AVAN BASAÏA JR ► joe keery

caractèreavan se décrirait comme étant quelqu'un d'engagé, aimable, affectueux, fier, protecteur, un petit peu impulsif, mais rien qui ne le mette en danger. passionné, engagé, intelligent, malin, débrouillard, si vous lui demandez il vous dirait qu'il est ambitieux, a un futur qui brille devant lui, un homme comme un autre tout en étant hors du commun, pas ordinaire, mais si vous voudriez la vérité vous apprendrez aussi qu'il est égocentrique, un petit peu mais assez pour qu'on le souligne. il prends toujours tout pour lui et contre lui, un peu paranoïaque, il se monte la tête tout seul comme un grand la moitié du temps et vois des machinations partout. ce qui fera de lui un excellent avocat, mais un cauchemar de petit ami. il est peut-être pas possessif dans le sens connu du terme, mais il ne fait confiance à personne ce qui l'empêche d'avoir des relations 'normaux', monogame, fidèle. il ne trompe pas, mais ne promet jamais fidélité. il ne se dirait pas séducteur, mais ne peux résister.

admission à harvardintelligent, brillant, son avenir a toujours été tracé dans son esprit, lycée, université, law school, cabinet d'avocat réputé. il est brillant et l'a toujours été. ses notes, diverses lettre de recommandation et activité extra-scolaire l'ont aidé à se démarquer de tout les autres élèves de son lycée, et il a brillé lors de l'entretien en soulignant son ambition, son organisation et ce qu'il attendait et cherchait d'harvard. il y est allé avec confidence, et se fut un succès.

story of my life

i got the best version of him The greatest man I never knew. Came home late every night. He never had too much to say, Too much was on his mind. I never really knew him, And now it seems so sad. Everything he gave to us took all he had ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦

Mon père m'avait vaguement raconté comment il avait rencontré ma mère quand j'étais petit. Il disait que c'était comme un film romantique, un coup de foudre au premier regard. Selon lui, on pouvait aimer plusieurs personnes, passionnément, mais qu'on n'avait qu'une seule âme sœur, et que dès qu'il l'avait vu, il avait su. Su qu'elle serait sienne, su qu'il serait tout ce qu'elle voulait qu'elle soit, tout ce qu'il faudrait pour l'avoir, parce qu'il avait tout simplement su. Mon père était un homme de si peu de mots, mais lorsqu'il parlait de ma mère son regard s'illuminait. Parfois, il la regardait et je savais, nous savions tous, qu'il ne voyait qu'elle. Il avait trouvé son âme sœur "enfin" comme il disait, et avec elle, il aller fonder une famille, se reconstruire. Sa vie n'avait commencé qu'à sa rencontre, c'est tout ce que je connaissais, tout ce dont j'avais besoin. Papa. Maman. Junior. Une famille.

"Avan Basaïa Jr ?" "Présent !" L'instituteur se rapprochait du bureau d'Avan, examinant son visage en silence. Un visage qu'il avait déjà vu, un visage qui était bien trop familier, un visage qui l'avait terrorisé quand il était lui-même dans les bancs de cette école. "Comme Avan Basaïa Sr j'imagine... Le fils... C'était écrit sur son visage, il ne pouvait le cacher, pourquoi le voudrait-il ? Avan Jr en est fier de son père, de leur ressemblance, de leur lien, il l'aime. C'est son héros. Un grand sourire aux lèvres, il acquiesce, se retourne et montre du doigt ses parents qui l'observent derrière la grille de sa nouvelle école. "Oui, c'est mon papa, il est là-bas ! Vous le connaissez ?" Il se retourne, regarde son bourreau de loin et le reconnaît à peine. Était-ce vraiment lui ? ... Quel changement. Il regarde Avan Jr dans les yeux et pendant un moment, il hésite. La première chose qu'il ressentit fut de la rancœur, pour son enfance, son adolescence ruinée par le souvenir d'un Avan cruel, gratuitement. Un comportement qui ne cachait qu'une enfance troublée. Mais il voyait son fils et ne voyait qu'un enfant heureux, sociable, intelligent même. Tout le contraire de ce qu'avait été son père. Quel soulagement. Croyance en l'humanité restaurée. Les gens changent. Qu'importent les dégâts qu'ils laissent derrière eux, les gens changent, Avan Jr en était la preuve vivante, immaculée des erreurs de son père, de ses choix, il n'en savait sûrement rien, il n'en saurait sans doute jamais rien. Et tant mieux. Cet instituteur ne serait pas celui qui lui dirait. Avan était quelqu'un d'heureux, avec une famille parfaite, pourquoi lui enlever ça ?

you gave me purpose we weren't necessarily put in the best position to make the best decision. you can't be hard on yourself because this were the cards you were given so you have to understand that this is not who you are. you know you try to be the best you can be, and that's all that you can do. ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦

Jeune, indépendant, séduisant. Enfin, il préférait se dire qu'il n'était "pas moche à regarder", mais au fond, il savait sans doute. Il avait confiance en lui. Assez pour se lancer tête première dans tout ce qu'il faisait, et même si le résultat n'était pas exactement ce à quoi il s'attendait, il était heureux. Parce qu'il avait tenté le coup. Il avait tout pour lui. Harvard, une famille, elle. Cette belle jeune femme, magnifique, sublime, parfaite, il l'adorait. Était accro à son sourire, son odeur, son goût. N'importe qui auraient cru qu'il l'aimait et qu'elle l'aimait. Elle y croyait elle aussi. Puis elle avait découvert qu'il ne partageait pas la même idée de ce qu'était l'amour, de ce qu'était une "relation". exclusivité.

"Qu'est-ce que j'ai fais ?" Sa joue était encore rouge, douloureuse après le coup qu'il venait de comprendre. On ne pouvait lire que la confusion sur son visage, et le pire était sans doute la sincérité de sa réaction. Il était réellement surpris. "Stacy, Bernie, Lisa et Maggie... Avec qui tu ne m'as pas trompé putain ?" trompé. Le concept de la "tromperie" n'était pas totalement inconnu pour Avan. Il était physiquement incapable de s'accrocher à une personne, et uniquement une personne. C'était plus fort que lui. Mais il avait appris à ne pas promettre l'impossible par conséquent, ou plutôt de se distancer de donner des "titres" à ses différentes... relations. "Je ne t'ai jamais rien promis." Il la regarde dans les yeux, sans sourciller, dans montrer aucun regret, aucun sentiment. Il avait bonne conscience, parce qu'il n'avait rien compris. Elle souriait, amusée, meurtrie, tellement de sentiments qu'elle ne savait pas ce qu'il se passait vraiment dans son esprit, dans son coeur. "Tu es de loin, la pire personne que je connaisse. Au moins les autres gars ne font pas genre d'être des sains, des gens biens, de confiance. Ils assument d'être des connards, des infidèles, tout ce que tu veux, mais toi ! Toi... Toi, tu te caches derrière des vieilles excuses, des "on a jamais dit qu'on était exclusif" comme si tu pensais réellement qu'on était sur la même longueur d'onde depuis le début alors que tu sais très bien que ce n'est pas le cas... Tu oses me regarder dans les yeux et jouer les victimes ?" Avan ne sait pas comment trouver les mots pour se sortir de cette situation... Il l'aime. Enfin, il l'aime bien, peut-on vraiment dire que c'est de l'amour ? Qu'est-ce l'amour ? Et le voilà parti dans un fil de pensées dont il ne reviendrait pas, et elle lui tourne le dos. Pour toujours. Comme tant d'autres avant elle et il se retrouve seul, où à passer à la prochaine, parce qu'il est comme ça Avan. Il ne sait pas changer. C'est plus fort que lui.