encore que tu pleures. « Arrêtes de faire l'enfant un peu et reprends toi.   » C'est quand j'attrape tes poignets pour que tu cesses de me frapper que je remarque les larmes sur tes joues. J'me bloque. C'est moi qui t'ai fait pleurer ? C'est tout ce que je ne voulais pas. Je voulais juste te protéger moi, je voulais éviter qu'un mec te fasse pleurer, et ce mec c'est moi. Oh Addie pardonne moi. La colère laisse place à la déception. « Slih'a »  Trop compliqué à dire dans ta langue, trop difficile à assumer devant toi, je m'excuse en hébreu parce que l'important c'est de le faire.


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t’es qui pour te permettre de me balancer des trucs comme ça ? j’veux dire.. j’ai rien signé moi. quand j’ai emménagé ici, il n’a jamais été question de rendre des comptes sur mes déplacements ou autres conneries du genre. alors t’es gonflé de me faire la guerre quand je rentre pas de la nuit. encore plus quand t’es fautif de cette désertion. et ouais, les mots que tu prononces, ils sont beaucoup trop déplacés. bien sûr que j’ai pas de père, j’en suis parfaitement consciente, t’étais juste pas obligé de me l’envoyer en plein visage de la sorte. « tu réfléchis toi ? à ce que tu dis et à ce que tu fais ? » c’est tellement culotté de ta part de me faire la morale alors que putain, t’es le premier à m’avoir manqué de respect. à pas avoir mesuré l’ampleur de tes mots à mon encontre. sale con. et tu frappes contre la porte me faisant sursauter au passage. « je fais ce que je veux » que ça te plaise ou que ça ne te plaise pas. et si t’es pas capable de l’entendre, si t’as pas envie de me foutre la paix, je me trouverais un autre appartement, t’en fais pas pour moi. j’ai toujours été débrouillarde, j’ai clairement pas besoin de toi pour avancer dans la vie. sauf que tu vas trop loin. tu vas beaucoup trop loin et j’peux pas encaisser ce genre de truc. je bouillonne de rage et en même temps, tu me blesses. au point de faire rouler des larmes sur mes joues. alors je décharge ce que je ressent en te tapant dessus à répétition. encore et encore comme si ça suffirait à tout évacuer. puis t’attrapes mes poignets, me traitant une nouvelle fois comme une gosse et moi, j’pose mes grands yeux bleus sur toi, la vue toujours brouillés par la quantité d’eau pouvant s’échapper de mes prunelles. « je te déteste » que je sanglote une nouvelle fois, la respiration saccadée. « va t’en » juste va t’en.
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