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LETICIA DELGADO ► hilary duff

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Leticia Delgado

  • 16 janvier 1989
  • Massachusetts General Hospital, Boston
  • 30 ans à arpenter les rues du quartier qui l'a vu naître, à mettre les pieds dans le sable en se promenant à Carson Beach lors des chaudes soirées d'été, à admirer la lumière des porches des maisons de sa rue une fois la nuit tombée.
  • Américaine pure souche. Même si l'on pourrait sans peine lui prêter des racines communes avec le pays de Marco Polo, au regard de son amour inconditionnel pour la cuisine italienne.
  • Leticia n'aime que les hommes. Peut-être un peu trop et trop vite. La chute n'en est à chaque fois que plus brutale. Leti a du mal avec la solitude. Grandir sans frère, ni sœur ; faire des études en ligne, chaque petit fragment de sa vie lui rappelle que la solitude la guette. Pour avoir l'impression de remplir un minimum sa vie, elle a tenté l'application Tinder. Quelques matchs, quelques rendez-vous, une ou deux nuits aussi. Ce mélange de honte et d'audace au réveil. Cette passade n'aura duré que quelques semaines. A la vraie vie, elle lui préfère parfois les héros des livres qui ont la chance de passer entre ses mains.
  • Sa vie privée suit une courbe sinusoïdale. Elle n'a eu que peu d'histoires qui ont vraiment compté. Trop souvent déçue, elle se retrouve généralement seule dans son lit. Aucun des amoureux de Leti n'a d'ailleurs posé un seul orteil sur le carrelage de la maison familiale. Utopiste ou pas, elle s'imagine qu'elle saura lorsque le moment sera venu. Lorsqu'elle aura croisé la route de la bonne personne.
  • Les parents Delgado n'ont jamais roulé sur l'or, vivant sur le salaire d'un petit garagiste-dépanneur à son compte et d'une traductrice pigiste. Leti' ne sait que trop que les bonheurs les plus simples sont souvent les meilleurs.
  • Actuellement employée dans une petite librairie indépendante, postée à quelques centaines de mètres du port. Lorsque Leti' ne s'occupe pas de remettre de l'ordre en tête de gondole, elle voit passer les bateaux par la grande baie vitrée de l'établissement.

   
LETICIA DELGADO
Leticia pourrait presque avoir le plan de South Boston gravé sur la rétine. Née à l'hôpital de Boston, ses premiers pas l'ont conduite dans les rues résidentielles du quartier familial, bercées par le bruit des ballons de basket et des lointaines sirènes du poste de police. Petite déjà, retenue par les mains de ses parents, elle aimait la sensation du sable de Carson Beach qui lui glissait entre les doigts de pied. Celle du vent qui soulevait ses cheveux, soudainement rebelles. Ces moments qui avaient des allures de vacances, celles que les Delgado n'avaient jamais pu s'offrir. Dès que Leti' fut en âge de marcher comme une grande, alignant pied droite et gauche avec une adresse qui avait de quoi rendre fiers ses parents, les Delgado instaurèrent ce qui deviendrait leur rituel au fil des années. Celui de pousser la porte du restaurant italien, situé sur le front de mer. Insalata, pasta... depuis le temps, Leticia a eu largement de faire le tour de la carte. 20 ans qu'ils se retrouvent dans ce restaurant. Même partie de la maison familiale, c'est l'une des traditions sur laquelle Leticia n'est pas prête à faire des concessions. Son quartier préféré restera toujours le port avec ses allées et venues de bateaux, ses boutiques typiques ayant pignon sur rue, ses commerces de proximité que Leticia connaît sur le bout des doigt. L'atelier de réparation/dépannage de son père n'est qu'à quelques pas. La bête noire de Leticia, ce sont les touristes avalés puis recrachés par des dizaines de bateaux de tourisme – une fois l'été installé.
(1) Gourmande. Sucré ou salé, son palais aime tout. Tant et si bien qu'elle est la contradiction incarnée, capable de faire une halte à la boulangerie après une session de course à pied. Elle voue un culte à la cuisine italienne (y compris leurs vins) et au coca. Elle ne peut, par contre, plus regarder un yaourt glacé en face depuis qu'elle en a vendu par centaine lors d'une emploi saisonnier.(2) Femme de caractère, Leti est aussi rancunière que râleuse et obstinée. Si vous avez le malheur de perdre sa confiance, il est quasi-impossible de la récupérer. Franche, elle démarre au quart de tour et il lui arrive souvent d'être vulgaire. Putain et merde font allégrement partie de son vocabulaire. (3) Ne lui parlez surtout pas de la politique de Trump. Cet homme, elle l'a en horreur – pensant notamment qu'il représente tout ce qui va mal dans leur pays. Voir un Trump misogyne et autocentré à la maison blanche, après un Obama social et empathique, lui hérisse le poil. (4) Life de Des'ree ou Don't Stop Believin' de Journey sont quelques-unes de ses chansons préférées, tournant en boucle lorsqu'elle trouve le courage de mettre le nez dehors pour faire son footing matinal. Seul sport gratuit dans les environs, elle pratique de façon plutôt décousue, en fonction de son humeur et de son emploi du temps. (5) Empathique et entière, Leti' a tendance à tout prendre à cœur, pouvant passer du rire aux larmes en une fraction de secondes. Adepte du « courage, fuyons » et facilement touchée par les conflits, Leti essaye de les éviter au maximum. (6) Sort rarement sans un bon livre, ses écouteurs et son baume à lèvres dans son sac. La musique et la lecture la suivent partout où elle va. Dans la salle de bain, dans les transports en commun, dans la cuisine. (7) Quelques détails qui la font craquer chez un homme : une fossette, de jolies mains, des tatouages apparents, une barbe naissante, un accent français. En amour, Leti est une femme multi-facettes. Sensible. Jalouse. Coeur d'artichaut. Elle s'attache trop vite et trop fort, voulant croire au coup de foudre - même si la vie a tendance à lui envoyer des signes du contraire. Leti' a de plus en plus de mal à supporter la solitude. Enfant unique, le fait d'avoir fait des études en ligne l'a éloigné des groupes classiques d'étudiants. Ses quelques contacts téléphoniques se limitent à ses copines de l'école et aux prétendants rencontrés sur Tinder. Ceux qu'elle invite à entrer dans sa vie pour quelques heures ou quelques nuits. Une façon temporaire de tromper sa peur de la solitude. En attendant de trouver chaussure à son pied, pas un seul homme n'est jamais entré dans la maison des Delgado à son bras. (8) Organisation militaire ou mémoire de poisson rouge... Elle passe son temps à faire des listes, partout et sur tout. Son téléphone est saturé de mémos et les post-it se battent sur son coin de bureau, à la librairie. (9) Son salaire n'étant pas mirobolant, elle passe un peu de temps à chiner dans les friperies ou sur internet à la recherche de bonnes affaires. Elle aime le fait que ses affaires aient déjà vécu de multiples vies avant de rentrer dans la sienne. (10) Très attachée à son quartier, elle en connaît les moindres recoins et a parfois l'impression de vivre dans une petite bourgade – loin de l'agitation permanente de la ville. Ce qu'elle aime moins, ce sont les milliers de touristes qui prennent possession des rues pavées du port en été. (11) Avec Leti, il arrive parfois que les jours soient tout rose ou tout noir. Un dentifrice vide, une flaque d'eau sur le chemin du travail, une tâche sur l'un de ses hauts préféré... Et c'est peut-être le début d'une journée à avoir les nerfs en pelote. Les premières notes d'une musique douce à ses oreilles, en guise de réveil, un joli haut pas cher sur internet, un sourire de ses collègues et tout le reste pourrait bien glisser sur elle qu'elle s'en ficherait. Il y a certains jours où elle se sent plus vivante que jamais, capable de danser n'importe où - habitée par une bonne humeur que rien ne pourrait entacher. (12) Les murs blancs, l'odeur prégnante de désinfectant, le bruit incessant des moniteurs... Leti' déteste les hôpitaux, comme toute personne normalement constituée. Elle n'y a pourtant fait qu'un passage, à l'âge de 12 ans, pour une fracture de l'index. Mais elle n'est pas prête d'oublier le nom du médecin qui l'a pris en charge, manquant de tomber dans les pommes lorsqu'il a forcé son doigt à se remettre d'équerre, avant de lui enfiler une attelle. (13) En vrac : bavarde, pétillante, généreuse, impatiente, parfois naïve, débrouillarde, elle a ses moments tête en l'air, stressée. (14) Peut facilement passer pour un garçon manqué lorsqu'elle se rend au garage de son père, pour lui donner un coup de main. Avoir les mains pleines de cambouis ou manier des termes tels qu'injection et essence C ne l'empêche pas d'être une femme à part entière. Leti' n'a jamais eu besoin de passer son permis. Les seuls véhicules qu'elle a entre les mains sont ceux qui défilent à l'atelier de réparation de David Delgado. (15) Pantouflarde par moment, il faut de la volonté pour la sortir de chez elle. Une fois le pied en dehors de son appartement, Leti' se révèle être une fêtarde pétillante. Jamais contre un verre d'alcool, ou deux. La libraire a pris une cuite une fois et s'est promis de ne plus jamais revivre ça. (16) Alors qu'elle adorerait deviner les contours d'autres continents à travers le hublot d'un avion de tourisme, ne serait-ce qu'une fois, elle a une peur bleue dès lors que ses pieds quittent la terre ferme. Elle s'imagine avoir la phobie de l'avion sans jamais être montée à bord.
Leticia respire l'air marin de South Boston depuis qu'elle a ouvert les yeux sur la ville. Très attachée à son quartier, elle a parfois l'impression de vivre dans une petite bourgade, loin de l'agitation permanente du centre-ville. Ce mélange de vie et de calme, c'est l'accord parfait. Seuls les arrêts de bus, menant les passagers tout droit au centre névralgique de Boston, lui rappelle que la grande ville n'est pas si loin.
Malgré ses 30 ans affichés au compteur, la notion de projection reste abstraite pour Leti. Dans dix ans, elle s'imagine volontiers ouvrir les paupières à la faveur de la lumière du matin, filtrant à travers les rideaux d'une petite maison. Avec à ses côtés, un homme qu'elle connaîtrait depuis bien plus longtemps que la veille. La porte de la chambre s'ouvrirait à la volée, sur une petite fille aux longs cheveux qui les regarderaient comme Leti regardait ses parents enfant. Avec un attachement indéfinissable et une lueur de malice dans les yeux. Cette vision utopiste, elle a parfois l'impression de la toucher du doigt mais celle-ci, joueuse, s'éloigne presque aussitôt. Et pas une seconde elle n'envisage de quitter le secteur du livre ou même ses rues qui l'ont vue naître. L'eau du port au même titre que les mots des auteurs qui sont exposés à la librairie, coulent presque dans ses veines. A vrai dire, elle préfère autant ne pas y penser. Les meilleures surprises arrivent bien souvent lorsque l'on s'y attend le moins.
YOURDESIGNDIARY / ELODIE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Yourdesigndiary/Elodie et j'ai 28 ans. Je suis française, normande d'adoption  LETICIA DELGADO ► hilary duff 2474380249 et j'ai connu le forum grâce à mes comptes précédents, notamment Lavender J. Trevena ou Thomas J. Robinson. Le forum est toujours aussi canon alors j'ai décidé de m'inscrire encore une fois  :loukas: . J'utilise Hilary Duff comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart (Dublín). Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

   Je recense mon avatar
   si personnage inventé:
   
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I got that sunshine in my pocket
Got that good soul in my feet
I feel that hot blood in my body when it drops


PROLOGUE - Le siège du Dr Andrews était soudainement devenu inconfortable. Stérile. Le regard dans le vague, Gabrielle Delgado sentit les doigts de son mari, joints aux siens, se crisper. C'est à peine si elle osait croiser son regard. Elle qui le privait d'une vie de famille. Une vie normalce. Mariés depuis 5 ans, ils n'avaient pas envisagé une seule seconde le fait de devoir se lever chaque matin, dans une maison vide de rires d'enfants. Traductrice dans une agence plutôt cotée, les journées passées au bureau, derrière son ordinateur avaient perdu toute leur saveur. Elle avait besoin de s'aérer, se reconstruire. Loin des préoccupations qui ne seraient jamais les siennes. Les réveils en plein milieu de la nuit, les pleurs de crocodile... elle n'aurait jamais l'occasion de connaître une once de ce bonheur. Loin des discussions sur le ventre arrondi de Mary du 6ème et des bureaux des collègues sur lesquels étaient placardés des photos de vacances en famille. Vision qui avait tendance à lui tordre les entrailles.

Travaillant maintenant à domicile, la désormais freelance Gabrielle Delgado avait mis quelques temps avant de réaliser que son ventre était bel et bien gonflé. De profil devant le miroir de la petite salle de bains, un sourire flou sur le visage, elle posa sa main droite sur ce qui serait probablement leur plus belle réussite. Ce simple contact suffit à effacer les trois dernières années. Ce bébé – sans sexe et sans nom pour le moment - était leur miracle, le plus beau des phares dans la nuit. Les Delgado auraient finalement un avenir, celui qu'ils n'avaient plus oser envisager.


CHILDHOOD
Leticia ouvrit ses yeux sur le monde le 16 janvier 1989, à la maternité du Massachusetts General Hospital. L'épilogue d'une grossesse difficile de 8 mois et demi. Les doigts du bébé rencontrèrent l'auriculaire de David pour la première fois. Sa chair. Leur chair. David Delgado croisa le regard fatigué de sa femme, les cheveux trempés sur son front, épuisée par plusieurs heures de travail. C'est maintenant que leur vie commençait. Leti allait bientôt gambader et grandir dans une maison bien trop petite pour trois. Persuadés de ne jamais accueillir un enfant entre ses quatre murs, le couple avait acheté une petite maison du côté d'Harbor Area, à proximité directe des commerces. Maison qu'aucun de leur salaire ne suffirait à agrandir, ils comptaient sur le bonheur qui gonflait leurs poitrines pour ça. Peu importait la place qu'ils avaient, ils se feraient souris pour la boule d'énergie qui leur souriait.

C'est ta grand-mère qui vient te chercher ? avait déjà entendu Leticia à l'école. Pour la petite, ses parents n'avaient pas d'âge. Le fait qu'ils l'aient eu sur le tard lui échappait totalement. La petite tête blonde reconnaissait bien que ses parents avaient plus de traits sur le visage que ceux des copines. Mais elle s'en fichait. Elle empoignait leurs joues avec autant de force, lorsqu'elle rentrait à la maison le soir.

Assis-toi bien, lui avait demandé gentiment son père. Les pieds remuants dans le vide, Leticia était assise sur l'une des chaises en bois du restaurant italien. Elle reconnaissait l'endroit pour y être venue plus d'une fois. C'était généralement leur rituel du dimanche. Ce jour-là, elle avait le droit de choisir entre des pâtes, des pizzas et tout autre plat appétissant.  Elle aimait bien cet endroit, les gens y étaient gentils et souriants.


SWEET MEMORIES
(12 YEARS) Gabrielle Delgado l'avait retrouvé le visage mangé par les larmes. Leticia brandit son doit rouge et gonflé devant les yeux de sa mère. Elle avait été trop vite. Trop vite pour sortir de la petite piscine gonflable que ses parents avaient installé, pour lui faire plaisir, sur leur petit bout de terrain. Se saisissant de ses clés, sa mère l'avait rassurée pendant tout le trajet jusqu'à l'hôpital - la surveillant dans le rétroviseur intérieur. Après deux heures d'attente, installées sur les chaises en plastique, la tête de Leticia sur ses genoux - un médecin daigna enfin les recevoir en consultation. Après avoir étudié le doigt de Leticia, par-dessus ses lunettes à monture épaisse, la sentence tomba. L'index était simplement fracturé. D'un geste vif, il écrasa la phalange de la jeune Leticia, forçant l'os à se ré-emboîter. La douleur cueillit Leticia comme un électrochoc, manquant de peu de la faire sombrer. Le Delgado quittèrent l'hôpital une heure plus tard, un attelle au doigt et un souvenir amer pour l'adolescente.

(15 YEARS) Elle suivait son père du regard. Son bleu de travail rempli de tâches de graisse, les mains noires, il se tuait à la tâche. Il croisa les yeux clairs de sa fille et lui sourit de l'autre côté de l'atelier, son burin plat à la main. Se passant une main sur le front, Leti' se remit à l'ouvrage. Elle avait passé les pièces sous la fontaine à white spirit, retirant quelques traces superficielles. Alcool, puis acétone - dans cet ordre, lui avait appris son père. Tu vois, l'alcool nettoie les graisses solubles à l'eau et l'acétone fera le reste. Elle ne faisait que reproduire les gestes qu'elle l'avait vu faire des dizaines de fois. Leticia aimait passer au garage pour aider son père, lui qui avait toujours un petit quelque chose à lui donner. Et depuis le temps, elle commençait à être rompue à l'exercice.

(17 YEARS) Les camps d'été, c'était les seules vacances que les Delgado pouvaient offrir à leur fille. Et alors que celui-ci touchait à sa fin, les red cup passaient de main en main. La température extérieure avait dégringolé de quelques degrés, forçant le groupe de jeunes à se réfugier dans l'une des grandes tentes des encadrants - à peine plus vieux que le groupe d'adolescents dont ils avaient la charge pour une semaine. Alors que les notes de musique s'échappaient du matériel de fortune apporté par l'équipe, Leticia l'avait regardé une dernière fois. Avant que son visage ne s'efface complètement. Sa première fois, c'était dans cette tente, à la barbe des quelques moniteurs qui dormaient à proximité de leurs deux corps. Avec le temps, son prénom et les traits de son visage lui échapperaient. John, Sam...Leti ne garderait que le souvenir d'un grand brun, au prénom court. Ses gestes maladroits et sa main remontant le long de sa cuisse alors que les siennes complètement crispées, se refermaient sur le sac de couchage, seul rempart entre eux et le sol de la tente. Ça faisait quelques jours déjà qu'il lui lançait des regards en biais. Attention qui la faisait sourire à chaque fois, baissant la tête par timidité. Ce souvenir restera dans un coin de sa tête, rangé dans le tiroir des moments qui ont compté.

(21 YEARS) Leticia jonglait entre les Chokrane, Gracias et Merci. Les touristes fraîchement débarqués créaient une masse devant la boutique aux couleurs de l'arc-en-ciel. C'est probablement cet été, après avoir passé deux mois derrière ce comptoir de yaourts glacés, qu'elle était tombée amoureuse de l'accent français. C'est aussi depuis cet été qu'elle ne peut plus voir un seul yaourt glacé en peinture.

STUDIES & JOB - A plusieurs dizaines de milliers de dollars l'année à la faculté la plus proche, Leticia - fille de l'école publique - a opté pour une formation de libraire 100% en ligne. Beaucoup moins chère. Leticia aimait poser son cahier dans la cuisine familiale, musique dans les oreilles et coca à la main, laissant ses doigts pianoter sur le clavier alors que sa mère travaillait sur ses planches de traduction dans la pièce d’à-côté. Après plusieurs années passées à rédiger et envoyer des rédactions par voie électronique, des heures de vidéos visionnées ; elle était fin prête à intégrer le marché du travail avec un diplôme tout frais arborant la mention vendeuse spécialisée. Chance que seule une petite librairie, située dans le port, semblait prête à lui offrir. Lorsque Leti' ne s'occupe pas de remettre de l'ordre en tête de gondole, elle voit passer les bateaux par la grande baie vitrée de l'établissement. Vivre aussi près du port lui permet de sortir flâner le midi ou de faire son footing matinal en suivant la lumière des quais dessinée sur les pavés. Elle connaît le moindre commerce, y compris les bonnes adresses pour chiner.

Leti est aujourd'hui établie dans un petit appartement, obtenu sans caution grâce aux contacts du responsable de la librairie, à quelques pas seulement du travail. Il était plus que temps qu'elle laisse de l'espace à ses parents, qu'ils réapprennent à vivre à deux... même si elle retourne volontiers dans la maison de son enfance, chaque dimanche.

Lorsqu'elle a le courage et lorsqu'il ne fait pas -20° dehors, Leticia brave les éléments pour un footing matinal essayant depuis quelques temps d'éviter la boulangerie du quartier - pourtant sur son parcours. Ils préparent le Boston Cream Pie individuel comme personne... et elle avait déjà craqué plus d'une fois sur le chemin du retour, ruinant ainsi toute sa séance de sport.

Leti' a la fâcheuse tendance à traîner sur les réseaux sociaux, dès lors que la nuit enveloppe les bateaux. C'est plus fort qu'elle. Plus pour tromper l'ennui que pour répondre à un besoin réel, elle s'est notamment retrouvée plus d'une fois sur l'application Tinder. Il lui est arrivé de partager des repas au restaurant ou des nuits avec certains prétendants. Choix qu'elle regrette à la minute où elle se réveille le lendemain matin.
       
(Invité)
Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

LETICIA DELGADO ► hilary duff MxYCaQhr_o

LETICIA DELGADO ► hilary duff Kaze

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NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
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Oh, RE-BIENVENUUUUUUUE LETICIA DELGADO ► hilary duff 152426858 LETICIA DELGADO ► hilary duff 152426858

Par contre, je vais te demander de changer de prénom (en me taguant ou me mppottant) parce qu'il y a déjà une Abigail et on accepte plus les doublons de prénoms LETICIA DELGADO ► hilary duff 927261665 Mercii LETICIA DELGADO ► hilary duff 3061977507
(Kaze Faulkner)




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Merci hanwii

J'avais mis deux "b" dans le prénom comme ça existe aussi comme ça et que je ne l'avais pas vu dans le bottin. Sinon, on peut changer par Abigale tout simple LETICIA DELGADO ► hilary duff 1001568715

@Ella Dangar

Merci beaucoup LETICIA DELGADO ► hilary duff 73120010
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j'ai hâte d'en savoir plus sur ta belle  LETICIA DELGADO ► hilary duff 550846730
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Malheureusement ça passe pas non plus, toute forme ressemblant de près ou de loin à Abigail sont interdites LETICIA DELGADO ► hilary duff 927261665 sorry LETICIA DELGADO ► hilary duff 3061977507
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@Pluton Westerberg
Zut  :TT:
Leticia, alors ?

@Ruby Carstairs @Zed Burgess
Merci :love2:
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C'est bon pour moi LETICIA DELGADO ► hilary duff 152426858 je te change ça de suite 😘
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