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Here you are || Rain & Angelica (Alan's Mom)

Good Morning Boston

Âge : 46
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Un soupir se fait entendre dans le silence de cette chambre, aussi triste que toutes celles présente dans cet hôpital. La jeune femme couchée dans ce lit peine à tendre le bras pour attraper la télécommande afin de remonter finalement son lit en position assise quand une aide soignante fait son entrée dans sa chambre.

“Bonjour Madame Landrum ! Comment ça va aujourd’hui ?”
“Fatiguée, je me sens très faible comme d’habitude.”

Cependant, cette Mme Landrum gardait le sourire malgré son état paraissant lamentable. Le plateau repas se posant sur la tablette, l’aide soignante vint prendre la main de la malade pour lui indiquer où se trouve son repas, la laissant se débrouiller par la suite sur la demande de cette dernière, ponctuant sa sortie par un classique “Bon appétit !”. Attrapant sa fourchette, sa main tremblante essaya de faire en sorte de se diriger vers la nourriture peu appétissante si elle pouvait la voir. Un mal pour un bien ? Toujours est-il que toutes les personnes entrant à ce moment précis aurait pu constater les os apparents de la dame dans ce lit. Le simple fait de déglutir semble être un combat pour elle, ou serait parce que ce qui se trouve dans ce plateau est immangeable ?

Mais comment cette femme peut-elle garder le sourire dans un tel état ? Sa souffrance est presque palpable, mais elle semble pourtant passer outre. Seul indice, toutes ces photos d’un jeune homme aux yeux bleus, deux sur la table de chevet, l’une le montrant aux côtés de sa mère, l’autre aux côtés d’une autre jeune femme au yeux tout aussi clairs que les siens. Au dessus de son lit, une autre photo de ce jeune homme faisant une grimace stupide. Mais comment des photos peuvent-elle apporter quelconque réconfort à une femme qui ne voit plus rien que l’obscurité permanente ? Seule le fait de savoir leurs présences non loin suffit ? Apparemment oui.

Un léger bruit fait relever la tête de Mme Landrum, comme si elle la lever pour en apercevoir la source alors qu’elle en est pas capable. Le silence s’installe quelques secondes avant qu’elle ne le brise en ouvrant la bouche, fourchette toujours tremblotante en main et ce sourire toujours aussi déconcertant sur le visage:

“Je ne vois pas, mais je sais quand même quand quelqu’un me regarde vous savez.”

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”Non je suis désolé je pourrais pas”
Tu hésite un moment à cliquer sur le bouton. Un long moment, pendant lequel tu fixe ton écran, voyant le message envoyé par Alan devant tes yeux, le relisant : Sa mère veut te rencontrer.  Sans expliquer la raison.Elle te recevras certainement avec plaisir qu’il précise.  Il te demande d’aller la voir, sans même savoir que tu es à l’origine de son transfert à Boston, dans l’un des meilleurs hôpitaux, à recevoir les meilleurs soins.
Mais tu ne peux pas. Tu es désolé. Tu ne donne aucune autre information.
Envoyé
T’affiche le téléphone, quelques secondes après avoir cliqué sur le bouton.
Ca a beaucoup trop duré cette situation. Celle ou tu prétends vouloir qu’Alan te déteste… Alors que tu fais tout pour le contraire. Vous vous envoyez des messages. Tu l’aide pendant son moment de panique. Tu demande de ses nouvelles. Il te met en garde quand quelqu’un veut te faire du mal…. Cette situation ou tu prétends vouloir t’éloigner, puis tu finis dans sa chambre.
Tu coupes donc les ponts, la, tout de suite, faisant le truc le plus égoïste auquel tu peux penser : Refuser d’accomplir les souhait d’une femme mourante. Sa mère.
Sauf que, à peine le SMS envoyé, à 20h du soir, bien plus tard que les heures de visites ne le permettent, tu mets ton manteau, tes gants et ton bonnet et tu sors dans le froid en direction de l'hôpital.
Tu es égoïste il est vrai, mais pas sans coeur. Il doit juste croire que tu refuse de lui faire cette faveur. Quant à ce que tu fais réellement… la plupart du temps il en sait rien.
T’empéchant à trois reprises de sortir ton paquet de clopes, tu exhale l’air de tes poumons dans l’air frais de la nuit. Suivant des yeux la vapeur que ton souffle dessine dans l’air. Pas de cigarette ! Pas de cigarettes ! Tu ne veux pas qu’elle sente cette odeur dans ton haleine, ou sur tes vêtements. Tu refuse que pour ta première entrevue avec elle, elle ait une mauvaise impression de toi. Quel abrutie tu fais. Ce n’est pas comme si t’allais la voir beaucoup plus, ou qu’elle aurait une haute estime de toi. Surtout si Alan lui a parlé de ton passage par la case prison.
Merde !
Et s’il lui a parlé de ta case prison?
Qu’est ce que tu fais à ce moment la ?
Elle doit vouloir te demander de t'éloigner de lui ! MERDE !
Tout à tes jurons non formulé, tu pousse les portes battantes de l’aile est de cet hôtel. Tes jambes continuent à te mener vers la chambre que tu sais être la sienne, dans ces couloirs presque déserts. Froid, trop blanc pour être accueillant, trop vide pour être chaleureux. Un docteur en blouse te calcule à peine en passant à côté de toi… Normal, vu l’uniforme que tu porte. Tout le monde sait que les docteur ne respectent pas les infirmières, n’est ce pas? Lissant le pantalon de cet uniforme que tu as dérobé dans l’une des chambre de garde, du plat de la paume, tu joue ton personnage à la perfection : celui d’un membre du corp médical, chargé d’une mission dont les infos sont inscrits dans le bloc note entre tes mains.
Hum, intéressant, monsieur Darrel semble avoir de la diarrhé… hum…
Tu n’as pas à continuer ce jeu pour longtemps, bien vite tu arrives à la chambre d’Angelica Landrum. Sa porte ouverte, la lumière allumé.
Trop tard pour faire marche arrière… Non?
Ton regard, depuis la porte, se pose sur l’autre infirmière en train de diriger les mains de la patiente vers son dîner. Bien trop vite tu te rends compte qu’elle ne voit rien …
Bien …
Enfin non pas bien ! Ton coeur se serre. ‘Bien’ parce qu’elle ne va pas te voir, elle ne saura pas que c’est toi. Pas bien parce que ça doit être difficile à vivre pour Alan. Et pour elle aussi. Merde ! Tu sais pas comment il faut réagir dans ces situations la. Tout d’un coup tu as envie de pleurer.
Tes jambes se remettent à marcher de leurs propre volonté, quand l’autre aide soignante sort de la chambre et s'éloigne de l’autre côté du couloir. Certainement encouragé par le fait que tu ne vas pas être vue, tu t’avance dans la pièce silencieusement.
Raté.
“Je ne vois pas, mais je sais quand même quand quelqu’un me regarde vous savez.”
“Je …” hésite tu “hum” tu t’éclaircis la gorge. “Je suis désolé, je vérifiais votre dossier” Qu’est ce que ça te fais de mentir à une mourante Rain? “Je … votre fils m’a envoyé” précise tu. Au moins ça c’est vrai. Même si lui même ne le sais pas.
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Le femme allongée dans ce lit est de toutes évidence très faible, a perdue la vue depuis un long moment maintenant, à la peau sur les os. Cependant, un sourire contrastant avec son triste état orne tout de même son joli visage. Sentant une présence non loin de son lit, la malade ne se retint pas le moins du monde de faire savoir à l'inconnu qu'elle savait très bien qu'une personne était dans la pièce avec elle. Décision qui lui vaut une réponse de cette dite personne, lui faisant faussement savoir qu'elle est une infirmière envoyé par l'amour de sa vie, la chair de sa chaire, ce jeune homme sur toutes les photos, son fils Alan.

"Il n'arrêtera donc jamais de s'inquiéter...", dit-elle en soupirant, pensant toujours parler à une énième infirmière.

Sa main tremblotante vient tâtonner la table de chevet et parviens après quelques secondes à se saisir du cadre s'y trouvant pour le poser sous ses yeux, comme si elle pouvait voir la photo encadrée dans celui-ci. Ses doigts se posent dessus, telle une visualisation tactile de son enfant adoré. "Vous savez mademoiselle, j'ai peur que ce petit gars perde pied le jour où je partirais...", lança-t-elle avec une once de tristesse et d'inquiétude dans la voix avant d'ajouter: "Il aime jouer aux durs, mais il est plus fragile qu'il n'y parait.". Un nouveau soupir se fait entendre avant qu'elle ne relève son visage vers l'infirmière présumé, du moins essayant de regarder dans sa direction, sans grand succès comme peut le constater cette dernière.

"Je suis désolé, je vous raconte tout ça alors que vous avez surement du travail... Que vouliez-vous ma jolie", demanda-t-elle finalement à son interlocutrice.

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Elle soupire t'informant que tu n’es pas la première personne qu’il envoie s’assurer de son état. Tu t’empêche de souligner que tu dois être la première infirmière factice qui entre sa chambre. Du moins tu l'espère.
Toujours debout devant la porte, tu es trop figé pour continuer à l’intérieur, la regardant à cette distance, rien ne t’empêche de voir le geste qu’elle fait vers un des cadres sur ses table de chevet. Elle tâtonne un peu, avant de mettre la main dessus et tu n’as qu’une envie, celle de courir vers elle, et de l’aider. Tu n’en fais rien. Elle y arrive toute seule… Elle arrive à tirer ce cadre ou ton visage est entrain de t’envoyer une expression plus enjoué que celle que tu dois afficher.
Elle a une image de toi. Toi et Alan.
Sait elle au moins que tu es dessus?
"Vous savez mademoiselle, j'ai peur que ce petit gars perde pied le jour où je partirais..." dit elle, une pointe inquiétude dans sa voix. Attirant ton attention à nouveau sur elle. "Il aime jouer aux durs, mais il est plus fragile qu'il n'y parait."
Tu sais.
Tu ne le sait que trop bien.
Autre chose que tu sais. Il n’est pas aussi fragile que sa mère semble croire. Il est assez fort pour avoir continué à sourire, même quand tu savais que l’état de sa mère le mettait au plus bas. Tu l’as vu être l’ami attentionné qu’il a toujours été, alors que lui même avait besoin d’être consolé. Il a toujours été la pour tout le monde …
Ils seront la pour lui, le jour ou sa mère ne le sera plus. Peut être pas toi. Mais les autres ils seront la, quand il ne pourra plus jouer aux durs.
"Je suis désolé, je vous raconte tout ça alors que vous avez surement du travail... Que vouliez-vous ma jolie"
Tu te racle la gorge, essayant de la dénouer, le temps de faire quelques pas vers le lit
"Oh non, ne vous inquiétez pas ! Je viens de terminer ma journée." Encore des mensonges, t’en as pas marre? Apparemment non. "Dites m’en plus sur lui" demande tu, ravie de trouver une raison pour rester. Tu tire une chaise et prend place.


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Il fut un temps où Angelica aurait pu poser ses yeux sur la jeune femme se faisant passer pour une infirmière, mais ce n'est plus possible désormais. Aujourd'hui, elle se contente de poser son regard dans un espace qui lui est invisible, de suivre le son de la voix de la demoiselle qui lui tient compagnie, le bruit de cette chaise glissant sur le sol pour venir s'installer plus près du lit dans lequel elle se tient présentement.

"Vous êtes gentille mademoiselle, vous restez pour faire la causette à une vieille femme comme moi.", ajouta-t-elle à l'adresse de celle qui était la petite-amie de son fils, aujourd'hui dissimulés sous cette blouse d'infirmière.

Son fils, le sujet dont elle préfère parler, la prunelle de ses yeux, celui dont elle est le plus fier en ce monde. Des détails, elle pourrait en donner pendant des heures sur ce jeune homme, elle pourrait tenir un hiver entier à raconter des histoires sur ce Alan qu'elle considère comme le fils parfait. "Quand il vient me voir ces derniers jours, il fait mine que tout va bien, mais je sais très bien que ce n'est pas le cas.", commença-t-elle en continuant à laisser glisser ses doigts sur la photo entre ses mains. A vrai dire, intérieurement, Angelica est agacée par cette attitude que peut avoir son fils, son penchant à faire comme si tout va bien. "Il y a cette fille dont il me parlait quasiment tous les jours, il m'en parle encore très souvent d'ailleurs quand il m'appelle le soir. Tiens regardez, c'est elle.", la main de la faible maman tenant le cadre se dirige vers sa partenaire de causerie pour lui donner la photo où figure la jeune femme en question, la même jeune femme qui est son interlocutrice en ce moment. "Il n'a de cesse de me dire à quel point elle est jolie, il sortait avec la plus belle fille de son campus universitaire selon lui. J'aurais aimé la rencontrer avant que cela ne dégénère entre eux...".

Difficilement, la mère d'Alan essaya de replacer ses oreillers un peu plus haut pour un meilleur maintien de son dos, un effort qui déclencha une quinte de toux grasse qu'elle essaya d’étouffer dans sa main sans y parvenir.

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”Vous êtes gentille mademoiselle, vous restez pour faire la causette à une vieille femme comme moi.”
Tu ne réponds pas à ça. Ton réflexe te fait lui sourire et hocher silencieusement la tête comme une conne, alors qu’elle ne te vois pas.
En effet, ses yeux ne sont pas totalement posé sur toi. Cela te rends tellement inconfortable que tu choisis de ne pas la regarder directement non plus. Préférant poser les yeux sur une autre partie de son corps. Ses mains, ridé, tremblantes, aux veines apparentes. Ses cheveux, terne et emmêlé... Normal, quand on sait ce que les infirmière peuvent contre ce qu’elle doivent faire en une journée. Son assiette presque intacte semble être la seule chose que tu peux fixer sans te sentir mal.
Non, finalement. Aucun changement dans le nœud qui semblait avoir pris place dans tes tripes. Tes muscles ne se détendent pas quand tu l’évite. Ton malaise subsiste. Tu n’arrives pas encore à effacer le plis soucieux qui se dessine sur ton front.
Heureusement qu’elle ne te vois pas.
La encore, tu te sens comme une merde en sortant cette même phrase. En venant ici ce soir, sur un coup de tête suivant le message de ton ex, tu ne t’attendais surtout pas à te faire passer pour ce que tu n’étais pas. Tu ne t’attendais à rien tu devais l’avouer. T’aurais peut être passé un peu de temps dans le couloir à la regarder de loin. Tu serais entré quand elle se serait endormie, et t’aurais laissé une lettre à son chevet. Sauf que, voilà… elle ne te voit pas. Ne te reconnaît pas. Et ça compte n’est ce pas? Ça compte comme étant une réponse à sa requête de te voir? Fin pas te voir voir, te rencontrer.
Heureusement que tu n’es pas une grosse pleurnicharde.
Tout ce que ton corps trouves comme réaction, c’est de tendre tout tes muscles, de nouer tes entrailles, et de serrer ta gorge.
”Quand il vient me voir ces derniers jours, il fait mine que tout va bien, mais je sais très bien que ce n'est pas le cas.Il y a cette fille dont il me parlait quasiment tous les jours, il m'en parle encore très souvent d'ailleurs quand il m'appelle le soir. Tiens regardez, c'est elle.”
Te raconte t elle.
Oui tu le lui a demandé. A quoi tu t’attendais? Elle te parles de … toi. Elle te montre ton visage entrain de sourire sur le papier glacé. Elle t’informe qu’il… parles encore de toi. Même après tout ce que tu lui as fait. Même après toutes vos disputes.
Tu prends l'objet qu’elle te tends, que tu as évité de regarder jusque la. Et ne le regarde toujours pas.
”Il n'a de cesse de me dire à quel point elle est jolie, il sortait avec la plus belle fille de son campus universitaire selon lui.”
Alors … tu peux être plus mal à l’aise. Tu ne pensais pas ça faisable pourtant.
” J'aurais aimé la rencontrer avant que cela ne dégénère entre eux...".
Tu marque une pause, totalement nécessaire pour que ta voix ne soit pas enroué quand tu réponds
“Ah parce que ça a dégénéré?” T’enquis tu comme n’importe quel personne curieuse de connaitre la suite de l’histoire. “Comment ça?” demande tu d’une petite voix.
As tu vraiment envie de savoir? Faut que t’arrête de parler pour dire des conneries Rain.




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Attrapant le verre d'eau disposé sur la table de chevet de sa main tremblotante, Angelica parvient à étouffer cette toux grasse en buvant deux gorgées avant de reposer le verre tout en écoutant la petite curieuse à ses côtés lui demander des précisions. Parfait, parce qu'elle n'avait pas prévus de s'arrêter là, bien trop contente d'avoir une autre compagnie que son fils pour une fois. Ce dernier viendra encore la voir une nouvelle fois ce soir, comme il le fait tous les jours depuis qu'elle a était transféré mystérieusement sur Boston, et il ne fait aucun doute que la maman racontera à son fils ce moment passé avec la jeune femme qui n'est qu'une simple infirmière à ses yeux.

"Il s'est avéré que cette fille trempe dans des histoires louches et qu'elle a gardé ces secrets pour elle. Ça l'a détruit d'apprendre ça, il ne m'as pas appelé pendant plus d'une semaine, je me suis vraiment inquiété.", continua-t-elle de parler de son jeune fils à la femme qui justement l'a plongé dans un tel état pendant plusieurs semaines. Mais le fait est que ce même fils a enfin finis par appeler sa mère pour lui parler de tout ça, mère qui a finis par lui donner son avis sur la situation tout en connaissant par cœur cet enfant qu'elle a mis au monde. "Vous savez, je suis d'avis que ce petit gars a un grand cœur, mais il se fragilise à chaque fois qu'un malheur lui arrive parce qu'il est très sensible. Cette première fille dont il étais amoureux, Absolem, l'as mis plus bas que terre. Et ce coup fais par sa nouvelle petite-amie est arrivé en même temps que l'annonce de ma maladie maintenant incurable, c'est beaucoup trop pour lui, je le sais bien.". Si cette fois-ci, l'inquiétude ne parut pas le moins du monde dans la voix d'Angelica, elle était tout de même bien visible dans ses traits et dans sa gestuelle, la maman n'ayant de cesse de tripoter ses doigts entre eux, traduction d'un stress palpable.

"Et pourtant...", lâcha-t-elle dans un grand soupir avant de reprendre: "Il persiste et signe pour dire qu'il aimerait bien se remettre avec elle s'il le pouvait, parce qu'il était heureux avec elle, qu'il se sentait bien en sa présence. Il aime à me dire avec ce petit ton agacé qui est le sien qu'il ne lui en veut plus des secrets qu'elle a gardée, qu'il comprends qu'elle voulait le protéger en quelque sorte.". La faible femme alité marqua une pause avant d'étirer un léger sourire suite à la pensée d'un souvenir qui se voulait surement drôle et dont elle fit part à sa partenaire du jour: "Maman ! Je te jure qu'elle m'énerve quand elle fait la fille dangereuse pour moi alors que je m'en fou !", fit-elle une piètre imitation de son fils à l'aide d'une voix qu'il ne lui ressemble guère plus avant de laisser échapper un rire contrastant fortement avec son état de faiblesse. "C'est les mots que j'entends le plus en ce moment ! J'ai l'impression de la connaitre comme si c'était ma fille cette Rain tellement il m'en parle ! Je lui ai demandé de venir me voir, j'espère que cette gamine viendra pour que je puisse lui parler." Elle est déjà là, mais Madame Landrum ne le sait malheureusement pas.

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Tu l’aide à remettre le verre d’eau sur la table, entourant ses gestes de loin, de tes mains en coupe, dans le cas ou elle le laisse tomber ou que ses mains frêles n’arrivent pas à retenir l'objet plus longtemps.
Elle y arrive. Tremblante mais elle y arrive. Et toi tu reste la à la regarder. Ne sachant ce que tu veux faire exactement de tes bras… a part les laisser tomber de part et d’autre de ton corps. Tu la regarde et … surtout l’entends.
Tu as apparemment trempé dans des histoires louches. Tu as détruit son fils. Il a même ignoré sa mère pour une semaines. Il est fragile, et toi tu l’as achevé. Elle te met dans le même panier qu'Absolem. La première petite amie d’Alan qui l’a tellement blessé, qu’il est devenu le parfait petit ami pour toi. C’est tout dire.
Maintenant, sa mère te compare à elle. Cet être diabolique qu’Alan a longtemps refusé de mentionner. Maintenant qu’elle t'y fait penser, après une année vous n’avez toujours pas parlé d’elle… depuis votre première rencontre en fait.

Comment est ce qu’on peut reprendre sa respiration si on a envie de vomir déjà?
Tu ferme la bouche, et prends une grande respiration, essaye de te retenir de grimacer, même si tu sais qu’elle ne te vois pas. Peine perdue, la suite de ses paroles te tire même un frisson que tu cache en t’éloignant légèrement du lit. De peur de trop faire bouger le matelas.
Cette Rain qu’il décrit. Toi. Celle qu’il a encore envie de revoir. Celle qui “l’ennerve quand elle fait la fille dangereuse” Oh my god.
“Oh my god” t’entends tu dire. Merde … pourquoi t’as sortit ça à haute voix. Tu te reprends tu change le ton de ta voix. D’un ton agacé et quelque peu irrité, à un autre un peu plus étonné, surpris, amical. Comme une personne qui vient d’entendre une proposition invraisemblable et qui décide d’intervenir.
“Vous avez encore envie de la rencontrer?” tu demandes. Voila continue “Elle a l’air tellement … détestable. La manière dont elle a traité Alan, et qu’elle l’a fait souffrir.” tu essaie de te rappeler les termes qu’elle a utilisé. “Si elle trempe dans des histoires louches, il serait mieux qu’elle ne prenne plus contact avec vous. Vous ne croyez pas?”
Dites oui, s’il vous plait, dites oui !
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Par chance, Angelica n’est pas le genre de femme pieuse qui sera outrée par ce juron qu’elle vient d’entendre, celui faisant appel au nom du Tout-Puissant. Non, elle est bien plus une femme de science, de fait concrets, de connaissances apprises ici et là à travers ses nombreuses lectures. Des connaissances transmises pour la plupart à son fils adoré quand il était enfant, les récits de la mythologie grecque ou encore les aventures d’Ulysse contés par Homère servant à endormir le jeune Alan après que ce dernier ait entendus sa mère se faire violenter par celui qui se devait être son père mais qui ne l’a jamais été.
Non, Angelica, elle se contente de sourire à ces mots qu’une autre personne aurait pu prendre mal, elle tourne la tête vers la source du son, vers la présence qu’elle sent à ces côtés depuis plusieurs minutes maintenant et écoute la suite des interrogations de la jeune femme. Un rire contrastant fortement avec son état de santé se fait entendre, ponctuant la dernière question de la soi-disant infirmière.
“Qu’est ce que vous voulez qu’il m’arrive ? Je suis déjà condamnée, je ne sais pas si ça peut être pire”, répliqua-t-elle avec ce sourire qui la caractérise si bien, se moquant éperdument de ces histoires louches que son interlocutrice évoque. “Vous savez ma chère, je pense qu’il y a beaucoup plus que simplement le bien d’un côté, et le mal de l’autre. Je dirais même que nous nous trouvons tous dans cet entre-deux et que nos choix nous font basculer de temps en temps d’un côté ou de l’autre.”, reprit-elle calmement afin d’expliquer au mieux son point de vue, néanmoins sans l’imposer à sa compagne du jour.
“Evidemment, je n’apprécie pas ce qu’elle a fait subir à mon p’tit, mais je suis du genre à me faire mon propre avis sur les gens, à essayer de les comprendre plutôt que de les accabler.”.
Et alors Angelica ? Que penses-tu de cette jeune femme à qui tu parles depuis tout à l’heure ? Parce que c’est justement celle-là même que tu voulais rencontrer.

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