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Je suis ton antidépresseur et gratuit en plus || June

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Je suis ton antidépresseur et gratuit en plus || June  3123613613_1_9_4aKT2g4H

J'entendais mes respirations plus ou moins intenses. Pas gênante ,enfin j'espère, pour la personne à côté de moi ! Car oui encore une fois je n'étais pas seul dans le lit. J'ouvris mes yeux avant que ceux-ci se referme en contact avec la lumière du jour. Je frotta mes yeux puis passa les mains sur le reste du visage pendant une dizaine de secondes avant de faire une nouvelle tentative de réveil. Je finis par ouvrir les yeux, mais ne différencier pas tous les objets autour de moi. Je clignais des yeux lentement puis mes yeux me firent comprendre que je me trouvais dans une chambre d'hôtel. Je me tournais pour voir la tapisserie grise de la pièce. J'avais déjà séjourné ici. Quand et ou ? Là est la question ! Je me regarda ensuite moi à moitié dénudé, il ne restait que mon boxer noir.

Pas de surprise, je savais avec qui je venais de passer la nuit. Hier, je n'avais pas bu et ma partenaire non plus d'ailleurs ! Ça faisait un certain temps que je n'avais pas bu au point de ne plus me souvenir. Enfin peu importe et puis de toute façon ce temps "d'abstinence" ne durera pas longtemps. En parlant de ma partenaire, je me tournais vers elle. C'était la belle June, une Lowell, cheveux noirs et long, plutôt sexy ! Je la connaissais un peu avant qu'elle m'aborde hier soir. Elle n'était pas bien, elle avait l'air déprimé ? Je ne savais pas pourquoi, à vrai dire on a pas vraiment discuté hier soir. Je soupirais légèrement en la voyant dormir.

Je me levais du lit discrètement pour ne pas la sortir de son rêve ... ou de son cauchemar. Mais apparemment elle avait un sommeil léger, car en me levant cette dernière ouvrit les yeux. J'enfila tout de même mon jean avant de me retourner vers elle. "Bien dormi ?" Elle devait être honoré que je lui pose cette question, généralement je ne dis rien aux filles qui passent dans mon lit. Mais comme je la connaissais un peu et qu'elle m'avait donné une bonne impression je lui accordais ces quelques mots ! Je chopa mon tee-shirt pas loin et mis mes bras dans les manches. "T'avais pas l'air bien hier tu veux tout raconter ?" Nan, ne croyais pas que je m'intérresse à elle, c'est juste histoire d'être poli.
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    Hier soir je ne sais pas ce qui m’avait pris, enfin si au contraire, je savais très exactement ce qui c’était passé. J’étais complètement déprimé, mais ça, ça faisait deux semaines que j’étais déprimé donc c’était pas une nouveauté et comme d’habitude je compensais avec la nourriture. Je mangeais beaucoup pour oublier mes chagrins, le problème c’est que j’avais déjà pris plus d’un kilo et demi alors que j’étais enceinte de trois semaines, c’était déjà beaucoup trop. J’étais sortie un peu, c’était la première fois que je sortais le soir depuis ma séparation avec River, les jours précédents j’avais préféré passer mes soirées à regarder des films seules ou bien à pleurer dans le bras de mes amis. Mais hier, j’avais été à une soirée où il y avait beaucoup de mather. Je ne connaissais pas beaucoup de mather parce que…parce que j’étais plus du genre à apprécier les Quincy ou alors les Cabot, bref une confrérie sans histoire où il ne se passait jamais rien. Les mather étaient plutôt connus pour être des grands fêtards, des grands baiseurs et…je crois que c’était le cas. En tout cas j’avais finit la soirée dans un hôtel plutôt miteux en compagnie d’un garçon que je connaissais très peu mais que j’avais déjà vu à Harvard, il s’appelait Batiste. Et il avait l’air scandaleusement…jeune. Je ne sais pas où j’avais eu la tête hier mais certainement pas à sa place car je ne comprenais pas comment j’avais pu coucher avec un mec que je connaissais à peine…Pour moi faire l’amour avec un garçon avait toujours été un truc super importante que je faisais que quand j’étais super amoureuse et en couple et là…là j’avais couché avec un mec, un inconnu. Cela me paraissait insensé et complètement illogique. Dès que j’eu un œil d’ouvert, je bondis du lit comme une petite puce comprenant la vérité. Cela me terrorisait, j’étais bien consciente de mes actes hier…mais aujourd’hui était un jour bien différent. J’avais pris le drap contre moi me levant du lit et je le regardais comme une sorte de petite fille qui avait fait une bêtise : « Heu…rassure moi t’as bien mis une capote ? ». Oui dans le feu de l’action je n’avais pas fait gaffe et maintenant cette question me paraissait presque existentielle. Je ne voulais pas choper une maladie transmissible en plus d’une grossesse, enfin ce qu’était bien c’est qu’étant enceinte je pouvais pas avoir un goss du premier mec qui passait par là…Quelques instants plus tard il me demandait ce qui me tracassait. J’avais pas envie de lui raconter ma vie et de pleurer, ce qui m’arrivait tout le temps lorsque je pensais à River. Je me rassis alors dans le lit, un peu honteuse, mais de toute façon les choses étaient faites et je devais juste les assumer. Je lui dis alors, avec humour, ne voulant pas trop expliquer ma situation : « Tu veux vraiment savoir sachant que ça contient les mots : bébé, rupture et gay ! ». Autant le prévenir, mon histoire n’était pas très sympa à attendre et encore moins à vivre ce qui expliquait peut être ce que je faisais dans son lit !
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Certes, je n'avais pas une très grande estime de moi en temps normal, mais je savais que malgré tout, j'avais mon petit charme. En tout cas, j'avais une assez bonne gueule d'ange pour avoir ramener toutes ces nanas dans mon lit. Le soir, quand j'étais déprimé, j'allais dans les bars et j'prenais la première qui me faisait des petits clins d'oeil. Ca avait le don de m'exciter et de m'attirer à elles ce genre de conneries.. Et puis, y a des soirs où il suffisait que je sorte de la Mather House et je me servais à Harvard. Peu de gens voyaient ce séducteur derrière mon côté angélique et j'dois avouer que ça m'arrangeait par moment. Au moins, quand elles venaient me parler ces jolies et jeunes étudiantes pour la plupart, elles s'attendent à quelqu'un de sympathique. Et sont plutôt agréablement surprises quand je les emmène avec moi. J'avais jamais connu l'amour. C'était quoi même ? Une notion dérisoire ? Un espèce de fantasme sur l'autre qui est additionné avec des sentiments ? En réalité, c'est de la peur l'amour. La peur de se retrouver seul à tout jamais, de vieillir seul et de n'avoir personne à ses côtés pour ses dernières années, mois, jours. C'est juste de la peur. C'est de l'illusion. Suffit de regarder la vie de nos jours. Combien de personnes se mettent en couple trop rapidement, se marient et font des gosses ? Beauuuucoup. Et maintenant, parmi ses personnes, y en a combien qui tiennent le choc des.. deux ans on va dire ? Extrêmement peu. Okay, j'ai une vision pessimiste de l'amour, je le conçois. Mais est-ce que quelqu'un peut contredire un seul de mes arguments ? Non, je pense pas, je me base uniquement sur des faits réels, des statistiques.

Bref, tout ça pour dire que le sexe, beh, c'est la vie en quelques sortes et que je m'en lasserais jamais. June, à vrai dire, je m'en fichais de A à Z d'elle, de sa vie. Tout ce qui m'intéressait c'est que désormais, elle parte de ma chambre, pour que j'puisse nouveau dormir. A vrai dire, j'avais déjà fait bien dans les politesses en lui adressant la parole. J'suis pas londonien et j'suis donc certainement pas un gentleman (ouuuuuh les clichés xD) « Heu…rassure moi t’as bien mis une capote ? » Je déplia mon t-shirt et passa un coup de main vite fait dessus, dans un réflexe débile, tout en souriant. Qu'elle était naïve c'est pas possible. Je me tourna vers elle et la regarda avec un air qui se voulait stoïque, inexpresif. Hum.. nan, dans le feu de l'action, j'y ai pas pensé ma belle.. Et je retourna à mes affaires, pour m'habiller. Je me doutais bien de sa réaction, de l'expression de son visage, choqué. Rhoo si on a pu le droit de rigoler, qu'est-ce qu'on a le droit de faire hein ? C'est pas comme si j'allais la revoir prochainement, donc autant qu'elle profite de mon sens de l'humour. Nan, mais je déconne hein ! J'veux pas de gosse avec toi, sans vouloir t'offenser. Huhu. Voilà qui était fait ma foi.

Je ramassa une de mes chaussettes par terre. Wow. C'était la première fois où j'avais eu le reflexe de l'enlever. D'habitude, je la gardais, ne pensant absolument pas à la retirer. C'était un tue l'amour c't truc quand on y pense sérieux. Ses chaussettes.. alors qu'on est nus. C'est spécial. Alors que je me renseignais sur ce qui n'allait pas chez elle, celle-ci me répondit plutôt rapidement. « Tu veux vraiment savoir sachant que ça contient les mots : bébé, rupture et gay ! » Ce fut plus fort que moi : je ris. Bon sang, y a quand même des gens qui sont frappés et qui s'engagent dans des histoires de masos. Eeeeeeerk.. ça veut dire que j'ai ouvert mon lit à une femme enceinte, c'est ça le truc ? Okay, je crois que j'avais exagéré ma tête de dégouté mais c'était pour la mettre encore plus en confiance. Je me contrefichais de sa vie mais disons que cette histoire allait sûrement me faire rire alors autant qu'elle croit que j'veux la rassurer pour qu'elle me raconte tout rapidement. Bien sûûûûûr que j'veux savoir voyons !
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Je suis ton antidépresseur... feat E. Baptiste Rys-Wayans


Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait en ce moment pour que j’ai un inconnu dans mon lit, je n’avais été jamais du genre à coucher avec le premier venu. J’avais couché avec 3 mecs dans ma vie, je n’avais eu que des relations sérieuses mais apparemment j’étais bien parti pour avoir des petites histoires sans importance. Cependant je n’en revenais toujours pas d’avoir fait ça avec un inconnu pour moi le sexe c’était un acte d’amour, en plus j’étais énormément complexé par mon corps et c’était gênant pour moi qu’un un inconnu me matte ou me touche. J’étais très honteuse surtout par rapport à mes cicatrices sur le ventre, cela reflétait une grosse partie de mon passé, mon enfance avec mon père schizophrène qui m’avait faillit me tuer alors que j’étais une toute petite fille. J’avais reçu quelques coups de couteaux mais par miracle je m’en étais sorti, depuis mon père était en hôpital psychiatrique et je ne le revoyais que très peu. Je lui avais pourtant adressé un message pour ma grossesse et il m’avait répondu, il avait l’air d’aller un peu mieux selon ce qu’il me disait dans sa lettre. Pourtant je n’avais pas beaucoup d’attache pour cet homme, il était complètement dans une autre planète que nous et il avait faillit me tuer alors finalement…je ne pouvais pas dire que je l’aimais.

Bref, j’étais là dans ce lit et je m’étais mise à paniquer, oui, j’avais très peur de ce qui pouvait se passer par la suite, je devais assumer ce que j’avais fait mais cela me faisait peur. Il me dit d’abord qu’il n’y avait pas pensé et j’ouvris grand la bouche ! Non j’en revenais pas, je ne comprenais pas pourquoi il avait fait ça, je repensais à ma mère et je ne voulais pas mourir comme elle. Mais quelques secondes plus tard il me dit qu’il plaisantait, j’aurais pu rire mais ce n’était pas du tout drôle à mes yeux. Je lui répondis alors en riant à mon tour mais c’était plutôt pour me foutre de lui qu’autre chose, il pensait que la pire chose qui pouvait arriver c’était d’avoir un enfant mais c’était impossible pour moi car j’étais déjà enceinte, je décidais alors de lui foutre un peu la trouille : « Tu sais, ma mère avait le sida, alors un gosse, c’est rien du tout à côté ! ». Là je sens qu’il allait avoir très peur, mais je n’avais pas le sida bien sûr ma mère avait eu un traitement durant sa grossesse. Elle avait été contaminée par le sida lors d’une transfusion quelques temps avant d’être enceinte, elle était morte l’année de mon bac. Je lui avais parlé de bébé par la suite et il en avait conclu que j’étais enceinte, c’était vrai mais il me fit une mine dégoutée, je ne comprenais pas. Ce n’est pas parce que je portais un enfant que je ne pouvais pas coucher avec quelqu’un même si en général on couche avec le père de l’enfant pendant au moins 9 mois parce que quand on fait un enfant avec quelqu’un on est prêt à construire sa vie. Mais malheureusement, il m’avait plaqué comme une merde donc je pouvais bien allait voir ailleurs. Je le regarde alors avec une mine déconfite : « Oui et c’est quoi le problème, je suis enceinte mais pas contagieuse tu sais ! ». Je ne comprenais pas vraiment cette réaction mais peut être qu’il plaisantait, je ne savais pas trop. Je lui racontais quand même l’histoire puisqu’il semblait un minimum intéressé…Je lui répondis donc : « Et bien je suis enceinte et je me suis fait plaqué par mon mec qui…qui est amoureux d’un autre mec et…et puis j’avais jamais couché avec quelqu’un sans sentiment…c’est pas moi…. ». Je me sentais mal à l’aise en lui disant cela, c’était des choses assez personnelles mais c’était vrai pourtant. Je ne sais pas si j’avais raison de lui faire confiance…
code par (c) eylika. photo de we heart it.




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